07 août 2009

Paimpol fête du chant de marin 2009

ça y est c'est partie pour trois jours de fête, trois jours de chants et de musique




la journée de jeudi avait été bien arrosée.
le ciel voulait décourager les festivaliers.
peine perdue, il était là, nombreux, même prêts à affronter Monsieur météo...





L'équipe du festival a dévoilé au Salon Nautique les premiers artistes confirmés pour la prochaine édition :

Daniel Melingo (Argentine), Le Vent du Nord (Québec), Pascale Picard Band (Québec), Zachary Richard (Louisiane), Cocoon (de l'Auvergne aux plaines du Midwest...), Les Goristes (Bretagne), Les Tambours du Bronx (Le Bronx !), Alan Stivell (Bretagne), La Marée Chante (Saint-Jean Port Joly / Québec).




Le Festival du chant de marin de Paimpol (Gouel kan ar vartoloded en breton) est une manifestation musicale et maritime internationale qui a lieu tous les deux ans sur le port de Paimpol (Côtes-d'Armor).

Principalement dédiée aux chants de marins et aux bateaux anciens de toutes provenances, les vieux gréements, ce rassemblement maritime créé en 1989 prend pour thème à chaque édition un continent ou une région, représentatifs des musiques des mers du monde. Les visiteurs peuvent y découvrir leurs chansons, leurs bateaux et leur gastronomie.


La Jeanne à Panama

La Jeanne à Panama depuis plus de 30 ans...

En réponse à mon appel, Daniel Allançon me transmet une bonne dizaine de plis de la Jeanne d'Arc dans le canal de Panama depuis le début des années 1970
De l'eau a coulé sous les ponts et dans les écluses du canal
le Pont sur le canal
Campagne février 2008
Janvier 2002 Décembre 2000 décembre 2000 TAD Postes Panama Jeanne d'Arc Juana de Arco et sa conserve le Commandant Bourdais
mars 1989 Année 1982
année 1982
1974 1975 On était encore jeunes et beaux...
Année 1973
adieu au Victor Schoelcher
1973
Merci à Lui

06 août 2009

Mistral Passage de la ligne

BEP Mistral
flamme Paris Tri interarmées en date du 5 août 2009





Passage de la ligne le 4 juillet

OPEX Opérations extérieures

OPEX opérations extérieures
un site à découvrir


http://opexnews.over-blog.com/archive-08-2009.html


par exemple cet article

Le 6 juin 1944, au petit matin, sur la plage de Ouistreham, Philippe Kieffer, patron du 1er bataillon français des fusiliers marins commandos, foule le sol français. L'arme à la main, il refuse de rester au poste arrière, dirige ses hommes sur la plage, saute dans un char britannique, livre sous les balles une bataille interminable dans les rues de la ville. Le combat est fondateur, le commando construit là sa légende.

Le 6 juin 2009, à quelques mètres de ces mêmes dunes de sable, le contre-amiral Marin Gillier, le béret vert vissé sur la tête, connaît l'histoire par coeur. Il est à la tête des forces spéciales de marine, qui portent le nom du 6e commando créé il y a tout juste un an, le 6 juin 2008: le commando Kieffer. Il lui a pourtant fallu batailler. "Normalement, on ne donne que des noms de héros morts au combat", explique-t-il. Philippe Kieffer est mort dans son lit à l'âge de 63 ans. Mais la filiation est évidente: Gillier n'a pas eu à insister trop longtemps.

La nécessité de s'adapter à la réalité des nouveaux théâtres de guerre a poussé l'état-major des armées à créer cette nouvelle unité, spécialisée dans la mise en oeuvre des nouvelles technologies. "Aujourd'hui, on gère plus des opérations politiques, les cibles sont très précises", explique-t-il. Pour former sa nouvelle unité, l'amiral a tenu aux symboles. Tout comme Philippe Kieffer, l'amiral Gillier recrute ses hommes parmi diverses spécialités. Cette fois, il ne s'agit plus de recruter des seuls fusiliers marins, mais aussi des professionnels de la guerre électronique, des as des radars ou des drones, des plongeurs démineurs, des pompiers, des informaticiens... "Mais ils doivent tous passer le stage commando", insiste le patron.

Loin de rendre les armes

Parmi les centaines de réponses à l'appel d'offres, 177 hommes ont été présélectionnés. Exactement le nombre d'hommes qui composaient le bataillon qui débarqua le 6 juin sur la plage de Ouistreham. Parmi ceux-ci, 32 seulement ont été retenus pour l'instant. La nouvelle unité devrait être opérationnelle d'ici au 1er juillet, prête à partir n'importe où. Quelques hommes, déjà, ont été envoyés ponctuellement sur des missions. "La semaine dernière, le commando a reçu la certification Otan pour partir en cas d'alerte", glisse Marin Gillier.

On dirait presque qu'il a hâte. L'amiral n'est pas du genre à rester les bras croisés. C'est encore un autre détail qui pourrait faire de lui le digne héritier du capitaine de corvette Kieffer. Marin Gillier participe aux opérations. Le 11 avril 2008, 30 Français sont retenus sur le Ponant par des pirates, au large des côtes somaliennes. A la tête des forces spéciales, en charge de l'opération tactique, Gillier est parachuté en mer au milieu de ses hommes, dont il parle avec affection, et contribue au sauvetage des otages. Il est pourtant rare que des hommes de son grade continuent à livrer des batailles. Mais Marin Gillier, 51 ans, est loin d'être prêt à rendre les armes. Dès qu'il le peut, il accompagne ses hommes.

Le militaire n'était pourtant pas voué à mener de tels combats. Fils de profs, sa mère enseigne la physique, son père l'anglais, il grandit dans les rues de Paris, loin des rives de la Bretagne où il est désormais installé. "J'étouffais", concède-t-il. Ses parents l'imaginent ingénieur, le poussent à faire maths sup et maths spé. "J'étais programmé pour la vie entière." Le jeune homme de 19 ans rêve plutôt "d'aventure"... Il décide alors d'intégrer l'Ecole navale. Il assure qu'il ne sait plus très bien pourquoi et comment. "Au lycée, j'avais rencontré des marins venus nous voir. Ils portaient une casquette blanche. Ça m'avait bien plu..." Ça lui suffit pour suivre leur chemin. Gillier ne connaît alors même pas l'existence des forces spéciales, soutient-il. Il choisit sa spécialité parmi d'autres. Il imagine peut-être que celle-ci le mènera à la plus grande des aventures. Et donne un sens à son prénom. "Ma mère l'a choisi parce que c'était celui d'un ami. Rien à voir avec la mer."

"Je n'ai rien à me reprocher"

Ses parents approuvent son choix. "Ils ont vite compris", assure-t-il. Gillier mène sa vie, parcourt le monde, se construit une nouvelle famille, épouse une fille de militaire. "A l'époque, j'étais second sur un patrouilleur au large de la Nouvelle-Calédonie, raconte-t-il. J'ai demandé à mon commandant d'enfiler son bel uniforme blanc et d'aller demander, pour moi, la main de ma future femme à mon beau-père." Le chef accepte bien volontiers, le père de la future mariée sable le champagne.

Marin Gillier repart en mer et enchaîne des opérations qu'il refuse d'évoquer. A jeter un oeil sur les médailles qui ornent sa poitrine, on comprend vite qu'il a connu les principaux théâtres de guerre de ces vingt-cinq dernières années: le Liban, le Tchad, la Yougoslavie... Et le Rwanda aussi.

De cette tragédie, il parle volontiers. Même si l'émotion est palpable. Il y a, chez tous ceux qui ont approché l'horreur rwandaise, un avant et un après. "On n'en dort plus la nuit", souffle-t-il, les bras hérissés par la chair de poule. Il évoque ces enfants tués à la machette, cette petite fille venue lui parler "alors qu'elle avait le haut du crâne coupé, on apercevait ses méninges". Ou encore cet enfant croisé au bord d'une route, accroché au sein de sa mère pourtant décapitée. Puis il parle de l'"Opération turquoise", de ces accusations portées contre lui. De ces 36 heures, entre le 27 et le 30 juin 1994, où des milliers de Tutsis ont été massacrés sur la colline de Bisesero.

Les militaires français n'auraient pas tout fait pour les sauver. Il raconte le chaos, les incompréhensions. "En arrivant, on ne savait pas qui étaient les gentils et les méchants. Tout le monde nous demandait de sauver des gens par-ci, par-là. Peut-être ce jour-là avons-nous pris la mauvaise route." Le marin pourrait être encore poursuivi par la justice internationale, tout comme les ministres français de l'époque. "Mais je ne suis pas inquiet. Je n'ai rien à me reprocher." Seuls les souvenirs continuent de le hanter. Des images qu'il ne partage pas lorsqu'il rentre chez lui et retrouve ses neuf enfants, dont deux garçons, réfugiés politiques, qu'il a recueillis. "On ne peut pas raconter ce qu'on voit. On ne peut que le vivre ensemble." Après chaque opération, il met du temps à se réhabituer à la vie normale. Un constat qu'il sait dur pour son entourage. "Tout me paraît fade." Chez lui, après vingt-sept ans de commando de marine, son paquetage est toujours prêt.

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Par Par Elsa GUIOL Le Journal du Dimanche



Ushuaïa 5 et 6 mars 2006



Ushuaïa est la capitale de la province argentine la plus méridionale, la Terre de Feu. La ville est considérée comme étant la plus australe du monde. Elle est située à proximité du Canal Beagle, au sud-ouest de la province, dans le département d'Ushuaïa. Elle est à 54° 48' de latitude sud, 68° 18' de longitude ouest.




Fichier:Escudo COA Tierra del Fuego Province Argentina.svg




Ushuaïa a une superficie de 9 390 km2 et comptait 45 430 habitants[1] en 2001. Elle dispose d’un port en eaux profondes qui est le plus proche de l’Antarctique et est entourée par les monts Martial et Olivia et leurs vallées.



Fichier:Argentina location map.svg























05 août 2009

Escales en Altitude Visite aux Incas

PH JEANNE D'ARC 
Escales à Calao et Valparaiso
visite de Cuzco Machu Pichu


"La peur de me faire mordre par Milou, cerbère des éditions M........t, m'empêche d'évoquer les aventures de T1T1 et Milou dans "le temple du soleil" mais j'imagine bien le Commandant HardRock et son ami EV1 T1T1 accédant au somment du Machu Pichu







la pluie fait aussi son apparition dans ces contrées


le service psychologique des armées incas

pli en timbres locaux
(du quechua « Qusqu », qui signifie nombril) est une ville du sud-est du Pérou au milieu des Andes. C'est la capitale du département de Cuzco. Cuzco est une ville d'altitude (environ 3 400 m) d'une taille modérée, avec environ 300 000 habitants. Cuzco fut la capitale des Incas et a été longtemps un carrefour sur l'axe économique transandin mais s'est endormie quand l'activité commerciale s'est tournée vers Lima.






La légende veut que la ville ait été fondée au XIe siècle ou au XIIe siècle par Manco Capac etMama Oqllo après leur « naissance » dans le lac Titicaca. 



Avant l'arrivée des conquistadors, la ville était partagée en quatre quartiers, occupés par les Incas et des ressortissants des tribus de leur empire. Les principaux monuments dataient de l'Inca Pachacutec






. On peut encore admirer les murs incas originels dans certaines rues de la ville ou même le temple du Soleil, Qorikancha, de nouveau révélé au monde après le tremblement de terre de 1950. En effet sur les fondations de ce temple avait été bâti le couvent Santo Domingo, fortement endommagé par le séisme.



Après avoir détruit une bonne partie de la ville en 1534, les Espagnols y érigèrent une cathédrale au XVIe siècle. La ville perdit de son importance au profit d'Arequipa, mais la découverte du Machu Picchu en 1911 relança son essor au profit du tourisme. On peut en effet y trouver bon nombre de guides et d'excursions vers le Machu Picchu et la vallée sacrée autour de la plaza de Armas.



Le Machu Picchu (du quechua machu, vieille, et picchu, montagne)[note 1] est une ancienne llaqta (cité) inca du XVe siècle, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Picchu ou Picho. Selon des documents du XVIe siècle, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacutec. Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions et le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux. Les deux usages ne s’excluent pas forcément. En revanche, les experts ont écarté l’idée d’un ouvrage militaire.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Machu_Picchu









Valparaiso Santiago







Valparaíso est un port et une ville chilienne, capitale de la région et de la province homonymes. Elle est le premier port et la deuxième ville du Chili. La ville fait partie de la conurbation du Grand Valparaíso et est délimitée par l'océan Pacifique à l'ouest et par les communes de Casablanca au sud, Quilpué à l'est et Viña del Mar au nord.




Elle accueille plusieurs instances de portée nationale : le Congrès National, la Commandanture en chef de la marine chilienne, le service des Douanes et le Conseil National de la Culture et des Arts.
 


Son centre historique a été déclaré Patrimoine culturel de l'Humanité par l'UNESCO en 2003. C'est aussi une ville intellectuelle, avec quatre universités et le siège du plus ancien journal hispanophone du monde,El Mercurio de Valparaíso, fondé le 12 septembre 1827.





[DO]Hardi, les gars, vire au guindeau,
Good[SOL7]bye, farewell, good bye fare[DO]well,
Hardi les gars, adieux Bordeaux
Hourrah, oh ! [RE7]Mexico, O, O, [SOL]O,
Au [DO]cap Horn[SOL7]il ne fera pas[LAm]chaud, Haul away, [REm]Hé !
Ou latch’aller ! Pour faire la pêche, au cachalot,
[SOL7]Ha ! L’matelot, et ho-hisse et [DO]ho !


















Plus d’un y laissera sa peau,

Good bye, farewell, good bye farewell

Adieu misère, adieu bateau,

Hourrah, oh ! Mexico, O, O, O,

Et nous irons, à Valparaiso, Haul away, Hé !

Ou latch’aller ! Ou d’autre y laisseront leurs os.

Ha ! L’matelot, et ho-hisse et ho !






Ceux qui r’viendront, pavillon haut,

Good bye, farewell, good bye farewell

C’est l’premier brin de matelot,

Hourrah, oh ! Mexico, O, O, O,

Pour border, ils seront tous à flot, Haul away, Hé !

Ou latch’aller ! Bon pour la fille, et le couteau,

Ha ! L’matelot, et ho-hisse et ho











Photos MP Briantais SM Valverde Marine nationale

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...