01 juillet 2023

les goélettes à Fécamp juin 2023 Etoile Belle-Poule

les goélettes à Fécamp juin 2023 Etoile Belle-Poule 


Du 19 au 21 juin 2023, ce sera à n’en pas douter un grand événement à Fécamp (Seine-Maritime). En effet, les goélettes Étoile et Belle Poule, propriété de la Marine Nationale amarrées et entretenues aujourd’hui à Brest, seront de retour dans leur port de construction




 

TàD LA POSTE 24344A 20-6-2023 FECAMP Pdc 1


https://www.facebook.com/goelettebellepoule/?locale=fr_FR


Photos Marine nationale


30 juin 2023

Varsovie Cathédrale Notre-Dame Reine de la couronne polonaise Armée polonaise guerre 39 45 Pologne agence marine

 Varsovie Cathédrale Notre-Dame Reine de la couronne polonaise  Armée polonaise

 La cathédrale Notre-Dame Reine de la couronne polonaise est la principale église de garnison de Varsovie. Elle représente toute les armées polonaises dont la marine avec une ancre et une hélice encadrant la porte d'entrée.


Actuellement, toutes les grandes fêtes religieuses militaires de Varsovie s'y déroulent.




En 1915 quand les Russes quittent face à l’armée allemande, ceux-ci l’utilise comme dépôt. A la fin de la guerre, la Pologne ayant retrouvé son indépendance, l’église est reconstruite sur des dessins du XVIIe siècle.
Elle est devenue le siège de l'évêque de campagne de l' armée polonaise.
Timbres gouvernement polonais en exil Série 1941  sur une lettre recommandée envoyée par l'agence postale de la marine polonaise n° 1, cachets de la censure britannique au verso.


Pendant le soulèvement de Varsovie en 1944, la cathédrale est l'une des églises fréquemment ciblées par la Luftwaffe. De violents combats ont lieu pour l'occupation des ruines, car la tour ouest préservée est utilisée comme poste d'observation. Parallèlement, les caves du monastère et les cryptes sous l'église servaient d’hôpital de campagne.
Les vestiges de l'église, ainsi que l'hôpital, ont été détruits par un bombardement aérien allemand le 20 août 1944

La façade avant est marquée par un grand tympan avec au sommet une sculpture représentant la Sainte Marie et flanqué de deux tours basses. Des deux côtés de l'entrée principale, il y a un certain nombre de tablettes de pierre commémorant les unités militaires polonaises notables du passé, ainsi qu'une ancre et une hélice symbolisant deux branches des forces armées polonaises.

Gouvernement polonais en exil en Angleterre 1941 1ère émission  une série de timbres sur  lettre recommandée postée à l'agence maritime n° 12


1945 secours et aide polonais 1ère édition du Gouvernement polonais en exil à Londres - POLSKA MARYNARKA HANDLOWA; lettre recommandée du Portugal envoyée dans une agence

28 juin 2023

Marine Française Port-Saïd 1920

Marine Française Port-Saïd 1920

Pendant toute la deuxième moitié du xixe siècle, les intérêts vitaux de l’Empire britannique en Méditerranée orientale dépendaient étroitement de la défense de ses voies maritimes vers les Indes, autrement dit de la liberté de passage dans le canal de Suez. C’est en 1906, avec la crise de Taba-Aqaba qui opposa l’Égypte et l’Empire ottoman sur le registre du tracé des confins entre la Palestine et l’Égypte, que les Britanniques prirent conscience du potentiel de l’armée turque et du fait que le Levant risquait de devenir un champ de bataille entre les puissances occidentales et l’Empire ottoman



Les intérêts de la France en Méditerranée orientale étaient davantage inspirés par ses ambitions coloniales que par des raisons militaires.


Suite à une requête des Britanniques, le vice-amiral Boué de Lapeyrère, commandant en chef de la flotte française en Méditerranée, accepta d’envoyer à Port-Saïd le porte-avions Foudre chargé de cinq hydravions biplaces, avec les équipages adéquats. Ce porte-avions quitta rapidement Port-Saïd en confiant les hydravions et leurs pilotes au commandement britannique. Des officiers anglais se portèrent volontaires pour servir d’éclaireurs et l’ensemble de l’escadrille des puissances alliées fut placé sous le commandement d’un pilote français, le lieutenant de vaisseau Henry de l’Escaille. Ironie du sort : ces hydravions, fabriqués au départ pour l’armée ottomane qui souhaitait se munir d’un embryon de force aérienne, avaient été confisqués par la marine française dès le début des hostilités en Europe


Au cours des dix-huit mois suivants, la petite escadrille franco-britannique fut le moyen le plus efficace de reconnaissance et de transmission de renseignements stratégiques aux forces alliées en Méditerranée orientale. Elle survola systématiquement les principales bases militaires du littoral et de l’intérieur des terres, depuis El-Arish et Gaza au sud jusqu’à Alexandrette et Mersin au nord, en passant par Beershéva, Naplouse, Afoula, Haïfa et Beyrouth. Avec cette escadrille étaient mis en action simultanément huit hydravions bien entretenus, conduits par une demi-douzaine de pilotes français et à peu près autant d’agents britanniques de reconnaissance aérienne.



A 350 kilomètres à l’est d’Alexandrie et à 220 au nord-est du Caire, véritable langue de terre artificielle coincée entre la mer et le lac Menzala, telle fut la position choisie par les ingénieurs de la Compagnie Universelle du Canal Maritime de Suez pour l’implantation de Port-Saïd, Bour Sa’id.
Les travaux de fondation de la ville débutent en 1859 avec le percement du canal. A ses débuts, la ville est constituée d’un groupe hétéroclite de baraquements en bois habités par les ouvriers du chantier. Une fois le canal ouvert, les baraquements sont remplacés par des bâtiments en dur. La nouvelle ville égyptienne se développe alors d’après un plan préconçu entièrement calqué sur le modèle occidental, sillonnée de larges avenues rectilignes bordées d’arbres mais qui distingue clairement le quartier arabe du quartier européen.

     C'est en octobre 1862 que l'on décida d'envoyer dans les colonies françaises des cachets à date spécifiques , octogonaux puis parfois circulaires , avec dans leur libelé supérieur la mention "CORR.D.ARMEES" ou "CORR.D.ARM." et le nom de la colonie ou d'un bureau de poste colonial dans la partie inférieure.

     Ces premiers cachets à date prévus pour octobre 1862 arrivèrent dans les colonies françaises parfois bien plus tard en 1863.

     En principe , les bureaux de poste principaux des colonies françaises en reçurent un en double exmplaires à la condition qu'elles soient desservies par une ligne régulière de paquebots français: 

     par ce fait , dans leurs débuts en tout cas , certaines colonies existantes à l'époque n'en reçurent pas comme : Saint-Pierre et Miquelon , Assinie et Gabon , Nouvelle Calédonie , Tahiti et Réunion.

     Puis , au fur et à mesure des développements maritimes , certaines de ces colonies en reçurent finalement un ou plusieurs , ainsi que d'autres bureaux de poste.

     A noter que certains paquebots reçurent aussi de tels cachets à date avec mention de leur nom , puis , quand les lignes de paquebots furent constituées (A ,B , C , D , E , G , J , K , L , M , N , O , T , U , V ) , ils reçurent des cachets à date analogues avec la mention de la lettre de la ligne : tous ces cachets à date sont étudiés dans les différents tomes de R.Salles.

Une convergence d’intérêts : la collaboration entre les services secrets français et britanniques au Levant pendant la Première Guerre mondiale

Yigal Sheffy

27 juin 2023

Armada 2023 Rouen Goélette Belle-Poule retour des cendres de Napoléon Sainte-Hélène Exhumation


Armada 2023 Rouen Goélette Belle-Poule



La goélette Belle Poule a été construite en 1932 aux Chantiers navals de Normandie à Fécamp. Elle est la réplique des goélettes de Paimpol qui pêchaient la morue au large de l'Islande, d'où également, l'appellation de "goélette islandaise". Avec la goélette Etoile, son sister-ship, elle est le dernier bâtiment de la Marine nationale à avoir servi dans les Forces navales françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Elles arborent à ce titre le pavillon de beaupré à Croix de Lorraine.

L Belle-Poule   photo © Bernard Hily
Tout en étant traditionnelle, cette unité en bois de la Marine nationale est une école vivante du sens marin et de la cohésion d'équipage et constitue un outil de formation maritime hors du commun. Basée à Brest, elle participe à l'instruction maritime pour les élèves des différentes écoles de la Marine nationale : Ecole Navale, Maistrance, Ecole des Mousses, etc. La pratique de la voile permet en effet de développer le sens marin, c'est-à-dire la mesure du risque et l'habileté manœuvrière : le bon manœuvrier sait se sortir des situations difficiles et tirer avantages du vent.
La Belle-Poule  photo © JM Bergougniou

A la dimension nautique de ce voilier, s'ajoute une dimension patrimoniale unique. Outre leur mission principale de formation, les voiliers-écoles constituent de véritables ambassadeurs de la Marine nationale et sont fréquemment déployés lors de manifestations nautiques en France comme à l'étranger.


La Belle-Poule  photo © JM Bergougniou
La Belle Poule - 21 mètres de coque en bois de chêne doublée de cuivre et arborant de confortables boiseries dans son carré des officiers - a été construit, tout comme l'Étoile, par les Chantiers de Normandie de Fécamp. 









La Belle-Poule détails photo © JM Bergougniou
Selon la légende, La Belle Poule tire son patronyme du bateau corsaire la Belle Paule, célèbre sous François Ier. Ce navire racé à la mature en pin d'Oregon est l'héritier d'une tradition de frégates de la Marine Royale puis Nationale. "Honneur", "Patrie", "Valeur" et "Discipline" en lettres de bronze encerclent le château de la capitainerie. Elle est l'héritière de toute une lignée de "Belles Poules". Parmi celles-ci, la 3ᵉ du nom rentrera dans l'histoire pour avoir ramené les cendres de l'Empereur Napoléon de l'Ile de Sainte-Hélène en 1840.



PROCÈS-VERBAL,

Je soussigné. Gaillard, Rémy-Julien, chirurgien major de la frégate la Belle-Poule, m'étant rendu,  dans la nuit du 14 au 15 octobre 1840, sur l'invitation du comte de Rohan Chabot, à la vallée du tombeau de Ste-Hélène, pour assister à l'exhumation des restes de l'Empereur ; j'en ai dressé le présent procès-verbal: 







Pendant les premiers travaux, il n'a point été pris de
précautions sanitaires, aucune exhalaison méphitique n'est sortie des terres que l'on remuait, ni du caveau dont on faisait l'ouverture.






—Le caveau ayant été ouvert, j'y suis descendu : au fond était le cercueil de l'Empereur; il reposait sur une large dalle. Les planches en acajou qui le formaient avaient encore leur couleur et leur dureté excepté celles du fond, qui, garnies de velours présentaient , un peu d'altération dans les couches les plus superficielles. On ne voyait à l'entour aucun corps solide ni liquide. Quant aux parois du caveau, elles n'offraient pas la plus légère dégradation, ça et la quelques traces d'humidité. 

M. le commissaire du Roi m'ayant engagé à ouvrir les 
cercueils intérieurs, j'ai dû les soumettre d'abord à quelques mesures sanitaires; immédiatement après, j'ai
procédé à leur ouverture. La caisse extérieure était fermée par des longues vis; il a fallu les couper pour enlever le couvercle-, dessous était une caisse eu plomb close de toutes parts, qui enveloppait une autre caisse en acajou intact , venait enfin une quatrième caisse en fer-blanc dont le couvercle était soudé sur les parois qui se repliaient en dedans. La soudure a été coupée lentement et le couvercle enlevé avec précaution, alors j'ai vu un tissu blanchâtre qui cachait l'intérieur du cercueil et empêchait d'apercevoir le corps : c'était du satin ouaté formant une garniture dans l'intérieur de cette caisse. Je l'ai soulevé par une extrémité, et, le roulant sur lui même des pieds vers la tête, j'ai mis à découvert le corps de Napoléon, que j'ai reconnu aussitôt tant son corps était bien conserve, tant sa tête avait de vérité dans son expression,-

Quelque chose de blanc qui semblait détaché de la garniture, couvrait, comme d'une gaze légère, tout ce que renfermait le cercueil. Le crâne et le front qui adhéraient fortement au satin , en étaient surtout enduits; on en voyait peu sur le bas de la figure, sur les mains , sur les orteils.


 Le corps de l'empereur avait une position aisée ; c'était celle qu'on lui avait donnée en le plaçant dans le cercueil: les membres supérieurs étaient allongés, l'avant- bras et la main gauche appuyant sur la cuisse correspondante,

les membres inférieurs légèrement fléchis. La tête, un peu élevée, reposait sur un coussin; le crâne volumineux, le front haut et large se présentaient couverts de tégumens jaunâtres durs et très-adhérens. Tel paraissait aussi le contour des orbites dont le bord supérieur était garni de sourcils. Sous les paupières se dessinaient les globes oculaires, qui avaient perdu peu de chose de leur volume et de leur forme. Ces paupières, complètement fermées, adhéraient aux parties sous-jacentes et se présentaient dures sous la pression des doigts, quelques cils se voyaient encore à leur bord libre. Les os propres du nez et les tégumens qui les couvraient étaient bien.Conservés, le tube et les ailes seuls avaient souffert. 
Les joues étaient bouffies. Les tégumens de cette partie de la face se faisaient remarqués par leur toucher doux,
souple et leur couleur blanche; ceux du menton étaient
légèrement bleuâtres. Ils empruntaient cette teinte à la barbe ; qui semblait avoir poussé après la mort. Quant au menton lui-même, il n'offrait point d'altération et conservait encore se type propre à la figure de Napoléon.

Les lèvres amincies étaient écartées, trois dents incisives extrêment blanches, se voyaient sous la lèvre supérieure qui était un peu relevée à gauche. Les mains ne laissaient rien à désirer ; nulle part la plus légère
altération. Si les articulations avaient perdu leur mouvemens, la peau semblait avoir conservé cette couleur particulière qui n'appartient qu'à ce qui a vie. Les doigts portaient des ongles longs, adhérens et très blancs. Les jambes étaient renfermées dans les bottes, mais, par suite de la rupture des fils, les quatre derniers orteils d'ongles. La région antérieure du thorax était fortement déprimée dans la partie moyenne, les parois du ventre dures et affaissées.. Les membres paraissaient avoir conservé leurs formes sous les vêtements qui les couvraient; j'ai pressé le bras gauche, il était dur et avait diminué de volume.


Quant aux vêtemens il se présentaient avec leurs couleurs ; ainsi on reconnaissait parfaitementl'uniforme des chasseurs à cheval de la vieille garde , au vert foncé de l'habit, au rouge vif des paremens; le grand cordon de la Légion-d'Honneur se désignant sur le gilet, et la culotte blanche cachée en partie par le petit chapeau qui reposait sur les cuisses.

Les épaulettes, la plaque et les deux décorations attachées sur la poitrine n'avaient plus leur brillant;" elles étaient noircies. La couronne d'or de la croix d'officier de la Légion-d'Honneur seule avait conservé son éclat.

La Belle-Poule  photo © JM Bergougniou
Des vases d'argent apparaissaient entre les jambes , un
d'eux surmonté d'un aigle s'élevait entre les genoux, je
le trouvai intact et fermé, comme il existait des adhérences assez fortes entre ces vases et les parties voisines qui les couvraient un peu, M. le Commissaire du roi n'a pas cru devoir les déplacer pour les examiner de plus près

25 juin 2023

Le Prairial est rentré à Papeete mai juin 2023 collège Papara

Le Prairial est rentré à Papeete mai 2023


Le Prairial est rentré à Papeete après 3 mois de mission en Asie. Moment particulièrement fort, celui où l’hélicoptère du navire est allé déposer sur la DMZ, la zone démilitarisée entre la Corée du Nord et du Sud, une ministre ! Une anecdote parmi d'autres que les personnels du Prairial auront à coeur de raconter à leurs proches.
TàD Pirae Ile de Tahiti 14-6-2023
3 mois à sillonner des mers dans des régions parfois sous haute tension. "On a pu rapporter pas mal d'informations à nos autorités. L'un des moments forts a été le passage du détroit de Taïwan qui s'est fait dans un contexte de visite du président de la République en Chine, et aussi dans le contexte d'un grand exercice de la marine chinoise autour de Taïwan", explique le capitaine de vaisseau François Maignan, commandant du Prairial
La frégate a notamment effectué une patrouille en mer de Chine. Une zone où actuellement des tensions importantes entre différentes nations subsistent, l’occasion d’analyser et de collecter d’importants renseignements sur la situation.

En Corée, les militaires français ont aussi été sollicités pour y transporter une représentante de l'Etat en zone neutre. "C'était la première fois qu'un hélicoptère non-américain ou non-coréen est allé se poser sur la DMZ, c'est-à-dire la zone démilitarisée entre la Corée du Nord et la Corée du Sud, une zone extrêmement sensible. Notre hélicoptère y a amené la ministre des Affaires étrangères française", ajoute le commandant du Prairial. 

https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/le-prairial-de-retour-la-joie-des-retrouvailles-apres-une-longue-mission-en-asie-1397450.html

La classe de défense du collège de Papara embarque à bord du Prairial ⚓️🌊

Le 13 juin 2023, l’équipage de la Frégate de surveillance (FS) Prairial a accueilli à son bord la classe de défense du collège de #Papara, ville marraine de l’unité depuis 1993 qui est située au sud-ouest de #Tahiti.

Faisant suite à la visite du collège par une délégation du Prairial le 14 février dernier, avant son déploiement opérationnel en Asie, les marins ont reçu, en retour, les élèves à bord afin de leur faire découvrir le bâtiment, ses missions et les spécificités de la vie embarquée.

Au travers de trois ateliers pratiques (timonerie, sécurité, mécanique), ces élèves de 3ème ont pu échanger avec les marins et découvrir leur travail du quotidien. Un moment de convivialité autour d’une projection d’un film de mission a ensuite réuni les élèves, leur équipe éducative ainsi que la maire de Papara et sa première adjointe. Cette riche matinée s’est enfin terminée par un déjeuner partagé au sein des différents carrés durant lequel les échanges ont pu se poursuivre.

Les élèves sont repartis du Prairial tout sourire ; nul doute que cette parenthèse enchantée au milieu des révisions du brevet aura fait naître des vocations !

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Merci à Claude Bélec

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...