25 octobre 2014

Enduring Freedom Fregate GUEPRATTE

Enduring Freedom 
Frégate GUEPRATTE


Le Courbet quitte Enduring Freedom

L'opération Enduring Freedom (OEF, en français opération Liberté Immuable) est l'opération officielle du gouvernement américain pendant la guerre d'Afghanistan menée à la suite des attentats du 11 septembre 2001 et comportant plusieurs opérations subordonnées toutes sous la marque de la Guerre contre le terrorisme.


Engagé depuis le 4 août dans l’opération multinationale de lutte anti-terroriste Enduring Freedom, au sein des Task Forces150 et 152, le Courbet assure la contribution de la France à la mission de lutte contre les trafics maritimes liés au terrorisme dans la mer Rouge, le golfe d’Aden, la mer d’Arabie et le golfe d’Oman. L’opération Enduring Freedom a été lancée immédiatement après les attentats du 11 septembre 2001.

Parmi les nombreuses activités accomplies durant ces deux mois a eu lieu la visite complète d’un boutre suspect, ainsi qu’une vingtaine de contrôles appelés « approach and assist » contribuant à la protection des activités maritimes licites, et à la connaissance de la zone par la coalition. Le Courbet a également réalisé des manœuvres conjointes avec le groupe britannique Cougar 14 en mer Rouge et lors du passage du détroit de Bab el Mandeb. Auparavant, l’interaction avec le Carrier Strike Group 2américain dans le golfe arabo-persique s’était remarquablement bien déroulée. A chaque escale, le Courbet et la Marine des pays visités ont par ailleurs mené des actions de coopérations.

Le Courbet sera relevé par le Guépratte.

Merci à la section Ile de France



24 octobre 2014

Jean Cocteau guerre 1914 1918 Fusilier marin Brancardier Flandre Yser 1914 1918

Jean Cocteau 
la guerre de 14-18 et les fusiliers marins

En contre-point de la chronique de Donec, voici une présentation des activités de Jean Cocteau durant la première guerre mondiale.



1914

En janvier, il voit Stravinski, de passage à Paris, et lui présente un projet de ballet, une « parade » de music-hall, David. Mais, rappelé par Diaghilev à ses engagements antérieurs, Stravinski n’achèvera pas ce ballet. Rentré à Paris, Cocteau achève Le Potomak. 


"N'ayez pas peur, petite, nous venons simplement vous demander votre main"
caricature Jean Cocteau parue dans  le Mot

Réformé, il ne veut pas rester inactif quand la guerre est déclarée. Au début d’août, il est engagé à la Croix-Rouge, où il est chargé de tâches humanitaires. En septembre, il participe au convoi d’évacuation de blessés en Champagne et assiste au bombardement de Reims. 

Rentré à Paris, il rend visite à Barrès : ces entretiens le déçoivent. Il prépare avec Paul Iribe la revue Le Mot dont le premier numéro paraît le 28 novembre ; il y signe ses dessins du pseudonyme de Jim. 

Le 26, le conseil de révision de la Seine le classe dans le service auxiliaire. Il se porte volontaire pour la Section d’ambulances aux armées créée par Etienne de Beaumont et part comme convoyeur vers le front de Flandre.



1915

En janvier, Le Mot devient hebdomadaire ; son vingtième et dernier numéro paraîtra en juillet. Cocteau fait la connaissance de Raoul de Castelnau, qui lui inspirera le personnage de Thomas l’Imposteur. Le Figaro du 14 février publie en première page son Hymne à Joffre. Cocteau commence le poème qui deviendra Le Cap de Bonne-Espérance. Valentine Gross l’introduit dans le milieu de la peinture moderne. 

Il est appelé au service actif le 4 mars et se voit muté, le 18, dans l’intendance à la 22e section des commis ouvriers. Le 13 novembre, il est mis en situation de sursis au titre de la Société française de secours aux blessés, rue François Ier, et affecté au service des ambulances. 

Le 18 décembre, il part comme ambulancier auprès d’une unité de fusiliers marins sur le font de Nieuport. 

Cette fin d’année sera déterminante dans ses orientations artistiques. Il rencontre Erik Satie chez Valentine Gross et lance le projet de Parade. Au début de décembre, Varèse lui fait rencontrer Picasso.


1916
Cocteau passe tout l’hiver sur le front de l’Yser. De la fin de mars au début d’avril, il est en permission à Paris. 


Picasso l’introduit à Montparnasse et, le 1er mai, fait son portrait en uniforme. Le projet de Parade se précise. 

Cocteau retourne au front du 7 au 30 mai, puis il est en permission à Boulogne-sur-Mer du 1er au 10 juin : il y retrouve Valentine Gross. Le 24, il quitte Nieuport pour une autre affectation à Amiens. 

Le 29 juillet, il est définitivement de retour à Paris. 

En septembre, il est détaché au service de propagande du ministère des Affaires étrangères

Il participe activement à la vie littéraire et artistique. Il fréquente Paul Morand, rencontre dans des salons Bakst, Stravinski, Darius Milhaud… Il écrit une des trois préfaces pour le catalogue de l’exposition de peinture française organisée à Oslo en novembre et en décembre. Il contribue à la première exposition de l’association Lyre et Palette qui se tient à Montparnasse.



1917

Diaghilev décide de faire représenter Parade par les Ballets russes et charge Massine de la chorégraphie. Du 19 février au 9 avril, Cocteau et Picasso rejoignent à Rome la troupe des Ballets russes pour la préparation du ballet. Le 10 et le 11 mars, il fait une excursion à Naples et à Pompéi. La première de Parade a lieu le 18 mai au Châtelet. Le public et la critique sont plus surpris que scandalisés par la musique de Satie et par les décors et les costumes de Picasso. Du 17 août au 15 octobre, il effectue un premier séjour au Piquey, sur le bassin d’Arcachon, avec les Lhote.


1918
Cocteau est à Grasse, dans la villa des Croisset, jusqu’au 10 février. Il y écrit Le Coq et l’Arlequin. Il est introduit par Cendrars aux Editions de la Sirène fondées par Paul Laffitte à la fin de 1917. 

Le 2 juillet, il est définitivement réformé. 


Apollinaire

Le 12 juillet, il est témoin, avec Apollinaire et Max Jacob, au mariage de Picasso et d’Olga Koklova et, le 7 août, avec Satie au mariage de Jean Hugo et de Valentine Gross. Il vit à Paris chez les Beaumont, du 15 juillet au 12 août, puis séjourne au Piquey jusqu’au début d’octobre. Mort d’Appolinaire le 9 novembre : Cocteau se considère comme son héritier spirituel. Publication de Dans le ciel de la patrie. Le Cap de Bonne-Espérance et Le Coq et l’Arlequin, achevés d’imprimer en décembre aux Editions de la Sirène, ne seront mis en vente qu’en janvier.






sources :

Comité Cocteau

http://www.jeancocteau.net/bio1_fr.php

http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire1418/2014/09/11/2600220140911ARTFIG00073-l-hymne-au-general-joffre-de-jean-cocteau-1915.php


Dominique Marny  Jean Cocteau Archéologue de sa nuit Textuel 2010

humour dans le carré par DONEC

Sacré Jean


Bonjour à Tous,

Pour venir en aide à l’armée belge en difficulté dans la région d’Ypres les 6000 fusiliers marins de l’amiral Ronarc’h sont envoyés en renfort du coté de l’Yser où ils vont se couvrir de gloire dès le 9 octobre 1914.

Parmi eux, un passager clandestin : Jean Cocteau.


L’auteur de « Thomas l’imposteur » est épris d’un membre de cette troupe d’élite. Il se rend sur l’Yser en fraude, avec un convoi de la Croix Rouge. A Koksijde-bains il est au milieu des fusiliers marins qui l’adoptent. Notre héros fini par se croire des leurs. L’amiral le propose pour la croix de guerre…et découvre le pot aux roses.


Enfin c’est la légende….

Le ciel vous tienne en joie et à la semaine prochaine

Donec

PS : Jean Cocteau a dédié la suite poétique « discours du grand sommeil » dans laquelle figure « Adieu aux fusiliers marins » à un officier de ce corps Jean Le Roy.

Bonus : un article de « Paris Match » sur les combattants Kurdes. Les photos sont l’œuvre de mon ami Bernard SIDLER ex second maître photo et ci-devant grand reporter.









23 octobre 2014

Brest Le Conquet Radio

Brest Le Conquet Radio 


Installé à la pointe des Renards, dans les vestiges des fortifications allemandes, Radio Conquet puis dans 2 cabanes avant la construction de locaux modernes.





Le centre radio-maritime du Conquet, appelé aussi Le Conquet radio ou FFU (station Française Fixe de Ushant), situé sur la pointe des Renards face à l'archipel de Molène, avait depuis 1950 pour mission d'établir un contact en moyenne fréquence avec les bateaux du golfe de Gascogne à la mer d'Irlande. Il a été fermé le 28 février 2000

Le 10 mars 1950, le personnel au Conquet se compose ainsi : 1 inspecteur exploitation, 2 inspecteurs-adjoints exploitation, 2 inspecteurs-adjoints techniciens, 4 agents d’exploitation.



Ses locaux sont actuellement occupés par les services du Parc naturel marin d'Iroise.




Toutefois, sa mission a été reprise la même année par Radio Vacation Pêche.

Le centre Le Conquet radio avait remplacé la station Ouessant TSF Indicatif (radio) FFU2 détruite en 1944 par fait de guerre.





Le centre Le Conquet radio, Indicatif (radio) FFU, MMSI 00 227 0300, sur ondes hectométrique et VHF effectuait la veille sur les fréquences internationales de détresse et d'appel:


Canal 16 en radiotéléphonie, avec une portée d'exploitation jusqu'à 40 km le long des côtes.

2187,5 kHz en Appel sélectif numérique avec le numéro d'identité du service mobile maritime 00 227 0300, avec une portée d'exploitation jusqu'à 600 km.

2182 kHz en radiotéléphonie, avec une portée d'exploitation jusqu'à 600 km.

500 kHz en radiotélégraphie avec une portée d'exploitation jusqu'à 1 000 km.



En février 2000, Radio Conquet, véritable voix de la mer, cesse d'émettre, sacrifiée au nom du progrès et de la rentabilité... Coupés du monde et de leur proches, les marins pêcheurs bretons décident alors de mettre sur pied leur propre station radio maritime.
Le 31 janvier 1997 à 23 h 46 Temps universel coordonné

cq cq cq de ffu ffu ffuf/cl down broadcast =this is our final cry on 500 khz before eternal silence stopnearly all the century round ffu has provided w/t svc at the tip of brittany stopthank you all for good kii good cooperation over decades and best wishes to those remaining on air stopgood bye from all at brest le conquet radio stopsilent key for ever stopadieu 31 01 1997 / 2348 gmt b de ffu + + va. …

http://www.dailymotion.com/video/x217bh_les-voix-de-la-mer_news


pour en savoir plus

http://recherches.historiques-leconquet.over-blog.com/article-29792795.html

Merci à Bernard Hily

Saint-Servan Place Bouvet

Saint-Servan Place Bouvet



A Saint-Servan, commune rattachée à Saint-Malo en 1967 se tient depuis 1715 un marché tous les mardi et vendredi.
Et sur ce marché mon copain Pascal tient un stand de Bouquiniste où l'on trouve beaucoup de choses.




http://www.abebooks.fr/servlet/SearchResults?sortby=0&vci=55550909

Le marché fait face l'ancienne mairie de Saint-servan, devenue aujourd'hui mairie annexe de Saint-Malo.


photo © JM Bergougniou









  Edifié en 1869 sous le mandat du maire Edouard Michel Gouazon (1864), à l'emplacement des jardins de l'ancien couvent des Capucins, puis d'une ancienne poissonnerie de 1837 transformée en halle aux grains. Œuvre de l'architecte Hippolyte Béziers-Lafosse, l'architecture polychrome du bâtiment (ardoise, calcaire, brique) s'inspire du style Louis XIII. 





et devant la mairie se trouve un monument dédié à l'amiral Bouvet.








Ce monument a été élevé à la mémoire du contre-amiral Pierre Bouvet, né à l'île Bourbon (île de la Réunion) en 1775 et décédé dans sa maison du Glorioux à Saint-Servan en 1860. 

Il est issu d'une famille servannaise et s'engagea dans une lutte contre les Anglais sur l'océan Indien, au début du XIXe siècle. 


photo © JM Bergougniou






Il a pris successivement le commandement de l'Entreprenant, de la Minerve, de l'Iphigénie et de l'Aréthuse. Actif principalement sous le premier Empire, il a remporté de nombreux combats sur les vaisseaux anglais, notamment en 1810, où il s'est emparé du vaisseau commodore le Ceylan à Grand-Port sur l'île Bourbon. 


Goélands et pigeons se chargent de la patine…
photo © JM Bergougniou

 Le 7 février 1813, il bat l'Amélia dans un combat acharné. La chute de l'Empire met fin à sa carrière militaire.















Il termine ses jours à Saint-Servan après avoir été nommé grand officier de la Légion d'honneur et élu député d'Ille-et-Vilaine.






Le Bouvet était un cuirassé de génération pré-Dreadnought de la Marine française, lancé en 1896 et coulé par une mine le 18 mars 1915 durant la bataille des Dardanelles, pendant la Première Guerre mondiale.





Le Bouvet avait une cuirasse de 100 mm au-dessus de la cuirasse de ceinture dont le can supérieur se situait 50 cm au-dessus de la ligne de flottaison, ce qui en faisait un cuirassé relativement bien protégé pour sa génération, au-dessus de la flottaison tout au moins. Son gros point faible, comme pour tous les cuirassés français de cette époque, se situait au-dessous de la flottaison. Le compartimentage de la coque était insuffisant et surtout mal conçu et mal disposé.

Le 18.03.1915  e Bouvet saute sur une mine, il chavire dans le détroit devant Tchanak et coule en 1 minute. le Cdt est le CV Rageot de la Touche, 637 hommes disparaitront, il n'y aura que 60 rescapés.


Un escorteur d'escadre portera le nom de Bouvet 



Mis sur cale à Lorient (forme de Lanester) en novembre 1951, il fut lancé en octobre 1953 et mis en service en mai 1956.




Désarmé le 1er janvier 1982, sous le numéro de coque Q635, la coque de l'escorteur d'escadre Bouvet a servi un temps de brise-lames dans le port de Lorient.





Elle a quitté Lorient le 21 septembre 2012, pour être remorquée vers le port belge de Gand, où elle a été démolie aux chantiers Van Heygen Recycling, filiale du groupe Galloo.



L'escorteur d'escadre Bouvet avait pour ville marraine Saint Servan sur mer (Ille-et-Vilaine).




22 octobre 2014

FREMM AQUITAINE arrêt technique à Brest

FREMM AQUITAINE  
arrêt technique à Brest 


Une frégate est un navire capable d’assurer plusieurs types de missions : protection d’un bâtiment dit précieux (ex : un porte-avions), lutte anti-navire, lutte anti sous-marine ou anti-aérienne, surveillance d’une zone maritime…

Une frégate est un navire de guerre dont les dimensions, les armes et les équipements lui permettent :
de naviguer au large quelles que soient les conditions météorologiques, d’attaquer et de se défendre quelques soient le niveau et l’origine de la menace (terre, air, mer) d’attaquer des cibles terrestres grâce à des missiles de longue portée d’agir seul ou en coopération FREMM, les frégates du 21ème siècle


photo © Bernard Hily
Les arrêts techniques permettent à DCNS d’intégrer à bord les dernières évolutions technologiques et d’effectuer les opérations de maintenance lourdes (visites des moteurs principaux, des diesel-alternateurs, réglages des conduites de tir, visites réglementaires) afin de redonner du potentiel au navire.





Ces navires répondent aux besoins des marines clientes, dont un premier client à l’international, la Marine Royale Marocaine.Ces bâtiments répondent également aux normes MARPOL (MARine POLlution) les plus récentes en matière environnementale.



Avec 12 frégates, DCNS est ainsi le maître d’œuvre du plus grand programme naval de défense européen.

Les frégates multi-missions FREMM disposent des technologies les plus récentes développées par DCNS et des meilleurs équipements disponibles sur le marché.


photo © Bernard Hily

Les frégates FREMM sont à propulsion hybride
En mode silencieux les arbres et les hélices sont entraînés par des moteurs électriques, ce qui assure la discrétion acoustique requise pour les opérations de lutte anti-sous marine. En mode de propulsion grande vitesse, les lignes d’arbres sont entraînées par une turbine à gaz. Un propulseur rétractable assure la sécurité des manœuvres à quai et dans le port. Ce dernier assure ainsi la fonction de propulsion de secours dans l’éventualité d’une avarie affectant le système de propulsion principal.


merci à Daniel pour la revue de presse et à Bernard les photos

Sans faire de politique parlons un peu de l'UMP 

* Cet arrêt technique programmé marque une période d’indisponibilité pour maintenance du navire. Dans le cadre du contrat MCO FREMM, la terminologie évolue, les arrêts techniques s’intitulent désormais UMP (Unavailability maintenance period).


BPC DIXMUDE escale à Brest Hommage à l'amiral Ronac'h

Né le 22 février 1865 à QUIMPER (Finistère) -
Décédé le 1er avril 1940 à PARIS (Val de Grâce)

Il y a 100 ans, le 16 octobre 1914, débutait la bataille de Dixmude, en Belgique. Une bataille qui s'est poursuivie jusqu'au 10 novembre et a permis de contenir l'offensive allemande dans les Flandres. Des milliers d'hommes y furent engagés, Belges et Britanniques, tirailleurs sénégalais et fusiliers marins. 





Ceux-ci, au nombre de 6.500, sous les ordres de l'amiral Ronarc'h, firent preuve de courage et 3.000 d'entre eux furent tués ou blessés. Le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude vient de participer à Zeebrugge (Belgique) à des cérémonies commémorant cette bataille. Plongée dans la Grande Guerre Dans le hangar, à bord, une exposition réalisée par des élèves du lycée Amiral-Ronarc'h de Brest retrace les grands moments de cette bataille. 



Une trentaine de filles et garçons de six classes de secondes et premières de l'établissement, sur la base du volontariat, se sont impliqués dans sa réalisation. Une initiative de la Marine nationale, relayée par le proviseur, Patrick Floc'h, et encadrée par Denis Burel, Claude Corre, Gwenael Landuré, Guillaume Ortolan et Laurence Moal, professeurs d'histoire-géographie. Grâce aux documents fournis par Hervé Bedri, chargé du patrimoine à la préfecture maritime, ainsi qu'à des textes puisés dans divers ouvrages tels celui de l'amiral Ronarc'h, cette exposition présente photos et cartes inédites qui illustrent les combats de cet épisode sanglant de l'histoire de la Grande Guerre. 


Une exposition que le grand public ne pourra malheureusement pas voir à Brest, le BPC, en raison de la météo, étant amarré dans la base navale.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/dixmude-la-bravoure-des-fusiliers-s-expose-18-10-2014-10390846.php





merci à Claude et à Jef

21 octobre 2014

Missions Grand Nord remorqueur et sous-marin

Missions Grand Nord 
remorqueur et sous-marin

Les missions Grand Nord se multiplient. Le RHM TENACE vient de rentrer et l'Ours Polaire semble abattu par la chaleur brestoise.



Le SNA PERLE lui part en mission Grand Nord 2 C 12 







TAAF Les gendarmes aux TAAF

TAAF Les gendarmes aux TAAF





Timbre TAAF hors-programme 2014 - Collaboration entre les TAAF et la Gendarmerie Nationale portant sur la réalisation de timbres TAAF mettant en exergue la présence de gendarmes sur Kerguelen et dans les îles Eparses - Disponible à partir du 17 octobre 2014, à l’occasion du festival Grand Bivouac à Albertville -







Sollicitée par les responsables de la philatélie des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), la gendarmerie a participé à la création d'une série de timbres relatant la présence et le rôle des gendarmes dans les TAAF, à l'instar de ce qui s'est fait l'an passé avec l'armée de Terre.


La mini-planche réalisée par l'adjudant-chef Laurent Sentucq du Service de diffusion de la gendarmerie, comporte 3 timbres :
- à gauche, un timbre relatif à la gendarmerie dans les îles Éparses,
- au milieu, un visuel gendarmerie

- à droite, un timbre rappelant la présence de la gendarmerie autrefois sur les îles Kerguelen.



 

Il est le représentant de l’État et de la loi, la sentinelle et l’écogarde, le gérant 
postal et le garde frontière. À Glorieuses, comme sur Europa ou Juan de Nova, le gendarme est le fonctionnaire multicarte par qui les Éparses restent en lien avec l’administration française.



5 h 30 sur la plage du Cap Vert à grande 
Glorieuse. 


Comme chaque matin au point du jour depuis huit semaines, le gendarme Franck Julien commence sa patrouille. Un tour de l’île sur huit kilomètres de plage qui fait désormais partie de sa “routine” quotidienne depuis qu’il a pris son poste dans l’archipel des Glorieuses. Un moment très important dans sa journée. “C’est ma première mission, la surveillance de l’île. En faisant le tour, je vérifie qu’il ne s’est rien passé d’inhabituel dans la nuit”, explique ce pensionnaire de la brigade territoriale du Tampon.


Pour un gendarme agent postal, rien de plus normal qu'être affecté au TAMPON… 

Mais comme pour ses collègues en détachement sur Europa ou Juan de Nova, le travail sur Glorieuses ne se limite pas à une simple tâche de garde-barrière pour empêcher les éventuelles quoique rarissimes incursions sur ce confetti de sol français. Le gendarme se fait aussi écogarde, en ramassant les détritus ramenés sur les plages par la marée ou, surtout, en procédant au comptage quotidien des traces de tortues, qui viennent nombreuses pondre sur les plages de l’île.


Document réalisé par l'UFPP-SATA
http://www.taaf.fr/IMG/pdf/32_journal_de_l_ile_la_vie_de_gendarme_au_bout_du_monde_dans_les_eparses_16_aout_2009.pdf

merci Maryvonne et à René Pauliat

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...