Mission GGDM 23 Djibouti CMT Andromède
| Mer Rouge - GGDM23 : sécurisation des voies maritimes Déployé au sein du Groupe de guerre des mines | 
(GGDM), le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède a franchi le canal de Suez le 18 février, marquant son entrée en mer Rouge.   
Depuis début février, un état-major de guerre des mines ainsi qu’un détachement composé d’une quinzaine de marins issus de trois Groupes de plongeurs-démineurs (GPD) sont déployés aux Émirats arabes unis dans le cadre du Groupe de guerre des mines 23 (GGDM 23). Ils opèrent sous le commandement du Mine Countermeasures Tasking Authorites (MCM TA). Ils complètent ainsi les moyens embarqués par le Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède déployé depuis le 1er février au sein du GGDM 23.
Ce détachement d’une quinzaine de plongeurs-démineurs du GPD de l’Atlantique conduit des opérations de chasse aux mines dans les ports émiriens. Ces éléments français se composent d’une équipe de recherche et d’un groupe spécialisé en déminage d’engins explosifs (Explosive Ordnance Disposal).
Le déploiement du GGDM 23 a débuté le 1er février avec l’appareillage de Brest du Chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède. Le bâtiment français a ensuite rallié la mer Méditerranée et la mer Adriatique, où il a intégré pendant plusieurs jours le Standing NATO Mine Countermeasures Group 2 (SNMCMG2).
Le CMT Andromède a ensuite mis le cap vers l’Égypte afin pour une action de coopération dans le domaine de la plongée avec les marins égyptiens. Après avoir franchi le canal de Suez, le CMT a réalisé des opérations de chasse aux mines en mer Rouge et dans le golfe d’Aden avant de rallier l’océan Indien.
GGDM 23 s’inscrit dans la continuité des déploiements bisannuels précédents. Pour la 7e fois depuis 2011, la France déploie un Groupe de guerre des mines jusqu’en océan Indien. Avec celui-ci, les armées françaises participent à la sécurisation des approvisionnements et de la navigation dans les zones d’intérêts stratégiques, aux côtés de leurs partenaires. La guerre des mines est un catalyseur de la coopération internationale dans la zone, rappelant l’attachement de la France à la sécurité et la liberté de navigation dans le respect des règles internationales.
https://www.colsbleus.fr/fr/node/1278


 














 de Lafayette, est né le 6 septembre 1757 au sein d’une vieille famille de la noblesse d’Auvergne qui compte également l’écrivaine Madame de La Fayette, auteur de La Princesse de Clèves. Cependant, suite à sa participation à la Guerre d’Indépendance américaine et à la Révolution française, il décide, à partir de 1789, d’abandonner l’orthographe nobiliaire en deux mots et de signer tous ses courriers d’un simple « Lafayette » en un seul mot. Cette graphie sera utilisée par ses contemporains jusqu’à sa mort, ainsi que par sa famille au moment de la publication de ses Mémoires, correspondance et manuscrits. C’est également celle qui apparait sur sa pierre tombale, au cimetière de Picpus, et qui sera immédiatement adoptée aux Etats-Unis, où on trouve désormais de nombreuses villes baptisées en son honneur.  Pourtant, en France, on reprit assez rapidement l’habitude pré-révolutionnaire d’écrire « La Fayette » en deux mots !
 de Lafayette, est né le 6 septembre 1757 au sein d’une vieille famille de la noblesse d’Auvergne qui compte également l’écrivaine Madame de La Fayette, auteur de La Princesse de Clèves. Cependant, suite à sa participation à la Guerre d’Indépendance américaine et à la Révolution française, il décide, à partir de 1789, d’abandonner l’orthographe nobiliaire en deux mots et de signer tous ses courriers d’un simple « Lafayette » en un seul mot. Cette graphie sera utilisée par ses contemporains jusqu’à sa mort, ainsi que par sa famille au moment de la publication de ses Mémoires, correspondance et manuscrits. C’est également celle qui apparait sur sa pierre tombale, au cimetière de Picpus, et qui sera immédiatement adoptée aux Etats-Unis, où on trouve désormais de nombreuses villes baptisées en son honneur.  Pourtant, en France, on reprit assez rapidement l’habitude pré-révolutionnaire d’écrire « La Fayette » en deux mots !

















 Le 2 avril le commandant de l’Aconit, le lieutenant de vaisseau Levasseur, reçoit la croix de la Libération des mains du général de Gaulle et, le 21 avril 1943, la corvette Aconit est citée à l’ordre des Forces Françaises Libres.
Le 2 avril le commandant de l’Aconit, le lieutenant de vaisseau Levasseur, reçoit la croix de la Libération des mains du général de Gaulle et, le 21 avril 1943, la corvette Aconit est citée à l’ordre des Forces Françaises Libres.













 
