PHM Aviso LV Le Henaff Corymbe 151
Les opérations extérieures françaises (Opex) ont à pâtir de la pandémie de coronavirus.
Tout le monde à entendu parler du Charles de Gaulle et de son retour anticipé à Toulon...
Fin mars, la France a décidé de rapatrier jusqu'à nouvel ordre ses 200 militaires déployés en Irak, pays durement frappé par le Covid-19.
Le porte-hélicoptère français Mistral, qui faisait route vers l'Asie pour veiller au respect du droit maritime international dans des zones de tensions comme en mer de Chine, a changé de cap la semaine dernière pour rallier La Réunion et Mayotte afin de porter assistance aux populations de ces deux territoires français d'Outre-mer situés dans l'océan Indien, où l'épidémie de coronavirus commence à sévir.
Fin mars, la France a décidé de rapatrier jusqu'à nouvel ordre ses 200 militaires déployés en Irak, pays durement frappé par le Covid-19.
Le porte-hélicoptère français Mistral, qui faisait route vers l'Asie pour veiller au respect du droit maritime international dans des zones de tensions comme en mer de Chine, a changé de cap la semaine dernière pour rallier La Réunion et Mayotte afin de porter assistance aux populations de ces deux territoires français d'Outre-mer situés dans l'océan Indien, où l'épidémie de coronavirus commence à sévir.
Pour la première fois, la Marine française a également suspendu la mission Corymbe, qui prévoit la présence permanente d'un navire au moins dans le Golfe de Guinée pour protéger les intérêts français dans la zone (80.000 ressortissants français) et contribuer à la diminution de l'insécurité maritime, a-t-on appris de source militaire.
Les militaires français de retour d'opérations extérieures bénéficiaient depuis 2009 d'un séjour en Crète (appelé «sas») pour décompresser avant leur arrivée en France, mais le coronavirus a contraint les armées à la «fermeture temporaire» de ce dispositif, a appris l'AFP.
Les militaires français de retour d'opérations extérieures bénéficiaient depuis 2009 d'un séjour en Crète (appelé «sas») pour décompresser avant leur arrivée en France, mais le coronavirus a contraint les armées à la «fermeture temporaire» de ce dispositif, a appris l'AFP.
Sources
La Croix