05 mai 2012

D'Hyères à aujourd'hui

BAN HYERES




Profitons de l'approche du congrès de la Marcophilie navale à Toulon pour évoquer la Base aéronavale de Hyères juste de l'autre côté de la rade.







Depuis 1925, le site du Palyvestre accueille l’Aéronautique navale. Cette base de 270 hectares est le point d’appui des opérations aéromaritimes en Méditerranée. Elle est composée de deux aérodromes situés à Hyères et à Cuers, permettant la mise en œuvre d’une trentaine appareils (essentiellement des hélicoptères). 



Aérodrome mixte (militaire et civil), Hyères accueille 60 000 mouvements par an et 577 000 passagers par an. C’est le 21eme aéroport de France.


L'aérodrome est situé sur une plaine marécageuse dont l'altitude est légèrement supérieure au niveau de la mer. La plaine du Palyvestre est à l'origine un vaste paturage et devient un aérodrome au début du siècle. En 1911, Hélène Dutrieu gagne la coupe "Fémina" avec son biplan Farman après un vol de 38 minutes.



En 1919, le ministre de la Marine décide d'assécher les pâturages et, en 1920, la Marine utilise le terrain du Palyvestre pour ses avions: le lieutenant de vaisseau Teste y décolle pour poser les roues de son Hanriot sur le pont du porte-avions Béarn, et effectue ainsi le premier appontage de l'aéronautique navale. En 1922, le premier hangar est construit.





Le 1er février 1925, la base militaire est officiellement créée et s'appelle Centre d'Aviation Maritime du Palyvestre. 


Durant cette année, sont stationnés les Gourdou-Leseurres et Dewoitine 300 qui constituent le groupe aérien du Béarn. Ces appareils ont effectué les premiers appontages simulés sur piste (ASSP) de l'histoire de l'aéronautique navale. 


En 1928, une base d'hydravions est créée ainsi que l'escadrille 3S1, armée d'hydravions CAMS-37.


En 2005, les unités suivantes étaient basées sur la B.A.N. d'Hyères:

Le CEI (Centre d'Entraînement et Instruction) d'Hyères ;
La flottille 31F équipée de WG13 Lynx ;
La flottille 35F équipée de AS-365F Dauphin (dont un Dauphin de service public basé en permanence) et d'Alouette III ;
La flottille 36F équipée de AS 565SA Panther ;
Le CEPA/10S (Centre d'Expérimentation Pratique de l'Aéronautique Navale) possédant un MS880 Rallye, une Alouette III et un WG13 Lynx ;
L'EPPE (École du Personnel de Pont d'Envol) qui assure la formation à tous les métiers du pont d'envol ;


Un détachement de la flottille 32F équipé d'un hélicoptère SA.321G Super-Frelon qui assure des missions de secours ;
Un détachement des douanes avec deux appareils de surveillance F-406, deux Cessna 404 et trois Ecureuil ;
Une compagnie de fusiliers marins.


On peut trouver sur le terrain un « pélicandrome » utilisé pour le ravitaillement des Canadair et Tracker de l'Aviation Civile. L'activité aéronautique est articulée autour de deux pistes: la première 05-23, mesure 2120 mètres, et la seconde, 14-32 mesure 1900 mètres.

La première mission de la B.A.N. est l'entraînement des unités et le soutien des détachements. De nombreux avions et hélicoptères profitent de la situation géographique de la B.A.N. pour y faire escale avant de repartir vers leur destination (terrain étranger ou porte-avions). La B.A.N. constitue également le terrain de déroutement des avions du groupe aérien du porte-avions Charles de Gaulle.


Sources 

Marine nationale

netmarine.net


http://www.netmarine.net/aero/bases/hyeres/index.htm

04 mai 2012

Mission Jeanne d'Arc

FASM Georges Leygues au Kenya

Ce matin un pli du GL en escale à Monbasa Kenya
Le journal de bord nous donnes quelques indications sur l'escale et les domaines visités.

TAD Manuel Paris Tri Interarmées 3-5-2012



http://www.defense.gouv.fr/marine/decouverte/equipements-moyens-materiel-militaire/batiments-de-combat/fregates/asm-type-f70/georges-leygues-d-640/presentation


Par FASM Georges Leygues le mercredi, 25 avril 2012, 21:59

Courte et intense escale à Mombasa (Kenya) pour le groupe « Jeanne d’Arc », du 21 au 23 avril.



credits photo/Marine Nationale/QM Eckmann

Arrivés tôt le matin, les marins du Georges Leygues se sont employés à dessaler le bateau en vue de l’arrivée des invités.


credits photo/Marine Nationale/Asp Ledru


Son excellence Monsieur l’ambassadeur de France Etienne de Poncins nous a fait l’honneur de sa visite, ainsi que son excellence monsieur l’ambassadeur Diara, représentant de l’Union Africaine pour la Somalie et chef de l’AMISOM (African mission in Somalia).


Tous deux ont prononcé une conférence au profit des officiers élèves, respectivement sur le Kenya et sur le rôle de l’AMISOM, mais avec un focus particulier sur la lutte contre la piraterie dans la région, qui aura occupé l’équipage depuis les trois dernières semaines.


credits photo/Marine Nationale/Asp Ledru


Les deux jours suivants auront permis à certains d’entre nous de découvrir l’extraordinaire faune du Kenya : zèbres, lions, éléphants, tous en liberté et se laissant approcher sans difficulté. Une expérience rare !


credits photo/Marine Nationale/QM Eckmann


Nous voici désormais repartis pour patrouiller en zone anti-piraterie, en compagnie du Dixmude. La vie à bord reprend son rythme, les prochains articles vous y convieront à nouveau !


http://jdb.marine.defense.gouv.fr/index.php/post/2012/04/25/Escale-du-groupe-Jeanne-d’arc-à-Mombasa.

Marine nationale activités de la semaine du 26 avril au 3 mai 2012


Semaine du 26 avril au 03 mai 2012






Semaine du 26 avril au 03 mai 2012

Retour sur les événements de la semaine

 Mission Jeanne d’Arc 2012
 Aérocordage en océan Indien : Le 26 et le 27 avril, des militaires de l’armée de Terre embarqués sur le bâtiment de projection et de commandement Dixmude ont participé à des manœuvres d'aérocordage.
 Escale du Georges Leygues : À l’occasion du déploiement du groupe Jeanne d’Arc en soutien à la Force européenne Atalante, la frégate anti-sous-marine Georges Leygues a patrouillé dans la ZEE (Zone économique exclusive) des Seychelles et a fait escale quelques jours, à Port Victoria, capitale de cet État-archipel très impliqué dans la lutte contre la piraterie.

Et aussi...

 Évacuations sanitaires dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF) : Le 18 avril, la frégate de surveillanceFloréal a évacué par hélicoptère deux blessés dans des conditions extrêmes.
 Le Tonnerre à Dakar : Le 24 avril, le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre a acheminé trois véhicules d'incendie et 400 tenues de feu. Le matériel en provenance du bataillon des marins pompiers de Marseille a été offert à la ville de Dakar dans le cadre d’un jumelage.
Préparation opérationnelle des équipages : Du 24 au 26 avril, le centre d’entraînement à la survie et au sauvetage de l’aéronautique navale (CESSAN) a accueilli les premiers stagiaires interarmées. Ils ont testé les nouveaux simulateurs en suivant une série d’entraînements à la survie en mer.

À voir

Reportage : Le Journal de la Défense, diffusé sur la Chaîne Parlementaire (LCP), dans son édition de mai, propose un reportage sur la modernisation des premiers Rafale Marine. À voir à la télévision ou en ligne.
Les cadets des marins pompiers de Marseille en vidéo Dailymotion

À lire

 Zeraq – La mer sur le vif a reçu le prix du meilleur livre de mer 2012. Pour en savoir plus : http://elocoquent.com/

Agenda

 «La Marine fait escale à Nancy» : Les 12 et 13 mai, la Marine fera escale dans la ville de Nancy. Pendant ces deux jours, les nancéens pourront s’immerger dans l’univers des bateaux, sous-marins et aéronefs français.
 Exposition photos : Le cinéma «Les Variétés» accueille une exposition organisée du 4 au 20 mai par les marins pompiers de Marseille à l'occasion du 10ème anniversaire du centre d’incendie et de secours (CIS) de Canebière.
 Exposition « Fort Boyard, les aventures d'une star» : Jusqu'au 21 mai 2013, le musée national de la Marine à Rochefort (17) propose une exposition temporaire originale ayant pour vocation de toucher tous les publics.
 Exposition à Paimpol : Jusqu'au 30 septembre 2012, le musée de la Mer présente les œuvres de 23 peintres officiels de la Marine.

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03 mai 2012

Humour dans le carré par Donec

Extincteurs et vieilles recettes





Bonjour à tous,
L’enseignement dispensé à l’école de Maistrance pour étendu qu’il soit comporte malgré tout quelques lacunes.


Passant il y a quelques jours devant la « batterie de sept », sur la route de la Corniche à Brest, je me suis remémoré les beaux après midi passés à éteindre des feux dans ce lieu immortel. 


J’étais alors habillé d’une élégante combinaison caoutchoutée. Je portais un masque du même métal sur le nez et un  Fenzy sur les épaules. Nous nous enfoncions dans les entrailles de la terre pour éteindre des feux et en ressortions sales comme des peignes et heureux comme des enfants.
A la semaine prochaine
Donec

Mission Jeanne d'Arc

BPC DIXMUDE
FASM GEORGES LEYGUES
à Monbasa

Flamme Paris Tri Interarmées en date du 2-05-2012



Du 21 au 25 Avril 2012, la Mission Jeanne d’Arc a fait escale dans le port de Mombasa.

















Au cours de l’événement, le Commandant de la mission, le capitaine de vaisseau Guillaume Goutay, a donné une conférence de presse à bord du BPC Dixmude, le 21 Avril à 13h15. Etaient présents l’Ambassadeur de France au Kenya, M. Etienne de Poncins, le capitaine de frégate Jean-Marin d’Hébrail, trois officiers-élèves ainsi que des personnalités kenyanes.

Conduite par le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude et de la frégate anti sous-marine (FASM) Georges Leygues, la Mission Jeanne d’Arc sera déployée dans un contexte interarmées et interalliés, de mars à juillet 2012, en océan Indien et en océan Atlantique sud.


Cette mission de formation constitue le premier déploiement de longue durée ainsi que le premier contact avec le contexte opérationnel pour les officiers-élèves de l’Ecole navale et de l’Ecole des officiers du commissariat de la Marine. Il s’agit pour ces futurs officiers d’acquérir une stature de chef militaire et d’homme de mer, grâce à la pratique du métier et à l’expérience de la prise de responsabilité en s’immergeant au cœur des services des bâtiments de la Marine nationale.





Les actions de coopération bilatérales planifiées avec les marines des pays riverains de la zone de déploiement et les escales permettent de développer les relations que la France entretient avec ces pays au titre de la « diplomatie de défense ». Les escales sont pour les jeunes officiers des occasions uniques d’ouverture sur le monde et de prise de conscience des enjeux géostratégiques dans leur zone de déploiement.

Sources : 
Ambassade de France 
Marine nationale





Le Dixmude a appareillé suite à une alerte terroriste (actualisé-1)

Le BPC Dixmude a dû quitter le Kenya le mardi 24 avril, suite à une alerte terroriste diffusée par les forces américaines. Le navire a quitté le port de Mombasa avec son escorte, le lendemain de la réception de cette alerte qui concernait aussi son escorte, la frégate Georges Leygues. Des alertes de ce type sont régulières dans la zone. On n'a aucune précision sur la nature précise de l'alerte, le gouvernement n'a pas communiqué dessus.
Le navire est actuellement au port, à La Réunion, comme nous l'évoquions hier, avant son départ le 7 mai pour Le Cap.

Actualisé :  sans aller jusqu'à confirmer une alerte terroriste, une source parisienne évoque la situation sécuritaire dans le port kenyan, qui a effectivement obligé le BPC et son escorte à quitter les lieux plus tôt que prévu. Le temps pris pour le faire semble être lié au fait que des membres de la mission Jeanne d'Arc étaient à terre au moment du déclenchement de l'alerte.

sources :




02 mai 2012

Djibouti

Un pli reçu ce jour de la frégate GUEPRATTE portant le TAD manuel du BPI de Djibouti

TAD BPI 610 Djibouti  26-4-2012


Par FLF Guépratte le mercredi, 2 mai 2012, 19:05

Djibouti. Presque un deuxième port d’attache pour bien des bateaux. Sans doute l’escale la plus fréquentée par la marine nationale qui a encore la priorité d’accostage au poste 9 qui lui est réservé. Nombre de marins se sentent ici chez eux. Ou plus exactement, un Brestois ne s’y sent pas plus dépaysé qu’à Toulon, ni qu’un Toulonnais à Brest !



Djibouti et ses températures parfois extrêmes, son humidité ambiante sous un soleil de plomb, qui fait que chaque mouvement devient un effort. Nous avons de la chance : il ne fait pas plus de 35° et l’air n’est humide qu’à 90%. Mais l’absence de vent, même de vent chaud, fait se ressentir la chaleur brutale dès que l’on sort de l’ombre. Ne nous plaignons pas ; avec du vent, il y aurait des nuages de poussière soulevés de toutes parts ; de la poussière qui se collerait à toutes les parois humides malgré la température. 




Djibouti n’a pas vraiment changé mais le trafic commercial s’est nettement intensifié. Nous n’avions pas l’habitude de voir tant de navires de commerce au mouillage, attendant une place à quai pour décharger puis recharger. La conséquence de ceci est que les bâtiments militaires ne disposent plus que de deux postes à quai. Nous nous retrouvons donc accostés à couple de la Marne, le pétrolier-ravitailleur et navire-amiral pour notre mission. Et l’Aconit, que nous relevons, vient se mettre à couple de nous. Cela induira nécessairement des mouvements de quai pendant l’escale, et partant, un rappel de tout l’équipage. Dans le port, toute la journée, l’activité ne semble pas si importante. Mais sitôt le soleil couché, aux heures un peu plus fraîches, tout s’éveille. Des files de camions se rangent au bord des quais, le long des bateaux qui transfèrent leur cargaison. Il y a de tout. Des minerais, des matériaux transformés, des produits finis, des dromadaires. Un nombre incroyable de dromadaires qui vont prendre la mer. Les chargements et déchargements se font à l’ancienne, au mât de charge ou à la grue embarquée ; pas de grue de quai hyper-rentable. Le terminal à conteneurs est plus loin, mais ici, il semble que l’on soit revenu une quarantaine d’années en arrière. Et dans ce fouillis apparent, tout se déroule, chacun a sa place et trouve son travail. Le port tourne à plein régime.
Le soir, en ville, les marins ont leurs habitudes. Avec une moyenne de trois à cinq passages à Djibouti par mission, on prend ses marques ! Les Djiboutiens aussi nous connaissent bien. Ils sont assez physionomistes pour donner un grade à chacun, parfois même une spécialité. Ils font peu d’erreur là-dessus. Ils nous proposent naturellement leurs marchandises et leurs bibelots, ne renonçant pas à un simple « J’en ai déjà acheté à la dernière escale » ou « Tu me l’as déjà proposé il y a une demi-heure ». Et il faut négocier, bien sûr. Seuls les hommes sont ambulants et démarchent ; les femmes vendent presque les mêmes articles, mais restent derrière un étal sans vouloir attirer l’attention.




Après un verre d’apéritif, il faut ensuite aller dîner. Les restaurants ne manquent pas. Allons chez Youssouf, cela nous permettra de marcher un peu et d’observer un autre quartier. Il faut passer aux caisses, ce marché où toutes les échoppes proposent les mêmes vêtements, les mêmes souvenirs, les mêmes produits. Il ne faut pas manquer, à droite, le passage étroit entre deux étals, qui fait passer derrière les caisses et prendre un escalier non moins étroit aux marches inégales et abîmées. Il fait plus sombre d’un seul coup ; il y a moins de bruit aussi. Pour le néophyte, cette rue en contrebas semble un véritable coupe-gorge. Mais non, tout est très calme, quelques magasins sont éclairés, mais l’agitation et l’atmosphère mercantile de tout à l’heure ne se fait plus sentir. Il ne faut pas s’inquiéter. D’ailleurs, le restaurant est là, à moins de cent mètres. Il ne paie pas de mine, lui non plus. Les chaises en plastique sont défoncées, la table est bancale, les murs sont défraîchis. Mais il y fait très clair, le patron est sympathique et le poisson délicieux. Car on y sert uniquement du poisson, préparé à la yéménite : coupé en deux et cuit dans un four circulaire, le long des parois. Carangue, dorade, thazard ou barracuda, selon l’arrivage. Mais tout se perd : s’il n’y a toujours pas de couverts, s’il faut toujours manger son poisson avec les doigts, il est révolu le temps où il était servi sur une feuille de journal en guise d’assiette.



Cette fois-ci, la brièveté de l’escale et les changements de quai ne nous ont pas permis de nous éloigner de la ville. La prochaine fois, il faudra sortir en brousse, voir le lac Assal ou nager dans le golfe de Tadjoura si les requins-baleines sont déjà là.
Pour l’heure, nous appareillons pour une longue période de mer. Nous avons pris nos consignes auprès de l’amiral et entrons pleinement dans l’opération Atalante.

sources :



29 avril 2012

Toujours dans le courrier à trier

Agence Postale Le Port Marine  
BH Beautemps-Beaupré




Les travaux de construction du Port Ouest commencent en 1878. Il est livré en 1886, quatre ans après le port de Saint-Pierre, dans le sud de l'île.

Une liaison en paquebot avec Marseille est inaugurée en 1925.

De nouveaux quais sont construits en 1969. Quelques années plus tard, c'est le Premier ministre d'origine réunionnaise Raymond Barre qui décidera pendant son mandat (1976-1981) de la création d'un second bassin aujourd'hui appelé Port Est.


Dans les années 73-74-75 la Marine s' installait progressivement et durablement à La Réunion (St Paul, La Possession et le Port des Galets), en remplacement de Diégo Suarez.
La station radio était dans des shelters au milieu de la plaine de La Possession, les bâtiments de la Marine accostaient encore dans le bassin principal à côté des hangars à sucre.
La Garonne affectée en océan indien à l' issue de la mission Mousson a participé au rapatriement du matériel de la base de Diégo vers le Port des Galets.
Puis le Champlain a été l' un des premiers bâtiments a être basée au Port des Galets.
Le Port recevait également la visite régulière des stationnaires de Djibouti, La Malouine et La Dieppoise et les bâtiments en mission dans l'océan indien, si bien que le bassin était vite saturé.Il y avait également le Marion Dufresne, navire océanique ravitaillant les TAAF et basé à la Réunion et les nombreux cargos de passage ravitaillant la Réunion l' île ou chargeant le sucre dans le seul port de l' île.
Autant dire qu' il y avait de l' ambiance, dans les nombreux petits bars et restos dans les rues François de Mahy et Evariste de Parny où l' on pouvait déguster le carry poulet, le massalé cabri, ou la rougail saucisses ...Le seul dancing du Port ou l' on dansait le séga était le Rocambole, il y avait aussi le Pavillon de la Buse à St Paul ...
 sources :
http://www.anciens-cols-bleus.net/t968p10-port-de-la-reunion


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...