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13 juin 2023

Frégate FLF La Fayette Escale dans les Iles Tonga 10 mai 2023

Frégate FLF La Fayette Escale dans les Iles Tonga 10 mai 2023




Après avoir participé du 24 avril au 6 mai 2023 à l’exercice CROIX DU SUD orchestré par les forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC), le groupe Jeanne d’Arc se dirige désormais vers les Pacific Islands Countries (PIC). 

Ce court transit qui mènera le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude au Fidji et la frégate La Fayette au Tonga a permis aux deux bâtiments de mener de nombreux entraînements avec les officiers élèves (OE) du groupe école d’application des officiers de Marine (GEAOM). 






Le rythme ne faiblit pas pour les officiers-élèves et les détachements composant le groupe école Jeanne d’Arc. Durant les trois jours de navigation entre Nouméa et l’escale de Suva aux îles Fidji et de Nuku’alofa aux Tonga, les exercices se sont enchaînés, souvent conjointement, permettant de poursuivre la formation des OE et d’entretenir les compétences opérationnelles du bord et des détachements. Profitant de la présence d’une « troisième passerelle », le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM) D’Entrecasteaux, l’EAOM a ainsi conduit un exercice d’évolution tactique (EVOLEX) entre les trois bâtiments. Les OE à bord du Dixmude et le La Fayette se sont aussi entraînés aux manœuvres de présentation pour ravitaillement à la mer (PRERAM) ; deux exercices permettant aux OE d’affiner leurs savoir-faire en matière de navigation et de manœuvre. 


Le 9 mai 2023, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude a accosté dans le port de Suva aux sons croisés du Bagad de Lann-Bihoué et du Republic of Fiji M F (RFMF) band. Les deux jours de relâche opérationnelle dans la capitale de la République des Fidji furent une occasion de sceller la coopération de la Marine nationale avec les nations insulaires du Pacifique. 


La frégate La Fayette accostait quant à elle à Nuku’alofa, aux îles Tonga le 10 mai également pour une pause de quelques jours.


Les Tonga, ou îles Tonga, sont un archipel au nord de la Nouvelle-Zélande et à 650 km à l'est des îles Fidji. Le territoire national comporte environ 170 îles. On compte dans le pays environ 120 000 habitants, les Tongiens et les Tongiennes, qui se répartissent sur 748 km2. La capitale des Tonga est Nukua'alofa.

Le pays est un  royaum, le chef de l'Etat est le roi Tupou VI. 

Les îles Tonga sont indépendantes du Royaume-Uni depuis 1970 mais gardent des liens étroits avec les anciens colons puisqu'elles font partie du Commonwealth.

Une partie des îles furent aperçues par les navigateurs hollandais en 1616. C'est James Cook qui le premier prit le contact avec les habitants et visita les îles entre 1773 et 1777.

11 juin 2023

Frégate FLF La Fayette Mission Jeanne d'Arc escale Tahiti Papeete Pirae mai 2023

Frégate FLF La Fayette Mission Jeanne d'Arc escale Tahiti Papeete Pirae mai 2023

Si des plis passés par le PHA Dixmude ont subi les affres de l'inondation, heureusement certains postés dans le bureaux de poste locaux ont échappé au "massacre". Merci Paul


Du 17 au 21 mai, le Porte-hélicoptères amphibie (PHA) Dixmude, son Groupement tactique embarqué (GTE) et la frégate La Fayette ont réalisé une relâche opérationnelle à Papeete, sur l’île de Tahiti, dans le cadre de la mission JEANNE D’ARC. 


Au moment où nous allons célébrer le centenaire de la mort de Pierre Loti, je ne peux m'empêcher de penser à son passage à Tahiti aussi je vous invite à relire  "Le Mariage de Loti".

"Loti fut baptisé le 25 janvier 1872, à l'âge de vingt-deux ans et onze jours.

Lorsque la chose eut lieu, il était environ une heure de l'après-midi, à Londres et à Paris. Il était à peu près minuit, en dessous, sur l'autre face de la boule terrestre, dans les jardins de la feue reine Pomaré, où la scène se passait. En Europe, c'était une froide et triste journée d'hiver.. En dessous, dans les jardins de la reine, c'était le calme, l’énervante langueur d'une nuit d'été. 




Cinq personnes assistaient à ce baptême de Loti, au milieu des mimosas et des orangers, dans une atmosphère chaude et parfumée, sous un .ciel tout constellé d'étoiles australes. C'étaient Ariitéa, princesse du sang, Faïmana et Téria, suivantes de la reine, Plumket et Loti, midshipmen de la marine de S. M. Britannique. Loti qui, jusqu'à ce jour, s'était appelé Harry Grant, conserva ce nom, tant sur les registres de l'état civil que sur les rôles de la marine royale, mais l'appellation de Loti fut généralement adoptée par ses amis.

La cérémonie fut simple; elle s'acheva sans longs discours, ni grand appareil.
Les trois Tahitiennes étaient couronnées de fleurs naturelles, et vêtues de tuniques de mousseline rose, à traînes. Après avoir inutilement essayé de prononcer les noms barbares d'Harry Grant et de Plumket, dont les sons durs révoltaient leurs gosiers maoris, elles décidèrent de les désigner par les mots Rémuna et Loti, qui sont deux noms de fleurs.


Toute la cour eut le lendemain communication de cette décision, et Harry Grant n'exista plus en Océanie, non plus que Plumket son ami. Il fut convenu en outre que les premières notes de la chanson indigène « Loti taimané, etc... » chantées discrètement la nuit aux abords du palais, signifieraient « Rémuna est là, ou Loti, ou tous deux ensemble; ils prient leurs amies de se rendre à leur appel, ou tout au moins de venir sans bruit leur ouvrir la porte des jardins… » Pierre Loti.

 

 


Elle n’avait pas navigué en Polynésie française depuis plus de 20 ans et a ainsi mis à profit sa présence dans la zone pour réaliser des manœuvres avec les Forces armées en Polynésie française (FAPF).

le 11 mai, le groupe JEANNE D’ARC évoluait dans l’océan Pacifique sous le contrôle opérationnel du Commandant supérieur (COMSUP) des FAPF. Le 16 mai, le groupe a débuté sa patrouille dans la Zone économique exclusive de Polynésie française. Les 800 marins et soldats embarqués ont ainsi participé au renforcement de la posture permanente de sauvegarde maritime assurée toute l’année par les FAPF.


Le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer Bougainville et le patrouilleur Arago ont ainsi pu réaliser des manœuvres avec la frégate La Fayette dans le lagon des îles de Raiatea et Tahaa tout en assurant des missions de souveraineté. En parallèle, le groupe tactique embarqué à bord du Dixmude a conduit des exercices amphibies et de tirs de combat avec le Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique-Polynésie (RIMaP-P).


Le passage du groupe JEANNE D’ARC en Océan Pacifique a permis de renforcer l’interopérabilité entre les moyens militaires de la zone et ceux provenant de la métropole, en s’entraînant notamment à la planification et la conduite d’opérations. La présence des deux bâtiments de la Marine nationale et d’une unité de l’armée de Terre dans cette zone d’intérêt stratégique illustre les capacités de projection d’une force navale française jusqu’en Indopacifique.


https://www.colsbleus.fr/index.php/fr/node/1339

Merci à Claude, Paul, au vaguemestre de la FLF La Fayette


24 décembre 2021

Bayonne L'Hermione quai Castel frégate Rochefort ordre libération dernière émission

Bayonne L'Hermione quai Castel


Le port de Bayonne a été retenu pour des opérations de carénage qui vont durer six mois environ. Il réunit en effet les différents critères d'accueil corrrespondant aux caractéristiques particulières de L’Hermione : tirant d’eau, disponibilité immédiate d'un radoub (aménagement pour le passage en cale sèche), localisation assez proche de Rochefort, son port d'attache... 
 
photo JM Bergougniou 
                                                                                En 1992, l'association Hermione-La Fayette naît à l'initiative d'un groupe de passionnés d'histoire maritime avec comme objectif la reconstruction à l'identique d'une frégate de la fin du XVIIIe siècle au cœur de l'arsenal historique de Rochefort.
La construction a pu commencer le 4 juillet 1997 et s'est achevée 17 ans après, en 2014.

photo JM Bergougniou 

Avec le lancement de grandes fêtes maritimes en France à partir des années 1980, cette reconquête du patrimoine maritime qui a marqué l'identité de tout un territoire prend tout son sens. Ce navire devient l'unique témoin de la grande époque de la marine à voile.




Photo JM Bergougniou
L'Hermione c'est :
Un grand mât à 54 mètres au-dessus de la quille
Une coque de 44 mètres
Longueur hors tout : 66 mètres
Plus de 2 000 chênes sélectionnés dans les forêts françaises
Un puzzle de plus de 400 000 pièces de bois et de métal
800 poulies
1 tonne d'étoupe pour le calfatage
22 canons tirant des boulets de 12 livres sur le pont de batterie et 6 canons tirant des boulets de 6 livres sur le pont de gaillard
2100 mètres carrés de voiles
Plus de 25 km de cordages
Le poids de la frégate en charge est de 1100 tonnes


Photo JM Bergougniou
 Aujourd'hui, 78 personnes composent l'équipage de L'Hermione avec de nombreux métiers !
15 marins professionnels, 56 volontaires qui participent aux manœuvres (appelés « gabiers »), et 7 surnuméraires (techniciens, journalistes...).
Officiers, capitaines, lieutenants, matelots c'est une vraie organisation et une équipe passionnée qui continue de faire vivre l'histoire de L'Hermione.
Sans compter ceux qui œuvrent toute l'année pour le garder à flot, et en bon état. Menuisier, charpentier, eux aussi font partie de cette belle aventure, et qui sait, demain, peut être vous !


La lettre est affranchie avec un timbre Ordre de la Libération surchargé Dernière Emission

Photo JM Bergougniou





L’Ordre  de  la  Libération  a  été  créé  par  le  général  de  Gaulle  le  16  novembre 1940 afin  de  « récompenser les  personnes  ou les  collectivités  militaires  et  civiles  qui se  seront  signalées  dans  l’œuvre  de libération  de  la  France  et  de  son  Empire  ». La  croix  de  la  Libération, insigne de l’Ordre, a  été décernée à  1  038  personnes physiques,  18  unités  militaires  et  5  communes  (Nantes,  Grenoble,  Paris,  Vassieuxen-Vercors  et  l’Île-de-Sein)  seulement.  Cette  distinction,  la  plus  rare  et  la  plus prestigieuse de la  Seconde Guerre  mondiale, honore majoritairement  des pionniers  de  la Résistance  et  de  la France  libre  au  parcours  exceptionnel. 


Timbre DERNIERE EMISSION

Le timbre « Ordre de la Libération 80 ans » a été la dernière émission de timbre-poste à être imprimée en grand format de feuille en 2020.

Ainsi pour marquer la fin de cette production, La Poste a décidé de surcharger les dernières feuilles restantes avec les mentions suivantes :

– sur chaque timbre sera mentionné : DERNIÈRE EMISSION

– sur le contour vertical droit de la feuille sera inscrit : LES DERNIÈRES FEUILLES GRAND FORMAT

Le dernier compagnon de la Libération, Hubert Germain, est décédé à l'âge de 101 ans. Ce membre des Forces françaises libres sera inhumé dans la crypte du Mémorial de la France combattante au Mont-Valérien, près de Paris, le 11 novembre, lors d'une cérémonie nationale présidée par Emmanuel Macron.

Merci à Michel Paul pour son envoi et ses voeux que nous lui retournons. 

27 octobre 2021

frégate Floréal Amsterdam Mars 2021

frégate Floréal



Hell-Bourg photo JM Bergougniou
Partie de La Réunion depuis le 25 février 2021, la Frégate de surveillance (FS) Floréal a effectué une mission de souveraineté dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Après avoir relâché à Crozet et Kerguelen, le Floréal s’est éloigné des 50e hurlants pour rejoindre les îles de Saint-Paul et d’Amsterdam. C’est au cours de ce transit que la frégate française a porté assistance à un navire de pêche.



Alors au mouillage au large de l’île d’Amsterdam, petite île habitée d’une trentaine de scientifiques accueille également quelques 50 000 otaries, le Floréal a appareillé plus tôt que prévu sur demande du Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS).

L'Austral et le Marion Dufresne devant Amsterdam Photo JM Bergougniou
Un navire de pêche revenant de marée dans les TAAF et se dirigeant vers La Réunion nécessitait un soutien médical. Trois jours plus tard, la frégate a rejoint le navire de pêche. Les conditions de mer étaient favorables pour mettre à l’eau son embarcation et son équipe médicale. Le patient a ainsi été pris en charge à bord afin d’être débarqué trois jours plus tard à La Réunion.

FS Floréal Photo JM Bergougniou
Finalement, l’équipage du Floréal a réalisé cette opération avec succès dans le cadre de la mission de patrouille que la frégate de surveillance effectue dans les TAAF. Le mercredi 7 avril, le Floréal et son équipage ont retrouvé leur port de base après 43 jours de mission.

Martin-de-Viviés Amsterdam Photo JM Bergougniou

20 septembre 2021

Frégate ACONIT Mission MEDOR 2021 30 août 2021

Frégate ACONIT Mission MEDOR 2

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération CHAMMAL représente le volet français de l’opération internationale INHERENT RESOLVE (OIR) rassemblant 80 pays et organisations. En coordination avec le gouvernement irakien et les alliés de la France présents dans la zone, l’opération CHAMMAL apporte un soutien militaire aux forces locales engagées dans la lutte contre Daech sur leur territoire. La Coalition internationale adapte en permanence son dispositif au Levant et la France poursuit son effort dans la région car le combat contre le terrorisme continue. L’opération CHAMMAL se concentre désormais sur son pilier « appui » et compte 600 soldats insérés au sein des états-majors d’OIR ou sur les déploiements aériens et maritimes.

Le TàD V SPID 10009 ( FLF ACONIT) est apposé le 30-08-2021 sur l'enveloppe (pas sur le timbre)
Pour diverses raisons - absence de dépêches? Covid?
le pli n'est remis à SPID Roissy que le 14-09-2021


Le 5 août 2021, 
La Frégate de type La Fayette (FLF) Aconit a appareillé de son port base de Toulon en direction de la Méditerranée orientale (MEDOR) pour y conduire son second déploiement de l’année. Régénérée par un arrêt technique de trois mois, l’Aconit et son équipage ont rejoint pour la cinquième fois une zone d’opérations qu’ils connaissent bien, six mois à peine après l’avoir quittée. La FLF a succédé à la Frégate de défense aérienne (FDA) Forbin pour être placée en soutien direct de l’opération CHAMMAL, conduite par les armées françaises au Levant.


L’Aconit a ainsi mis le cap vers la Méditerranée orientale, pour remplir des objectifs dans de nombreux domaines : connaissance et maîtrise de l’espace aéromaritime, soutien à la lutte contre le terrorisme, coopération régionale ou encore affirmation de l’attachement de la France au respect du droit de la mer. La frégate Aconit patrouillera principalement dans le canal de Syrie. Elle restera, toutefois prête à répondre aux sollicitations du Commandant en chef pour la Méditerranée (CECMED), son contrôleur opérationnel, partout ailleurs en Mer Méditerranée.

Intervenant de manière autonome, la FLF participe, grâce à ses capteurs et à son détachement hélicoptère composé d’un Panther de la flottille 36F, à l’appréciation autonome de situation de la France dans une région sensible, fonction essentielle pour connaître et anticiper les évolutions des théâtres d’opérations et prévenir les atteintes au droit de la mer.

Durant sa patrouille, le bâtiment conduira plusieurs exercices de coopération avec les pays riverains afin de renforcer les liens et l’interopérabilité de la France avec ses alliés.


sources 


22 juillet 2021

Corvette ACONIT C65 frégate Brest Lanvéoc brise-lames

 Corvette ACONIT

La corvette Aconit a été armée pour essais le 21 novembre 1970 dans l’arsenal de Lorient où elle avait été mise sur cale le 2 mars 1968 et mise à l’eau le 7 mars 1970.

 Elle entreprendra ses premiers essais à la mer dans le courant de janvier 1971 et doit en principe rallier la flotte au premier semestre de 1972. L’Aconit qui est un escorteur à vocation anti-sous-marine (ASM), constitue le stade ultime d’évolution de la famille des escorteurs d’escadre conçus après la guerre en vue de missions anti-aériennes et ASM et depuis lors différenciés à la suite d’importantes refontes en escorteurs lance-missiles surface-air (T-47 Tartar) et en escorteurs ASM équipés des armes et moyens de détection les plus modernes (T-47 refondus ASM).

L’Aconit préfigure la série des trois corvettes type Tourville (C67) de 5 500 tonnes actuellement en construction au titre de la 2e loi de programme.

Ses caractéristiques sont les suivantes :

– déplacement à pleine charge : 3 600 t,
– dimensions : 127 m x 13,40 m x 5,05 m (p.c.),
– installation de stabilisation.


Son appareil propulsif très compact est entièrement télécommandé à partir d’un poste central. Il se compose de deux chaudières et d’un groupe de turbines développant une puissance de 27 200 CV sur l’hélice. La vitesse maximale sera de l’ordre de 27 nœuds (40 km/h) et la distance franchissable permise par la quantité de combustible embarque de 5 000 nautiques (9 260 km) à 18 nœuds.


L’armement de l’Aconit comprend :

– deux tourelles simples de 100 CA automatiques ;
– une rampe d’engins Malafon porteurs de torpilles ASM L4 autochercheuses (approvisionnement : 13 missiles) ;
– un mortier quadritube de 305 à chargement automatique d’une portée d’environ 3 000 m en version ASM et de 6 000 m en version tir contre la terre ;
– deux catapultes pour torpilles L5.

L’Aconit possède également les dispositifs les plus modernes de détection, d’exploitation et de transmission des informations tactiques, en particulier un radar de veille très élaboré, un sonar basse fréquence DUBV-23 omnidirectionnel en bulbe d’étrave, un sonar remorqué DUBV-43 et une centrale de traitement de l’information comprenant deux calculateurs arithmétiques.

Son équipage qui dispose d’un confort encore jamais atteint dans notre Marine sur un bâtiment de ce tonnage, comprend 22 officiers, 250 officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots.

Le nom de l’Aconit a été choisi en souvenir de la corvette des Forces françaises libres qui s’est illustrée pendant la dure bataille de l’Atlantique en coulant le 11 mai 1943 deux sous-marins allemands.
La coque de l'ex-frégate F65 Aconit servit de 1997 à 2014 de brise-lames à l'École navale de Lanvéoc (Finistère). En août 2014, la coque du brise-lames a quitté les lieux pour rejoindre l'arsenal de Brest et y être préparée pour son démantèlement, puis elle a rejoint le proche cimetière de Landévennec en novembre 2014. Le 21 novembre 2018, elle est partie en remorque pour le chantier Galloo de Gand en Belgique pour son démantèlement.

12 juin 2021

Frégate Germinal 2 juin 2021 Fort de France Martinique

 Frégate Germinal

Une annulation de timbres exemplaire 
demanderait une formation des postiers!


L’intervention du Germinal, conduite dans le respect du droit international, a permis de confirmer la présence de marchandises suspectes. 177 ballots se sont révélés positifs à la cocaïne.


Ils ont été saisis et détruits. Les huit membres d’équipage appréhendés ont été remis aux autorités administratives et judiciaires de leur pays. Cette opération d’envergure est le fruit d’une étroite coopération avec de nombreux pays étrangers et structures internationales.



Sous la coordination du Secrétariat général de la mer (au profit du Premier ministre responsable de l’Action de l’État en mer) et, localement, du préfet de la Martinique comme délégué du gouvernement dans ce domaine, cette opération réalisée par les FAA a également mobilisé l’office antistupéfiants (OFAST), la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED), et les garde-côtes des douanes.

Sources : Marine nationale

Droits : Ministère des armées



Un timbre à date encrassé, un encrier de mauvaise qualité... Tout pour rendre la lecture du TàD impossible. La frégate étant basée aux Antilles on peut supposer que le code Roc est celui de Fort de France... mais rien n'est certain. 

LA POSTE 19460A Fort de France CTC Martinique

23 avril 2021

Frégate ACONIT Toulon FLF

Frégate ACONIT


La frégate Aconit est le quatrième bâtiment de classe La Fayette d'une série qui compte cinq unités (La Fayette, Surcouf, Courbet et le Guépratte) de la Marine nationale française. Son indicatif visuel est F713. Elle est parrainée par la ville de Chalon-sur-Saône. La frégate Aconit conserve les traditions de la corvette Aconit puis de la frégate Aconit (D609). Au titre de la première, son fanion est décoré de la croix de la Libération, de la Croix de guerre 1939-1945 et de la médaille de la Résistance.



Trois des cinq frégates de type La Fayette (FLF) subiront une refonte importante, conformément à la loi de programmation militaire et au plan Mercator. A compter de 2021, le La Fayette, le Courbet et l’Aconit profiteront d’une modernisation avancée de leurs équipements embarqués.

Une attention particulière sera donnée à l’évolution des systèmes informatiques et électroniques du bord, modernisant la commande de la propulsion et favorisant la numérisation ainsi que la connectivité des différents systèmes et senseurs du bord. Un point fort de cette refonte portera sur l’ajout d’un sonar de coque, dotant les trois FLF de capacités nouvelles de lutte sous la mer. L’armement devrait également profiter d’évolutions notables avec l’installation, par exemple d’un système de défense anti-aérien SADRAL armé de missiles Mistral, en remplacement du CROTALE actuel.

12 avril 2021

Frégate ACONIT MEDOR 2020 2021 Méditerranée orientale Egypte Grèce

Fregate ACONIT MEDOR

Après une escale de deux jours à Alexandrie, la Frégate Aconit débute l’activité de coopération opérationnelle MÉDUSA-10. Durant quatre jours, cinq pays vont conduire une série d’exercices couvrant les domaines aussi variés que l’amphibie, la lutte au-dessus de la surface, la lutte anti-sous-marine, ou la lutte contre les menaces asymétriques.



Cette activité MÉDUSA à dominante maritime et à laquelle Chypre, l’Égypte et la Grèce participent, se déroule à Alexandrie et au large des côtes égyptiennes du 30 novembre au 6 décembre. Elle vise à développer l’interopérabilité entre les marines participantes. Pour cette dixième édition, la France et les Émirats arabes unis ont été conviés et y participent pour la première fois.

Encore une enveloppe qui aura mis du temps.... le cachet TRODAT est en date du 12 février 2021... et la double oblitération flamme La Valette du Var du 7 avril 2021... La FREMM Auvergne est partie le 17-02-2021 pour relever l'Aconit...

 le courrier n'est donc pas revenu par une dépêche mais a été posté après le retour du bâtiment à Toulon. 

Covid? pas de dépêche? Charge du vaguemestre? Oubli?


photo Var-Matin


Ainsi, concourent à cet exercice le sous-marin Katsonis, les frégates Limnos et Themistokles et le bâtiment amphibie Chios pour la Grèce, la corvette Ioannides pour Chypre, le sous-marin S-41, le bâtiment amphibie Anouar El-Sadate, la frégate Alexandria et les corvettes El Fateh, Mahmoud Fahmy et Ali Gad pour l’Égypte.

Les Émirats arabes unis contribuent à cette activité par la mobilisation de la corvette Baynunah, la frégate Aconit, actuellement déployée en Méditerranée orientale représente quant à elle la France.

Ce type d’exercice permet de consolider la coordination entre des acteurs de nationalités différentes. Ces rencontres au-delà de développer la capacité des marines à travailler conjointement contribuent à la sécurité de la zone.



Le 17 février 2021, la frégate multi-missions (FREMM) Auvergne a appareillé depuis le port de Toulon pour un déploiement en Méditerranée orientale (MEDOR).

Ce déploiement couronne pour l’équipage de l’Auvergne un cycle dense de préparation opérationnelle. Depuis l’été 2020, les entraînements se sont enchaînés, individuels ou en force constituée, en particulier pendant les exercices GABIAN, DYNAMIC MARINER 2020 et ZEST.

photo Ministère de la défense EMA

Ce programme, mené à bien malgré les contraintes sanitaires, a permis à l’Auvergne d’éprouver l’ensemble de ses capacités et son organisation, depuis la lutte contre les menaces asymétriques jusqu’au tir de missile anti-aérien.

Lors de ce déploiement en Méditerranée orientale, l’Auvergne relèvera la frégate Aconit et assurera à la France une capacité autonome d’appréciation dans cette zone stratégique, tout en y marquant sa présence et sa volonté de contribuer à la stabilité régionale et au respect du droit de la mer. Ce déploiement constitue également un excellent vecteur de coopération permettant à la Marine nationale d’entretenir ses liens avec ses partenaires régionaux et les marines alliées à l’occasion d’escales et d’exercices.

15 mars 2021

Frégate Guépratte opération AGENOR EMASoH European Led Maritime Awareness in the strait of Hormuz Abou Dabi Abou Dhabi

EMASoH : Arrivée du Guépratte à Abou Dabi

Pli de la Frégate Guépratte (V SPID 10423) ayant transité par Abu Dhabi (AP SPID 784) 
Merci Aurore  👍👍👍👍

Cachet V SPID 10423 Frégatte Guépratte -  04 mars 2021
Cachet AP SPID 784 Agence postale Abu Dhabi- 04-mars 2021

Concernant l'écriture des noms des Emirats Arabes Unis :

MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET EUROPÉENNES COMMISSION SPÉCIALISÉE DE TERMINOLOGIE ET DE NÉOLOGIE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES 

Recommandation concernant les noms d’États, d’habitants, de capitales, de sièges diplomatiques ou consulaires (liste établie après avis favorable de la commission générale de terminologie et de néologie et de l’Académie française) 
La forme et l’orthographe des noms inscrits sur la liste ci-dessous sont recommandées.
Émirats arabes unis (les) les Émirats arabes unis  - Émirien, -ne  

 Abou Dabi Doubaï  Aboudabien, -ne Doubaïen, -ne 

Variante : Abou Dhabi. Variante : Doubaïote


Mise à jour : 04/03/2021

Depuis le vendredi 26 février 2021, la frégate de type La Fayette Guépratte a intégré l’opération AGÉNOR, pilier militaire de la mission EMASoH (European-led Maritime Awareness in the Strait of Hormuz). EMASoH est soutenue politiquement par 8 pays européens dont la France, principal contributeur, et le Danemark dont le Commodore Carsten Fjord-Larsen commande depuis le 13 janvier 2021 l’opération AGÉNOR.

Mise en œuvre dans un esprit de désescalade des tensions, AGÉNOR est une opération de surveillance maritime, qui vise à garantir la liberté de navigation dans le Golfe et le détroit d’Ormuz, tout en protégeant les intérêts économiques européens et internationaux.



Succédant à la frégate anti-aérienne Jean-Bart qu’elle a croisé en mer Rouge, la FLF Guépratte a franchi le détroit d’Ormuz pour la première fois de son déploiement le 2 mars pour rejoindre dès le lendemain la base navale des Forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU) qui abrite ALINDIEN et le centre de commandement de l’opération AGÉNOR. Quelques jours avant, dans le golfe d’Aden, le Guépratte avait navigué quelques heures avec la frégate grecque Hydra, également déployée en soutien associée de l’opération.

À plus de 2000 miles nautiques des côtes du vieux continent, cette initiative renforce l’interopérabilité des marines européennes et rappelle l’attachement de l’Europe au droit de la mer et à la liberté de circulation.

Portée par l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France, la Grèce, l’Italie, les Pays-Bas et le Portugal, l’opération Agénor incarne le volet militaire du projet politique EMASOH. Mission de sécurité au profit de l’industrie maritime, AGÉNOR vise à assurer la liberté de navigation dans le Golfe et le détroit d’Ormuz. Agissant en conformité avec le droit international, notamment à la convention des Nations Unies sur le droit de la mer, les unités d’EMASOH contribuent à la désescalade des tensions dans cette région d’intérêts stratégiques.

Sources : 

État-major des armées
Droits : EMA

02 février 2021

Frégate Jean Bart ultime mission 2020 - 2021 les fêtes en mer

Frégate Jean Bart ultime mission 2020 - 2021 les fêtes en mer




PROCHE MOYEN-ORIENT – AGENOR





La FAA Jean Bart dans le golfe d’Oman

La frégate anti-aérienne (FAA) Jean Bart a principalement patrouillé cette dernière semaine dans le Golfe d’Oman. La frégate française terminera cette année 2020 en relâche opérationnelle sur la base navale des forces françaises aux Émirats arabes unis, réalisant trente-six jours effectifs de patrouille depuis son arrivée sur le théâtre.


Le 13 janvier 2021 sera organisée la passation de commandement au sein de l’état-major tactique de l’opération AGENOR/EMASoH (European-led maritime situation awarness in the strait of Hormuz), le Danemark prenant les fonctions de Force Commander.
L’opération AGENOR est une mission de sécurité maritime dans la région stratégique du détroit d’Ormuz

L’opération « Agénor ». Volet militaire de l’initiative européenne « European led Maritime Situation Awareness in the Straight of Hormuz » (EMASOH), « Agénor » a atteint sa pleine capacité opérationnelle le 25 février. Nation-cadre, la France s’appuie sur ses forces stationnées dans la base navale d’Abou Dhabi, où se trouve l’état-major tactique constitué de représentants des Etats contributeurs et d’officiers de liaison. 

Les frégates française Forbin et néerlandaise De-Ruyter sont placées sous le contrôle opérationnel et le commandement tactique de l’opération. EMASOH doit donner une appréciation autonome de situation à ses huit membres, à savoir l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, la France, la Grèce, de l’Italie, les Pays-Bas et le Portugal. « Agénor » assure la surveillance de l’activité maritime et la sécurité en mer pour garantir la liberté de navigation, conformément à la convention des Nations unies sur le droit de la mer.

Mise à jour  : 26/01/2021 - Direction : SIRPA Marine

L’avion de patrouille maritime Atlantique 2 est de nouveau engagé dans l’opération AGÉNOR, volet militaire de la mission European-led Maritime Awarness in the Straight of Hormuz (EMASoH). Ce nouveau détachement de la 23e Flottille a effectué son 1er vol le 24 janvier depuis la Base aérienne (BA) des Émirats arabes unis (EAU).

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