Le Bouvet : un restaurant trois Etoiles - Qu'est qu'on y "Bouvet" bien!
Encore un menu et encore le Bouvet...
Potage crème d'Orge Délayez 6 cuillerées à bouche de farine d'orge avec un peu de lait froid ; ajoutez un litre et demi de lait bouillant ; assaisonnez avec un peu de sel et 60 grammes de sucre. Faites cuire en remuant ; versez dans la soupière où l'on a mis 3 jaunes d'œufs battus avec un peu de crème double
Cassolette à la Toulouse
Bar à la Davidoff
Ris de veau à la Montpensier
Faites une sauce madère : faites fondre 50 g de beurre dans une petite casserole, ajoutez 50 g de farine ; laissez bien roussir la farine (sans noircir) ; mouillez avec le consommé, tournez bien, ajoutez les champignons (entiers s’ils sont très petits, sinon émincés), le madère, rectifiez l’assaisonnement, laissez cuire 10 minutes.
Filet de boeuf à la renaissance
Faites revenir dans un sautoir, de la couenne de lard, des oignons émincés avec bouquet garni ; faites prendre couleur, dans ce fond, à votre morceau de filet de bœuf ; mouillez avec un verre de madère et un verre de vin blanc. Lorsque votre filet est cuit à point, c'est-à-dire saignant, retirez-le ; faites réduire la sauce, augmentée de bon consommé, passez-la et tenez-la en réserve avec votre rôti.D'autre part, préparez votre garniture Renaissance qui se compose d'olives tournées, de haricots verts fins, de petits pois, de pointes d'asperges et de petits bouquets de choux-fleurs, le tout cuit à part dans du bouillon léger.
Sorbets au Marasquin
Le marasquin est une liqueur dont l'aromatisation est obtenue principalement par l'emploi du distillat de marasques, petites cerises acides, ou du produit de la macération de cerises Pintadeaux rotis sur canapés
Chaud froid de cailles
Un chaud-froid est une préparation culinaire servie froide, préparée à chaud et nappée de sauce chaud-froid. Le chaud-froid est fréquemment proposé dans les buffets et entrées froides.
Salade printanière
Haricots verts au beurre
Bombe à la vanille
le pavillon en entête laisse penser qu'un vice-amiral était embarqué, on peut penser que c'était le vice-amiral Gervais qui a commandé l'escadre de ma Méditerranée
En musique
En 1914, le cuirassé d'escadre "Bouvet" fait partie de la division de l'amiral Guépratte, qui comprend également les cuirassés "Charlemagne", "Gaulois" et "Suffren". Depuis le 11 août, il monte la garde aux Dardanelles car les cuirassés allemands "Goeben" et "Breslau" ont trouvé refuge à Constantinople
En mars 1915, une attaque alliée de grande envergure est décidée pour détruire ces cuirassés et si possible la flotte turque, mettre à merci le gouvernement turc, et rejoindre la flotte russe de la mer Noire. Les navires français sont intégrés dans une force franco-britannique commandée par l'amiral anglais de Robeck. Le 18 mars, l'amiral Guépratte reçoit l'ordre d'attaquer les grands forts qui défendent l'accès au détroit. Sa division, renforcée par les cuirassés anglais "Prince George" et "Swiftsure" est répartie en deux sections respectivement chargées d'attaquer la rive Nord ("Gaulois", "Charlemagne" et "Swiftsure") et la rive Sud ("Bouvet", "Suffren" et Prince George"). Un violent duel d'artillerie s'instaure entre les cuirassés en ligne de file et les batteries de côte. Le "Bouvet" est plusieurs fois touché : une tourelle de flanc est immobilisée, un obus de gros calibre éclate sur le pont et un autre contre la cuirasse. Virant de bord pour rendre battantes ses tourelles tribord, il reprend son tir sur la batterie turque de Souan-Déré, puis il prend le poste du "Suffren", lui aussi durement atteint. En trente minutes il écrase les dix pièces turques. Vers 14 heures, la division française se retire pour faire place aux Anglais quand le "Bouvet" heurte une mine dérivante. en face des forts turcs de Tchanak. Déchiré par la mine qui explose à proximité d'une soute à munitions, le navire chavir et coule très rapidement.
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