25 août 2018

LOME TOGO Novembre 1986 ZMOI

LOME TOGO Novembre 1986 



François Mitterrand s'est rendu au TOGO en 1983 puis en 1986.
C'est à l'occasion de la visite de 1983 que le gouvernement Togolais a émis une série de timbre pour célébrer les relations Franco-Togolaise.


Du 13 au 15, François Mitterrand commence sa troisième série de visites officielles en Afrique par le Togo. Il s'entretient avec le président, le général Gnassingbe Eyadema, dans un climat cordial.




Les 15 et 16, François Mitterrand est au Bénin où, lors d'un dîner offert par le président Kerekou, il met en garde la Libye contre toute nouvelle intervention dans le conflit tchadien. Cet avertissement s'adresse aussi au Bénin qui a longtemps soutenu Tripoli dans cette affaire.




Les 17 et 18, le président français est au Gabon où l'accueil est chaleureux. Cependant, le président Omar Bongo adresse un sévère avertissement aux coopérants français pas assez « dociles » et demande publiquement l'aide de la France pour la construction d'une centrale nucléaire. Le voyage se termine par l'inauguration du deuxième tronçon du transgabonais.



François Mitterrand est revenu en 1986 au TOGO  

Du 13 au 15, la treizième conférence des chefs d'États de France et d'Afrique francophone a lieu à Lomé au Togo en présence du président François Mitterrand et du Premier ministre Jacques Chirac. Pour éviter que se renouvellent les dépassements financiers du sommet de Bujumbura de 1984, l'enveloppe débloquée par la France pour aider le Togo dans l'organisation a été fixée à 10 millions de francs.

Ce sommet est marqué par deux prises de position importantes de François Mitterrand : à propos du Tchad, après le ralliement d'une partie de l'opposition au gouvernement d'Hissène Habré, la France s'engage à maintenir et même peut-être à accroître son aide militaire, puisqu'une guerre tchado-libyenne a succédé à une guerre civile ; d'autre part, l'idée d'un plan Marshall des pays du Nord au bénéfice des pays du Sud, lancée par le président Eyadema, hôte du sommet, est reprise par François Mitterrand. Le chef de l'État français, qui avait commencé sa tournée africaine par une visite en Guinée, les 12 et 13, quitte Lomé pour se rendre au Mali, les 15 et 16, puis au Burkina, les 17 et 18, tandis que Jacques Chirac fait deux escales, à l'aller au Congo et au retour en Côte-d'Ivoire. Universalis 

XIIe Lomé 13 décembre 1986

Président français : François Mitterrand. Le Premier ministre, Jacques Chirac assiste également à la réunion. Un symbole de la cohabitation politique.
Le Liberia et le Soudan sont représentés pour la première fois à un haut niveau : Samuel Doe et Ali Hassan Taj Eddin conseiller spécial du nouveau président Sadiq al-Mahdi pour les questions africaines. Le sommet compte un invité spécial : Jacques François membre du Conseil national de gouvernement mis en place par le général Namphy, à Haïti.
Au Tchad : Goukouni Weddeye se retourne contre ses alliés libyens et fait alliance avec Hissène Habré. L'unité retrouvée des Tchadiens est saluée mais le dispositif militaire français (Epervier) est toujours en place pour contenir les troupes libyennes. 



Le Togo sort tout juste d'une attaque commando (23 septembre) et le président Gnassingbé Eyadema qui a fait appel aux militaires français dans le cadre des accords de défense, dénonce «les forces ennemies de la paix qui exporte la violence terroriste». 



François Mitterrand appuie la proposition de plan Marshall pour les États africains soumise par le président togolais, en donnant cinq lignes de conduite : assurer une croissance élevée et durable aux pays en voie de développement, augmenter les aides publiques à ces pays, ouvrir les marchés du Nord aux produits de ces pays, résoudre le problème de l'endettement et progresser vers le désarmement. 

Soutien à nouveau au référendum au Sahara occidental et condamnation du régime d'apartheid en Afrique du Sud.


Je sors les reliques... 

Rencontre du Président François Mitterrand dans les jardins de l'Ambassade de France à Lomé





Sources 
«  13-18 novembre 1986 - France – Afrique. Sommet franco-africain au Togo », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 19 août 2018. URL : http://www.universalis.fr/evenement/13-18-novembre-1986-france-afrique-sommet-franco-africain-au-togo/

24 août 2018

Amers et azimut Situation des principaux bâtiments déployés au 21 août 2018

Amers et azimut

Situation des principaux bâtiments déployés au 21 août 2018

22 bâtiments   aéronefs    1 775 marins
Opération Chammal
FDA Chevalier Paul (mer Méditerranée) + Caïman Marine
Atlantique 2
CTF 150
FLF Courbet (océan Indien) + Panther
Surveillance maritime
FASM Latouche-Tréville (océan Atlantique) + Lynx
BHO Beautemps-Beaupré (mer du Nord)
PHM Cdt Bouan (mer Méditerranée)
Patrouilleur L'Astrolabe (océan Indien)
PSP Cormoran (océan Atlantique)
Falcon 50 (Dakar)
Mission hydrographique
BH Borda (océan Atlantique)
B2M D'Entrecasteaux (océan Pacifique)
Opérations de guerre des mines 
CMT Andromède (océan Atlantique)
BRS Altaïr (océan Atlantique)
Opérations de police des pêches
BEGM Thétis (océan Atlantique)

365 jours par an, 24H sur 24, sur tous les océans et mers du globe, ce sont en moyenne 35 navires à la mer, 5 aéronefs en vol, des fusiliers marins et commandos déployés, soit près de 5 000 marins sur, sous et au-dessus de la mer pour préserver les intérêts de la France et garantir la sécurité des français.

L'ARCHEONAUTE Direction des Recherches archéologiques sous-marines André Malraux

de L'ARCHEONAUTE à l'André Malraux 

Direction des Recherches archéologiques sous-marines 



Née dans le pas des pionniers qui, en 1943, avaient inventé le scaphandre autonome et, en 1952, avaient inauguré en rade de Marseille la première étude au monde d’une épave immergée, l’'archéologie sous-marine a vu le jour en France, en 1966, lorsque André Malraux, alors ministre des Affaires Culturelles, décida de créer au sein de son ministère un Département des recherches archéologiques subaquatiques et sousmarines (drassm). 

Doté dès 1967 de L’Archéonaute, premier navire de recherche archéologique au monde, ce service, qui, depuis sa base de Marseille, exerce son activité sur près de 11 millions de kilomètres carrés, de l'’Atlantique au Pacifique et de l'’Indien à la Méditerranée, s'’est au fil des décennies imposé comme le chef de file planétaire de la discipline. En témoignent les mille cinq cents sites sous-marins d’ores et déjà analysés et étudiés par les archéologues français, tant en France qu’à l'’international où leur expertise est souvent sollicitée. 

L'André Malraux photo Bernard Hily



A l'’heure où un nouveau navire de recherche, l’'André Malraux, est en passe de venir remplacer au drassm un Archéonaute atteint par la limite d’âge après avoir sillonné quarante années durant la Méditerranée, il nous a paru opportun d’explorer la mémoire de ces décennies prodigieuses qui ont vu naître et se perfectionner un métier. Consigner, jour après jour, la naissance de l'’André Malraux au sein du chantier naval H2X de La Ciotat et l’illustrer des portraits et des explications des hommes qui le construisent et l’'ont conçu, revenir symétriquement sur la genèse de L'’Archéonaute, dont il est l’héritier, et raconter les lieux, les hommes, les anecdotes secrètes qui ont fait l’histoire de l’'archéologie sous-marine, arpenter à cette occasion l’histoire célèbre ou méconnue d’une quarantaine d’épaves qui matérialisent les Très Riches Heures de la discipline, depuis ses premiers balbutiements au Grand Congloué, à l'’aube des années 1950, jusqu’à la mise en chantier du Malraux, mêler en un mot l’ancien et le nouveau, saluer l'’héritage, évoquer les enjeux, tel est le propos de cet ouvrage.

L'André Malraux photo Bernard Hily

Admis au service actif depuis le 27 août 1967, L'Archéonaute n'est pas un bateau comme les autres.
Unique bâtiment de ce type, il est aussi unique de part son statut. En effet, s'il était, jusqu'en 1997, armé par la Marine nationale, c'est au ministère de la culture qu'il appartenait. 




Ce dernier avait financé sa construction pour l'affecter à la DRASM (Direction des Recherches Archéologiques Sous-Marines). Car L'Archéonaute est un bâtiment spécialement construit pour la recherche archéologique sous-marine.

Pour des raisons d'économie budgétaire, la Marine a désarmé le bâtiment le 15 avril 1997. 



Cependant, comme le bâtiment était encore en bon état, à l'issue d'un bon carénage à Marseille, il reprit du service le 18 juin 1998. Cette fois, le ministère de la culture choisit une société privée, Serra-Marine(devenu aujourd'hui FOSELEV), de la Seyne-sur-mer, pour armer le bâtiment. C'est cette société qui, maintenant arme et entretient le bâtiment.




Le petit navire de guerre est donc redevenu civil, tout en restant un navire d'Etat. La marque A789 a disparu et sous la plaque portant son nom en lettres de cuivre, est désormais inscrit le port d'attache : Marseille. Tout ceci n'a été possible que grâce à la détermination de quelques-uns et à leur conviction que les recherches archéologiques possèdent, avec lui, un instrument unique, sans équivalent dans les autres pays méditerranéens dont les côtes sont pourtant, comme les nôtres, riches en épaves anciennes et en vestiges de toutes sortes.


Une grande aventure scientifique

Pour partir à la découverte et réaliser l’expertise des épaves, les fouilles et les recherches mobilisent des équipes de passionnés et des savoirs scientifiques et techniques multiples : c’est l’histoire de l’humanité que les archéologues-plongeurs explorent pour en partager les trésors.

L’archéologie sous-marine est intimement liée à l'évolution des progrès techniques. Pour aller toujours plus loin sous la mer, l’homme fait preuve d’ingéniosité.De l’air, de l’air !
Dès l’Antiquité, l’homme plonge en apnée pour pêcher et, bientôt, grâce à la cloche à plongeurs, il explorera en 1553 deux épaves romaines. Ce premier système de plongée sera perfectionné jusqu’à la mise au point du scaphandre à casque, en 1819. Équipés de chaussures plombées, les scaphandriers sont alimentés depuis la surface par une pompe, un dispositif dangereux car sensible aux variations de pression.
L’avènement du « scaphandre autonome », en 1943, affranchit le plongeur du casque et des chaussures. Le débit de la bouteille d’air comprimé est alors réglé à la main. Mais c’est la mise au point du détendeur Cousteau-Gagnan en 1946 qui représente le vrai tournant de l’histoire de la plongée en délivrant désormais de l’air à volonté.




L’archéologie du XXIe siècle
Les découvertes se multiplient grâce au développement de la robotique et de l’informatique. Il est possible d’étudier un chargement par photogrammétrie, une cartographie en trois dimensions, ou de nettoyer le sédiment à l’aide d’un ventilateur contrôlé par la caméra d’un robot.
Le projet européen Vénus qui associe l’Italie, le Portugal et la France, innove sur une épave chargée d’amphores découverte à Marseille par la Comex à 110 m de fond. Tout près du Grand Congloué, où elle vit le jour il y a plus de 50 ans, l’archéologie sous-marine prépare ainsi le XXIe siècle. Il sera celui des épaves profondes.

La remise au jour de biens culturels maritimes est soumise à autorisation préalable du Drassm et le responsable d'opération doit respecter les prescriptions édictées pour garantir la conservation des objets prélevés. Dès l’amorce de l’opération, il est impératif de mettre en œuvre un ensemble de mesures pour prévenir leur dégradation.

Dès le dégagement d’un objet, l’équilibre précaire dans lequel il se trouve depuis son enfouissement est rompu. Il subit alors de multiples agressions consécutives à l’évolution brutale de nombre de facteurs, température, humidité ambiante, luminosité… Une série de phénomènes physico-chimiques s’amorce. Si rien n’est organisé pour assurer sur le chantier la prise en charge de l’objet, il est à craindre qu’il ne soit bientôt trop tard pour assurer sa préservation, surtout pour les matières organiques.



Longueur : 30 mètres
Largeur : 6 mètres
Tirant d'eau : 2,6 mètres
Déplacement : 120 tonnes
Puissance : 600 Cv Equipage : 6 à 12 plongeurs
Drome : 2 zodiacs avec HB 60 CV et HB 45 CV.
Transmissions : 4 VHF portables.
Manutention : une grue hydraulique.
Radar : un radar de navigation Furuno

Merci à Bernard Hily pour ces photos de l'André Malraux lors des recherches de la Cordelière à Brest

 Sources :

Net-Marine

Ministère de la Culture et de la Communication 
 DRASM 

http://archeologie.culture.fr/archeo-sous-marine/fr

Michel L'Hour
De l'Archéonaute à l'André Malraux 

23 août 2018

RC Travailleur remorqueur côtier Toulon

RC Travailleur 


La fin des vacances approche. Il va être temps de reprendre le collier. Les vacanciers vont redevenir TRAVAILLEURS.

Et voila après ce préambule la présentation de notre remorqueur côtier A692

Le remorqueur côtier Travailleur, neuvième d'une série de douze unités, a été mis en chantier à l'établissement du Havre des Forges et Chantiers de la Méditerranée en novembre 1961. Mis à flot le 31 octobre 1962, il est admis au service actif le 11 juillet 1963 et sera affecté à la Direction du port de Toulon tout au long de sa carrière.




Une carrière qui commence par une traversée du Havre à Mers el-Kébir en juillet 1963, escorté par le dragueur Autun. Le Travailleur effectuera, à cette occasion, le remorquage des destroyers Marocain et Sakalave, alors désarmés, jusqu'à Toulon. 


A la fin des années 60, on le verra également effectuer des travaux de remorquage dans les ports de Marseille et Lavera au profit de bâtiments de commerce pendant les grèves. Une autre mission tout aussi exotique, sera la surveillance des pêches lors de la pollution du Rhône en 1985. Mais c'est surtout les travaux de remorquage de bâtiments militaires de fort tonnage, comme les porte-avions Foch et Clemenceau, qui auront rythmé la vie de ce petit navire.


La carrière militaire de ce petit navire s'est achevé le 30 août 2002. Ses missions sont reprises par les deux remorqueurs type Estérel.


Le Travailleur est vendu fin mars 2003 à un particulier d'Antibes, M. Brice Quillien, qui l'entretenait avec soin, sous pavillon français. En juin 2007, il est vendu à M. JP Béchemin sur un coup de coeur. Après quatre mois de travaux, à Antibes d'abord, et ensuite au chantier Monaco Marine de La Ciotat (carénage, anodes, échange de la bague arrière), Le Travailleur (et non plus Travailleur) reprend la mer équipé de neuf en matériel de navigation, il fait une longue traversée d'un mois pour rejoindre Pointe Noire (Congo) avec une escale à Las Palmas. Il travaille désormais dans les eaux congolaise sous pavillon congolais et s'est joint aux deux autres remorqueurs de M. Béchemin qui opèrent sur sites pétroliers. Il a retrouvé une seconde vie pour le travail sur les champs pétroliers (barges, supply, etc...). En janvier 2008, il a subit une remise à niveau complète.


En mars 2008, M. Béchemin nous signalait qu'il recherche un mécanicien confirmé pour venir bosser à bord (cette machine pour beaucoup, c'est un casse tête), et également une pompe à huile, celle qui est à bord est un peu fatiguée :

















Sources : 


http://www.netmarine.net/bat/remorque/travailleur/index.htm

Marius Bar Toulon 
Dessin Yannick Le Bris

22 août 2018

Croiseur Jeanne d'Arc Escorteur La Grandière Croisière 1953 - 1954

Croiseur Jeanne d'Arc Escorteur La Grandière Croisière 1953 - 1954

Pli du croiseur Jeanne d'Arc TàD hexagonale 23-4 1953 avant départ en croisière 

Hier petite virée au marché de Saint-Servan sous un léger crachin et sous la halle Pascal me propose trois livres... Les croisières du croiseur Jeanne d'Arc et de l'Escorteur La Grandière pour les années 1952-1953  1953-1954 et 1954-1955. 
Et cerises sur le gâteau dans l'album des années 53-54 deux photos de marins en escale à Valparaiso. Le format est un peu grand pour mon scanner... donc certaines illustrations sont rognées.









Capitaine de vaisseau Béret 20/08/1952-20/08/1954 



Le livre est illustré par Luc-Marie Bayle, officier de Marine, peintre de la Marine 




Son enfance est marquée à l'âge de neuf ans par la mort de son père. Fils de marin, petit-fils de marin – son grand-père avait commandé l'escadre d'Extrême-Orient et notamment le croiseur Duguay-Trouin dépêché dans le Pacifique en 1896-1897 pour réprimer des soulèvements dans les îles de Raiatea et de Tahaa 
la famille de Luc-Marie Bayle le destine à la marine. 







Il avoue enfant avoir été tenté par la couture et avoir voulu devenir tailleur pour dames "J'aimais infiniment habiller les poupées de ma petite sœur, couper leurs robes, bâtir l'étoffe, soigner les ourlets..."1 Il pratique très tôt la caricature : ébauches de têtes, silhouettes de divers personnages familiers ou non.Il se lance également "dans des scènes d'abordages épouvantablement sanglantes, des combats navals où volaient têtes et corps coupés en deux ou plus..."







Il intègre l'École navale en 1932 avec d'excellentes notes en dessin.

Promu officier, il navigue sur différents bâtiments de la Marine nationale, effectue une campagne en Chine sur la canonnière le Balny en 1935, embarque sur l'aviso le Tamurg, puis à son retour, il étudie à l'école des fusiliers marins de Lorient en 1935. Il embarque pour l'Afrique à bord de l'aviso d'Entrecasteaux à la recherche de sous-marins ennemis. 


Le 19 juin 1940, il participe à la sortie du cuirassé Jean-Bart des chantiers de Saint-Nazaire, avant l'arrivée des troupes allemandes. À bord, il réalise pour le carré des officiers une aquarelle relatant cet événement, aujourd'hui conservée au Musée national de la Marine.

Il accomplit deux missions vers La Terre-Adélie sur le bâtiment polaire Commandant Charcot en 1949 puis 1950 sous le commandement du capitaine de frégate Max Douguet. 



Il assure à bord les missions multiples de photographe, historiographe et peintre officiel. Puis, il travaille au service de presse-information de la Marine de 1944 à 1948 puis de 1952 à 1956. De 1950 à 1951, il fait partie d'un groupe d'action anti-sous-marine à Toulon. De 1959 à 1960, il travaille au Service historique de la Marine. 

Luc-Marie Bayle escale au Chili croisière 1953-1954

Il commande la Marine française en Polynésie de 1956 à 1958. En 1975, il est élu à l’académie de Marine.
Et voici donc les photos retrouvées. Elles sont présentées collées dans un carton qui en assure la protection. En escale à Valparaiso du 24 novembre au 2 décembre, la colonie française offre une excursion et un déjeuner aux marins.














Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...