08 septembre 2022

Le Marion Dufresne en escale à Tromelin 30-8-2022 Timbre salon philatélique automne

 Le Marion Dufresne en escale à Tromelin 30-8-2022



Parti le 4 août 2022 de la Réunion, le %arion Dufresne était aperçu dans la matinée du 29 août au large de Saint-Pierre. Le Préfet quittait le bateau pour régner ses bureaux.
#logistique | Vu ce matin au large de Saint-Pierre 👀 Le Marion Dufresne, navire ravitailleur des TAAF, remonte sur l’île Tromelin pour sa dernière escale ravitaillement, avant son retour à La Réunion.


TàD Ile Tromelin -Iles Eparses 30-8-2022 T.A.A.F.


Le Marion Dufresne est actuellement au large de l’île Tromelin. Opération logistique en cours sur cette île isolée de l’océan indien : montage du mât Météo France, agrandissement de la ferme photovoltaïque, réparation du groupe électrogène, livraison de chambres froides basse consommation…









Il y a trois cents ans, le 11 août 1722, Jean-Marie Briand de la Feuillée (1685-1739), commandant de la Frégate La Diane, observe pour la première fois une terre qu’il baptisera l'île de sable. Elle sera plus tard connue sous le nom d’île Tromelin : les TAAF lui consacreront un bloc-feuillet, en vente au Salon philatélique d’automne organisé à Paris (Espace Champerret), du 3 au 5 novembre, et à Monacophil (Principauté de Monaco), du 24 au 26 novembre.



TàD Ile Tromelin -Iles Eparses 30-8-2022 T.A.A.F
A priori le préfet avait déjà quitté le bord


TàD Ile Tromelin -Iles Eparses 30-8-2022 T.A.A.F



Sources

TAAF

Le Monde


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07 septembre 2022

Tahiti Détachement 35F Pirae hélicoptère Dauphin miss Tahiti marraine dauphin flottille aéronavale aéro

Tahiti Détachement 35F Pirae


En 2015, c’est Hinarere Taputu, Miss Tahiti 2015, qui a eu l’honneur de baptiser le deuxième hélicoptère Dauphin en présence de plusieurs hauts responsables civils et militaires et de l’ensemble du détachement de la Flottille 35F.


l'enveloppe est affranchie avec un timbre Miss Tahiti Ruth Manéa 100 cfp
TàD Piraé Ile de Tahiti 29-08-2022




  • La coordination interministérielle d’emploi des 2 hélicoptères Dauphin de la Marine Nationale

Réparties sur 3 emprises principales, les FAPF s’appuient sur trois composantes :

-  terrestre constituée du régiment d’infanterie de marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P),

-  maritime articulée autour de six bâtiments de différents types (de la frégate au patrouilleur),

-  aéronautique comprenant des unités de l’armée de l’air et de l’espace et de l’aéronautique navale de la marine nationale, dont la flottille 35F. 


Le GAM Faa’a coordonne l’action des moyens militaires des différentes armées pour la réussite des missions aériennes des forces armées en Polynésie française.

Deux hélicoptères Dauphin de la Marine Nationale font l’objet d’une convention interministérielle entre les ministères des Armées, de l’Intérieur et de l’Outre-mer.

Ce protocole interministériel d’emploi permet de disposer d’une réponse opérationnelle 24h/24 compatible avec l’urgence des situations et la géographie de la Polynésie française.

Le Haut-commissaire de la République en Polynésie-française, en sa qualité de délégué du Gouvernement, est l’autorité de coordination interministérielle d’emploi des appareils Dauphin. 


A ce titre, il autorise régulièrement l’utilisation des hélicoptères de la Flotille 35F pour des missions de service public qui ne relèvent pas des besoins de la Défense nationale.

Le commandant supérieur interarmées (COMSUP), assure pour sa part le contrôle opérationnel des appareils et s’assure de la conformité de la mission autorisée par le Haut-commissaire avec les conditions d’emploi de l’hélicoptère avant d’ordonner sa mise en œuvre.

  • Des missions diverses assurées notamment par les hélicoptères adaptés aux spécificités du territoire :

- Mission des armées relevant de l’autorité militaire ;

- Mission de l’action de l’État en mer (AEM), dont le sauvetage en mer ;

- Missions de concours aux forces de sécurité intérieure et notamment la gendarmerie (lutte contre les stupéfiants, entraînements opérationnels/formation, interventions d’urgence sur des situations complexes) ;

- Missions de sécurité civile (défense contre les incendies, secours aux personnes, lutte contre les inondations, gestion de crise en cas d’évènement exceptionnel) ;

- Missions au profit d’autres administrations, dont les missions d’évacuations sanitaires au profit de la Polynésie-française (EVASAN).


En 2021, 123 missions ont été réalisées par le Dauphin et 133 personnes ont été secourues, dont :

- 17 missions de secours maritime

- 78 évacuations sanitaires

- 28 missions de sécurité civile, dont 5 feux de forêts.

En 2022, 30 missions ont été réalisées et 28 personnes secourues.

  • La flottille 35 F partenaire des opérations des services de l’Etat

Le détachement de la 35F, basé à Tahiti et intégré au sein des FAPF, est composé de 22 personnes qui permettent la tenue d’une alerte à 1h de jour/2 h de nuit, 24/24 et 365 jours par an :

La flottille 35F à Tahiti dispose de trois équipages opérationnels de 6 marins et de personnels au sol pour assurer l’alerte.

Les 2 hélicoptères Dauphin N3+ de la Marine Nationale sont adaptés aux missions locales :

-  Autonomie maximum : 3 heures

-  Rayon d’action : 170 Nm

-  Distance franchissable : 340 Nm

-  Altitude de croisière max : 10 000 ft

-  Vitesse de croisière : 135 kt

-  Emport max : 7 passagers

Toutes les îles de Polynésie française sont accessibles, de jour comme de nuit, avec des ravitaillements qui peuvent être nécessaires pour accomplir la mission.

https://www.avionslegendaires.net/2015/05/actu/miss-tahiti-baptise-un-dauphin-n3-de-la-flottille-35f/#:~:text=C'est%20Hinarere%20Taputu%2C%20Miss,le%20fuselage%20du%20Dauphin%20N3%2B.

Marine nationale 


06 septembre 2022

Bénin Cotonou le phare Dahomey Afrique de l'ouest Port éclairage

Bénin Cotonou le phare


Habitant pendant des années Cotonou, je suis passé je ne sais combien de fois à proximité du phare sans vraiment y prêter attention... Alors je vais essayer de me rattraper.




la station a été établie en 1910
Le premier phare, était une tour moins haute avec un plan focal à 16 mètres (52 pieds), et avait un nouveau design inhabituel et était situé au pied de la jetée principale du port. Le deuxième phare était une tour squelettique hexagonale construite en 1928. La lanterne de la tour de 1928 a été déplacée au sommet de la tour d’eau en 1968.

L’actuel phare a été mis en service le 1er septembre 1928 pour guider les navires vers le wharf.



Ce phare est actif avec un plan focal à 31 mètres (102 pieds). Signal : un éclat blanc toutes les 5 secondes. C’est une tour squelettique carrée de 26 mètres de hauteur (85 pieds) soutenant une lanterne centrée sur un réservoir d’eau carré. La structure est entièrement peinte en gris foncé.
Le support du feu est constitué par une tour métallique a section carrée de 3,80 m ancrée sur une semelle de fondation en béton armé, formant un prisme droit à base carrée de 8 m de côté et de 4 m de hauteur.


Le feu normal est constitué par une optique à éclats tournants, éclairée jusqu’en 1980 par une lampe de 1 500 W, alimentée en courant alternatif triphasé.
Depuis cette date, il est éclairé par une lampe halogène de 650 w monophasé. Le feu de secours est constitué par une optique à éclats tournants comportant 4 panneaux, éclairée par une lampe de 36 W


Le feu normal et le feu de secours présentent un caractère blanc à éclats réguliers toutes les 5 secondes, d’une intensité de 250 000 candelas et d’une portée de 25 milles marins pour le feu principal et 10 milles pour le feu de secours.

Une machine à rotation à poids, à remontage électrique, entraîne ces deux optiques montées sur un soubassement à cuve de mercure.



Une lanterne de 2 m de diamètre, équipée de glaces courbes, incolores, abrite l’appareillage du feu.
L’établissement est alimenté à partir du secteur de distribution d’électricité. En secours immédiat, le feu est alimenté à partir d’accumulateurs de 12 v - 80 Ah. En secours de longue durée, l’ensemble de l’appareillage de l’établissement est alimenté en courant alternatif triphasé à partir d’un groupe électrogène.






Le phare de Cotonou pendant la guerre de 14-18








05 septembre 2022

Guinée Iles de Loos pointe Tamara Gardien de phare Afrique Occidentale

Guinée Iles de Loos pointe Tamara


Le port de Conakry, abrité par les îles de Loos, abondamment pourvu d’eau potable que lui envoient les derniers contreforts du Fouta-Djallon, tête de ligne d’un chemin de fer qui relie, par la voie la plus courte, la côte atlantique au fleuve Niger, il présente cet énorme avantage sur les ports de la côte sud que son accès n’est pas contrarié par la barre.


Deux phares, Tamara aux îles Loos et Boullinet assurent l'éclairage du Port. , 



Les îles de Loos sont un groupe d'îles situées au large de Conakry en Guinée. Ce nom vient du portugais : Ilhas dos Idolos : « Île des Idoles ».



Iles aussi appelées îles de Los ou Loose Island en anglais, étaient appelées auparavant Îles de Kaloum.
L'archipel couvre environ 60 km2 formant un cercle de 18 à 19 km de diamètre.




 L'Archipel comprend:

trois îles principales : l'île de Tamara, l'île de Kassa et l'île de Roume,
deux petits îles : l'île Blanche et l'île de Corail.
une dizaine d'îlots.


Phare de Boullinet

Le phare de Tamara est construit en 1906. Il est le premier phare en Guinée.

La tour est en maçonnerie cylindrique peinte en blanc, la lanterne et la galerie peintes en rouge. Bien que la hauteur du bâtiment soit réduite (10 m), sa position sur des rochers hauts de 15 m situés au sommet de l'ile de Tamara lui permet de culminer à plus de 95 m.

 

Ainsi la portée de ce phare est importante avec 26 milles nautiques (48 kilomètres).

Le phare permet l'approche longue distance vers le port de Conakry, dont l'entrée dans la passe peu profonde et parsemée d'épaves, est constituée par un chenal au sud du port dont l'approche à courte portée est assuré par le phare de Boulbinet sur la pointe de la presqu'île de Conakry et le phare de Conakry sur la digue de la Prudente.


GARDIEN DE PHARE

La longue vie solitaire de M. Mugnier-Serand


Que de fois n’a-t-on pas vanté l’abnégation et l’héroïsme des gardiens de phare dans leur solitude grandiose que berce l’Océan immense ? La vie de ces hommes, ermites de la mer, qui se retranchent du reste des humains a quelque chose de sublime tant par l'isolement dans lequel il se confinent que par leur veillée silencieuse auprès du feu qui éclaire ; protège et guide les navires. 
L’existence de M. Mugnier-Serand maitre de phare à Tamara (Guinée Française), auprès de Conakry et que la mort vient de surprendre, doit être citée en exemple par son renoncement et sa noblesse, Depuis 28 ans, M. Mugnier-Serand gardait le phare des îles de Loos et rares sont ceux qui peuvent se vanter de l’avoir rencontré dans Conakry. 

D’ailleurs toutes les vertus dont il était paré ont été exaltées dans le remarquable discours que M- Pierre, ingénieur des Travaux Publics chef du service temporaire du Port, a prononcé lors de ses funérailles. Souffrant depuis déjà une semaine, et craignant qu’on le ramenât à terre, M, Muguier-Serand avait interdit aux noirs qui le ravitaillaient de parler de son état. Ceux-ci cependant ne purent s’empêcher d’attirer l’attention sur la santé du Maitre de phare qu'une vedette vint chercher mais qu'il refusa de prendre. Cependant son mal s'aggrava et il dut se résigner à quitter l'ile dans laquelle il avait médité si longtemps. 

Quelques heures après il mourait. Humble gardien de phare, M. Mugnier-Serand était aussi un chercheur passionné dont les découvertes minéralogiques furent nombreuses et lui valurent l’estime de plusieurs savants. L’Institut, le Musée Océanographique avaient également fait appel à sa collaboration. Mais sa grande modestie l'empêchait de tirer la moindre vanité de ceci. Il demeura farouchement obstiné dans son de, n’enviant pas les honneurs auxquels il aurait eu droit, vivant sans doute pour le seul idéal de voir devant lui la mer paisible ou décharnée, et n’ayant peut être pour compagnon que son cœur...

Sources
BnF Gallica
Journal officiel

Paris-Dakar : hebdomadaire d'informations illustré 07-06-1933

03 septembre 2022

Humour dans le carré par Donec - la Première Dame

Donec : la première dame


Bonjour la compagnie,

Aujourd’hui les filles, dans les nations civilisées, sont souvent les meilleures dans les facultés de médecine et sont incontournables à l’école de la Magistrature. Il y a quelques mois j’ai visité le « Charles de Gaulle » et surprise le patron du service détection, notre guide, était une jeune femme, brillante capitaine de corvette.

Il n’en a pas toujours été de même et pour se faire une place au soleil, il y a soixante-dix ans, il fallait une volonté d’acier car les mâles leur opposaient un mur de mépris infranchissable.

Pourtant un jour, dans l’armée de l’air il y eut une première femme pilote et c’était Claire Roman.

Qui s’en souvient, il y a 81 ans qu’elle a disparu !

Elle était née dans un milieu bourgeois aisé en 1906, jeune fille brillante, bachelière à 16 ans, elle part en Angleterre pour faire son apprentissage des langues puis s’inscrit en philosophie à la Sorbonne. En 1929 elle se marie avec Serge Roman, lieutenant au 31ème régiment d’infanterie, qui très affecté psychologiquement par la guerre de 14-18 se suicidera en 1932.

Bouleversée par cette tragédie, Claire quitte son milieu et s’engage comme infirmière de la Croix Rouge au Maroc. C’est pendant ce séjour qu’elle découvre l’aviation sur le terrain de Meknes. Le 26 novembre 1932 elle obtient son brevet de pilote ayant 26 heures de vol à son actif.



En septembre 1933, bonheur insigne, elle fait le convoyage d’un Caudron de Meknes à Paris. Elle rejoint Barcelone en 7 heures avec un ravitaillement à Tanger. Le lendemain, elle se pose à Lyon et le surlendemain à Paris. Elle est conquise.

Elle apprend à piloter diverses machines : Caudron C22, Morane Saulnier 230, Potez 43.1 mais aussi des Avro « Avian » ou « Cadet », des De Havilland « Push Moth ». Elle s’initie au vol de nuit et à la voltige avec Hélène Boucher. Le 17 mars 1936 elle passe avec succès son brevet de pilotage sans visibilité puis celui de pilote et navigateur de transport. Elle devient alors très expérimentée.

Cette fanatique (de l’aviation) décide alors d’un raid Le Bourget Pondichéry avec son amie Alix Lucas-Naudin. Ce raid s’effectue avec un Salmson « Phalène » de 135 ch équipé de réservoirs supplémentaires. Au retour de cet exploit, elle est fêtée par l’Aéro-club de France où Madame Blériot lui remet une plaquette commémorative.

En 1938 la situation internationale va changer la donne. Jusqu’à présent les femmes étaient exclues de la carrière militaire. Mais elles sont entêtées. Les pilotes féminines revendiquent de plus en plus haut et fort leurs compétences. Sans vouloir la chasse ou le transport lourd elles se veulent estafettes, monitrices, convoyeuses, réceptionneuses où pilotes d’avions sanitaires. Ces appels sont entendus par le ministre de l’air Guy la Chambre et quatre pilotes féminines sont intégrées dont Claire Roman.


En

novembre 1939 un décret autorise enfin toute femme détentrice d’un brevet de pilote civil et de 300 heures de vol d’être affectée comme auxiliaire pilote de l’armée de l’air avec le grade de sous-lieutenant pour six mois ou plus. Notre amie titulaire de 749 heures de vol signe le 13 juin son acte d’engagement et devient la première femme pilote de l’armée de l’air.

Femme admirable, elle va trouver le moyen de transporter ses homologues masculins afin de leur permettre de récupérer des avions, d’être faite prisonnière et de s’évader.

Malheureusement dès l’armistice son corps est dissous et elle reprend ses activités d’infirmière de la Croix Rouge.

Le 4 août 1941 voulant rejoindre sa mère souffrante à Pau, elle embarque dans un Caudron « Goéland ». Le temps est exécrable, l’appareil vole trop bas et percute le pic d’Estable dans les Pyrénées. Elle avait 35 ans.

Suzy Mathis lui rendra dans la presse en 1946, un bel hommage : « pilote remarquable, Claire Roman, coéquipière de Maryse Bastié, faisait partie du groupe des six ambassadrices volantes qui devaient avant la guerre, aller du Proche-Orient au cœur de l’Afrique, en un grand raid de propagande aéronautique. D’origine alsacienne, Claire Roman était blonde et de taille moyenne. Jamais elle ne parlait d’elle ; cette jeune femme au visage triste et sérieux était une grande patriote à l’âme intrépide. »

Merci au Fanatique de l’Aviation qui m’a fait découvrir cette femme d’exception.

A bientôt pour de nouvelles aventures

DONEC

Sur la peau de bouc (motif de punitions dans la Marine Nationale) : 

avoir uriné dans la batterie avec arrogance et ostentation.

Les mots du Général :

 « 1922. Le Général n’est que capitaine. Il savoure d’autant plus au cours d’un exercice tactique à l’école de guerre, le plaisir de commander en chef le « camp bleu ». Rien ne prend à défaut le stratège. Rien ne stoppe ses folles offensives. Exaspéré par tant d’assurance et de réussite, le colonel qui mène l’offensive lui pose un traquenard.

- « Et comment dans votre offensive, faîtes vous manœuvrer votre train des équipages ? »

- Le Général en herbe se tourne, majestueux, vers le camarade qui joue le rôle du chef d’état-major :

- « Chef ! répondez donc à la question du Colonel ! L’intendance et les questions matérielles ne sont pas du ressort du commandant en chef… »



29 août 2022

Le Bouvet un restaurant trois Etoile Qu'est qu'on y "Bouvet" bien

Le Bouvet : un restaurant trois Etoiles - Qu'est qu'on y "Bouvet" bien!

Encore un menu et encore le Bouvet...


Potage crème d'Orge Délayez 6 cuillerées à bouche de farine d'orge avec un peu de lait froid ; ajoutez un litre et demi de lait bouillant ; assaisonnez avec un peu de sel et 60 grammes de sucre. Faites cuire en remuant ; versez dans la soupière où l'on a mis 3 jaunes d'œufs battus avec un peu de crème double
Cassolette à la Toulouse

Bar à la Davidoff
Ris de veau à la Montpensier
Faites une sauce madère : faites fondre 50 g de beurre dans une petite casserole, ajoutez 50 g de farine ; laissez bien roussir la farine (sans noircir) ; mouillez avec le consommé, tournez bien, ajoutez les champignons (entiers s’ils sont très petits, sinon émincés), le madère, rectifiez l’assaisonnement, laissez cuire 10 minutes. 

Filet de boeuf à la renaissance
Faites revenir dans un sautoir, de la couenne de lard, des oignons émincés avec bouquet garni ; faites prendre couleur, dans ce fond, à votre morceau de filet de bœuf ; mouillez avec un verre de madère et un verre de vin blanc. Lorsque votre filet est cuit à point, c'est-à-dire saignant, retirez-le ; faites réduire la sauce, augmentée de bon consommé, passez-la et tenez-la en réserve avec votre rôti.
D'autre part, préparez votre garniture Renaissance qui se compose d'olives tournées, de haricots verts fins, de petits pois, de pointes d'asperges et de petits bouquets de choux-fleurs, le tout cuit à part dans du bouillon léger.

Sorbets au Marasquin
Le marasquin est une liqueur dont l'aromatisation est obtenue principalement par l'emploi du distillat de marasques, petites cerises acides, ou du produit de la macération de cerises 

Pintadeaux rotis sur canapés

Chaud froid de cailles
Un chaud-froid est une préparation culinaire servie froide, préparée à chaud et nappée de sauce chaud-froid. Le chaud-froid est fréquemment proposé dans les buffets et entrées froides.

La sauce chaud-froid a pour base un velouté (de fond blanc de volaille, de fumet de poisson) bien crémé et lié avec de la gélatine ou de la gelée chaude. Cette sauce nappe le chaud-froid, puis fige en refroidissant. La sauce chaud-froid chaude ou tiède doit être épaisse et « quitter difficilement la cuillère » afin de bien masquer la pièce à couvrir.

Salade printanière
Haricots verts au beurre
Bombe à la vanille






le pavillon en entête laisse penser qu'un vice-amiral était embarqué, on peut penser que c'était le vice-amiral Gervais qui a commandé l'escadre de ma Méditerranée




En musique



En 1914, le cuirassé d'escadre "Bouvet" fait partie de la division de l'amiral Guépratte, qui comprend également les cuirassés "Charlemagne", "Gaulois" et "Suffren". Depuis le 11 août, il monte la garde aux Dardanelles car les cuirassés allemands "Goeben" et "Breslau" ont trouvé refuge à Constantinople




En mars 1915, une attaque alliée de grande envergure est décidée pour détruire ces cuirassés et si possible la flotte turque, mettre à merci le gouvernement turc, et rejoindre la flotte russe de la mer Noire. Les navires français sont intégrés dans une force franco-britannique commandée par l'amiral anglais de Robeck. Le 18 mars, l'amiral Guépratte reçoit l'ordre d'attaquer les grands forts qui défendent l'accès au détroit. Sa division, renforcée par les cuirassés anglais "Prince George" et "Swiftsure" est répartie en deux sections respectivement chargées d'attaquer la rive Nord ("Gaulois", "Charlemagne" et "Swiftsure") et la rive Sud ("Bouvet", "Suffren" et Prince George"). Un violent duel d'artillerie s'instaure entre les cuirassés en ligne de file et les batteries de côte. Le "Bouvet" est plusieurs fois touché : une tourelle de flanc est immobilisée, un obus de gros calibre éclate sur le pont et un autre contre la cuirasse. Virant de bord pour rendre battantes ses tourelles tribord, il reprend son tir sur la batterie turque de Souan-Déré, puis il prend le poste du "Suffren", lui aussi
durement atteint. En trente minutes il écrase les dix pièces turques. Vers 14 heures, la division française se retire pour faire place aux Anglais quand le "Bouvet" heurte une mine dérivante. en face des forts turcs de Tchanak. Déchiré par la mine qui explose à proximité d'une soute à munitions, le navire chavir et coule très rapidement.


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...