20 mai 2023

Chamalières 38e congrès de la Marcophilie Navale 13 et 14 mai 2023 Les exposants général Louis Rivet

 Chamalières 38e congrès de la Marcophilie Navale 13 et 14 mai 2023

C'est devant un public nombreux et attentif qu'a eu lieu, dans les jardins de l'hôtel Royal Saint-Mart la remise des diplômes de participation aux exposants.

Plaque de l'hôtel Royal Saint-Marc photo JM Bergougniou


Plaque de l'hôtel Royal Saint-Marc
 photo JM Bergougniou

Général Louis Rivet.

Durant l'été 1940, lors d'une réunion du service de renseignement français au séminaire de Bon-Encontre, le général Rivet prononce le « serment de Bon-Encontre». Afin de continuer la lutte contre l'envahisseur, Rivet jette les bases de l'organisation clandestine des services spéciaux au sein de l'Armée d'armistice du régime de Vichy, en créant notamment les Travaux ruraux. 



Sous l'autorité de Rivet, le Bureau des menées antinationales (BMA), service de renseignement de l'Armée d'armistice, mènera des actions contre l'Abwehr, mais aussi contre l'Intelligence Service. Il sera dissous par les Allemands en novembre 1942.
Les activités clandestines du service de renseignements militaires pendant l'occupation sont également connues sous le nom de S.R. Guerre ou Réseau Kléber. 




la table des lots - photo JM Bergougniou


Claude Arata et Claude Bélec - photo JM Bergougniou

 Claude Arata et Jean-Michel Bergougniou - photo JM Bergougniou

Michel Zimmer,  Claude Arata et Denis Duet - photo JM Bergougniou

Michel Dutheil  et Claude Arata - photo JM Bergougniou


Michel Zimmer, Roseline Giletto  et Claude Arata - photo JM Bergougniou

Michel Zimmer, Georges Giletto  et Claude Arata - photo JM Bergougniou

Michel Zimmer, Jean-Claude Laforêt  et Claude Arata - photo JM Bergougniou



Michel Zimmer, Olivier Laudrin  et Claude Arata - photo JM Bergougniou

Patrick Le Pestipon  et Claude Arata - photo JM Bergougniou

Michel Zimmer, Joël Moreau  et Claude Arata - photo JM Bergougniou

Michel Zimmer, René Pauliat  et Claude Arata - photo JM Bergougniou


Michel Zimmer  Alain Rivoire  et Claude Arata - photo JM Bergougniou


Michel Zimmer Claude Bélec et Claude Arata - photo JM Bergougniou





Michel Zimmer  et Claude Arata - photo JM Bergougniou


Claude Arata - photo JM Bergougniou



Michel Zimmer  et Claude Arata - photo JM Bergougniou


Paul Roy  et Claude Arata - photo JM Bergougniou








Marion Dufresne OP1-23 TAAF Saint-Paul Amsterdam 9-4-2023 dépollution

Marion Dufresne OP1-23 TAAF Saint-Paul Amsterdam 9-4-2023


Une manip de dépollution a eu lieu au sein même du cratère Saint-Paul le 11 avril dernier. L’objectif était double, ramasser le plus de déchets possible et scruter le sol à la recherche d’indices de présence de rat, espèce éradiquée en 1997 mais dont quelques doutes subsistent quant à la présence d’individus.

Entrer dans un endroit aussi majestueux en regardant ces imposantes falaises qui nous surplombent et baisser les yeux pour y ramasser tout ce que le cratère accumule en plastique est un effrayant contraste. La quantité de détritus sur le bord du cratère est désolante pour un endroit ainsi perdu à des milliers de kilomètres de la première ville et où la présence humaine est très ponctuelle. Cordage et matériaux de pêche, bouteilles de plastique de toute provenance (Japon, Indonésie, Allemagne…), brosses à dent, sandales… L’énumération entache l’idée même de paradis inviolé que représente à nos yeux cette réserve en protection intégrale. 


Une île et des naufrages. Sur le blog d'Amsterdam la découverte de restes du naufrage du Meridian.


Le 4 décembre dernier, lors d’une mission de reconnaissance dans le cadre du programme de restauration des écosystèmes insulaires de l’océan Indien (RECI) dans le secteur de la Pointe Vlaming, l’équipe de « mamintro » de la réserve naturelle nationale des Terres australes françaises, composée de Samuel Uzan-Allard et Clément Legeay, a pu observer quelques débris de céramique dispersés sur le sol.

La présence d’une inscription sur un bouton en cuivre observé sur le site indique la ville de GRAVESEND qui est le lieu de départ d’un des navires ayant fait naufrage au sud de l’île Amsterdam : le Meridian.


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Ce bateau, parti de Gravesend en Angleterre, naviguait à destination de Sydney avec à son bord 84 passagers (dont 17 femmes et 41 enfants), pour la plupart émigrant vers l’Australie, et 23 membres d’équipage.

Le navire fit naufrage le 24 août 1853 à proximité de la Pointe Vlaming. Trois personnes dont le capitaine périrent durant le naufrage tandis que les autres parvinrent à regagner le rivage.

Le récit d’un des naufragés, le juge Alfred Lutwyche qui avait choisi d’émigrer en Australie, fut publié à Melbourne dès février 1854. Il est également paru dans les numéros 83 à 85 de la Revue australe et polaire éditée par l’AMAEPF.

Il nous apprend ainsi les conditions du naufrage, raconte l’établissement d’un campement de fortune puis le sauvetage.



Les naufragés eurent en effet la chance d’être repérés une semaine après le naufrage par le navire baleinier le Monmouth.  Il leur fallut cependant un ultime effort avant d’embarquer, ils durent traverser l’île à pied en plusieurs jours pour atteindre un lieu d’embarquement moins périlleux (probablement situé dans le secteur de la base Martin de Viviès). Le 9 septembre, tous les passagers étaient enfin à bord du Monmouth. Le bateau mit alors le cap vers l’île Maurice où il arriva le 26 septembre. La plupart des passagers reprirent la direction de Sydney quelques semaines plus tard et atteignirent ainsi l’Australie le 30 décembre 1853.


"Le Meridian, une barque de 579 tonneaux, sur laquelle

j'ai navigué au départ de Gravesend le 4 juin 1853, a fait  naufrage quelques minutes après 7 heures au soir du mercredi 24 août suivant à la pointe sud-ouest de l'île d'Amsterdam dans l'océan Indien.

Le Meridian faisait partie d'une ligne de paquebots assurant le commerce et le transport des passagers vers l'Australie Les propriétaires étaient  MM. Carter and Co., de Leadenhall street, Londres, c'était un bon navire dans sa classe. Construit par MM. Hall, de Sunderland ; ses charpentes et ferrures étaient de chêne vivant et de teck, et sa ferronnerie était d'une réalisation très supérieure. 

Elle était, en effet, aussi forte que le bois et le fer pouvaient le faire, et elle fut classée chez Lloyd's A. 1. pendant 13 ans. Elle pourrait porter avec sécurité une grande surface de toile, ses espars étant d'une taille et résistance habituelles, assez grandes, en effet, pour un navire de 900 tonnes. Ainsi surmâté, le Méridien était très maniable et, par conséquent, inconfortable en tant que navire à passagers, mais ce défaut de surmâtage a été providentiellement converti, comme la suite le montrera, en l'un des principaux moyens de notre délivrance. Le navire n'avait qu'un an, ayant fait son premier voyage à Moreton Bay en 1852, avec des émigrants du gouvernement, sous la direction du même commandant, le capitaine Richard Hernaman, un navigateur compétent et expérimenté, qui avait lui-même fait le voyage à Sydney quatre fois, et qui était à tous égards qualifié pour gagner la confiance et l'estime à la fois de ses passagers et de son équipage.



  LUTWYCHE, Alfred, Récit du naufrage du Meridian sur l’île d’Amsterdam, Revue Australe et Polaire, N°83 à 85, juillet 2018- décembre 2018- juillet 2019, Amicale des Missions Australes et Polaires

Sources

A narrative of the wreck of the Meridian, on the island of Amsterdam

Date : 18/05/23 2:14 AM

https://nla.gov.au:443/tarkine/nla.obj-52793640

National Library of Australia Récit du naufrage du "Meridian" sur l'isle d'Amsterdam (nla.gov.au)


VERDENAL, Yannick, Voyage austral dans le temps, Saint Paul et Amsterdam édition Gérard Louis (septembre 2004)

18 mai 2023

Patrouilleur L'ALBATROS Crozet TAAF courrier détérioré 1989 28 mai 1989 Paris PLM Enquête

 Patrouilleur L'ALBATROS Crozet TAAF courrier détérioré 1989


Une enveloppe de Crozet TAAF dont le timbre est annulé le 15 février 1989.

Au verso un cachet " Courrier accidenté lors du transbordement sur le patrouilleur ALBATROS le 28 mai 1989. Paris P.L.M. enquête 8 juil. 1989

Port-Alfred Crozet - photo JM Bergougniou

Agence postale Crozet - photo JM Bergougniou

17 mai 2023

La Licorne sous-marin d'intervention GISMER TOULON 1980

 La Licorne sous-marin d'intervention GISMER TOULON



Au mois de juin, les premiers essais du sous-marin crache plongeurs Licorne seront entrepris à Toulon. L'entrée en service de la Licorne améliorera sensiblement les moyens de pénétration sous la mer de la Marine nationale. 


La Licorne, presque achevée, a été présentée à la Presse par l'ingénieur en chef de l'Armement Cavailles, chef du Centre d'Etudes et de recherches techniques sous-marines (C.E.R.T.S.M.), maître d'oeuvre de la réalisation du petit sous-marin et du Centre hyperbare qui lui sera associé. Il était assisté de l'I.P.A, Custaud, directeur de la Division intervention sous la mer, et de l'I.C,N. Fournier, chargé de la conception et de la construction de la Licorne et de son ensemble hyperbare. M. Custaud a précisé le but de l'opération.



 Il s'agit de disposer dans l'Atlantique d'un sous-marin capable de récupérer des engins en mer au large du Centre d'essais des Landes et, d'une façon plus générale, sur le plateau continental, par des fonds de 250 à 300 mètres. 


La Licorne disposera d'un bâtiment support, le Gustave Zédé, équipé d'un ensemble hyperbare en cours de réalisation à Lorient. Le Gustave Zédé est l'ancien Marcel Le Bihan, ex-tender d'aviation allemand qui fut très longtemps le bâtiment accompagnateur de l'Archimède, le bathyscaphe actuellement en réserve. 

A Lorient les ingénieurs de l'Armement Guyudo et Nahon ont été chargés de la refonte du Gustave Zédé et de l'ensemble de manutention du sous-marin (confié à la Société Creusot-Loire). La Licorne pourra « se clamper » sur le caisson du Zédé et les plongeurs pourront passer du sous-marin dans le caisson. A Paris, l'I.P.A. Boisrayon assure la direction d'ensemble du programmeau sein du Service technique des Constructions et Armes navales. Une brillante équipe toulonnaise La construction du petit sous-marin a occupé de nombreux établissements industriels. La coque résistante et le caisson hyperbare ont été réalisé à l'Etablissement d'Indret. Comex-Industrie a travaillé à la régénération de l'atmosphère ; Burton Corblin a fourni les compresseurs-

Fiche technique 



Le SMI Licorne est un petit sous-marin porte-plongeurs construit pour la recherche, l'examen et la récupération objets sous-marins. Il peut explorer environ 4 km2 par mission (8 heures). «,« Caractéristiques générales -Masse: 11400kg *m - Longueur: 7,4 m — Effectif: 5 personnes dont 3plongeurs — Profondeur maximum en observation: 300m # — 
Sortie de plongeurs : 250 m en saturation Jf — Charge utile : 400 à 700kg suivantles missions — Energie : 2 batteries largables Cd - Ni32 kWh au total — Détection : Sonarpanoramique — Navigation : Gyro-compas - 2 sondeurs - Pilote automatique cap et altitude — Positionnement : Système à 3 balises répondeuses (base longue) — Transmission : Radio - Téléphone sous-marin - Interphone plongeurs décodé — Observation : Hublot panoramique 0 0,8 m + 12 hublots plans — 8 projecteurs de 500 W - Télévision - Caméra photo 35 mm — Intervention : 2 bras manipulateurs largables - Centrale hydraulique — Réchauffage des plongeurs : 20 kWh par système à sels fondus (ECAP) "v"%" >m' " — Sécurité : Batteries, bras manipulateurs et propulseur principal largables. Système de récupération« Ariane » — Survie : 360 hommes x heures

La Licorne doit accomplir les tâches suivantes : 
1) recherche - 
2) observation - 
3) intervention. 


La recherche Le petit sous-marin pourra rechercher des objets très variés jusqu'à trois cents mètres de profondeur. Cela va de la torpille ou du missile jusqu'à l'épave d'un bâtiment. La Licorne est propulsée par des moteurs électriques alimentés par des batteries au cadmium-nickel. Un moteur de propulsion principale d'une puissance de 4 kW lui permet de se déplacer à trois nœuds et de se diriger : deux propulseurs verticaux lui permettent de régler son altitude au-dessus du fond et un propulseur transversal, situé à l'avant, de rester manœuvrant même à faible vitesse. Un pilote automatique décharge le pilote de la tenue précise du cap et contrôle en permanence l'altitude du sous-marin au-dessus du fond. Pour la recherche la Licorne dispose d'un sonar panoramique à haute définition d'une portée de 600 m ainsi que d'un dispositif pour se diriger « à l'oreille » vers toute source acoustique (balise). Pour que la recherche soit efficace, il faut que le pilote connaisse en permanence sa route. Un système de localisation permet au sous-marin de connaître sa position à quelques mètres près et une table traçante visualise en permanence la trajectoire du sous-marin. L 'observation Une fois l'objet trouvé et localisé, la Licorne est à même de recueillir les informations souhaitées : un système de télévision/magnétoscope permet de réaliser un enregistrement vidéo (une caméra de télévision associée à un projecteur et montée sur un orienteur peut enregistrer des images sous différents angles) ; une caméra photographique extérieure associée à un flash électronique de grande puissance photographie les moindres détails en couleur et avec un piqué incomparable. Tous ces documents seront exploités ultérieurement en surface. Dans les cas difficiles, un observateur qualifié peut embarquer à bord de la Licorne pour examiner lui-même l'objet à travers le grand hublot de 80 cm de diamètre (mis au point au C.E.R.T.S.M.) ou à travers l'un des douze petits hublots auxiliaires. L'intervention La Licorne pourra exécuter des travaux dans les cas simples à l'aide de ses bras manipulateurs hydrauliques : un bras principal d'une portée de 1,50 m à cinq degrés de liberté pouvant soulever 40 kg ; un bras auxiliaire d'une force de 40 kg également

Sources
BnF Gallica 
Cols bleus 
N° 1616   31 mai 1980

14 mai 2023

La Marine et le dauphin du sous-marin à l'hélicoptère - 14 mai 1949 600e anniversaire du rattachement du Dauphiné à la France

14 mai 1949 rattachement du Dauphiné à la France


Le titre de dauphin était attribué à sa naissance au fils aîné du roi de France régnant. En cas de mort du dauphin, son frère cadet recevait à sa place le titre de dauphin.
Dauphin fut à l'origine le surnom, puis le titre, des seigneurs du Dauphiné de Viennois, comtes d'Albon-Viennois et, à partir du « transport » du Dauphiné au royaume de France, en 1349, le titre porté par le fils aîné du roi de France.



Le Dauphin est un sous-marin de la Marine nationale française. Ce navire, construit à l'arsenal de Cherbourg, qui appartient à la classe océanique Narval, est lancé en 1955. 





Puis il est refondu à la base sous-marine de Lorient en 1966, enfin il devient un navire d'expérimentation en 1984. Il est condamné en octobre 1993 et finit coulé comme cible le 17 décembre 2003.



Hélicoptère Dauphin photo JM Bergougniou
Le Sud-Aviation SA.365 Dauphin est un hélicoptère moyen polyvalent conçu à l'origine par la société française Sud-Aviation pour succéder à l'Alouette III. Il est ensuite développé par la Société nationale industrielle aérospatiale, qui a acquis Sud-Aviation. La division hélicoptère de l'Aérospatiale devient en 1990 la branche française d'Airbus Helicopters, et le Dauphin fait l'objet de développements civils et militaires. Cet hélicoptère a aussi donné naissance à la famille d'appareils de combat Airbus Helicopters Panther puis à une nouvelle génération d'appareils civils dénommés EC155.



Hélicoptère Dauphin - photo Marine nationale

La Marine et le Dauphin - 

Esaü fils d'Isaac et de Rébecca, vendit son droit d'aînesse moyennant un plat de lentilles... et c'est pour 120 000 florins d'or seulement qu'Humbert II, dauphin de Viennois, qui se trouvait à court d'argent, vendit ses États au roi de France Philippe VI de Valois, à la condition que le titre delphinal fût porté par l'héritier présomptif de la couronne. Philippe s'acquitta en plusieurs termes de cette somme, qui semble aujourd'hui ridicule mais qui était alors considérable ; il remit de bonnes espèces saines et loyales, ayant cours - ce qu'il n'avait pas accoutumé de faire

 Or c'est au château de Vincennes que furent signés en 1343 les traités préliminaires, lesquels ne devinrent définitifs qu'en 1349. Cela explique qu'un comité parisien se soit formé pour la célébration du sixième centenaire de cette acquisition magnifique qui faisait enfin toucher la France aux Alpes.


La fête était patronnée par de nombreuses personnalités au premier rang desquelles Édouard Herriot, de l’Académie française et président de l’Assemblée nationale, qui en était président du comité d’honneur, et de nombreux ministres et parlementaires.


Ce dimanche 15 mai 1949, tout avait commencé à 9h30 avec une grand-messe pontificale célébrée par Monseigneur l’évêque de Genève en la collégiale Saint-Barnard. 


En début d’après-midi, place Carnot, Humbert II rassemblait les gens de sa maison et de nombreux dignitaires des environs auxquels se joignaient nobles, bourgeois, archers, trompette et une nombreuse foule. 


Il se dirigeait ensuite en haut de la côte des Chapeliers pour attendre le roi de France Philippe VI, son petit-fils Charles et leur suite. Tandis que les cris retentissaient et que les trompettes sonnaient, Humbert II et Philippe VI se saluaient et s’embrassaient puis un consul de Romans venait donner les clés de la ville au roi. 


Ce dernier montait ensuite sur une estrade, place de la Presle, et les corporations superbement costumées venaient se présenter à lui. 


Cet événement se terminait dans la collégiale Saint-Barnard où l’acte de « Transport du Dauphiné au royaume de France » était lu à Humbert II et Philippe VI placés devant l’autel de l’église.



Les Journées parisiennes de ce sixième centenaire commencent le dimanche 8 mai au donjon de Vincennes, où l'on commémorera les traités préliminaires. Viendront ensuite le 19 mai une manifestation à la Sorbonne, sous la présidence de M. Vincent Auriol ; le 20 mai une réception à l'Hôtel de Ville de Paris, et le 26 mai à Notre-Dame un " Te Deum " présidé par Mgr Blanchet, recteur de l'Institut catholique, qui évoquera la curieuse figure de cet Humbert II, dernier dauphin de Viennois, devenu à la fin de sa vie prieur des dominicains, et dont les cendres reposent à Paris


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...