09 mars 2013

La Marine met Ramine à l'Honneur

 Râmine et la Belle-Poule


Râmine est l'invité d'honneur du Salon Art & Marine qui se tient Salle Surcouf au Cercle de la Base de défense de Brest Rue Yves Collet.


15 au 24 Mars 2013


Vivre, étudier et travailler à Brest depuis plus de vingt ans a fait entrer l’histoire de la marine et celle de l’aéronautique navale dans mon univers pictural.

Râmine à Paimpol et son BATOEXPO


Même si je me suis intéressé surtout par les engins dépassés et désuets de la marine militaire, comme les cuirassés, les ballons dirigeables ou les hydravions, les figures contemporaines et inévitables comme les voiliers de l’école navale et les bâtiments d’un autre âge comme le Clemenceau ou la Jeanne d’Arc m’ont fortement inspirés.



Les contacts avec les Services Hydrographiques de la Marine (SHOM) ont été nombreux compte tenu de ma passion pour les cartes marines anciennes et récentes.

en passerelle


Et aujourd’hui je compte dans mes supporters, amis et clients de nombreux marins jeunes actifs ou retraités qui s’intéressent à mon travail et qui par leurs efforts contribuent à l’augmentation des échanges entre cette institution et votre serviteur.











Le 8 mars 2012 les deux goélettes de la marine la Belle-Poule et l’Etoile ont quitté Brest pour une navigation transatlantique. Elles sont attendues aux Etats-Unis début mai à l'occasion du bicentenaire de la deuxième guerre d'indépendance américaine durant laquelle la marine Française a combattu les Anglais aux coté de la jeune nation américaine.


L’opportunité m’a été offerte de rejoindre les équipages pour une partie de cette navigation. Je rallie donc Savannah en Géorgie début mai pour embarquer à bord de la Goélette Belle Poule. J’y retrouverai mes amis et je les accompagnerai dans une fabuleuse navigation côtière Est américaine.




Le programme prévoit 25 jours de navigation et de nombreuses escales jusqu’à New York.
Des photos, croquis et aquarelles en perspective et probablement une exposition à la clé pour le mois de janvier 2013. Merci la mer, merci la Marine.
du 2 avril au 25 mai 2013


08 mars 2013

humour dans le carré par Donec

V'la qu' j'oubliais les amirauxpar Donec



Bonjour à tous,

Le jeune homme qui choisit de faire carrière dans la Marine Nationale n’a qu’une idée en tête : l’amiralat. Car l’amiral est tour à tour un aventurier, un stratège et un ingénieur. Il réalise la synthèse entre Nelson et Mac Gyver. Cependant une raison les fait hésiter : l’amour. En effet le modeste bachi confère au matelot des succès féminins que ne permet pas d’obtenir la casquette aux feuilles d’or.




Les statistiques sont formelles 99,40 % des filles rencontrées avec des marins, le sont au bras de matelots et seulement 0,60 % au bras d’amiraux.



On comprend qu’un quartier maître à la libido tapageuse se gratte la tête…

Le ciel vous tienne en joie et à semaine prochaine


Donec

Depuis que le décret du 16 septembre 1792 a décidé que "l'uniforme des officiers généraux de la marine sera en tout pareil à celui réglé pour les grades correspondants d'officiers généraux de l'armée de ligne", ce principe a été conservé pendant toute la période révolutionnaire, sous l'Empire, la Restauration, la seconde République et le second Empire, à quelques modifications près pour les boutons et les ornements de broderies qui comprennent toujours une ancre de marine.


Image

Les marques distinctives de grades étaient constituées, suivant la tenue, par des broderies sur les parements ou par des épaulettes. Toutefois, l'arrêté du 1er décembre 1848 les autorisa à porter, en petite tenue, au lieu du chapeau, une casquette, dont la cuve était ornée d'un galon d'or de 45 m/m sur lequel étaient appliquées les étoiles du grade. C'est le décret du 5 décembre 1861 qui, tout en conservant les étoiles, substitua au galon d'or une ou deux branches de chêne suivant le grade. L'arrêté de 1848 avait déjà décidé que les marques distinctives de officiers de vaisseau serainet constituées sur la cuve de la casquette comme sur les manches de la redingote, au-dessus des parements, par des galons en nombre variable suivant le grade.


C'est sur le veston affecté aux officiers de tous grades des différents corps de la marine et aux aspirants par l'arrêté du 7 février 1873 qu'apparurent les étoiles comme insignes de grade sur les vêtements des officiers généraux de la marine. Cet arrêté décidait en effet que "les marques distinctives de ce vêtement seront le mêmes que celles qui sont portées sur la redingote pour les officiers et officiers supérieurs", ajoutant que "sur chaque manche seront brodées deux étoiles en argent pour les contre-amiraux et trois pour les vice-amiraux". Jusqu'alors, les seules marques distinctives des officiers généraux en petite tenue consistainet dans les épaulettes, même avec la redingote. Ces dispositions avaient conduit les amiraux à faire remarquer que les épaulettes étaient difficiles à porter dans bien des circonstances de la vie maritime et qu'alors les manches de leur redingote n'étaient ornées d'aucun insigne permettant de faire connaître leur grade. Le décret du 25 février 1876 exauça leur vœu, décidant que leur redingote porterait "au-dessus des parements les étoiles distinctives du grade, en argent poli, disposées de même que pour les officiers généraux de l'armée de terre".

Le décret du 3 juin 1891, décrivant les différentes tenues de l'uniforme des officiers et fonctionnaires des différents corps de la marine, affectait aux officiers généraux, pour la grande tenue, un habit brodé et, pour la petite tenue, un habit sans broderies et une redingote. Celle-ci conservait, comme marques distinctives du grade, les étoiles adoptées par le décret du 25 février 1876.

Le décret du 13 mai 1902 supprimait l'habit sans broderies de la petite tenue, mais ne modifiait en rien les autres dispositions sur l'uniforme des officiers généraux.

Le décret du 5 février 1912 adoptait ensuite une patte d'épaule mobile, destinée à être portée avec le veston blanc. Pour les officiers généraux de la Marine (mais non pour ceux des autres corps), le grade y était indiqué par deux ou trois étoiles en argent de 12 m/m.

Le décret du 18 avril 1918 supprimait les broderies de grade des officiers générau des différents corps de la marine, autre que ceux du Contrôle, sur les parements de redingote, veston et manteau et les remplaçait par deux ou trois étoiles en argent, suivant le grade, comme pour les amiraux. Il décidait également que les pattes d'épaules de ces officiers généraux seraient désormais ornées de deux ou trois étoiles d'argent, suivant le grade.

L'arrêté du 22 janvier 1931 rappelait enfin que les vice-amiraux et les contre-amiraux portent respectivement trois ou deux étoiles en argent poli sur les manches de la redingote, du veston et du manteau d'uniforme (sur l'habit de soirée, ces étoiles sont en or), sur les épaulettes, la coquille de l'épée, la tête de la dragonne.
Mission accomplie pour la frégate française SURCOUF et son hélicoptère LYNX britannique


Pli réalisé pour Noël par la Section Ile de France merci à J Moreau
Hélicoptère LYNX



BLOG FROM 815 SQUADRON'S LYNX FLIGHT ON THE FRENCH FRIGATE SURCOUF

Découvrez le blog du détachement britannique sur la frégate Surcouf, pas facile de s'adapter et de s'y retrouver en sens et contre-sens 
Jacquespeak


http://www.royalnavy.mod.uk/News-and-Events/Latest-News/2013/February/15/130215-815-Blog-Surcouf




The first few weeks on board were spent in a haze of translation as we tried to get to grips with the basics of life on board in another language.

Some phrases or names are easy, and translate literally – for example le pont d’envol = “the deck of taking flight”, or Flight Deck.

Others bear no direct link to their English equivalent – la passerelle; literally “a gateway or gangway”, but in fact the Bridge.

Others are somewhere in between; le Second – the Executive Officer, because he is Second in Command.

Other phrases which are steeped in tradition in the Royal Navy, such as to make a “pipe” (because in the days of steamships, instructions were spoken into a hollow pipe connecting the Bridge to other compartments), are purely literal when converted to French; in this case “a pipe” is une diffusion; literally the spreading of information. Thus to “make a pipe” becomes “faire une diff.”!

And, as time has gone on, we’ve discovered that the Marine Nationale is just as rich in strange terms and unique ways of referring to people or things as Royal Navy.

On le pont d’envol, we listen to instructions barked out by le chien jaune – the Flight Deck Officer or “yellow dog” on account of his yellow surcoat and abrupt manner when taking charge!

The Medical Assistant is le sorcier – “the sorcerer”, mixing up his pills and potions, and the cooks les magiciens – performing magic tricks to make decent meals out of their limited ingredients!

Other traditional names include le Pacha – the Captain, from the old Ottoman for a Sultan or other person of high rank.
Along the way we’ve also picked up some turns of phrase that are not specific to the Navy, but in common use, such as la petite soeur – “the little sister”; a second round of drinks!

Or to faire la grasse mat(inée) – “make the fat morning”; a lie-in!

Neither of which are things you’ll find us doing until we get home and are on leave, of course… after all, we can’t stay in our niches for a petite caille all day, there’s work to be done in out here in the Indian Ocean!


Vendredi 1er mars 2013, la frégate Surcouf a regagné son port-base de Toulon après plus de trois mois de déploiement en océan Indien. La  frégate et son équipage ont été engagés dans l’opération navale européenne Atalante de lutte contre la piraterie. Patrouille, surveillance des côtes, escorte de navires civils, interception et transfert de pirates présumés, inspection de bateaux de pêche, action de sauvetage de naufragés, campagnes de formation au profit des marines riveraines : les marins du Surcouf ont largement démontré les nombreux savoir-faire des frégates.
Français et britannique tracent route aéronautique - French and British aeronautical mapping
Au cours de cette mission, l’hélicoptère embarqué à bord du Surcouf, élément-clé pour la lutte contre la piraterie, n’était pas l’habituel Panther mais un Lynx britannique appartenant au Naval Air Squadron 815 en provenance de Yeovilton au Royaume-Uni. Un déploiement doublement inédit: c’était la première fois qu’un aéronef de la marine britannique participait à l’opération navale européenne Atalante et la première intégration complète à bord d’une frégate française d’un détachement hélicoptère étranger pour une mission de longue durée.
Au cours de ce déploiement, le Lynx de la marine britannique a pris part à toutes les actions menées par le Surcouf dans le cadre de sa mission: escorte d’un navire du Programme Alimentaire Mondial (PAM) entre le golfe d’Aden et le port de Mombasa au Kenya, mission de reconnaissance et de survol du trafic maritime tant en haute mer qu’au long des côtes de Somalie,  renseignement photographique, sauvetage de dix naufragés indiens le 10 janvier dernier, etc.
Surcouf vu du Lynx - Surcouf seen from Lynx
Hélicoptère britannique et équipe française font une interception - British helicopter and French team procede an interception
Une des actions les plus marquantes a été menée le 5 janvier 2013: l’interpellation par l’équipe du Surcouf  de présumés pirates suspectés d’avoir attaqué le navire de commerceMSC JASMINE au large des côtes somaliennes. Le Lynx a permis de localiser les deux embarcations suspectes puis a agi en couverture de l’équipe d’intervention du Surcouf, chargée d’appréhender puis de ramener à bord les suspects. Ces derniers ont ensuite été remis à la justice de l’Ile Maurice.
Les membres du détachement britannique se sont parfaitement intégrés à la vie du bâtiment français. Le chef de détachement, le Lieutenant Mike Curd, est enthousiasmé par cette expérience vécue dans un cadre à la fois bilatéral et européen: "Our deployment onboard French Navy Ship Surcouf has been a great opportunity for my team and I to demonstrate the adaptability and operational capability the Fleet Air Arm is renowned for, as well as improving military relations between the UK and France and the wider European Union”.
De son côté le commandant du Surcouf confie sa double satisfaction: «le bilan de cette mission est très positif et l’équipage du Surcouf est fier d’avoir contribué activement à la lutte contre la piraterie! L’intégration du détachement britannique est de mon point de vue un succès car nous avons employé le Lynx en opérations exactement comme un hélicoptère français. Je me réjouis de l’excellent esprit qui a régné entre les marins britanniques et français, ce déploiement a prouvé notre pleine interopérabilit. Il ouvre certainement la voie à de futures coopérations
Hélicoptère Lynx britannique - British Lynx Helicopter
Sources : © Marine nationale 

lettre d'information de la marine Sirpa semaine du 28 février au 7 mars 2013



Semaine du 28 février au 7 mars 2013




Semaine du  28 février au 7 mars 2013




Opération Corymbe (présence opérationnelle)
Activités de coopération du BPC Mistral au Congo
Du 18 au 23 février, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral a mené diverses activités de coopération lors de son escale à Pointe Noire, en République du Congo.

Mission Jeanne d'Arc 2013
Le mercredi 6 mars, l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine, a lancé à Brest la mission Jeanne d’Arc 2013.


Exercice Gulf Falcon 2013
Depuis le 27 février, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul participe à l’exercice interarmées bilatéral qui se déroule actuellement au Qatar.



Coopération et livraison de fret humanitaire
pour le Dumont d'Urville

Le déploiement du bâtiment de transport léger (BATRAL) Dumont d’Urville a été l’occasion, pour les forces armées aux Antilles de renouveler leur soutien à la population haïtienne.

Mission accomplie pour la frégate Surcouf
Le 1er mars, la frégate Surcouf a regagné son port-base de Toulon après plus de trois mois de déploiement en océan Indien.

Le La Grandière en mission sur l’archipel des Glorieuses
Du 4 au 26 février, le Bâtiment de Transport Léger La Grandière a effectué un raid amphibie sur l'archipel des Glorieuses.







Bayonne
Escale du chasseur de mine Tripartite La Croix du Sud. Amarré au quai Edmond Foy, il sera ouvert aux visites du public vendredi 08 de 14h à 17h et samedi 09 mars de 10hà 12h et de 14h à 17h

Paris
Jusqu'au 30 juin 2013, au musée nationale de la Marine, exposition du peintre Mathurin Méheut.

Toulon
Jusqu'au 13 mai, au musée national de la Marine, exposition "Le Bagne portuaire de Toulon - Entre réalités et imaginaire 1748 – 1873".

Rochefort
Jusqu'au 21 mai, au musée national de la Marine, exposition "Fort Boyard, les aventures d'une star".

Cherbourg
Jusqu'au 31 mai, au cercle naval, exposition fixe « Deux siècles d'événements maritimes »

07 mars 2013

Groupe Jeanne d'Arc 2013 Le départ


BPC Tonnerre Frégate Georges Leygues
Départ de Brest



La Marine se concentre sur les aspects opérationnels de la formation des futurs officiers. Sur les quais, l'ambiance a disparu.
Le nom reste








Le chef d'état-major de la Marine, Bernard Rogel, est venu saluer l'équipage avant l'appareillage. Vincent Mouchel
Le chef d'état-major de la Marine, Bernard Rogel, est venu saluer l'équipage avant l'appareillage.© Vincent Mouchel

C'est parti pour cinq mois de mission Jeanne d'Arc. Hier après-midi, le BPC Tonnerre et la frégate Georges Leygues ont largué les amarres. Direction Portsmouth où les attend un premier entraînement interarmées amphibie. Puis ce sera le Liban, la Jordanie, l'Arabie saoudite, Djibouti, Abu Dhabi, l'Inde, Singapour et le Vietnam. 



Depuis le désarmement du porte-hélicoptères Jeanne d'Arc en 2010, cette mission annuelle de formation des futurs officiers de Marine a conservé le nom, mais les bâtiments changent. Le Tonnerre prend son tour pour la deuxième fois après le Mistral et le Dixmude. Pendant ce temps, la Jeanne, la vraie, l'illustre, rouille à quelques centaines de mètres du départ, dans l'attente du choix de son ferrailleur (l'appel d'offres est en cours).





Lutte contre la piraterie

133 officiers élèves sont embarqués pour leur stage d'application. L'objectif : vivre une expérience longue de commandement et de vie commune en mer. La plupart sont issus de l'École navale de Lanvéoc où ils bouclent leur troisième année. Une partie vient de l'école des commissaires de Marine, de celle de santé ou des affaires maritimes. On compte également 18 officiers étrangers.



« J'aimerais faire commando », témoigne Raphaël Pons. À 23 ans, cet enfant de militaire avait « besoin d'air et de bouger ». Il est entré à l'École navale après une prépa scientifique. Dans la Marine, « on a des responsabilités assez vite. C'est assez exaltant, trépidant », dit-il.




Outre la formation, le chef d'état-major de la Marine Bernard Rogel a insisté sur « la mission opérationnelle ». Le groupe participera à l'opération Atalante de lutte contre la piraterie et il jouera un rôle de « prévention dans des mers où la France a des intérêts ». Le soutien à l'export et à la diplomatie fera aussi partie des escales.







L'Armée de terre embarque


Une particularité de la mission Jeanne d'Arc, c'est le mélange des armées. 650 militaires sont à bord du Tonnerre. Outre les 177 marins de l'équipage et les 133 officiers élèves, s'ajoutent 210 légionnaires de la 6e Brigade légère blindée de Nîmes, une quarantaine de personnels du 3e régiment d'hélicoptères de combat et une quinzaine de membres d'un petit état-major qui conduira les opérations amphibies de l'Armée de terre.




Bateau à tout faire



Le Bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre est un des plus grands bâtiments de la Marine nationale : 199 mètres et 21 500 tonnes de déplacement. Souvent qualifié de « couteau suisse de la Marine », il a une fonction de porte-hélicoptères, hôpital flottant, transport de troupes et de matériel, navire de commandement à proximité d'une zone de conflit... Il peut aussi évacuer jusqu'à 700 personnes. Le Tonnerre embarque pour cette mission quatre hélicoptères (un Puma, deux Gazelle et une Alouette), une quarantaine de véhicules de l'Armée de terre, deux chalands de transport de matériel (CTM) et un Engin de débarquement amphibie rapide (Edar).






La der du « Georges Leygues »




C'est la dernière mission du Georges Leygues. Cette frégate anti sous-marine de type F70, datant de 1979 a accompagné pendant dix ans la Jeanne d'Arc, puis les dernières missions avec les BPC. Longue de 139 mètres, elle compte 195 personnes à bord. Elle assume un rôle de protection pour le navire dit « précieux », mais peu armé Tonnerre. Elle peut aussi accueillir 36 officiers élèves. Cette frégate qui avait servi à Toulon pendant vingt ans avant de venir à Brest, sera désarmée cette année.

Sébastien PANOU. Ouest-France

Merci à Claude Arata et à le section Bretagne pour le tamponnage...

Merci à Bernard Hily pour ses photos 

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...