La Marcophilie navale: Une association pour faire vivre le souvenir des O...: Une association pour "faire vivre le souvenir des Oubliés de Saint-Paul" Vous êtres philatéliste? Vous aimez la Bretagne? V...
02 août 2014
Une association pour faire vivre le souvenir des Oubliés de Saint-Paul
Une association pour "faire vivre le souvenir des Oubliés de Saint-Paul"
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Nous avons besoin de votre aide :
Adhérez à l'association "Faire Vivre le souvenir des Oubliés de Saint Paul"
Mme Virlouvet Dominique
Présidente de l'Association Les Oubliés de Saint-Paul
12 rue D’Elliant
ROSPORDEN Finistère (29140)
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Photo JM Bergougniou |
A la fin du 19e siècle,
la France pour affirmer sa souveraineté sur les îles australes de l’Océan
Indien (Crozet Kerguelen Saint-Paul Amsterdam) convoitées par Anglais et
Australiens donne la concession des îles Kerguelen aux frères Henry et René
Bossières qui obtiendront plus tard la concession de l’île Saint-Paul.
En 1928,
les Bossières décident d’exploiter la pêche à la langouste. Ils fondent
« La Langouste Française » qui recrute des pêcheurs bretons de la
région de Concarneau et des ouvriers malgaches. Après une première campagne
d’été relativement prometteuses, à la fin d’une nouvelle campagne estivale, en
février 1930 , six Bretons et un Malgache acceptent d’assurer la maintenance
des installations durant l’hivernage parmi eux un couple , Victor et Louise
Brunou.
Le bateau ravitailleur promis ne
passe pas. Louise Brunou donne naissance
à une petite Paule qui décédera au bout de 2 mois, Emmanuel Pulloc’h, François Ramamonzi, Victor
Brunou, Pierre Quillivic décèdent du béribéri ou périssent en mer.
Les difficultés financière et de
gestion rencontrées par les Bossières font que la relève ne se fait que le 6 décembre 1930. Les survivants restent à
trois, Louis Herlédan, Julien le Huludut et Louise Brunou. La nouvelle des
décès arrive en métropole, c’est le scandale.
Une nouvelle campagne de pêche est
cependant organisée par les Bossières. Julien Le Huludut et Louise Brunou
décident d’y prendre part jusqu’en mars 1931.
Une épidémie de béribéri décime les travailleurs malgaches. En 1931,
l’exploitation de la pêcherie est abandonnée. Les Bossière sont ruinés et
déshonorés. La justice va condamner la
Langouste Française à indemniser les survivants et les familles.
A ce jour, malgré les nombreux
écrits et récits, la mémoire de cette triste aventure s’efface inexorablement.
Les concessions des tombes des survivants ne sont pas renouvelées, le souvenir
de ces évènements s’efface dans la mémoire collective. Aucune rue, aucune plaque, aucune stèle ne
sont dédiées aux oubliés de Saint-Paul.
Les Terres Australes et Antarctiques Françaises seront partenaires, avec la ville de Concarneau, des manifestations et événements qui seront célébrés en 2015.
Un timbre "les Oubliés de Saint-Paul "sera édité en 2015 par la philatélie des TAAF et le premier jour se tiendra à Saint-Paul Amsterdam lors de la pose de la plaque sur l'île de Saint-Paul (été austral 2015)
Des souvenirs philatéliques seront proposés par l'association qui les confiera à la fille de Julien Le Huludut qui sera présente à Saint-Paul lors de la pose de la plaque.
En France, une exposition philatélique et un bureau temporaire se tiendront à Concarneau lors de la pose de la plaque commémorative.
Nous avons besoin de votre aide et de votre adhésion pour la réalisation de plaques commémoratives qui seront posées à Saint-Paul et Concarneau.
Adhérez à l'association
en envoyant un chèque de 10 € à
Mme Virlouvet Dominique
Présidente de l'Association Les Oubliés de Saint-Paul
12 rue D’Elliant
ROSPORDEN Finistère (29140)
------------------------------------------------------------------------------
NOM Prénom
adresse :
déclare adhérer à l'Association les Oubliés de Saint-Paul et verse la somme de 10 €uros par chèque à l'ordre de l'Asssociation
Date Signature
___________________________________________________________
CODE ROC 46130A PPDC QUIMPER Ergué Gabéric
CODE ROC 46130A PPDC QUIMPER Ergué-Gabéric
Suite à l'article sur le départ de l'Etoile vers la mer Baltique, nous nous interrogions sur le code ROC 46130A. Jef Baron, en mission à Quimper a interrogé La Poste et nous confirme que le code ROC 46130A est celui du "PPDC" (Plate-forme de Préparation et Distribution du Courrier) de Quimper. Le site est à Ergué-Gabéric.
Le code 46130A est en remplacement du code 05503A (Centre de Tri Courrier Quimper) depuis que ce centre de Traitement est devenu PPDC (il y a environ 1 an.
01 août 2014
Humour dans le carré par Donec : 1er août 2014
ça se précise…
Bonjour à tous,
Hier au soir, 31 juillet 1914, vers 21 heures, un illuminé, Raoul Villain a exécuté Jean Jaurès. La main de l’assassin était elle armée par Alexander Izvolski l’ambassadeur de Russie ? Qui sait ?
En tout cas la guerre peut éclater à la grande joie des Futuristes, des revanchards mondains, de Barrès et de Péguy. Elle va régénérer la race, ce qui est enthousiasmant et ruiner l’Europe ce qui l’est beaucoup moins.

Jaurès est aujourd’hui un mythe que tous s’arrachent. Curieusement à l’époque il n’était pas de mots assez violents, assez insultants pour le qualifier.
Comme il se doit l’assassin sera acquitté et Madame Jaures condamnée aux dépends…Ouf.
Ainsi va la vie…
Notre pays, inventeur vers 1887 du sous-marin moderne, s’étaient en 1914 doté de machines lentes à plonger et réticentes à faire surface. Chauffe au charbon, diésels approximatifs, plongées aléatoires limitées à 40 mètres, torpilles incertaines, en somme il ne manquait pas un bouton de guêtre. Seul point positif, et de taille, l’admirable disponibilité d’équipages passionnés.
Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine.
Donec
Bonjour à tous,
Hier au soir, 31 juillet 1914, vers 21 heures, un illuminé, Raoul Villain a exécuté Jean Jaurès. La main de l’assassin était elle armée par Alexander Izvolski l’ambassadeur de Russie ? Qui sait ?
En tout cas la guerre peut éclater à la grande joie des Futuristes, des revanchards mondains, de Barrès et de Péguy. Elle va régénérer la race, ce qui est enthousiasmant et ruiner l’Europe ce qui l’est beaucoup moins.

Jaurès est aujourd’hui un mythe que tous s’arrachent. Curieusement à l’époque il n’était pas de mots assez violents, assez insultants pour le qualifier.
Comme il se doit l’assassin sera acquitté et Madame Jaures condamnée aux dépends…Ouf.
Ainsi va la vie…
Notre pays, inventeur vers 1887 du sous-marin moderne, s’étaient en 1914 doté de machines lentes à plonger et réticentes à faire surface. Chauffe au charbon, diésels approximatifs, plongées aléatoires limitées à 40 mètres, torpilles incertaines, en somme il ne manquait pas un bouton de guêtre. Seul point positif, et de taille, l’admirable disponibilité d’équipages passionnés.
Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine.
Donec
Le marquis Claude François Dorothée de Jouffroy d'Abbans est un architecte naval, ingénieur et industriel français (1751 à Roches-sur-Rognon en Champagne - 1832 à Paris) constructeur des premiers bateaux à vapeur prototypes puis de ligne en concurrence avec Robert Fulton et James Watt.
À peine cent ans après le perfectionnement du principe de la machine à vapeur par Denis Papin en 1687 et plus de dix ans avant la Révolution française de 1789, il fut le constructeur et metteur au point, en plusieurs étapes, des premiers prototypes de bateau à vapeur à roue à aubes latérale (type bateau sur le Mississippi) puis bateaux de ligne régulière.
Claude François Dorothée de Jouffroy d'Abbans nait le 30 septembre 1751 au Château de Roches-sur-Rognon à Roches-sur-Rognon en Champagne (actuellement en Haute-Marne). Titré« marquis de Jouffroy d'Abbans », il est fait prisonnier de 1772 à 1773 à la suite d’une rivalité amoureuse pour une jeune duchesse l’opposant au comte d’Artois.
Privé des perspectives d'une carrière militaire, il s'intéresse à la construction des navires et à l'avenir de la machine à vapeur et entre dans une société formée par d'Auxiron, les frères Périer, Follenoy qui a le projet de faire naviguer un bateau à vapeur.
En 1778, il construit le Palmipède qui parvient à naviguer avec succès pour la première fois de l'histoire de la navigation sur le Doubs, sur le bassin de Gondé à Baume-les-Dames.

Brouillé avec ses associés et renié par sa famille, Jouffroy d'Abbans se retire dans son château à Abbans-Dessus (25 km au sud-ouest de Besançon en Franche-Comté).

Pour obtenir un privilège, l'expérience devait être réalisée à Paris devant les Commissaires de l'Académie, mais les moyens financiers de Jouffroy l'empêchèrent de le faire.
Forcé d'émigrer sous la Révolution, Jouffroy ne revient en France qu'en 1801. Le 20 août 1816, il peut enfin lancer sur la Seine à Bercy à Paris le Charles-Philippe, bateau à vapeur construit par les chantiers navals Jouffroy d'Abbans pour desservir en ligne régulière le trajet fluvial entre Paris et Montereau en Île-de-France.
Mais ses concurrents disposant de moyens techniques et financiers supérieurs le surclassaient désormais
31 juillet 2014
Avec la Belle-Poule en Norvège
Avec la Belle-Poule en Norvège
Vendredi 11 juillet 2014
La goélette Belle Poule concourt en mer du Nord face à cinquante-huit grands voiliers de toutes tailles dans le cadre de la course internationale : The Tall Ships Race.
Si la ligne de départ a été franchie mollement lundi, la vitesse n’a pas manqué depuis. En effet, au coucher du soleil la goélette a touché 15 nœuds de vent au portant lui permettant de s’élancer à son tour dans la compétition en faisant valoir ses atouts. Le point de situation de mardi matin nous classait en 37ème position mais les conditions « bretonnes » 25/30 nœuds annoncés renforçaient notre détermination. Après une journée éprouvante et une nuit courte, le pointage nous plaçait à la 26ème position.
Le plus dur était pourtant sur l’avant. La bouée à virer était positionnée à 90 nautiques dans le NNE et le vent, fidèle à son esprit retors, s’établissait au NNE pour 25 nœuds. Aussi, malgré 24 heures de virements et d’efforts, la « Belle Poule » ne parvenait pas à résister à ses adversaires, plus efficaces sur les bords de près, et pointait à la 40éme position au matin du troisième jour de course.
Parallèlement, afin de juguler la vague d’abandons (5 sur 17 dans notre catégorie) et de garantir les manifestations prévues à Fredrikstad, la direction de course décidait de mettre fin à l’épreuve à 14h00. Aussi, sans ligne d’arrivée à franchir, c’est en ordre très dispersé que les concurrents ont terminé la première manche de la Tall Ships Race 2014.
Se battant jusqu’aux derniers yards, l’équipage du voilier-école finit à la 43ème position avec une vitesse moyenne de 5,2 nœuds sur trois jours.
Enfin, l’arrivée en Norvège samedi matin permettra de réunir les deux représentants français de l’épreuve : la goélette « Belle Poule » et le Centurion 47 « Hosanna » de l’Ecole navale classé quand à lui 7ème de l’épreuve. Une belle récompense pour ses six valeureux membres d’équipage.
Dimanche 27 juillet 2014
«La Belle Poule en escale à Bergen »
Source : Marine nationale
La course à laquelle participe la Belle Poule, la Tall Ship Race, est rythmée par les escales au cours desquelles se rencontrent les équipages. Les villes qui accueillent les concurrents mettent à cœur de recevoir dans les meilleures conditions ces bateaux d’exception et d’offrir des moments festins.
L’escale de Bergen, placée sous le thème des chants de marins, était très agréable et excessivement bien organisée avec des animations de qualité et très variées. Les visiteurs étaient nombreux (2 325 à bord de la Belle Poule). Cette escale faisait suite à 10 jours de « Cruise in Compagny » conduits de Fredrikstad à Bergen sous un soleil de plomb.
Cette navigation nous a permis d’apprécier les reliefs boisés de Norvège et la splendeur des fjords. Une courte relâche à Skuddeneshavn nous a également permis de découvrir l’authenticité des ports de pêche de la région de Stavanger. Mais le temps n’est plus au voyage et l’équipage a déjà la tête à la compétition, attendant avec impatience les 15 nœuds de vents portant promis par la direction de course.
Nous prenons le départ de Bergen aujourd’hui sous la pluie et avec l’espoir de toucher du vent pour la RACE. Nous devons franchir la ligne de départ demain à 10h30, direction le Danemark, en compagnie de 63 concurrents dont 19 dans notre catégorie.
Vendredi 11 juillet 2014
La goélette Belle Poule concourt en mer du Nord face à cinquante-huit grands voiliers de toutes tailles dans le cadre de la course internationale : The Tall Ships Race.
Si la ligne de départ a été franchie mollement lundi, la vitesse n’a pas manqué depuis. En effet, au coucher du soleil la goélette a touché 15 nœuds de vent au portant lui permettant de s’élancer à son tour dans la compétition en faisant valoir ses atouts. Le point de situation de mardi matin nous classait en 37ème position mais les conditions « bretonnes » 25/30 nœuds annoncés renforçaient notre détermination. Après une journée éprouvante et une nuit courte, le pointage nous plaçait à la 26ème position.
Le plus dur était pourtant sur l’avant. La bouée à virer était positionnée à 90 nautiques dans le NNE et le vent, fidèle à son esprit retors, s’établissait au NNE pour 25 nœuds. Aussi, malgré 24 heures de virements et d’efforts, la « Belle Poule » ne parvenait pas à résister à ses adversaires, plus efficaces sur les bords de près, et pointait à la 40éme position au matin du troisième jour de course.
la côte norvégienne photo JM Bergougniou |
Parallèlement, afin de juguler la vague d’abandons (5 sur 17 dans notre catégorie) et de garantir les manifestations prévues à Fredrikstad, la direction de course décidait de mettre fin à l’épreuve à 14h00. Aussi, sans ligne d’arrivée à franchir, c’est en ordre très dispersé que les concurrents ont terminé la première manche de la Tall Ships Race 2014.
photo JM Bergougniou |
Se battant jusqu’aux derniers yards, l’équipage du voilier-école finit à la 43ème position avec une vitesse moyenne de 5,2 nœuds sur trois jours.
Enfin, l’arrivée en Norvège samedi matin permettra de réunir les deux représentants français de l’épreuve : la goélette « Belle Poule » et le Centurion 47 « Hosanna » de l’Ecole navale classé quand à lui 7ème de l’épreuve. Une belle récompense pour ses six valeureux membres d’équipage.
Bergen photo JM Bergougniou |
Dimanche 27 juillet 2014
«La Belle Poule en escale à Bergen »
Source : Marine nationale
La course à laquelle participe la Belle Poule, la Tall Ship Race, est rythmée par les escales au cours desquelles se rencontrent les équipages. Les villes qui accueillent les concurrents mettent à cœur de recevoir dans les meilleures conditions ces bateaux d’exception et d’offrir des moments festins.
Pulls norvégiens photo JM Bergougniou |
Fjords photo JM Bergougniou |
Escale de Harlingen Pays-Bas |
appontement dans un fjord photo JM Bergougniou |
Sur les quais photo JM Bergougniou |
![]() |
Escale de Bergen |
photo JM Bergougniou |
L’escale de Bergen, placée sous le thème des chants de marins, était très agréable et excessivement bien organisée avec des animations de qualité et très variées. Les visiteurs étaient nombreux (2 325 à bord de la Belle Poule). Cette escale faisait suite à 10 jours de « Cruise in Compagny » conduits de Fredrikstad à Bergen sous un soleil de plomb.
Entre ciel et mer photo JM Bergougniou |
Cette navigation nous a permis d’apprécier les reliefs boisés de Norvège et la splendeur des fjords. Une courte relâche à Skuddeneshavn nous a également permis de découvrir l’authenticité des ports de pêche de la région de Stavanger. Mais le temps n’est plus au voyage et l’équipage a déjà la tête à la compétition, attendant avec impatience les 15 nœuds de vents portant promis par la direction de course.
Bergen photo JM Bergougniou |
Nous prenons le départ de Bergen aujourd’hui sous la pluie et avec l’espoir de toucher du vent pour la RACE. Nous devons franchir la ligne de départ demain à 10h30, direction le Danemark, en compagnie de 63 concurrents dont 19 dans notre catégorie.
le fjord de Geiranger vu de Riksveg photo JM Bergougniou |
En route vers l'Océan Indien, le Marion Dufresne fait escale à Lisbonne
le Marion Dufresne fait escale à Lisbonne
Le 22 juillet 2014, un pli de Dunkerque signifiait la fin de l'arrêt technique du Marion Dufresne au chantier ARNO DAMEN de Dunkerque
Le bateau faisait alors route vers le Portugal où une escale technique était programmé à Lisbonne. La flamme CTC Sul atteste de son passage le 28/07
La machine à affranchir manque d'encre…
Il se trouve actuellement au large de la Mauritanie. Il fait route au 181 à une vitesse de 13,4 nd.
Retour du Laplace à Brest
Durant cette campagne, le Laplace a effectué des travaux hydrographiques avec pour objectif principal le contrôle des accès aux ports de Saint-Pierre et de Miquelon (profondeurs, marée, courants, nature des fonds marins, trait de côte …).
Les cartes marines de la zone, basées pour la majorité sur des levés canadiens des années 1950, vont ainsi pouvoir être mises à jour.
Le Laplace est un bâtiment hydrographique de la marine nationale, mis à la disposition du SHOM pour ses travaux en mer.
Un souvenir philatélique du BH2 LAPLACE a été réalisé à Saint-Pierre et Miquelon sur une carte postale montrant le bâtiment. Un timbre à date illustré porte la date du 14 juillet 2014.
La connaissance de l'environnement
Les activités d'océanographie militaire mettent en oeuvre les compétences et les moyens des différents services du SHOM et des groupes hydrographiques et océanographiques. Elles font aussi largement appel aux moyens à la mer des régions maritimes et des forces, par exemple pour les campagnes scientifiques ou le recueil de données bathythermiques.
Les bâtiments de la marine nationale éprouvent un besoin croissant d'informations concernant l'environnement marin, et en particulier la propagation du son dans l'eau, la bathymétrie, la sédimentologie, le champ de pesanteur... L'objectif est de fournir aux forces la meilleure connaissance possible de l'environnement océanique et météorologique, et les moyens de l'exploiter, pour optimiser l'utilisation des systèmes d'armes (comme les sonars, les radars, mais aussi les torpilles, les missiles, l'aviation embarquée…) et pour disposer d'une appréciation de la situation (GHOM) unique et qualifiée pour les systèmes d'information et de commandement.
Les services du SHOM procurent aux forces des outils efficaces et adaptés aux nouvelles formes de lutte. Destinés à être intégrés dans des bases de données embarquées, ils sont fournis sous forme de données classiques ou numériques (extraits des bases de données du SHOM).
Le SHOM mène une collaboration active avec de nombreux organismes extérieurs (Météo-France, Centre national de la recherche scientifique, Ifremer, Universités..). Il utilise également les données fournies par les satellites d'observation de la terre (Topex Poséidon, ERS1, JASON, SPOT…)
Le SHOM mène une collaboration active avec de nombreux organismes extérieurs (Météo-France, Centre national de la recherche scientifique, Ifremer, Universités..). Il utilise également les données fournies par les satellites d'observation de la terre (Topex Poséidon, ERS1, JASON, SPOT…)
Un environnement ouvert à de nombreuses collaborations
Le centre de Brest du SHOM s'étend sur un terrain de 10 hectares en périphérie de la ville de Brest, à proximité de l'Université de Bretagne Occidentale et non loin du Technopôle de Brest-Iroise.
Ouvert à de nombreuses collaborations, il est engagé avec de multiples organismes, militaires et civils, dans des activités communes de recherche ou de développement variées. L'Ifremer*, Météo-France, l'Université de Bretagne Occidentale, ou encore le CNRS comptent parmi ses partenaires civils les plus importants.

La collaboration s'étend aussi en dehors du territoire national : actions communes avec des organismes de recherche étrangers dans le domaine de l'océanographie militaire, participation à plusieurs groupes de travail de l'OHI sur l'évolution des documents nautiques et le développement de la carte électronique.
Le SHOM produit des cartes électroniques de navigation officielles (ENC), qui sont diffusées par Primar, label commercial du centre européen de coordination pour la carte électronique (RENC).
Merci à Claude, JEF et Daniel
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