08 octobre 2016
07 octobre 2016
Etiquette jaune de machine à affranchir La Poste Paeis Tri interarmées
Etiquette jaune Paris Tri Interarmées 2008 BP 004140
L'implantation d'une machine à affranchir dans une entreprise repose sur des règles strictes établies par La Poste
Nous en présentons quelques unes tirées du site de la Poste
ARTICLE 1 - OBJET ET CARACTERISTIQUES DU CONTRAT
L'implantation d'une machine à affranchir dans une entreprise repose sur des règles strictes établies par La Poste
Nous en présentons quelques unes tirées du site de la Poste
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Etiquette machine à affranchir Paris Tri Interarmées |
ARTICLE 1 - OBJET ET CARACTERISTIQUES DU CONTRAT
Le présent contrat a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le client utilise une machine à affranchir, également appelée ci-après « MA », pour l’affranchissement des plis remis à La Poste. Elle est identifiée aux conditions particulières et doit appartenir à une appellation postale dûment autorisée par La Poste (la liste des appellations postales faisant l’objet d’une telle autorisation est disponible sur le site www.laposte.fr/machineaffranchir). La machine à affranchir est employée pour l’affranchissement de la plupart des catégories d’envois du régime intérieur et du régime international. L’affranchissement pour le compte de tiers, effectué à l’aide de la machine à affranchir, objet du présent contrat, est soumis à la signature des Conditions Générales de Garantie. Le contrat est subordonné à la réalisation de conditions suspensives ; il sera réputé parfait et ne pourra produire d’effet à l’égard des parties que lorsque les conditions suivantes seront remplies : - le client aura justifié de son existence juridique en tant que personne morale et de son domicile, - le client aura fourni son relevé d’identité bancaire et son mandat de prélèvement SEPA, et de manière plus générale tous les documents nécessaires à l’établissement des factures et du prélèvement automatique des montants dus, - le client aura, le cas échéant, fourni la caution, le dépôt de garantie ou la garantie à première demande
06 octobre 2016
Trésor et Poste 502 Escadre navale opérant en Orient
Trésor et Postes 502 Escadre navale opérant en Orient Salonique
Je trouve que l'expéditeur de ce courrier a beaucoup d'humour. La carte représente l'ambassade d'Allemagne à Thérapia...
Les troupes françaises, britanniques et italiennes, occupent Constantinople du 12 novembre 1918 au 23 septembre 1923. Cette occupation fait suite à l'armistice de Moudros qui a mis fin à la participation de l'Empire ottoman à la première guerre mondiale.
Timbre à date simple cercle Bloc 3 rangées
Salonique Grèce Armée d'Orient
Tarabya, en grec Therapia, est l'un des quartiers les plus huppés d'Istanbul particulièrement occidentalisé, situé dans un cadre verdoyant. Il se trouve sur la rive européenne du Bosphore, dans le district de Sarıyer. On y trouve l'un des sites du lycée français Pierre-Loti.
Secteur Postal 502 : Commandement des Armées Alliées (CAA) et direction de l’Arrière à Salonique
Je trouve que l'expéditeur de ce courrier a beaucoup d'humour. La carte représente l'ambassade d'Allemagne à Thérapia...
Les troupes françaises, britanniques et italiennes, occupent Constantinople du 12 novembre 1918 au 23 septembre 1923. Cette occupation fait suite à l'armistice de Moudros qui a mis fin à la participation de l'Empire ottoman à la première guerre mondiale.
Timbre à date simple cercle Bloc 3 rangées
Salonique Grèce Armée d'Orient
Tarabya, en grec Therapia, est l'un des quartiers les plus huppés d'Istanbul particulièrement occidentalisé, situé dans un cadre verdoyant. Il se trouve sur la rive européenne du Bosphore, dans le district de Sarıyer. On y trouve l'un des sites du lycée français Pierre-Loti.
Secteur Postal 502 : Commandement des Armées Alliées (CAA) et direction de l’Arrière à Salonique
05 octobre 2016
Mission ISIS Kerguelen Affaires Maritimes PH OSIRIS contrôle des pêches La Réunion SAPMER
Mission ISIS Patrouilleur OSIRIS Kerguelen Affaires Maritimes
L'Osiris est un patrouilleur hauturier appartenant au GIE (Groupement d’Intérêt Economique) "Protection Légine et Ressources Halieutiques" et mis en œuvre par le groupe Sapmer, société réunionnaise spécialisée dans la pêche hauturière australe.
Il est affrété par la Direction des Affaires Maritimes de la Réunion et basé au port de Port-aux-Français.
Sous l’impulsion du Grenelle de la Mer et dans le cadre de la réforme de l’administration territoriale de l’État, la Direction de la Mer Sud Océan Indien a été créée le 1er Janvier 2011. Elle résulte de la fusion de la Direction Régionale des Affaires Maritimes de la Réunion et des îles Éparses, des services des phares et balises et la mission PolMar (DDE) de la Réunion et de Mayotte.
Le territoire soumis à ses compétences comprend les ZEE françaises de l’Océan Indien et des TAAF. Son siège se situe à la Réunion et elle dispose notamment d’une unité territoriale à Mayotte.
Sous l’impulsion du Grenelle de la Mer et dans le cadre de la réforme de l’administration territoriale de l’État, la Direction de la Mer Sud Océan Indien a été créée le 1er Janvier 2011. Elle résulte de la fusion de la Direction Régionale des Affaires Maritimes de la Réunion et des îles Éparses, des services des phares et balises et la mission PolMar (DDE) de la Réunion et de Mayotte.
Le territoire soumis à ses compétences comprend les ZEE françaises de l’Océan Indien et des TAAF. Son siège se situe à la Réunion et elle dispose notamment d’une unité territoriale à Mayotte.
Mayotte photo (c) JM Bergougniou |
La création de la DMSOI a permis de doter La Réunion d’une structure unifiée de pilotage et de coordination des politiques maritimes du Ministère de l’Écologie (MEDDTL) et du Ministère de l’Agriculture (MAAPRAT), à l’échelle de la zone Sud de l’Océan Indien.
La DMSOI a pour vocation la valorisation et la préservation de la mer et de ses produits :
en garantissant le développement des activités de la mer,
en réduisant les risques maritimes,
en élaborant, en appliquant les réglementations nautiques
en contrôlant les usages maritimes,
en gérant les pêcheries et en valorisant les ressources halieutiques,
en développant les filières maritimes existantes ou en devenir.
Ainsi, les Missions de la DMSOI s’expriment à travers 3 axes :
Celui des politiques de la Mer
par la collaboration avec les services de l’État et les autres acteurs du secteur maritime dans la gestion et la protection du patrimoine maritime et littoral (Réserve Naturelle Marine de La Réunion, IFREMER, DEAL, etc…).
La DMSOI a pour vocation la valorisation et la préservation de la mer et de ses produits :
Ainsi, les Missions de la DMSOI s’expriment à travers 3 axes :
Celui des politiques de la Mer
par la collaboration avec les services de l’État et les autres acteurs du secteur maritime dans la gestion et la protection du patrimoine maritime et littoral (Réserve Naturelle Marine de La Réunion, IFREMER, DEAL, etc…).
Baleine à Mayotte photo (c) JM Bergougniou |
Celui du développement durable des activités maritimes
par la régularisation et la réglementation des activités maritimes (navigation, pêche, cultures marines, loisirs nautiques) dans le respect de l’environnement et de l’équilibre des usages. le contrôle du respect de la réglementation en matière de pêche, environnement et sécurité maritime, la mise en œuvre des politiques nationales et communautaires de soutien (notamment financier aux secteurs de la pêche et de l’aquaculture), la gestion administrative des marins, des navires professionnels et des navires de plaisance, la promotion et l’encadrement de la formation professionnelle maritime via les établissements scolaires de son ressort.
Port de Longoni Mayotte photo (c) JM Bergougniou |
Celui de la sécurité maritime et de la prévention des risques
par la coordination et la direction des missions de sauvetage.
par la surveillance de la navigation maritime (contrôle du respect de la réglementation en matière de sécurité des navires, de leurs équipements et de l’équipage, mission d’évaluation après évènements de mer ou accidents, suivi du trafic maritime, balisage), par la diffusion des renseignements maritimes et des alertes sûreté, par la collecte des informations dans le cadre de la lutte contre les pollutions en mer, par l’animation des missions de prévention des risques professionnels maritimes.
04 octobre 2016
Détachement Marine Istres
CEPA SAINT-RAPHAEL
Détachement Marine Istres
La base est l'une des plus anciennes du territoire de France. Elle est l'un des plus importants centres de formation, avec ceux de Chartres (base aérienne 122 Chartres-Champhol, d'Avord (base aérienne 702 Avord), de Pau (base aérienne 119 Pau), deToussus-le-noble et de la base aérienne 251 Étampes-Mondésir.
Le CEPA/10S a pour principales missions de suivre le développement et la mise au point des aéronefs ou des matériels, en soutien des officiers du bureau aéronautique de la division "programmes" de l'état-major de la Marine (EMM PROG AERO).
Il effectue, sur demande de la Délégation générale pour l'armement (DGA), des essais techniques particuliers, des essais de réception et des essais officiels d'intégration de systèmes d'armes.
Il étudie et valide des améliorations de matériels en service dans l'aéronautique navale.
Il assure les vols à caractère technique des aéronefs de l'aviation navale liés à la maintenance aéronautique réalisée hors marine (réception, mise au point ), ainsi que les vols de convoyage et les mouvements administratifs.
Il élabore et tient à jour les programmes des vols techniques, de réception et de mise au point des aéronefs de l'aviation navale, et assure les fonctions de centre de coordination informatique.
Il peut également prêter son concours à d'autres organismes pour l'exécution d'évaluations ou d'essais spécifiques.
La compétence du CEPA/10S s'étend à tous les avions et hélicoptères de l'aviation navale, à leurs systèmes d'armes, à leurs équipements, aux matériels de sécurité des vols, aux matériels de soutien des aéronefs et à la formation spécialisée du personnel, mais aussi aux installations aviation des porte-avions (PA) et des bâtiments porteurs d'hélicoptères (BPH).
En octobre 1977, la Cepa devient le Centre d'Expérimentations Pratiques de l'Aéronautique navale (CEPA). Les années 80 verront l'activité du CEPA porter principalement sur les essais militaires et les mises au point des nouveaux aéronefs : , NH90, Panther, Atlantique II , Super Etendard Modernisé. Rafale,
Le CEPA/10S a pour principales missions de suivre le développement et la mise au point des aéronefs ou des matériels, en soutien des officiers du bureau aéronautique de la division "programmes" de l'état-major de la Marine (EMM PROG AERO).
Il effectue, sur demande de la Délégation générale pour l'armement (DGA), des essais techniques particuliers, des essais de réception et des essais officiels d'intégration de systèmes d'armes.
Il étudie et valide des améliorations de matériels en service dans l'aéronautique navale.
Il assure les vols à caractère technique des aéronefs de l'aviation navale liés à la maintenance aéronautique réalisée hors marine (réception, mise au point ), ainsi que les vols de convoyage et les mouvements administratifs.
Il élabore et tient à jour les programmes des vols techniques, de réception et de mise au point des aéronefs de l'aviation navale, et assure les fonctions de centre de coordination informatique.
Il peut également prêter son concours à d'autres organismes pour l'exécution d'évaluations ou d'essais spécifiques.
La compétence du CEPA/10S s'étend à tous les avions et hélicoptères de l'aviation navale, à leurs systèmes d'armes, à leurs équipements, aux matériels de sécurité des vols, aux matériels de soutien des aéronefs et à la formation spécialisée du personnel, mais aussi aux installations aviation des porte-avions (PA) et des bâtiments porteurs d'hélicoptères (BPH).
En octobre 1977, la Cepa devient le Centre d'Expérimentations Pratiques de l'Aéronautique navale (CEPA). Les années 80 verront l'activité du CEPA porter principalement sur les essais militaires et les mises au point des nouveaux aéronefs : , NH90, Panther, Atlantique II , Super Etendard Modernisé. Rafale,
03 octobre 2016
Le Colbert est revenu en Gironde... Croiseur Landévennec Bassens Bordeaux déconstruction chantier ferraille
Le Colbert est revenu en Gironde...

Le Colbert, porte le nom du ministre de la Marine de Louis XIV Jean-Baptiste Colbert, est un ancien croiseur de la Marine nationale entre 1956 et 1991.
Le Colbert devint un musée flottant, amarré quai Bacalan dans le port de Bordeaux en juin 1993 où il pouvait être visité. Il était le bateau musée le plus visité de France en 2004 et le « monument » le plus visité de la ville. Le Colbert était un musée privé : si le navire appartenait à l'État, ce dernier l'avait concédé à une association, « Les Amis du Colbert ».
Du fait de grandes similitudes techniques, la Marine nationale a « cannibalisé » encore de temps en temps des pièces détachées (essentiellement sur les chaudières et les turbines) du Colbert pour remplacer certains équipements de la Jeanne d'Arc, laquelle a été désarmée en 2010. Depuis cette date, plus rien ne s'oppose en théorie à la démolition du Colbert mais, en 2014, le navire est toujours amarré à Landévennec.
Le Colbert, porte le nom du ministre de la Marine de Louis XIV Jean-Baptiste Colbert, est un ancien croiseur de la Marine nationale entre 1956 et 1991.
Converti de 1993 à 2007 en navire musée à flot à Bordeaux, en attente de déconstruction il est resté amarré près de Brest, sur coffre au Cimetière des navires de Landévennec de 2007 à 2016, avant de repartir vers la Gironde, il sera démantelé à Bassens, près de Bordeaux en 2016.
Nos amis girondins, Denis et Rosine Duet nous permettent de revivre quelques évènements de ce navire.
Ce fut un navire de guerre essentiellement destiné à la lutte anti-aérienne. Sa construction débuta sur demande de la Marine nationale en 1953 dans les chantiers de la DCAN de Brest. Le Colbert devait être un navire puissant capable de contrer toutes menaces aériennes par la puissance de feu de son artillerie : il disposait de tourelles de57 mm et de tourelles de 127 mm pour une cadence de feu d'un tir à la seconde.
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Enveloppe marquant l'ultime voyage vers Bassens le 6-6-2016 |
Nos amis girondins, Denis et Rosine Duet nous permettent de revivre quelques évènements de ce navire.
Le Colbert devint un musée flottant, amarré quai Bacalan dans le port de Bordeaux en juin 1993 où il pouvait être visité. Il était le bateau musée le plus visité de France en 2004 et le « monument » le plus visité de la ville. Le Colbert était un musée privé : si le navire appartenait à l'État, ce dernier l'avait concédé à une association, « Les Amis du Colbert ».
Plusieurs parcours fléchés avaient alors été aménagés, avec une visite durant entre 2 heures et 3 heures, pour traduire la vie telle qu'elle était à bord. Une visite guidée permettait d'avoir accès à des pièces fermées au public quand il était en service, comme le compartiment machines, le central opération, les postes équipages et les chambres des officiers et officiers mariniers, lors d'expositions permanentes à bord sur la Marine ou sur Météo-France. On y trouvait également une exposition originale de maquettes, où l'on pouvait voir des maquettistes au travail. La sirène du navire retentissait le midi, tous les mercredis et dimanches.
Mais ce musée suscitait aussi des critiques à Bordeaux dont celles de riverains (il existait même une association nommée « Coulons le Colbert », candidat lors des municipales en 1995). Le Colbert connaissait aussi des difficultés financières récurrentes. Bien que propriétaire, l'État ne prenait pas à sa charge les coûts d'entretien dont un tel navire a besoin. Une peinture complète du bâtiment, par exemple, coûte plus de 500 000 €, prix trop élevé pour le budget du musée. Même à quai, pour des raisons de sécurité et d'image, ce bâtiment nécessitait un entretien constant.
Sans la possibilité de financer celui-ci et sous la pression d'associations écologistes locales et de la Mairie de Bordeaux, le Colbert est fermé au public le 2 octobre2006 et retiré du quai le 31 mai 2007, date d'expiration de la concession et de la sous-concession. Son dernier voyage l'amène à Brest, remorqué par la Marine nationale, il est alors embossé sur coffres au cimetière des navires de Landévennec.
Mais ce musée suscitait aussi des critiques à Bordeaux dont celles de riverains (il existait même une association nommée « Coulons le Colbert », candidat lors des municipales en 1995). Le Colbert connaissait aussi des difficultés financières récurrentes. Bien que propriétaire, l'État ne prenait pas à sa charge les coûts d'entretien dont un tel navire a besoin. Une peinture complète du bâtiment, par exemple, coûte plus de 500 000 €, prix trop élevé pour le budget du musée. Même à quai, pour des raisons de sécurité et d'image, ce bâtiment nécessitait un entretien constant.
Sans la possibilité de financer celui-ci et sous la pression d'associations écologistes locales et de la Mairie de Bordeaux, le Colbert est fermé au public le 2 octobre2006 et retiré du quai le 31 mai 2007, date d'expiration de la concession et de la sous-concession. Son dernier voyage l'amène à Brest, remorqué par la Marine nationale, il est alors embossé sur coffres au cimetière des navires de Landévennec.
Du fait de grandes similitudes techniques, la Marine nationale a « cannibalisé » encore de temps en temps des pièces détachées (essentiellement sur les chaudières et les turbines) du Colbert pour remplacer certains équipements de la Jeanne d'Arc, laquelle a été désarmée en 2010. Depuis cette date, plus rien ne s'oppose en théorie à la démolition du Colbert mais, en 2014, le navire est toujours amarré à Landévennec.
02 octobre 2016
Sous-marin DIANE CTRE SOUS_MARINS LORIENT S642
Sous-marin DIANE S642
CTRE SOUS-MARINS LORIENT MARINE
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Pli officiel sous-marin DIANE TàD être sous-marins Marine 56950 |
TAD mis en place le 11-04-1985
La classe Daphné était un type de sous-marins d'attaque à propulsion classique, de conception française, construits entre 1958 et 1970 pour la Marine nationale française et pour l'exportation. Ils étaient qualifiés à l'époque de sous-marins à hautes performanceset communément appelés les "800 tonnes"
Reprenant les caractéristiques relatives à l'appareil propulsif, la détection, le silence et la maniabilité des Aréthuse, dont ils étaient en quelque sorte une extrapolation, les spécifications de ces sous-marins océaniques mettaient l'accent sur la profondeur d'immersion (300 m) et l'armement (12 tubes lance-torpilles de 550mm (8 à l'avant - torpilles longues ; 4 à l'arrière - torpilles courtes). Mais ils ne pouvaient pas recharger leurs tubes à la mer.
Ils ont été modernisés à partir des années 1971 pour recevoir le sonar DUUA2B (d'où un dôme d'étrave plus volumineux) et la DLTD3A permettant le lancement de torpilles filoguidées F17.
A la date du 21 mai 1986, le sous-marin DIANE est sous les ordres de son dernier commandant le CC DE LASSUS SAINT GENIES (du 31.01.86 au 30.12.87)
Programme fixé par la note N° 167 EMG/FC du 17.09.1952 et complétée par la N° 50 EMG/FCdu 06.05.1954
Avant projet de de septembre 1954 modifié par la suite : déplacement plus important, puissance supérieure, équipement plus complet.
Construction du prototype (SM DAPHNE) confié aux "Anciens Chantiers DUBIGEON" (ACD) à Nantes en juillet 1955.
11 Sous-Marins de ce type ont été construits pour la Marine Française.
Programme fixé par la note N° 167 EMG/FC du 17.09.1952 et complétée par la N° 50 EMG/FCdu 06.05.1954
Avant projet de de septembre 1954 modifié par la suite : déplacement plus important, puissance supérieure, équipement plus complet.
Construction du prototype (SM DAPHNE) confié aux "Anciens Chantiers DUBIGEON" (ACD) à Nantes en juillet 1955.
11 Sous-Marins de ce type ont été construits pour la Marine Française.
Cartophilie la Goélette Etoile à Saint-Malo 1956
Cartophilie la Goélette Etoile à Saint-Malo 1956
Saint-Malo a été reconstruite selon son plan original. Des concessions ont cependant été faites à la circulation automobile moderne et à la salubrité publique. La reconstruction s'est faite sous l'impulsion de son maire et ancien ministre d'État Guy La Chambre, de ses habitants, du ministère de la Reconstruction et grâce à des dons venus du Québec, sur une période de douze ans (1948-1960). Le projet a été confié aux architectes Louis Arretche, Jean Monge et Raymond Cornon. Les premiers plans de la reconstruction de Saint-Malo intra-muros sont dus au grand prix de Rome Marc Brillaud de Laujardière.
La question était alors de savoir s'il fallait redonner à la cité intra-muros ses fonctions du passé, à savoir un centre administratif, hospitalier, scolaire et commercial. Il s’avéra difficile de restituer les anciennes rues avec des contraintes urbanistiques modernes. En décembre 1944, Marc Brillaud proposa donc un plan qui modifiait totalement le tissu urbain et prévoyait plusieurs grandes percées, en particulier celles qui devaient joindre les portes de la Cité à la cathédrale. Dans son projet, les bâtiments administratifs étaient regroupés autour de la cathédrale ; par ailleurs, il modifia les rues qu’il élargit jusqu’à 8 m et évacua l’hôpital hors de l’intra-muros. Il fournit une première esquisse pour les façades des immeubles, limitant leur hauteur à trois étages plus un comble habitable sous les toits. Les façades étaient d’un style très sobre, évitant le pastiche des styles historisants. L’ensemble de ce dispositif fut validé en 1946 et approuvé par le ministère.
Louis Arretche reprit les esquisses de Marc Brillaud en précisant : « la réussite de la reconstruction dépend avant tout du profil et de l’aspect des quatre façades maritimes et portuaires de la cité » de Saint-Malo, rare ville française qui peut se découvrir d’un même regard et sur tous les côtés. « Restituer prioritairement les quatre grandes façades de la ville afin de lui donner sa silhouette antérieure et de déterminer le gabarit du vaisseau ». Arretche va conserver les profils de la cathédrale et du château, suivant la volonté de Raymond Cornon. Ce sont ces bâtiments qui fixent les lignes maîtresses du volume d’ensemble. À l’intérieur, la reconstruction des immeubles va être marquée par une beaucoup plus grande liberté. La mairie est dans le château, l’Hôtel-Dieu et la prison hors des murs, ce qui libère une grande surface au sol. Arretche élargit les rues, remembre les commerces et prévoit une hauteur supérieure à trois étages allant jusqu'à 5 ou 6 niveaux. Il prend le parti architectural de l’îlot fermé, formé par un pâté de maisons entourant une cour intérieure. Les façades des immeubles sont construites sans éléments somptuaires en jouant uniquement sur le décrochement avec, exceptionnellement, des terrasses pour protéger les commerces. La pente des toitures sera à 50 et 60° ; le choix des matériaux imposés sera du granit et de l’ardoise, sans oublier le béton brut de décoffrage.
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