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Les opérations extérieures françaises (Opex) ont à pâtir de la pandémie de coronavirus.
Tout le monde à entendu parler du Charles de Gaulle et de son retour anticipé à Toulon...
Fin mars, la France a décidé de rapatrier jusqu'à nouvel ordre ses 200 militaires déployés en Irak, pays durement frappé par le Covid-19.
Le porte-hélicoptère français Mistral, qui faisait route vers l'Asie pour veiller au respect du droit maritime international dans des zones de tensions comme en mer de Chine, a changé de cap la semaine dernière pour rallier La Réunion et Mayotte afin de porter assistance aux populations de ces deux territoires français d'Outre-mer situés dans l'océan Indien, où l'épidémie de coronavirus commence à sévir.
Fin mars, la France a décidé de rapatrier jusqu'à nouvel ordre ses 200 militaires déployés en Irak, pays durement frappé par le Covid-19.
Le porte-hélicoptère français Mistral, qui faisait route vers l'Asie pour veiller au respect du droit maritime international dans des zones de tensions comme en mer de Chine, a changé de cap la semaine dernière pour rallier La Réunion et Mayotte afin de porter assistance aux populations de ces deux territoires français d'Outre-mer situés dans l'océan Indien, où l'épidémie de coronavirus commence à sévir.

Les militaires français de retour d'opérations extérieures bénéficiaient depuis 2009 d'un séjour en Crète (appelé «sas») pour décompresser avant leur arrivée en France, mais le coronavirus a contraint les armées à la «fermeture temporaire» de ce dispositif, a appris l'AFP.
Sources
La Croix
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