15 juin 2021

SPID AP 266 Libreville Gabon

SPID AP 266 

Libreville Gabon








La mission de coopération de sécurité et de défense est pilotée par la Direction de la coopération de sécurité et de défense (DCSD) dans une dimension structurellement interministérielle, au travers d’un pilotage stratégique qui associe les ministères de la défense et de l’intérieur. La mission se compose de policiers, de militaires de la marine, de l’armée de terre et du service de santé. Elle anime un réseau de 12 coopérants militaires et d’un expert technique international.

La mission de coopération de sécurité et de défense œuvre au GABON et à SAO TOME. Elle est particulièrement présente à Libreville, à travers ses coopérants insérés dans les états-majors des forces armées gabonaises, de la marine, de la police, au secrétariat général et en sein des deux écoles nationales à vocation régionale : L’EEML et l’EASSML. Elle est aussi présente à MANDILOU pour former les officiers gabonais de demain.



 

Actions de conseils
Agissant dans le cadre de l’action de l’état en mer, dans l’organisation et la gestion des ressources humaines ou au profit du commandement et de la préparation opérationnelle des forces armées gabonaises, la mission de coopération et de défense conseille les hauts responsables militaires du Gabon.

Actions de formations
Deux écoles nationales à vocation régionale (ENVR) sont installées au Gabon. L’Ecole d’état-major de Libreville forme 120 officiers par an aux techniques d’état-major dans un environnement interarmées. L’Ecole du service de santé spécialise à la médecine de guerre 30 médecins militaires et forme 20 officiers aux techniques d’administrations chaque année.
Enfin, 40 élève-officiers acquièrent leur formation initiale à l’Ecole des officiers de MADILOU et 80 stagiaires gabonais sont envoyés dans le réseau des ENVR africaines et dans les écoles françaises.

Appui logistique
La mission de coopération et de défense participe au financement de projet dans le but d’accroitre la capacité opérationnelle du partenaire gabonais.


https://ga.ambafrance.org/La-cooperation-de-securite-et-de-defense

14 juin 2021

Torpilleur d'escadre Somali 1929 accident de tir

Torpilleur d'escadre Somali






UN GRAVE ACCIDENT DE TIR S'EST PRODUIT A BORD DU TORPILLEUR « SOMALI »

L'éclatement de la culasse d'un canon de 120 a tué deux matelots et blessé un quartier-maître


LORIENT, 15 mars. (De notre rédaction lorientaise.) Les équipages de la belle deuxième flottille de l'Atlantique, constituée par deux escadrilles de torpilleurs, que les ports de la Manche et lu littoral de Brest à La Rochelle, connaissent bien, sont en deuil. Au cours des écoles à feu en baie de Quiberon, au moment où le Somali, commandé par le capitaine de corvette Barbier, tirait son dernier obus d'une pièce de 120. la culasse du canon sautait et venait semer la mort parmi l'équipage. Deux jeunes matelots étaient déchiquetés par l'engin que la déflagration de gaz avait projeté avec une force inouïe.


L'un des marins fut recueilli sur l'eau rouge de son sang; il avait la poitrine à moitié déchiquetée Pierre Leblanc, matelot de 2- classe sans spécialité, né le 26 mai 1909 à SaintJames (Manche), et dont la mère, Mme veuve Leblanc, est domiciliée à Fougères (Ille-et-Vilaine), 81, rue Pinterie.

L'autre, frappé également en plein cœur par la poignée de la culasse, était venu s'effondrer sur le pont, le crâne entièrement ouvert et vide de la matière cervicale c'était le matelot de première classe canonnier Olivier Moreau ,né le 10 septembre 1907 à Pleudihen (Côtes-du-Nord), et dont le père et la mère, qui n'avaient que lui comme enfant, habitent Cain, en Pleudihen. Le visage était noirci par la poudre et transpercé de petits éclats.

Le dernier et fatal obus

Depuis quelques jours, la deuxième flottille composée des torpilleurs Sakalave, Hova, Somali, Lestin, Touareg, Marocain, Annamite, Sénégalais, Tonkinois, dont plusieurs sont, on le sait, d'origine japonaise, effectuaient leurs écoles à feu, soit des tirs réels sur les ilôts Mindu, rochers silhouettes situés au large, et aux environs des iles de Houat et Hoëdic.

A part le Touareg et le Marocain, ces destroyers croisaient dans ces parages. Il était 16 heures, jeudi soir, :e Somali, qui appartient à la deuxième escadrille, commandant de Bernard de Teyssier, procédait à ses derniers tirs à une distance de 3.000 ou 4.000 mètres, avec la pièce de 120 placée en avant et qui était servie par Moreau, Leblanc, le quartier-maitre mécanicien Vincent, Quinquenel. ce dernier ami d'enfance et « pays » de Moreau. Le quartier-maitre Leprêtre remplissait les fonctions de chef cle pièce et de pointeur.

On venait de projeter six obus sous la direction de l'enseigne de vaisseau Touraille, qui surveillait le tir de la passerelle, et le dernier obus venait d'être introduit dans le canon qu'on fermait, quand soudain, avant que cette opération fut achevée, une gerbe de flammes jaillit comme un éclair et c'est alors que se produisit la catastrophe.

Tandis que le projectile allait tomber à 150 mètres peut-être en avant du torpilleur sur tribord, point de direction des tirs, la culasse, d'un poids de 30 à 40 kilos environ, était arrachée violemment de ses charnières par la poussée formidable de la charge de poudre contenue dans la douille-gargousse.

L'émoi à bord


On devine l'émotion qui s'ensuivit. pourtant nul ne perdit son*sang-froid. Quelques membres de l'équipage avaient vu la chute à la mer du matelot Le Blanc et l'on s'apprêtait à le rechercher, mais du Hova le commandant avait aperçu également l'accident et déjà une baleinière se dirigeait sur les lieux; on put recueillir à temps le malheureux qui flottait encore entre deux eaux. Il fut remonté à bord et transporté dans la chambre de veille, au côté de son infortuné camarade dont on avait recueilli les restes. Cependant que le bâtiment stoppait et hissait son pavillon en berne, les autres torpilleurs arrivaient à toute vapeur et descendaient leurs couleurs à mi-mât, s'associant au deuil de l'équipage du Somali, qui bientôt reçut la visite du capitaine de vaisseau Bougrain, commandant la 2e flottille. Ce dernier, après s'être incline devant les victimes, donnait au commandant du torpilleur l'ordre de rallier Lorient. ce qui fut exécuté aussitôt et vers 10 heures du soir, le Somali mouillait sur rade et débarquait le quartier-maitre mécanicien Vincent André, qui fut admis à l'hôpital maritime. Comme nous le disions plus haut, son état n'est nullement grave.. Dans la journée de vendredi, il a été passé à la radiographie, afin que les médecins puissent fixer l'emplacement de l'éclat qu'il a reçu dans la poitrine.


L'émouvante veillée funèbre Ce fut toute la nuit, une émouvante veillée funèbre; le commandant, les officiers, les sous-officiers ne quittèrent pas les corps de leurs camarades que l'on avait recouverts du pavillon tricolore du bord. Une scène poignante se déroula ce matin alors que les couleurs s'élevaient en berne. on débarqua les deux victimes du devoir. Tout l'équipage, béret à la main. était aligné le long du navire, dans un garde-à-vous respectueux. Plus d'un avait les yeux voilés de larmes c'est que les deux victimes laissaient d'unanimes regrets à bord du Somali, où elles étaient embarquées depuis plus d'un an. C'étaient, nous ont dit les uns et les autres, de braves garçons. Sur le croiseur Condé, le long duquel le Somali s'était amarré, même attitude recueillie. Sur le pont, se tenait le lieutenant de vaisseau Guignard, qui était venu saluer les deux matelots au nom du contre-amiral Audouard, commandant la marine et commandant d'armes.

Quelles sont les causes du déculassement ?

Une enquête officielle déterminera peut-être les causes de la catastrophe, obus défectueux, ou accident de culasse ? Il semble que cette dernière hypothèse est la plus vraisemblable. Il est possible, en effet, que le ressort du percuteur, après le sixième coup de canon se soit cassé sans qu'on s'en soit aperçu Le percuteur, faisant saillie sera venu, avant la fermeture complète de la culasse, heurter la capsule de la douille, provoquant ainsi l'allumage, la déflagration et le déculasscment de la pièce qui est d'origine japonaise comme le navire. On va examiner avec soins les projectiles de de cette pièce de 120 pour se rendre compte s'ils n'ont pas quelque défaut. Le commandant de la Marine a adressé le communiqué officiel suivant

Au cours d'une école à feu en baie de Quiberon, de la deuxième flottille de torpilleurs, deux hommes du Somali ont été tués. Ce sont le matelot canonnier Moreau Olivier, de Pleudihen et le matelot sans spécialité Le Blanc Pierre, de Fougères. Aussitôt après l'accident, le Somali a fait route sur Lorient où il a pris un coffre en rade; rentré dans l'arsenal vendredi matin, il a débarqué les deux corps qui ont été transportés à l'Hôpital Maritime. Les honneurs réglementaires ont été rendus; les familles ont été prévenues par les soins de l'autorité maritime.

Sources
BnF Gallica 
Ouest-Eclair

http://www.passioncompassion1418.com/Canons/AfficheCanonGET.php?IdCanonAffiche=164

13 juin 2021

Djibouti AP SPID 262 - Ethiopie L'Ouest Eclair 20 mai 1924

Djibouti AP SPID 262 - Ethiopie -

"J'aimai le désert, les vergers brûlés, les boutiques fanées, les boissons tiédies. Je me traînais dans les ruelles puantes et, les yeux fermés, je m'offrais au soleil, dieu de feu. « Général, s'il reste un vieux canon sur tes remparts en ruines, bombarde-nous avec des blocs de terre sèche. Aux glaces des magasins splendides ! dans les salons ! Fais manger sa poussière à la ville. Oxyde les gargouilles. Emplis les boudoirs de poudre de rubis brûlante... » 
 une saison en enfer. Arthur Rimbaud.




Un officier supérieur et deux officiers mariniers servent au sein de la marine nationale djiboutienne où ils animent en particulier la rénovation de la chaine sémaphorique. 

Sémaphore Maskali 

Composée de trois sites construits par la France (Ras bir, Maskali et Moulhoulé) entre 2001 et 2009, elle est un outil essentiel de la sécurité maritime régionale et de secours aux embarcations en difficulté. 
Phare et sémaphore Ras Bir











Tous les équipements de l’ensemble de la chaîne sémaphorique et du Centre opérations de Djibouti seront renouvelés, notamment via l’installation de nouveaux radars.





Les relations économiques entre la France et l'Ethiopie

Djibouti, port maritime de l' Ethiopie

Le voyage en France du ras Taffari, héritier du trône et régent de l'Empire d'Ethiopie, a été principalement une manifestation de la reconnaissance de ce pays envers le nôtre pour la grande part qu'il a prise a l'admission de l'Ethiopie dans la Société des Nations. En effet, si elle n'avait dépendu, l'an dernier, à Genève, que des délégués anglais, italiens, suisses, lettoniens, etc., cette admission, sollicitée instamment, le 12 août 1923, par le gouvernement éthiopien, eût été certainement repoussée ou tout au moins ajournée. De violentes attaques furent dirigées contre ce gouvernement qu'on représentait comme manquant d'autorité pour faire respecter ses décisions dans les provinces éloignées de la capitale de l'Empire et réfractaires à la civilisation, Incapable de faire disparaître l'esclavage et de réprimer la traite des esclaves. 

Marie Détrée - Djibouti
La délégation française, par l'organe éloquent de M. de Jouvenel, fit justice de ces attaques intéressées, et, le 28 septembre, l'assemblée générale de la Société des Nations prononça solennellement l'admission de l'Ethiopie dans le sein de la Société.

Sa cause avait été gagnée grâce à l'appui énergique que lui prêta la France, sa plus constante amie, qui, par deux fois, avait été aussi son amer. C'est de cela que le Ras Taffari est venu la remercier. Mais Il est venu également lui demander son aide pour le développement économique et social de son pays qui, encercle littéralement par les possessions coloniales de l'Angleterre, de l'Italie et de la France, ne peut réaliser et maintenir son plein essor que grâce à une large porte maritime ouverte librement à son trafic et au trafic extérieur. 

Marie Détrée - Djibouti


L'Ethiopie ne possède, en effet, aucun accès à la mer. Elle ne peut en trouver un que sur le littoral do l'Erythrée italienne, ou sur celui de la colonie française des Somalis, ou sur celui du Somaliland anglais. Lorsque le grand empereur Menelik résolut de reconstituer l'unité éthiopienne et de procurer à son Empire des relations économiques et commerciales avec l'Europe,

 il ne tarda pas à se rendre compte que la France était la seule de ses voisines à ne  nourrir à l'égard de l'Abyssinie , aucune arrière-pensée de conquête ou d'absorption politique. Il comprit qu'il pourrait. sans risque pour l'intégrité de son Empire, lui constituer une porte maritime sur la côte soumise au protectorat français, et par un acte du 9 mars 1894, lorsqu'il eut suffisamment réduit l'anarchie féodale des territoires abyssins, il concéda à un ingénieur suisse, associé à un explorateur français, la construction et l'exploitation d'un chemin de fer allant du port de Djibouti au Harrar, avec prolongements éventuels vers Addis-Abéba et le Nil Malheureusement, la France, au début, ne s'intéressa pas suffisamment à la réussite de l'entreprise. 

Son abstention eut de fâcheuses conséquences sur la marche régulière de l'affaire, dont la réalisation a été retardée de plusieurs années. La Compagnie Franco-Ethiopienne, créée en 1908, après des tentatives d'internationalisation du chemin de fer qui furent sur le point d'aboutir avec l'appui de la diplomatie anglaise, a eu bien de la peine à amener le rail jusqu'à Addis-Abeba. Ce n'est que le 7 juin 1917 que ce terminus a été atteint, représentant, depuis Djibouti, un parcours total de 785 kilomètres.

https://www.ubats-horspistes.com/Djibouti_2011-1.htm

Merci à Marie Détrée Hourrière pour les visuels de ses peintures

https://www.mariedetree.com/papier/

12 juin 2021

Frégate Germinal 2 juin 2021 Fort de France Martinique

 Frégate Germinal

Une annulation de timbres exemplaire 
demanderait une formation des postiers!


L’intervention du Germinal, conduite dans le respect du droit international, a permis de confirmer la présence de marchandises suspectes. 177 ballots se sont révélés positifs à la cocaïne.


Ils ont été saisis et détruits. Les huit membres d’équipage appréhendés ont été remis aux autorités administratives et judiciaires de leur pays. Cette opération d’envergure est le fruit d’une étroite coopération avec de nombreux pays étrangers et structures internationales.



Sous la coordination du Secrétariat général de la mer (au profit du Premier ministre responsable de l’Action de l’État en mer) et, localement, du préfet de la Martinique comme délégué du gouvernement dans ce domaine, cette opération réalisée par les FAA a également mobilisé l’office antistupéfiants (OFAST), la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), et les garde-côtes des douanes.

Sources : Marine nationale

Droits : Ministère des armées



Un timbre à date encrassé, un encrier de mauvaise qualité... Tout pour rendre la lecture du TàD impossible. La frégate étant basée aux Antilles on peut supposer que le code Roc est celui de Fort de France... mais rien n'est certain. 

LA POSTE 19460A Fort de France CTC Martinique

10 juin 2021

V SPID B 468 Estonie Lynx 40e Régiment d'Artillerie Mai 2021

V SPID B 468 40e Régiment d'Artillerie

Lynx Estonie




Décidée par les chefs d’État et de gouvernement des nations alliées au sommet de Varsovie en 2016, la France décide « de renforcer encore la posture de dissuasion et de défense de l’Alliance face au nouvel environnement de sécurité ».

Cet engagement non permanent vise à renforcer la posture de défense de l’Alliance par un dispositif dissuasif, à caractère purement défensif, selon une planification validée collectivement.

Après la réunion des ministres de la Défense de l’Otan de février 2017, le secrétaire général et les membres de l’Alliance ont confirmé leur engagement avec la mise en place effective de la présence avancée renforcée enhanced Forward Presence (eFP) sur les territoires des pays baltes et de la Pologne, et d’une présence avancée adaptée tailored Forward Presence (tFP) en Roumanie, Bulgarie et en mer Noire. Dans ce contexte, la France engage un SGTIA Lynx armé par la 2e brigade blindée (2e BB).

Le S-GTIA sous commandement britannique est composé de :
2 pelotons Leclerc
1 Peloton Reconnaissance Investigation
1 section VBCI
1 section génie
1 EOC artillerie


En redéployant son dispositif en Estonie dans le cadre de la posture de présence avancée renforcée de l’Otan, la France renouvelle son engagement vis-à-vis de ses Alliés et montre qu’elle demeure un partenaire fiable, crédible et solidaire
.


Le 40e régiment d’artillerie est déployé sur l’ensemble des théâtres d’opérations extérieures sur lesquels l’Armée Française est engagée ainsi que sur le territoire national. Sa mission première est d’appuyer de ses feux et de protéger ses régiments frères de la 2e BB en veillant à préserver leur liberté de manœuvre et en leur apportant du renseignement.



Les soldats français seront de retour en Estonie le 23 avril, rapporte le site d’actualités russe Lenta.ru. La présence militaire française dans le pays sera forte : 300 soldats, 5 chars et une vingtaine de véhicules blindés seront envoyés dans la ville de Tapa, à 140 kilomètres de la frontière russe.

L’unité, dans le cadre de la mission baptisée “Lynx”, sera sur place jusqu’au mois d’août, puis remplacée par une autre unité française, affirme dans un communiqué l’ambassade de France à Tallinn.

Cette mission entre dans le cadre du “renforcement du flanc oriental de l’Otan”. Le communiqué indique également que des militaires français avaient déjà été déployés à Tapa entre mars et décembre 2017. En effet, depuis la crise en Crimée en 2014, l’Otan a renforcé sa présence dans les Pays baltes et en Pologne, dans la crainte d’une offensive militaire de la Russie sur ces territoires.

La menace russe ? – “Un mythe

Pour Alexandre Grouchko, vice-ministre des Affaires étrangères de Russie, cité par Lenta.ru, l’Alliance de l’Atlantique Nord justifie le déploiement des troupes à la frontière par le “mythe de la menace russe”.

Selon lui, la Russie subit une campagne de “démonisation” de la part des forces occidentales, prétexte à des “chantiers militaires” qui conduisent à une “extension du chaos” sur les territoires frontaliers à la Russie.

L’Estonie : un passé difficile

Les relations diplomatiques entre l’Estonie et la Russie sont tendues en raison des problèmes rencontrés par la communauté russophone sur le territoire estonien.

L’Estonie faisait partie des républiques soviétiques les plus réfractaires au régime communiste. Aujourd’hui, la culture russe dans le pays est perçue comme une menace. Le ministre de la Justice, Urmas Reinsalu, a déclaré que l’enseignement de la langue russe était une manière pour le président Poutine de recréer “un empire en ruine”, rapporte le site Gazeta.ru.

https://www.courrierinternational.com/article/geopolitique-des-militaires-francais-envoyes-vers-la-frontiere-russe


https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/le-mans-72000/2e-rima-en-estonie-creation-officielle-du-battlegroup-de-l-otan-4941955


https://www.ouest-france.fr/europe/estonie/reportage-francais-et-britanniques-se-forment-a-la-guerre-de-haute-intensite-22af9e6c-c3cc-11eb-b322-dcd0256dd6a7

09 juin 2021

Agence Postale SPID Côte d'Ivoire Abidjan AP SPID 384

Agence Postale SPID Côte d'Ivoire Abidjan AP SPID 384

comme déjà signalé dans un article précédent le Tà D de l'agence postale SPID d'Abidjan a été modifié. Le TàD a perdu la mention SODEXO remplacé le terme SPID.





https://defense-militaire.over-blog.com/2020/12/combien-coute-le-soutien-postal-au-profit-des-forces-armees-francaises-stationnees-ou-engagees-a-l-etranger.html


08 juin 2021

DDU Terre Adélie Raid Concordia 2020

DDU Terre Adélie Raid Concordia 

Organisé par l'Institut Polaire Français, le premier raid logistique de la campagne d'été 2020/2021 est parti hier à 12h pour rejoindre la station franco-italienne de Concordia.


Le convoi, divisé en 3 tronçons, est composé de cuves, de containers et de caravanes vie, disposés sur des traineaux. Deux dameuses sont également mobilisées.

Photo Serge Fuster - TAAF - IPF

Selon le blog des TAAF DDU le convoi serait parti le 27 décembre 2020, le TàD est du 27-12-2020...


Située à 1100 km à l'intérieur du continent, la station Concordia dépend de ce cordon logistique vital pour son approvisionnement.


Dix personnes, dont un médecin, participent à cette expédition qui va durer au moins 10 jours (aller simple) et acheminer carburant, vivres et matériaux à 3230 m d'altitude dans des conditions extrêmement rudes et par -40°C.



Photos Serge Fuster - TAAF - IPF

http://terreadelie-antarctique.blogspot.com/


https://www.cnrs.fr/fr/en-direct-de-lantarctique-retour-sur-un-raid-travers-le-haut-plateau-du-continent-blanc


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...