13 novembre 2009
12 novembre 2009
Mission Espadon BEM Monge
Mission Espadon BEM Monge
Basé à Brest, ses missions techniques principales sont : la trajectographie des missiles balistiques ou tactiques, la poursuite de satellites et, beaucoup plus rarement, la mise en œuvre ou la poursuite de cibles aériennes pour l'entraînement des forces. Son système de mesures, articulé autour de radars de trajectographie et d'analyse (du type radar de poursuite) ainsi que d'un ensemble de calculateurs performants, comprend également un système complet de télémesures, un module d'analyse météorologique, un système de poursuite optique et des équipements de télécommunications. Le Monge apporte son soutien à la Direction des Essais (DE) de la Délégation générale pour l'armement (DGA). Il possède un mini hôpital doté notamment d'une salle d'opération, de réanimation, d'un appareillage de radioscopie complet pour les longues campagnes d'essai en mer.
projet Espadon mais est-ce celui-ci?
Vendredi 24 juillet 2009
selon : http://opexnews.over-blog.com/article-34195350.html
Le projet Espadon: La France créera un drone naval de lutte contre les mines avant 2011
PARIS, 24 juillet - . Le ministère français de la Défense a confié aux groupes français DCNS (Direction des constructions navales), Thales et ECA la création d'un prototype d'un engin sans pilote pour neutraliser les mines sous-marines avant 2011, ont annoncé vendredi les trois sociétés dans un communiqué conjoint.
La Délégation générale pour l'armement (DGA) a chargé DCNS, Thales et ECA de réaliser, à horizon de 2011, un démonstrateur d'une nouvelle solution de lutte contre les mines, est-il indiqué dans le communiqué.
Le projet baptisé Espadon ("Évaluation des solutions potentielles d'automatisation du déminage pour les opérations navales"), prévoit la création de deux drones navals de surface commandés depuis un navire qui déploieront des engins sous-marins pour détecter et neutraliser les mines sous-marines. Le coût du projet n'est pas précisé.
Thales est le leader mondial sur le marché des équipements électroniques, spécialisé dans l'aérospatial, la défense et les technologies de l'information. ECA s'occupe de la conception des robots militaire et civils, de systèmes de simulation et de sécurité.
selon : http://www.usinenouvelle.com/article/dcns-thales-et-eca-misent-sur-des-drones-navals-anti-mines.N114894
Financée par la DGA, les trois industriels français mènent une étude destinée à fabriquer un démonstrateur de drones navals pour lutter contre les mines. Une première mondiale mettant en œuvre un drone de surface combiné à des engins sous-marins.
Opération Espadon. La Direction générale pour l’armement (DGA) accepte de financer une étude proposée par DCNS, Thales et ECA, visant à réaliser d’ici à 2011 un démonstrateur de drones navals pour la lutte contre les mines. Baptisée Espadon (pour Evaluation de Solutions Potentielles d’Automatisation de Déminage pour les Opérations Navales), cette nouvelle solution présente l’avantage de ne pas exposer au danger les équipages, à l’inverse des navires chasseurs de mines actuels.
Les trois industriels français étudient un système composé de trois éléments complémentaires : un navire, des drones de surface et des engins sous-marins. Dédié à la lutte anti-mines, le navire (de type Ecoship, en photo) reste à distance de sécurité de la zone minée. Il met à l’eau, puis contrôle à bonne distance deux drones de surface, dont la mission est programmable. Ces embarcations autonomes opèrent en plein cœur du champ de mines et déploient à leur tour des engins sous-marins (robots ou capteurs), qui interviennent au plus près des mines pour les identifier et les neutraliser. La mission accomplie, les engins sous-marins regagnent les drones de surface, qui eux-mêmes rejoignent le bateau-mère. Le projet Espadon constitue la première évaluation mondiale, en grandeur réelle, d’un drone de surface mettant lui-même en action des drones sous-marins.
Mandataire de l’étude vis-à-vis de la DGA, DCNS se charge de la conception de la plate-forme du drone de surface et de la caractérisation du bateau-mère. Thales est responsable du drone de surface, combinant un sonar remorqué et un drone sous-marin, et de l’ensemble des communications du système. Quant à ECA (90 M€ de chiffre d’affaires, 600 salariés), le spécialiste de la robotique concevra et réalisera les engins sous-marins et leur système de mise à l’eau-récupération à partir du drone de surface, ainsi que la télé-opération du drone de surface.
Le Monge est un Bâtiment d'Essais et de Mesures (BEM) et peut être classé comme un navire collecteur de renseignements. Le Monge est en service dans la Marine nationale depuis le 4 novembre 1992. Ce bâtiment est le seul de ce type dans la Marine militaire française et quasiment unique au monde. Il a pris la succession du BEM Henri Poincaré, en service depuis 1968. Construit par les Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire. C'est le navire amiral de l'escadre d'essais. Il est armé par un équipage mixte de la Marine Nationale et de la DGA (personnel du Centre d'Essais de Lancement de Missiles (CELM) détaché à plein temps à bord du Monge). Sa mission principale consiste à suivre les objets lancés par le CELM, en particulier pendant les tests des missiles balistiques M45 et M51. Il est aussi utilisé pour la surveillance de l'espace (satellites, débris, ISS, etc.) au profit du CNES et d'autres organismes militaires. Il participe occasionnellement à des missions au profit de l'Agence Spatiale Européenne (lancements Ariane).
Basé à Brest, ses missions techniques principales sont : la trajectographie des missiles balistiques ou tactiques, la poursuite de satellites et, beaucoup plus rarement, la mise en œuvre ou la poursuite de cibles aériennes pour l'entraînement des forces. Son système de mesures, articulé autour de radars de trajectographie et d'analyse (du type radar de poursuite) ainsi que d'un ensemble de calculateurs performants, comprend également un système complet de télémesures, un module d'analyse météorologique, un système de poursuite optique et des équipements de télécommunications. Le Monge apporte son soutien à la Direction des Essais (DE) de la Délégation générale pour l'armement (DGA). Il possède un mini hôpital doté notamment d'une salle d'opération, de réanimation, d'un appareillage de radioscopie complet pour les longues campagnes d'essai en mer.
projet Espadon mais est-ce celui-ci?
Vendredi 24 juillet 2009
selon : http://opexnews.over-blog.com/article-34195350.html
Le projet Espadon: La France créera un drone naval de lutte contre les mines avant 2011
PARIS, 24 juillet - . Le ministère français de la Défense a confié aux groupes français DCNS (Direction des constructions navales), Thales et ECA la création d'un prototype d'un engin sans pilote pour neutraliser les mines sous-marines avant 2011, ont annoncé vendredi les trois sociétés dans un communiqué conjoint.
La Délégation générale pour l'armement (DGA) a chargé DCNS, Thales et ECA de réaliser, à horizon de 2011, un démonstrateur d'une nouvelle solution de lutte contre les mines, est-il indiqué dans le communiqué.
Le projet baptisé Espadon ("Évaluation des solutions potentielles d'automatisation du déminage pour les opérations navales"), prévoit la création de deux drones navals de surface commandés depuis un navire qui déploieront des engins sous-marins pour détecter et neutraliser les mines sous-marines. Le coût du projet n'est pas précisé.
Thales est le leader mondial sur le marché des équipements électroniques, spécialisé dans l'aérospatial, la défense et les technologies de l'information. ECA s'occupe de la conception des robots militaire et civils, de systèmes de simulation et de sécurité.
selon : http://www.usinenouvelle.com/article/dcns-thales-et-eca-misent-sur-des-drones-navals-anti-mines.N114894
Financée par la DGA, les trois industriels français mènent une étude destinée à fabriquer un démonstrateur de drones navals pour lutter contre les mines. Une première mondiale mettant en œuvre un drone de surface combiné à des engins sous-marins.
Opération Espadon. La Direction générale pour l’armement (DGA) accepte de financer une étude proposée par DCNS, Thales et ECA, visant à réaliser d’ici à 2011 un démonstrateur de drones navals pour la lutte contre les mines. Baptisée Espadon (pour Evaluation de Solutions Potentielles d’Automatisation de Déminage pour les Opérations Navales), cette nouvelle solution présente l’avantage de ne pas exposer au danger les équipages, à l’inverse des navires chasseurs de mines actuels.
Les trois industriels français étudient un système composé de trois éléments complémentaires : un navire, des drones de surface et des engins sous-marins. Dédié à la lutte anti-mines, le navire (de type Ecoship, en photo) reste à distance de sécurité de la zone minée. Il met à l’eau, puis contrôle à bonne distance deux drones de surface, dont la mission est programmable. Ces embarcations autonomes opèrent en plein cœur du champ de mines et déploient à leur tour des engins sous-marins (robots ou capteurs), qui interviennent au plus près des mines pour les identifier et les neutraliser. La mission accomplie, les engins sous-marins regagnent les drones de surface, qui eux-mêmes rejoignent le bateau-mère. Le projet Espadon constitue la première évaluation mondiale, en grandeur réelle, d’un drone de surface mettant lui-même en action des drones sous-marins.
Mandataire de l’étude vis-à-vis de la DGA, DCNS se charge de la conception de la plate-forme du drone de surface et de la caractérisation du bateau-mère. Thales est responsable du drone de surface, combinant un sonar remorqué et un drone sous-marin, et de l’ensemble des communications du système. Quant à ECA (90 M€ de chiffre d’affaires, 600 salariés), le spécialiste de la robotique concevra et réalisera les engins sous-marins et leur système de mise à l’eau-récupération à partir du drone de surface, ainsi que la télé-opération du drone de surface.
RPC Maïto Fort de France Tahiti Polynésie remorqueur
La Maïto remorqueur portuaire côtier
Mis en chantier en juillet 1983 aux chantiers SFCN de Villeneuve-la-Garenne pour le compte de la Direction du Centre d'Expérimentation Nucléaire (DIRCEN), le remorqueur portuaire et côtier Maito a été mis a flot en décembre 1983 et admis au service actif en juillet 1984. Son nom polynésien vient du poisson des mers tropicales qui se traduit par chirurgien noir.
Le Maito est enradié en mai 1985 sur le TCD Orage qui le transporte de Brest a Papeete, et arrive à Mururoa le 20 juin 1985. Placé sous le commandement d'un officier marinier supérieur de spécialite navigateur, il est affecté au centre d'expérimentation de Mururoa jusqu'au démantèlement du site, lié a la fin des essais nucléaires francais dans le pacifique en 1998.
De retour en métropole, le Maito est confié a la Base Navale de Brest (services portuaires) du 26 fevrier 1998 au 10 octobre 2003, date a laquelle il est affecté à Fort-de-France (Martinique). La traversée de l'Atlantique est faite en remorque avec le RHM Tenace.
Depuis son arrivée en Martinique, le Maito s'est déjà fait remarquer avec plusieurs actions à son actif, notamment l'escorte du paquebot Queen Mary 2 lors de sa première escale à Fort-de-France , le remorquage du crevettier Captain Winston lors de son arrestation par le patrouileur côtier de gendarmerie Violette, le remorquage d'une citerne de 400 tonnes de gazole de Fort-de-France a Pointe-à-Pitre pour l'arrivée du GEAOM (Jeanne d'Arc, Georges Leygues) en Guadeloupe.
Ses missions principales sont: le remorquage et la manoeuvre des citernes, le concours aux accostages et appareillages des batiments militaires, le concours aux unites militaires aux antilles et dans une moindre mesure, les concours au profit du port autonome, le soutien incendie, la lutte antipollution et les missions du service public (action de l'Etat en mer).
sources:
http://www.netmarine.net/bat/remorque/maito/index.htm
pour en savoir plus sur Fort de France et son activité marine
http://lagazettedebigbull.blogspot.com/2009/05/les-militaires-envahissent-le-radoub.html
Mission CORYMBE la centième TCD SIROCO Hervé Constantin Voyages en eaux troubles
CORYMBE 100 TCD SIROCO
L'Opération Corymbe est une opération militaire de la Marine nationale française visant à assurer une présence au large des côtes d'Afrique de l'Ouest depuis 1990
Sa mission est d'apporter un soutien à toute opération qui pourrait être ordonnée pour la sauvegarde de nos ressortissants et de nos intérêts dans la zone. C’est le cas depuis le début de l’opération Licorne en Côte d’Ivoire et d'affirmer l'intérêt que porte la France pour la situation des pays bordant le golfe de Guinée.
Suivez le TCDSiroco par son journal de Bord
http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/src
passage de la ligne Flamme Paris Tri Interarmées en date du 10 novembre 2009
Parfois la fiction et la réalité se mêle, j'ai découvert ce roman paru avant les vacances et écrit par un officier féru d'histoire Nous nous sommes rencontrés à l'Ecole des fourriers lors des journées BD
Le roman se déroule dans le cadre d'une mission Corymbe
Bonne lecture

Edité aux Presses du Midi, 121 avenue d’Orient à Toulon
http://www.lespressesdumidi.fr/auteur_constantin.htm

Ceux racontant les aventures de Matthias sur le « grand bateau gris » sont imaginaires.
Les missions « Corymbe » sont le nom donné par l’état-major des armées au déploiement d’un bâtiment de la Marine Nationale dans le golfe de Guinée. Ces missions se succèdent au fur et à mesure des relèves de bâtiment. En avril 2009, on en est arrivé à la mission Corymbe numéro 97 [1].
Celle qui sert de cadre à ce roman est inventée de toute pièce mais peut donner une idée de ce que vivent les marins au quotidien lors de ce genre de déploiement. Elle peut aussi donner envie aux plus jeunes de vivre cette formidable aventure que reste, malgré la conjoncture, un engagement au sein de la Marine Nationale. J’irai même jusqu’à dire, que cette mission imaginaire peut donner des regrets à ceux qui n’ont jamais vécu ce genre d’aventure là…
Certains chapitres relèvent parfois du feuilleton « La croisière s’amuse », d’autres sont plus « opérationnels ». La vie d’un marin, c’est cela : du travail et du stress mais aussi beaucoup de bons moments que l’on partage dans la bonne humeur. C’est aussi une aventure de chaque jour, pleine de surprises. Disponibilité en est le maître mot et les contraintes sont nombreuses mais, en échange, une vie passionnante et diversifiée nous attend.
J’ai choisi un navire des plus modernes, un Bâtiment de Projection et Commandement (BPC), que j’ai nommé « Eclair », mis à l’eau, dans mes songes en 2005. Il est un digne prédécesseur des BPC actuels. Le premier BPC n’a été effectivement mis en service qu’en 2006. Le jeu du roman permet cet anachronisme du moment que le lecteur en a été averti.
L’embarquement de Matthias se passe donc entre 2005 et 2008 sur un bâtiment flambant neuf, plein de promesses d’exotisme et de rêve d’ailleurs. Il vous emmènera de l’Indonésie souffrante à la Birmanie (ravagée par le passage du cyclone Nargis en 2008), en passant par l’Afrique de l’Ouest et ses éternels problèmes existentiels.
Au cours de votre lecture vous rencontrerez des personnages typiques, d’autres atypiques. Il vous semblera même parfois reconnaître… un ami.
Soyez rassuré, les personnages sont totalement imaginaires et ces pages n’ont d’autobiographiques que certains passages décrivant la vie embarquée. Ceci-dit, on est tous des personnages de roman ! Le roman de la vraie vie est souvent autrement surprenant que tout ce qui pourra paraître en édition.
Les influences et sources d’inspiration sont multiples. J’ai, par exemple, une tendresse toute particulière pour Renée Michel, la concierge du roman de Muriel Barbey, « L’élégance du hérisson ». La voisine de Sylvie, Marguerite, lui ressemble peut-être un peu. La nébuleuse des ONG (Organisations Non Gouvernementales) fait partie intégrale de ce texte. Elle y a un rôle à jouer. Certains lecteurs trouveront peut-être que je rentre parfois trop dans le détail et que cela coupe un peu le fil du roman. Je l’assume. Il y a des choix à faire lorsque l’on écrit. Tous les auteurs savent qu’ils sont parfois délicats voire difficiles et ne satisfont pas forcément tout le monde (S’ils satisfont l’auteur, c’est déjà bien).
Pas de jugements de valeur basiques, pas d’a priori, pas non plus de secret d’Etat ni de polémiques stériles mais une réflexion mûrement documentée à la source, entre autres, des ouvrages de monsieur Jean-Christophe Ruffin, aujourd’hui ambassadeur de France au Sénégal dont le passé humanitaire est bien connu. Ses livres, dont « Le piège humanitaire », difficile à trouver à la vente, même sur Internet, ont été un enchantement de chaque instant.
Celui de monsieur Erik Orsenna, « L’avenir de l’eau », est édifiant et devrait en faire réfléchir plus d’un.
Cols Bleus m’a aussi fourni son lot d’informations institutionnelles. L’institution militaire, la Marine notamment, y est d’autant plus importante que c’est en son sein que tout se passe.
Autre particularité de l’histoire que vous allez lire : à chaque escale, vous découvrirez, au fil des aventures qui s’y déroulent, le contexte géopolitique des pays abordés.
Comme dans toute société humaine, toute entreprise, les marins (les militaires en général) ont besoin de la considération de leur hiérarchie, de la reconnaissance des efforts et des sacrifices fournis. Ils donnent le meilleurs d’eux-mêmes lorsque les conditions de vie et de travail sont bonnes et s’ils ont la certitude que celles et ceux qu’ils laissent au port, lorsque de longues missions les en éloignent, ne manqueront de rien. Leur absence est déjà suffisamment pesante.
Ils peuvent même aller jusqu’au sacrifice suprême pour leur Patrie.
La Marine en pleine mutation a-t-elle compris que sans ses équipages (2), elle n’est rien ? L’avenir nous le dira !
La vie personnelle des héros, Sylvie et Matthias, tous deux infirmiers, est comparable à ce que peuvent vivre certains couples que l’absence, l’ennui et les désillusions rendent amers.
Leur histoire a commencé dans « L’instrumentiste » (publié en 2005), roman auquel il est parfois fait allusion dans ce récit (3).
Confrontés à ce que l’on pourrait appeler des « accidents de la vie », ils ont remonté la pente. Matthias, qui a déjà fait une mission humanitaire alors qu’il n’avait pas encore fini ses études d’infirmier de bloc opératoire, y a pris goût. La sécurité civile l’a recontacté (4). Il n’a pas résisté à l’appel de l’urgence, à l’envie de se rendre utile. Son goût pour l’aventure et les défis d’une existence hors du commun le tient toujours autant.
Sylvie semblait en avoir pris son parti.
Mais… Rien n’est jamais simple !
PSP PLUVIER 10ème anniversaire du Jumelage
10 ans de parrainage du PSP Pluvier par la ville du Guilvinec
C'est en 1999 que le Pluvier fait sa première escale au "Guil". Le CECLANT, le VAE Naquet-Radiguet est en tournée des ports de pêches. Le Pluvier est alors basé à Brest.
L'idée du parrainage se profile et tout s'enchaîne rapidement. Les complicités jouent à plein...
Le Directeur du port de Brest, le CV Guillamet est guilviniste, le Maire, Madame Hélène Tanguy s'implique fortement dans le dossier Le 31 mars, le parrainage est accepté par la Marine.
La cérémonie se déroulera le 22 mai 1999 avec la deuxième escale du Pluvier (Commandant LV Le Quilliec)
Depuis les rencontres se multiplient au Guilvinec, à Brest puis à Cherbourg suite au changement de port base du Pluvier.
En 2002, le Pluvier est intronisé en "Confrérie des saveurs de l'Océan Atlantique". Les échanges de cadeaux se poursuivent, tableaux du Guilvinec, tape de bouche, photos de l'équipage, plaque de rues de la ville...
En 2004, le Pluvier participe à des exercices incendie et de remorquage avec un chalutier guilviniste le "Gwen Vidick" sous l'oeil attentif du du canot Men Meur.
Madame Tanguy accueillant l'équipage en Mairie
En 2006, des échanges avec les écoles se mettent place: échange de correspondances, concours de poésie, embarquement.
Cérémonie du 11 novembre avec le piquet d'honneur du PSP Pluvier
En 2007, une maquette du Pluvier est offert à la Ville par le bateau.
Madame Héléne Tanguy, Maire et le CC Patrick De Bouteiller
2009, le Commandant Patrick De Bouteiller souhaite marquer cette dixième année de parrainage.
Les travaux d'extension du port ne permettent pas d'accueillir le Pluvier, c'est donc par la route qu'une dizaine de réprésentants de l'équipage s'est rend chez sa ville marraine.
Accuel en Mairie par Madame, le Maire,ses adjoints et membres du conseil municipal, par les membres de la SNSM, les représentants des diverses organisations maritime, le représentant des Affaires maritimes et certainement bien d'autres que j'oublie de citer, qu'ils m'en excuses. Soirée très conviviales autour des produits de la mer et couchage chez l'habitant avec des échanges des plus passionnants
Mercredi 11 novembre, après la cérémonie religieuse, la délégation se rend au monument aux morts des différentes guerres.
Les portes-drapeaux des associations d'anciens combattants, le piquet d'honneur du Pluvier aux ordres de l'EV2 Chaumery encadraient le monument. Madame le Maire, les représentants des anciens combattants, les enfants des écoles nous rappellent ce que fût la Grande Guerre et la joie de l'armistice.
Un vin d'honneur a permis à tous de se retrouver et de se sécher
Merci au Commandnt du Pluvier de m'avoir pris dans son équipage, Merci à La Ville du Guilvinec de m'avoir accueilli avec autant de sympathie, Merci à la SNSM pour un futur reportage à venir sur le Men Meur
09 novembre 2009
La frégate Georges Leygues rendrait visite à sa ville marraine Villeneuve sur Lot
Selon des oreilles indiscrètes, la frégate Georges Leygues quitterait Brest pour Bordeaux afin de rendre visite à sa ville marraine.
Insérée entre les collines vertes et boisées qui dominent la basse vallée du Lot, Villeneuve a une longue histoire, dont les premiers chapitres furent écrits par les romains sur le site de l'antique Excisum.
C'est en effet là, à un kilomètre de l'actuel centre ville, au carrefour de deux grandes voies de communication que fut érigé un premier noyau urbain comprenant camp de légionnaires, quartiers artisanaux, forum, curie, temples dont il nous reste quelques belles structures.
Au début du XIème siècle, une abbaye bénédictine s'installe sur les lieux et groupe autour d'elle un petit village de potiers et de paysans. Mais Villeneuve n'existe toujours pas.
Ce n'est qu'entre 1254 et 1263 que notre Bastide va voir le jour, de par la volonté d'Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis , qui va obtenir des moines d'Eysses la cession de terres nécessaires à la construction d'une ville nouvelle, nantie d'une charte de coutumes , ou privilèges, qui en 46 articles en définit sa vie sociale, économique et pénale.
Sa construction obéira à un plan bien défini adopté par toutes les bastides du Sud-Ouest de la France : un plan orthogonal organisé autour d'une place centrale, l'originalité de Villeneuve résidant dans sa position à cheval sur le Lot.
Cette situation privilégiait en fait , à l'époque, l'un des rares points de passage sur la rivière, et va l'amener à jouer un rôle stratégique dès les premiers épisodes de la guerre de Cent ans, lors des guerres de religion, ou encore lorsque la Reine Margot , avide de pouvoir, tenta de conquérir l'agenais en forçant en vain le passage de Villeneuve (1585). Son rôle de place de guerre prit fin avec les événements de la Fronde. Dans cette guerre civile qui déchira la France, Villeneuve prit le parti des Princes contre Mazarin. Le siège et la défaite qui s'ensuivit (elle fut l'une des dernières à capituler, 1653) lui coûta ses remparts, ses fossés. Aucun fait saillant ne vint plus troubler son histoire. La Révolution de 1789 n'y provoqua même aucun mouvement important et la ville resta «sagement révolutionnaire».
Georges Leygues est né à Villeneuve-sur-Lot le 26 octobre 1857 dans une vieille famille de la bourgeoisie locale.
De bonne heure il embrassa la carrière politique. Député à 28 ans, il devint pour la première fois ministre à 37 ans et fut président du Conseil de 1920 à 1921.
La guerre de 1914-1918 le trouva au premier rang des hommes politiques qui étaient décidés à s'unir au-dessus de toutes les considérations de parti pour hâter la conclusion d'une paix victorieuse. En 1917, Clemenceau l'appela à la tête de la Marine. De se moment et jusqu'à sa mort, il se consacra à la tâche de reconstituer notre Marine, épuisée par la guerre.
Il avait en effet compris que la France ne peut vivre sans puissance maritime, et fait sien le jugement de Richelieu :
" Etre sur mer ou renoncer à son rang, c'est le dilemme qui se pose au pays".
La paix n'était pas signée que Georges Leygues pensait à l'avenir. Au milieu de nombreuses difficultés d'ordre économique et d'ordre international, il poursuivit qu'il s'était fixée et qu'il put mener à bien grâce à sa clairvoyance , son énergie et son ardent patriotisme, grâce aussi à sa profonde connaissance des milieux parlementaires et à l'autorité que lui conféra un séjour de près de huit années rue Royale.
Photos à Bernard Hily un grand merci
Gazette N° 63 Section Aéronautique Navale du 1er novembre 2009 Chamalières 36F
Gazette N° 63 Section Aéronautique Navale du 1er novembre 2009
Le 10 octobre 2009 La Flottille 36 F da la B.A.N. d’Hyères, commandée par le Capitaine de Corvette Alexandre MARCHIS a été parrainée par la Ville de Chamalières. Monsieur le député Maire Louis GISCARD d’ESTAIN recevait à Chamalières pour le parrainage un détachement de la Flottille 36 F
Parrainage de la Flottille 36 F par la Ville de Chamalières
Cette enveloppe est disponible pour ceux qui le désirent au prix de 3,50 Euros. (offre réservée aux membres de la Marcophilie navale!)
Le prix a été augmenté de 0,50 centimes pour couvrir le coût des envois postaux entre Brest et Chamalières et Chamalières Brest.
Le timbre représentant l’hélicoptère « PANTHER » de la Flottille 36 F est également disponible au prix de 1,20 Euro Pièce.
Flottille Embarquée de la 31 F à bord de la Frégate Dupleix
Les personnes abonnées au la Section A.N. ont reçu le cachet représenté à gauche.
Nous vous proposons une enveloppe avec l’affranchissement par le timbre spécial « mon timbre à moi » Flottille 31 F.
Nous avons 30 enveloppes à votre disposition. Prix de l’enveloppe 2,00 Euros, attention il n’y en aura pas pour tout le monde, les 30 premiers seront servis en respectant l’ordre d’arrivée des commandes.
Chèque au nom de La Marcophilie Navale, ne pas oublier le port
Nous vous proposons une enveloppe avec l’affranchissement par le timbre spécial « mon timbre à moi » Flottille 31 F.
Nous avons 30 enveloppes à votre disposition. Prix de l’enveloppe 2,00 Euros, attention il n’y en aura pas pour tout le monde, les 30 premiers seront servis en respectant l’ordre d’arrivée des commandes.
Si vous souhaitez en profiter, Adhérez! voir la page d'accueil
Inscription à :
Articles (Atom)
Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere
Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...

-
Bataille de Dakar canon de 240 mm C'est une carte postale de Dakar qui va nous servir de fil conducteur pour cet article. Elle représent...
-
le cambusard version navalisée du pinard Bonjour à tous, Il y a un siècle débutait le plus terrible holocauste que l’homme ait pu imagine...
-
L'affaire des Empoisonneurs en cartes postales Hanoï 1908 Pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances de l'Indochi...