Sous-marin OUESSANT
Une nouvelle dernière plongée
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| dernière cérémonie des couleurs le 13 juillet 2001 |
dernière sortie des commandants le 28 mai 2001
C’est au coeur d’une relation tripartite entre l’Armée française, les industriels européens et les armées des pays amis que Défense Conseil International (DCI) exerce, s o u s l’égide du ministère de la Défense, son activité depuis plus de trente ans. C’est en alliant tradition et modernisme que Navfco, branche navale de DCI, exporte le savoir-faire de la Marine nationale aux marines étrangères amies.
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| Saint-Malo Ouessant en approche de l'écluse photo (c) JM Bergougniou |
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| Saint-Malo dOuessant le kiosque photo (c) JM Bergougniou |
C’est au coeur d’une conjoncture économique en pleine mutation depuis 2002 que de nouvelles opportunités émergent quant à l’accompagnement des grands industriels dans
la conduite des programmes navals (Armaris, EADS, DCN, Thales).
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| Saint-Malo le sous-marin Ouessant dans l'écluse photo (c) JM Bergougniou |
Dernière cérémonie des couleurs en juillet 2009 soit 8 années complémentaires de bons et loyaux services
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| Saint-Malo dans l'écluse photo (c) JM Bergougniou |
Voeux 2000
Voiles de la Liberté escale au Havre
“Ouessant”, Formation, Scorpène, Malsout : des contrats liés
Formation sur le “Ouessant”
Le dernier né des sous-marins de type Agosta, retiré du service actif en 2001, a été remis en état par DCN en 2004 et 2005.
Armé par un équipage de sous-mariniers détachés de la Marine nationale auprès de DCI-Navfco, il est devenu sous-marin école le 17 novembre 2005. Le contrat “Formation” a été signé courant 2003. Les programmes d’enseignement sont actuellement en cours d’exécution ; ils se déroulent à l’Ecole de formation sousmarine implantée dans l’enceinte du CIN à Brest et à bord du “Ouessant”. Ce contrat a pour objectif de former 156 sousmariniers malaisiens, parmi lesquels seront sélectionnés les équipages des Scorpène ainsi que les futurs membres de l’étatmajor de l’escadrille et du centre de formation de la RMN.
Construction et livraison de deux sous-marins Scorpène
Entré en vigueur en octobre 2002, le contrat Scorpène comprend la construction et la livraison de deux sous-marins de type Scorpène par la France et l’Espagne, ainsi que la formation à leur prise en main. DCI-Navfco assurera les essais du premier Scorpène construit à Cherbourg. La constitution de l’équipage malaisien du premier sous-marin Scorpène s’achèvera en 2009.
Soutien du personnel malaisien en France
Depuis fin 2002, dans le cadre du contrat Malsout, DCI-Navfco assure le soutien des personnels de la marine malaisienne et de leurs familles pendant leur séjour en France (plus de 2 0 0 personnes à Brest et Cherbourg aujourd’hui).
Un simulateur plate-forme Scorpène : un contrat complémentaire
Afin de faciliter et d’améliorer la formation et l’entraînement des sous-mariniers, la RMN a commandé à Armaris, au printemps 2006, un simulateur de plate-forme sécurité plongée. Dans un premier temps, ce simulateur sera installé à Brest en 2008 pour entraîner les membres des équipages Scorpène, puis il sera transféré en Malaisie. DCI-Navfco participera à la mise en oeuvre sur site et formera les premiers instructeurs malaisiens.
sources :
Ouest-France
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| Saint-Malo dans l'écluse photo (c) JM Bergougniou |
Le sous-marin Ouessant a bien rempli sa mission - Brest
samedi 11 juillet 2009Quarante-deux sorties et 9 000 heures de plongée, le sous-marin Ouessant et ses équipages ont bien accompli leur mission de formation.
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La dernière mission du sous-marin Ouessant, et le départ du premier Scorpène malaisien marquent la fin du projet « Ouessant Malaisie ».
Une fin... et un début
Alors qu'une belle cérémonie marquait jeudi le retour à la base navale de la dernière mission du sous-marin Ouessant, le Tunku Abdul Rahman premier sous-marin de type Scorpène construit par DCNS Cherbourg, quittait Toulon pour la Malaisie. L'événement marque six années d'une aventure humaine et technologique riche et passionnante pour DCNS et la Navfco. Le projet comprend la construction de deux sous-marins Scorpène, la maintenance du sous-marin Ouessant, la formation des équipages malaisiens.
Navfco armateur du Ouessant
La formation des sous-mariniers malaisiens est assurée par la société de droit privé Navfco avec du personnel détaché de la Marine nationale. La Navfco a ainsi formé deux équipages de sous-marin Scorpène, du personnel de réserve, des instructeurs, du personnel d'état-major.
9 000 heures de plongée
« Plus de 9 000 heures de plongée ont été consacrées à la formation. Nous avons accueilli 170 élèves qui ont chacun en moyenne fait 1 300 heures de plongée. Cela s'est passé en 3 phases : formation en salle de classe, sur simulateur et à la mer », explique le contre-amiral Christian Le Roux. « Cette 42 e sortie s'est très bien passée, après quatre années, on est plus vraiment dans une ambiance scolaire, on se passe la suite entre confrères sous-mariniers », souligne le capitaine de frégate Benoit Lemire, commandant du Ouessant.
Un musée
Dans les jours qui viennent, on va procéder au désarmement et mise en sécurité du Ouessant. Toutefois son avenir semble scellé, un arrangement est en cours entre les deux pays. Chargé sur un navire spécialisé, l'Ouessant rejoindrait la Malaisie pour devenir un musée.
Six ans et quelques dates clés
30 octobre 2003 : entrée en vigueur du contrat. 20 octobre 2005 : fin du grand carénage du Ouessant. 21 novembre 2005 : début de la formation à la mer. 9 juillet : fin de la période de formation à la mer.
Quelques chiffres
Grand carénage : 200 personnes, 400 0000 heures de travail, 20 000 matériels visités, 150 000 heures de maintenance en post-grand carénage.
« Ce contrat est une opération fondamentale pour DCNS et ses partenaires. C'est la première fois que nous offrons une globalisation aussi large de prestation », explique Gérard Solve, directeur de DCNS Brest.
La dernière mission du sous-marin Ouessant, et le départ du premier Scorpène malaisien marquent la fin du projet « Ouessant Malaisie ».
Une fin... et un début
Alors qu'une belle cérémonie marquait jeudi le retour à la base navale de la dernière mission du sous-marin Ouessant, le Tunku Abdul Rahman premier sous-marin de type Scorpène construit par DCNS Cherbourg, quittait Toulon pour la Malaisie. L'événement marque six années d'une aventure humaine et technologique riche et passionnante pour DCNS et la Navfco. Le projet comprend la construction de deux sous-marins Scorpène, la maintenance du sous-marin Ouessant, la formation des équipages malaisiens.
Navfco armateur du Ouessant
La formation des sous-mariniers malaisiens est assurée par la société de droit privé Navfco avec du personnel détaché de la Marine nationale. La Navfco a ainsi formé deux équipages de sous-marin Scorpène, du personnel de réserve, des instructeurs, du personnel d'état-major.
9 000 heures de plongée
« Plus de 9 000 heures de plongée ont été consacrées à la formation. Nous avons accueilli 170 élèves qui ont chacun en moyenne fait 1 300 heures de plongée. Cela s'est passé en 3 phases : formation en salle de classe, sur simulateur et à la mer », explique le contre-amiral Christian Le Roux. « Cette 42 e sortie s'est très bien passée, après quatre années, on est plus vraiment dans une ambiance scolaire, on se passe la suite entre confrères sous-mariniers », souligne le capitaine de frégate Benoit Lemire, commandant du Ouessant.
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| Saint-Malo dans l'écluse photo (c) JM Bergougniou |
Un musée
Dans les jours qui viennent, on va procéder au désarmement et mise en sécurité du Ouessant. Toutefois son avenir semble scellé, un arrangement est en cours entre les deux pays. Chargé sur un navire spécialisé, l'Ouessant rejoindrait la Malaisie pour devenir un musée.
Six ans et quelques dates clés
30 octobre 2003 : entrée en vigueur du contrat. 20 octobre 2005 : fin du grand carénage du Ouessant. 21 novembre 2005 : début de la formation à la mer. 9 juillet : fin de la période de formation à la mer.
Quelques chiffres
Grand carénage : 200 personnes, 400 0000 heures de travail, 20 000 matériels visités, 150 000 heures de maintenance en post-grand carénage.
« Ce contrat est une opération fondamentale pour DCNS et ses partenaires. C'est la première fois que nous offrons une globalisation aussi large de prestation », explique Gérard Solve, directeur de DCNS Brest.
photos (c) JM Bergougniou
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