18 mars 2016

Humour dans le carré par Donec Mars 2016

Donec : vive le gélotube


Bonjour à tous,

Au lendemain de la guerre de 40-45 notre France n’était pas le pays riche que nous connaissons aujourd’hui. Nous nous débattions dans un après guerre misérable entre début de guerre froide et colonies en ébullition. 



Parmi ces conflits le pire de tous était l’Indochine. Dans ce pays merveilleux à la population si élégante, se déroulait le pire de la guerre. Comme il fallait des distractions à nos pauvres pioupiou on avait ouvert des bordels, le Parc à Buffle en était un. Dans cette réincarnation de la « Divine comédie » des centaines de misérables paysannes se prostituaient. Leur vocabulaire se limitait à quelques mots orduriers. 
Gélotube


Elles se livraient à leur commerce sous l’œil acide d’effrayantes gorgones. Inutile de dire que les clients devaient avoir le cœur (si j’ose dire) bien accroché. Coté prophylaxie on avait fait appel à la légion qui après l’amour se chargeait du suivi médical. Le jeu consistait à immobiliser le patient et introduire la canule du Gélotube (antiseptique universel) dans le canal de l’urètre et de lui en mettre une bonne giclée.

C’était ça l’amour au temps heureux des colonies.

A la semaine prochaine



Donec

17 mars 2016

Flottille amphibie

Flottille amphibie


La flottille amphibie est une unité de la Force d’Action Navale qui  rassemble tous les engins de débarquement de la marine nationale.
C’est elle qui fournit la batellerie des BPC pour la conduite des opérations amphibies.

Composée de 110 marins, la Flottille possède 10 CTM, 4 EDAR ainsi que 3 équipes de reconnaissance de plage.

La flottille amphibie est héritière par filiation directe de la flottille d’Indochine du nord. A ce titre, son personnel porte la fourragère de la croix de guerre TOE (Théâtre d’Opérations Extérieures).


Amphibie


Une opération amphibie est une opération conduite à partir de la mer, mettant en oeuvre des forces interarmées, exécutée sur une côte potentiellement hostile.

Elle implique un changement de milieu, cette opération se déroule à la fois en mer, sur terre et dans les airs.








CTM : Chaland de Transport Maritime


CTM 22 Toulon (c) JM Bergougniou

CTM 31 Toulon (c) JM Bergougniou

CTM 31 Toulon (c) JM Bergougniou

Passerelle CTM 31 Toulon (c) JM Bergougniou


Le CTM est un engin de débarquement très robuste et très fiable.

Caractéristiques :
Longueur : 24 m
Vitesse : 8,5 nd
Capacité d’emport : 90 T
Surface utile de chargement : 126 m²
Armement : 12,7 mm
équipage : 4


CTM 18 Mayotte photo (c) JM bergougniou


EDAR : Engins de débarquement amphibie rapide

E-DAR en construction chez SOCARENAM Saint-Malo (c) JM Bergougniou

E-DAR en construction chez SOCARENAM Saint-Malo (c) JM Bergougniou


L’EDAR est un engin de débarquement de nouvelle génération. D’un concept innovant, cet engin possède une plateforme mobile montée sur vérins hydrauliques lui permettant de changer de configuration :




- Mode catamaran : plateforme en position haute, coques optimisées pour une vitesse élevée ;

- Mode chaland : plateforme en position basse, tirant d’eau réduit pour plageage

ou enradiage dans un BPC.

Caractéristiques :

Longueur : 30 m

Vitesse : 18 nd à pleine charge / 30 nd à vide

Capacité d’emport : 100 T

Surface utile de chargement : 126 m²
Armement : 2 affuts 12,7mm / 2 AANF1

équipage : 7


Pierre Messmer

Pierre Messmer 


premier jour à 56 Saint Gildas de Rhuys 11.03.2016
référence à De Gaulle à l'académie 




Pierre Messmer est né le 20 mars 1916 à Vincennes, son père était industriel.


Après des études secondaires aux lycées Charlemagne et Louis-le-Grand, Bachelier en 1933, il est breveté de l'Ecole nationale de la France d'Outre-mer (1934-1937), docteur en droit (1938) et diplômé de l'Ecole des langues orientales.











Elève administrateur des colonies, EOR à Saint-Cyr, Pierre Messmer effectue son service militaire de 1937 à 1939 au 12e Régiment de tirailleurs sénégalais (12e RTS).








Au moment de la déclaration de guerre, il est maintenu sous les drapeaux, au 12e RTS, comme sous-lieutenant.



Il effectue un stage d'observateur en avion à Tours et est replié dans le Puy de Dôme, à quelques kilomètres de la base d'Aulnat, lorsque, entendant, le 17 juin 1940, le discours du maréchal Pétain à la radio, il décide immédiatement, avec le lieutenant Jean Simon, de tout faire pour continuer le combat.

Tous deux prennent la direction du sud de la France et, au moyen d'une moto puis en auto-stop, arrivent à Marseille, d'où ils parviennent, grâce à la complicité du commandant de marine marchande Vuillemin, à se faire embarquer comme hommes d'équipage à bord d'un cargo italien, le Capo Olmo, qui se prépare à partir en convoi pour l'Afrique du Nord.


Au cours du voyage, le commandant Vuillemin, Pierre Messmer et Jean Simon, avec quelques camarades embarqués clandestinement mais contre l'avis des officiers du bord, déroutent le Capo Olmo vers Gibraltar après avoir convaincu l'équipage.




Le bâtiment rallie ensuite Liverpool, le 17 juillet 1940, apportant à la France libre, outre une trentaine de volontaires, une précieuse cargaison de matières premières et d'avions Glenn Martin en pièces détachées dont la vente permettra de payer les frais de fonctionnement de la France Libre pendant près de trois mois.



Pierre Messmer s'engage alors dans les Forces françaises libres et est affecté, à sa demande, à la 13e Demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). Chef de section à la 3e compagnie commandée par Jacques de Lamaze, il participe aux opérations de Dakar et du Gabon entre septembre et novembre 1940.

Il se distingue ensuite lors de la campagne d'Erythrée où, sa section étant déjà fortement éprouvée, il s'empare, dans la nuit du 13 au 14 mars 1941, des pentes du Sud du Grand Willy. De nouveau, le 8 avril, à Massaoua, il enlève à la mitraillette et à la grenade, par une habile manoeuvre, deux fortins ennemis puissamment armés, capturant trois officiers et 70 marins.


Deux fois cité, il est décoré de la Croix de la Libération par le général de Gaulle au camp de Qastina en Palestine à l'issue de la campagne d'Erythrée, le 26 mai 1941. Il combat ensuite lors de la douloureuse campagne de Syrie comme commandant de la 3e compagnie.



En septembre 1941, Pierre Messmer est promu capitaine.

Au sein de la 1ère Brigade française libre commandée par le général Koenig, la 13e DBLE participe ensuite à la campagne de Libye et à la défense de Bir-Hakeim. Au cours du siège de Bir-Hakeim, Pierre Messmer qui commande une compagnie du 3e Bataillon de Légion, relève dans des conditions difficiles et au contact de l'ennemi, une autre compagnie particulièrement éprouvée. Il parvient ainsi à maintenir, malgré de furieux assauts ennemis, l'intégrité de la position.

Au cours de la bataille d'El Alamein, dans la nuit du 23 au 24 octobre 1942, il entraîne sa compagnie à l'assaut de la position solidement défendue de Nag-rala, infligeant de lourdes pertes à l'ennemi. Par la suite, son activité suit toutes les campagnes de son unité.

En juillet 1943, après la campagne de Tunisie, Pierre Messmer est envoyé en mission aux Antilles où règne une agitation militaire et civile importante.

De retour en Angleterre en octobre 1943, le capitaine Messmer suit un stage parachutiste dans le but d'être envoyé en France mais finalement, en janvier 1944, il est affecté, à Londres, à l'Etat-major du général Koenig, nommé commandant en chef des Forces françaises en Angleterre et des Forces françaises de l'Intérieur.

Le capitaine Messmer débarque en août 1944 en Normandie ; il dirige vers Paris le convoi de l'Etat-major et entre dans la capitale, dont Koenig a été nommé gouverneur militaire, le 25 août en même temps que la 2e DB.

En janvier 1945, promu commandant, il est envoyé à Calcutta pour y créer une Mission militaire de liaison administrative en qualité de commissaire de la République par intérim.

Parachuté le 25 août 1945 au Tonkin pour y créer une nouvelle mission, il est fait prisonnier par le Viet-Minh. Après deux mois de captivité, il s'évade dans des conditions particulièrement difficiles et rejoint les forces françaises.

Secrétaire général du comité interministériel de l'Indochine en 1946, il est ensuite directeur de cabinet d'Emile Bollaert, haut-commissaire en Indochine.



Il redevient ensuite administrateur en chef de la France d'Outre-mer en 1950, puis gouverneur de Mauritanie (1952) et de Côte d'Ivoire (1954-1956).

Haut-commissaire de la République au Cameroun en 1956-1958, puis Haut-commissaire et gouverneur général en AEF puis en AOF en 1958 et 1959, Pierre Messmer est ministre des Armées de 1960 à 1969, ministre d'Etat chargé des DOM-TOM (1971-1972) et Premier ministre de juillet 1972 au mois de mai 1974.


Pierre Messmer est également député UDR puis RPR de Moselle (1968-1988), conseiller régional (1968-1992) et président du Conseil régional de Lorraine, conseiller général de Moselle (mars 1970-mars 1982) et maire de Sarrebourg pendant 18 ans (1971-1989).

Il préside le groupe RPR à l'Assemblée nationale de 1986 à 1988.

Pierre Messmer est par ailleurs membre de l'Académie des sciences d'Outre-mer depuis 1976 et membre, depuis 1988, de l'Académie des sciences morales et politiques avant d'en devenir le secrétaire perpétuel (1995-1998). Il est également Chancelier de l'Institut de France (1998-2005) puis chancelier honoraire.


Par ailleurs président de l'Institut Charles de Gaulle (1992-1995) puis de la Fondation Charles de Gaulle (1995-1998), Pierre Messmer est élu, le 25 mars 1999, à l'Académie française au fauteuil de Maurice Schumann.


En octobre 2001, Pierre Messmer succède au général d'armée Jean Simon à la présidence de la Fondation de la France libre.

Par décret du Président de la République du 6 juin 2006, Pierre Messmer est nommé Chancelier de l'Ordre de la Libération en remplacement du général d'armée Alain de Boissieu décédé.

Pierre Messmer est décédé le 29 août 2007 à l'Hôpital du Val-de-Grâce à Paris. Il est inhumé à Saint-Gildas de Rhuys dans le Morbihan.




• Grand Croix de la Légion d'Honneur
• Compagnon de la Libération - décret du 23 juin 1941
• Croix de Guerre 39/45 (6 citations)
• Médaille de la Résistance
• Médaille des Evadés
• Médaille Coloniale avec agrafes "AFL", "Erythrée" - "Lybie" - "Bir-Hakeim", "Tunisie 42-43", "Extrême-Orient"
• Médaille Commémorative 39/45
• Officier de l'American Legion
• Commandeur du Nichan Iftikhar (Tunisie)
• Commandeur de l'Ordre Royal du Cambodge



Sources : Ordre national de la libération

http://www.ouest-france.fr/bretagne/vannes-56000/saint-gildas-de-rhuys-un-timbre-leffigie-de-pierre-messmer-4073430

Merci à Stéphane Chabot 

16 mars 2016

LISA Verdun le bois des Caures 1916 Colonel Driand

LISA Verdun le bois des Caures 1916


le TAD en date du 21 février 2016 évoque par son texte et le dessin les chasseurs de DRIANT
55 VACHERAUVILLE
Une étiquette de distributeur de type LISA est sorti pour la commémoration du déclenchement de la bataille de Verdun le 21 février 2016


Cette LISA comporte un double visuel d'une part à gauche l'évocation du Bois des Caures avec une représentation du PC du colonel Driant.

A droite le mémorial de Verdun. A remarquer que les drapeaux français et allemand sont représentés en haut, à droite et à gauche de la Lisa.

La LISA est dessinée par Pierre-André Cousin.


On ne passe pas

La consigne était de tenir jusqu'au bout. Elle a été observée.
Le Députe de Nancy, le Colonel Driant, Saint-Cyrien, demande à rejoindre le front avec son grade et on lui confie, au nord de Verdun, une demi-brigade formant corps constituée de deux bataillons de Chasseurs : les 56ème et 59ème B.C.P.

Officier mais aussi homme politique, Driant, qui a toujours eu son franc-parler, ne se gêne pas pour observer et formuler des critiques sur l'organisation du secteur de Verdun. Ce qui n'empêcha nullement la poursuite du démantèlement des ouvrages de la place fortifiée, alors même que les positions intermédiaires étaient à peine esquissées. 
Pratiquant au milieu de ses Chasseurs un commandement d'une affectueuse simplicité non dénuée de rigueur, il ne pouvait rien faire d'autre qu'organiser son secteur et attendre l'orage qu'il voyait venir avec une cruelle lucidité. Driant, dès le 20 janvier, avait, dans un ordre du jour à sa demi-brigade, annoncé la grande épreuve. Voici ce texte, où sont soulignées les lignes qui précisaient à l'avance le caractère de la lutte sans précédent qui allait s'engager.

En février 1916, le secteur du Bois des Caures est occupé depuis novembre 1915 par le groupe de Chasseurs du Lieutenant-colonel Driant. Le groupe comprend le 56ème B.C.P. (Capitaine Vincent) et le 59ème B.C.P. (Commandant Renouard). Depuis plusieurs semaines, les deux bataillons, alternativement en ligne, ont renforcé leurs positions et aménagé leurs défenses, sous l'impulsion de Driant qui pressent une attaque imminente. Le 21 février 1916, à 7 heures du matin, le premier obus tombe sur le bois et Driant, sachant que l'heure du sacrifice a sonné, parait au milieu de ses chasseurs qu'il ne quittera plus. Le bombardement devient si dense que tout le terrain semble miné.
Dès 10 heures, le bois est impraticable, c'est un vrai chaos. A 17 heures, le bombardement cesse brusquement, puis le tir reprend, mais très allongé, c'est l'attaque rapide, souvent même la lutte au corps à corps. Malgré des actes d'héroïsme extraordinaires, quelques tranchées sont prises. Le soir venu, l'ennemi est maître d'une partie des premières lignes. Mais les chasseurs de la compagnie Robin contre-attaquent dans la nuit glacée, reprennent leurs tranchées et sèment la panique parmis les Allemands, persuadés que les Chasseurs sont tous hors de combat. Vers minuit, le Colonel Driant parcourt tout le secteur, va à l'extrême pointe des tranchées et encourage tous ces hommes.




Pour en savoir plus :




Côté français, la surprise a été « presque » totale et le choc effroyable. Mais la débandade attendue par l’ennemi n’a pas eu lieu. Les survivants des deux divisions françaises ne battent pas en retraite, ni ne se rendent. A dix contre cent, fusils Lebel contre Mauser et lance-flammes, la défense française s’organise. L’infanterie allemande procède par vagues d’assaut, espacées d’une centaine de mètres. Toutefois, les difficultés du terrain les obligent souvent à progresser par colonnes, désorganisant leur montée en ligne. Et les français encore debout les prennent à revers. Cette capacité de résistance n’avait pas été envisagée par l’état major allemand, fort de la doctrine militaire du moment « l’artillerie conquiert, l’infanterie occupe ». Une lutte impitoyable oppose donc les deux camps dès les premières heures. Elle se prolongera pendant plusieurs mois sur cette poche de quelques kilomètres carrés, causant la perte de 163 000 français et 143 000 allemands, tués ou disparus . 216 000 français et 196 000 allemands seront blessés.






14 mars 2016

la FLF Courbet à Clipperton

la FLF Courbet à Clipperton




Lors du GEAOM 2009 2010 le pétrolier-chimiquier Sichem Osprey (IMO 9396024) s’échoue sur l’atoll de Clipperton (île de la Passion) à 585 milles des côtes mexicaines le 10 février 2010.



La FLF Courbet en escale à Callao de Lima au Pérou quitte le GEAOM pour rejoindre l'atoll après avoir embarqué gendarmes et enquêteurs


Callao de Lima la FLF Courbet appareille pour Clipperton (c) JM Bergougniou
Callao de Lima la FLF Courbet appareille pour Clipperton (c) JM Bergougniou



L’île de Clipperton anciennement île de la Passion, est une possession française composée d'un unique atoll situé dans l'océan Pacifique, à 12 000 kilomètres de la France métropolitaine, à 6 000 kilomètres de Tahiti et à 1 300 kilomètres au sud-ouest du Mexique. 




Son lagon représente le seul lagon d'eau douce au monde. L'Île de Clipperton représente aussi la seule possession française du Pacifique nord. Cette île est le quatrième territoire français du Pacifique et le cinquième de l'outremer français par son extension maritime.



L'île fut découverte le vendredi saint 3 avril 1711 par les Français Mathieu Martin de Chassiron et Michel Dubocage, commandant respectivement les frégates la Princesse et la Découverte, qui en dressèrent la première carte. En souvenir de cette journée, ils la baptisèrent île de la Passion. Bien que n'étant pas chef d'escadre, c'est Dubocage qui a conseillé la route à suivre et qui le premier a découvert l'atoll ne figurant pas sur ses cartes.



Le nom de l'île de Clipperton lui vient du flibustier et naturaliste anglais John Clipperton (ou Clippington) qui, pour certains, aurait croisé au large de cette île, et, pour d'autres, y aurait même débarqué en 1704 après avoir fait sécession et quitté l'expédition de William Dampier. Bien qu'aucune trace écrite de son passage n'ait été retrouvée, l'histoire retint le nom de l'île de Clipperton sans que l'on sache vraiment pourquoi, peut-être à cause d'une légende de trésor.





La découverte d'une grande quantité de guano sur l'île incita le Mexique, plus proche, à revendiquer l'île de la Passion et à l'occuper dès 1897. L'exploitation du guano fut concédée à la Pacific Islands Company. 

 On a aussi parlé, en 1895-1896, d'une occupation de l'île par les États-Unis mais sans suite. Par suite de la révolution mexicaine, les bateaux chargés d'approvisionner l'île tous les deux mois ne vinrent plus.



En 1914, le gouvernement du Mexique oublia la garnison de soldats avec femmes et enfants installés sur place depuis 1906. Ils y moururent du scorbut et de naufrages, à l'exception de trois femmes, une adolescente et sept enfants qui furent sauvés par le navire américain Yorktown le 18 juillet 1917. 



C'est l'histoire des célèbres « Oubliés de Clipperton ». On retrouva sur l'île le gardien du phare, mort la veille, assassiné par les femmes dont il avait abusé pendant plus de deux ans, selon les dires des survivantes.  Certaines encyclopédies ont longtemps indiqué que l'île de Clipperton avait une cinquantaine d'habitants, restant à ce chiffre de 1914.




















































photo (c) Marine nationale FLF Courbet


http://www.legrandjournal.com.mx/2010/03/un-chimiquier-echoue-sur-le-joyau-francais-de-clipperton-a-1300-kms-au-large-du-mexique/

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...