18 novembre 2011

Revue de presse

Revue de Presse

je ne résiste pas au plaisir de publier cette photo envoyée par mon fils et parue sur facebook


comme quoi parfois les avis divergent



Humour dans le carré par Donec

Humour dans le carré par Donec
Bonjour à tous,
Tous les médias pensent que l’alcool nuit à la santé, balivernes ! Il y a bien pire avec ou sans bulle mais dont la composition fait dresser les cheveux sur la tête.


Pour le reste l’équipage veille à la bonne santé de ses gradés : bravo.


A la semaine prochaine
Donec

17 novembre 2011

PA Albatros en arrêt technique à Maurice

PA Albatros en arrêt technique à l'île Maurice CNOI





L'entretien de l'Albatros se fait au Chantier naval de l'Océan Indien du groupe PIRIOU






Le CHANTIER NAVAL DE L'OCEAN INDIEN est implanté à Port-Louis à l'Ile Maurice, à proximité des zones de pêche et sur l'une des principales routes maritimes. Le chantier construit et répare tous types de navires jusqu'à 120m.



http://www.piriou.com/fr/les-sites/cnoi/35.htm


Un article qui commence à dater mais qui est encore d'actualité...


La Marine de guerre francaise : un client de plus en plus important







Ecrit en 2009.


Cela fait plus de quatre ans maintenant que la Marine Française vient au Chantier Naval de l’Océan Indien pour la réparation et la maintenance de certains de ses navires. Depuis le début de l’année le La Grandière et Le Nivose ont fait des escales techniques de durées différentes.




L’ampleur des travaux de carénage à effectuer sur le La Grandière, bâtiment de transport léger (batral), a mobilisé la majorité des employés du Chantier Naval, bien que les travaux aient commencé avant l’arrivée même du navire. En effet, depuis le mois de septembre 2007, la planification des travaux a commencé, et par la suite, certains éléments de coque ont été réalisés au préalable et attendaient l’arrivée du navire.




Certains des représentants du Chantier ont même effectué un déplacement à la Réunion pour évaluer l’ampleur des travaux et relever les mesures nécessaires à la préparation des pièces. « Les côtes des pièces comme du bateau ont été compilées puis envoyées à ARCO, le bureau d'étude de Saint Nazaire qui a ensuite réalisé les plans. C'est donc sur ce support précis et fiable que nous nous sommes basés pour travailler, même sans avoir le bateau physiquement en face de nous » ajoute Yann Jacobé, responsable des travaux de coque. S'appuyant sur les plans et dessins en 3 dimensions reçus du bureau d'étude, les ouvriers ont pu procéder à la fabrication de blocs, tôles, profilés, en ayant ainsi une idée précise de la forme et de l'allure des pièces en question.




La plupart des corps de métier ont été sollicités pour l’ensemble des travaux à effectuer : travaux de sablage et peinture complets de toute la carène, chaudronnerie, désamiantage de ses huit ballasts d'eau de mer, travaux mécaniques, révision complète du groupe électrogène… Plus de 200 ouvriers ont été mobilisés nuit et jour sur le La Grandière pour environ 10 semaines de travail, dont 7 en cale sèche.


L’intervention sur le Nivose a été beaucoup plus rapide. La Marine française a fait appel au Chantier Naval suite à un problème technique. « Nous avons été en mesure de leur proposer un service express », explique Jean-Yves Ruellou, directeur général du Chantier Naval. « Il nous a fallu 3 jours, en cale sèche, pour changer les vérins des stabilisateurs ».




Extrêmement exigeante en termes de qualité, particulièrement dans le cadre des contrats MCO (Maintien de Condition Opérationnelle), la Marine Nationale Française renouvelle sa confiance dans le Chantier Naval de l’Océan Indien, en y envoyant pour des travaux très importants le patrouilleur austral de 90 mètres Albatros dès la fin du mois de juin 2008. Le navire sera à Maurice pour un carénage de 2 mois.

http://cnoi.info/news/index.php?id=8

15 novembre 2011

La Marine honore les écrivains Ernest Renan Croiseur Cuirassé

La Marine et Ernest Renan



Pour rendre hommage au grand écrivain breton la marine a donné son nom à un croiseur qui servira de modèle aux productions ultérieures
Né à Tréguier (Bretagne), le 27 février 1823. 

Philologue très versé dans les langues sémitiques, après avoir abandonné l'état ecclésiastique, il fut deux fois lauréat de l'Institut ; professeur d'hébreu au Collège de France en 1862, il fit paraître en 1863 la Vie de Jésus, qui est son œuvre capitale, et qui souleva d'extraordinaires polémiques ; des quantités incroyables d'attaques ou de défenses de cette œuvre parurent en France et à l'étranger ; le pape l'appela le blasphémateur européen, des manifestations hostiles se produisirent au Collège de France, qui amenèrent la suspension de son cours. 


Fasciné par la science, Ernest Renan adhère immédiatement aux théories de Darwin sur l'évolution des espèces. Il établit un rapport étroit entre les religions et leurs racines ethnico-géographiques. Une part essentielle de son œuvre est d'ailleurs consacrée aux religions avec par exemple son Histoire des origines du christianisme (7 volumes de 1863 à 1881) et sa Vie de Jésus (1863).

Fichier:Cruiser Ernest Renan diagrams Brasseys 1923.jpg

Ce livre qui marque les milieux intellectuels de son vivant contient la thèse, alors controversée, selon laquelle la biographie de Jésus doit être comprise comme celle de n'importe quel autre homme, et la Bible comme devant être soumise à un examen critique comme n'importe quel autre document historique. Ceci déclenche des débats passionnés et la colère de l'Église catholique.


Le gouvernement impérial lui offrit comme compensation l'administration de la Bibliothèque nationale qu'il refusa. Son nom fut prononcé pour un fauteuil à l'Académie, mais l'évêque Dupanloup associa le nom d'Ernest Renan et de Taine à celui de Littré qu'il combattait avec passion. Après la guerre de 1870, les idées du monde gouvernemental s'étaient modifiées, Ernest Renan fut réintégré dans sa chaire en 1870 et nommé par l'élection administrateur du Collège de France en 1883 où il fut réélu tous les trois ans. Membre de l'Académie des Inscriptions depuis 1856, il fut élu à l'Académie française le 13 juin 1878 en remplacement de Claude Bernard, et reçu le 3 avril 1879 par Alfred Mézières.




Son discours de réception produisit en Allemagne une vive émotion qu'Ernest Renan dut calmer en publiant une lettre soi-disant adressée à un ami d'Allemagne. La haine du parti religieux contre Renan n'a jamais désarmé ; le maréchal de Mac-Mahon refusa de le nommer officier de la Légion d'honneur ; Renan obtint ce grade seulement en 1880, il est mort Grand-officier de la Légion d'honneur, au Collège de France, le 2 octobre 1892 ; ses funérailles eurent lieu aux frais de l’État. Onze ans après sa mort, on lui éleva une statue à Tréguier, son pays natal ; l'inauguration donna lieu à de telles manifestations que le gouvernement qui les avait prévues, dut prendre de grandes mesures de police pour éviter des émeutes (13 septembre 1903). 




Ernest Renan a laissé l'Histoire des origines du Christianisme, 8 volumes, l'Histoire du peuple d'Israël, 5 volumes, des Études d'Histoire religieuse, des Drames philosophiques, des traductions et divers autres ouvrages. L'Histoire comparée des langues sémitiques. Il reçut Claretie et fit partie de la Commission du Dictionnaire. Trois Nouveaux Lundis dont un pour la Vie de Jésus.
Mort le 2 octobre 1892.


http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=442

13 novembre 2011

Les sous-marins de la dissuasion


Les sous-marins de la dissuasion


http://c-est-pas-sorcier.france3.fr/?page=emission&id_article=1805

 le samedi 19 novembre à 20 H 10, 

le dimanche 20 novembre à 10 H 45 et 

le mercredi 23 novembre à 16 H 15 !





Réalisateur : Benoît GRIMONT

Journaliste : Guillaume JUPIN

Présentateur : Fred COURANT & Jamy GOURMAUD

RÉSUMÉ

L’île Longue, en face de Brest, abrite la plus secrète et la plus stratégique des bases de la marine nationale. C‘est d’ici que partent les 4 sous-marins français armés de missiles nucléaires. Leur mission : dissuader d’éventuels ennemis d’attaquer la France.



Durant quelques jours, Fred a partagé la vie des 110 d’hommes d’équipage du « Téméraire ».

Jamy, lui, a décidé d’installer son labo au cœur de la base, dans un des bassins où ces monstres d’acier sont remis à neuf entre deux patrouilles. Un site ultra-protégé, classé secret défense.

20 000 lieues sous les mers





Fred quitte la rade de Brest et assiste à la plongée du « Téméraire » au côté du commandant. Une fois sous l’eau, les veilleurs sonars sont les véritables pilotes du sous-marin. Ils se repèrent aux sons captés dans l’océan, tandis que d’autres sous-mariniers, les « oreilles d’or », peuvent identifier précisément les navires à la surface.

Jamy, lui, nous montre comment est organisé un sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE). L’essentiel de l’espace est consacré aux 16 missiles embarqués.


Il nous explique également quelles forces physiques entrent en jeu lorsque le sous-marin plonge et comment celui-ci navigue entre deux eaux.

70 jours caché au fond de l’océan





Du poste de pilotage du réacteur nucléaire, qui assure la propulsion du sous-marin, à la salle des machines, Fred poursuit sa visite du « Téméraire ».


Entre un exercice d’incendie et un repas partagé avec les hommes d’équipages, il essaie de comprendre comment on vit plusieurs mois dans un tube d’acier à plusieurs centaines de mètre sous l’eau. Les sous-mariniers ne reçoivent qu’un seul court message de leur famille par semaine, auquel ils ne peuvent pas répondre.


Tandis que Fred participe à un exercice de lutte anti-sous-marine, Jamy nous explique également comment les SNLE peuvent rester indétectables sous les océans.

La dissuasion nucléaire




À tout moment, sur ordre du président de la république, le « Téméraire » peut déclencher le feu nucléaire. Avec le commandant, Fred suit la procédure qui aurait lieu en pareil cas. L’arme nucléaire est dissuasive. Il s’agit de décourager les éventuels ennemis de la France.


Jamy nous explique que les missiles nucléaires pourraient également être déployé par des avions depuis des bases françaises ou depuis le porte-avion « Charles-de-Gaulle ».

La France est le quatrième pays à s’être doté de l’arme nucléaire, après les Etats-Unis, la Russie et le Royaume-Uni. La Chine, l’Inde, le Pakistan et Israël dispose également de cette arme, tandis que des doutes persistent sur la Corée du Nord et l’Iran.



Salon d'automne et Clipperton

Salon d'automne et Clipperton


Souvent nommée île de la passion, l’île de Clipperton est située dans l’océan Pacifique, à plus de 6.000 km de Tahiti et à 1.300 km des côtes du Mexique. Elle est un atoll isolé de forme subcirculaire de 6 km² dont environ 2 km² de terres émergées. Elle comporte un lagon fermé et isolé des masses d’eaux océaniques, entouré d’une bande de terre étroite.

Timbre à date illustré en date du 21 octobre 2011
Montage avec le TAD de l'escale du croiseur Jeanne d'Arc 2-12-1934
et du PSP Arago lors de son transfert vers Tahiti les 16 et 17 août 2011


L'île fut découverte le Vendredi 3 avril 1711 par les Français Charles Gustave Martin de Chassiron et Michel Dubocage, commandant les frégates Princesse et La Découverte


source : Delcampe




Sans que l'on sache pour quelle raison, le nom de l'île de Clipperton lui vient du flibustier et naturaliste anglais John Clipperton qui, pour certains, aurait croisé au large de cette île, et, pour d'autres, y aurait même débarqué en 1704. 









L’île fut longtemps convoitée par le Mexique, ou l’Angleterre, mais le 28 janvier 1931 la souveraineté française fut reconnue grâce aux journaux de bord de Martin de Chassiron et de Michel Dubocage. Sa faune et sa flore sont assez limitées, on retiendra avant tout la présence de crabes (Gecarcinadae) et de fous masqués, et quelques cocotiers.

Merci à Jean-Michel Jehan pour son envoi

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...