11 août 2015

Brest et la Belle-Poule et l'Hermione

Brest, la Belle-Poule et l'Hermione





L'Hermione s'est présentée en rade de Brest dans l'après-midi, ce 10 août, escortée par une armada de voiliers. C'est une frégate de lutte anti-sous-marine en acier qui lui a ouvert la voie tandis qu'un remorqueur de sauvetage la saluait avec de majestueux jets d'eau. Jean-Marie Ballu, l'auteur de "L'Hermione, l'aventure de sa reconstruction", jubile : "C'est un moment formidable ! 17 ans de construction, 17 ans entre les mains habiles des charpentiers de marine et des forestiers qui ont livré du bois pour faire cette Hermione (...) C'est un monument historique flottant".




À 15 heures, sur les quais brestois, ils étaient des milliers à l'attendre. L'Hermione leur a donné du canon avant d'accoster. Puis les matelots, juchés dans les haubans descendent sur le pont pour saluer la foule. "C'est la fin d'une histoire, on espère le début d'une autre. On a de l'émotion pour ces jeunes, car on les connait tous, et puis on a beaucoup travaillé sur ce bateau", explique Dominique Chatenet, bénévole de l'association Hermione Lafayette. Après un voyage de presque quatre mois qui l'a menée en Amérique comme le fit en 1780 le Marquis de La Fayette, l'Hermione va rester amarrée jusqu'au 17 août à Brest, où elle pourra être visitée.


http://www.francetvinfo.fr/culture/hermione/arrivee-triomphale-de-l-hermione-a-brest_1037515.html

merci à Claude

IPER et grand carénage Saint Pierre Miquelon jambe de bois Grande pêche Oeuvres de mer

Carénage et passage au bassin...

Il était prévu début juillet un passage au bassin. A priori une simple formalité, changement des silent-blocks, une rotule... Et puis parfois, les choses s'emballent, on a du mou dans les genoux...

C'est pas merveilleux mais ça va mieux. 

Je vous donne comme os à ronger ce soir, cet article pour la revue des anciens de la Jeanne... article prémonitoire.

Les Illustrations sont d'Alain Carpier.

L’espace tradition de l’Ecole Navale nous offre par- fois des surprises et des anecdotes. Je vous propose pour cette dixième «Jeannelettre», de découvrir celle du marin à trois jambes. Devant subir très prochaine- ment une opération du genou, j’ose espérer que la même mésaventure me sera épargnée !
Sur les bancs (pas ceux de l’école mais de Terre- Neuve), plusieurs bâtiments de la Marine Nationale œu- vrèrent avec les «Œuvres de Mer». Parmi ceux-ci, deux «Jeanne» : Sainte Jehanne d’Arc et Jeanne d’Arc qui secoururent ceux du Grand Métier.
L’assistance à la grande pêche, au milieu du XVIIIème siècle jusqu’à nos jours, s’est faite sous différentes formes grâce à l’aide de fondations, de sociétés laïques ou religieuses puis, après le concordat (1903), avec la Marine Nationale. Souvent on les retrouvait en- semble dans une action humaine commune avec des spécificités propres à chacune d’elles et avec les moyens de l’époque. La tâche était immense. Les médecins et les infirmiers de la marine y ont vécu des an- nées d’expérience en médecine navale. Si vous aimez la mer et la pêche, regardez à nouveau le Crabe-Tam- bour (1) avec Jean Rochefort, Jacques Perrin, Claude Rich et Jacques Dufilho. Sur le Jauréguiberry en at- tente de désarmement, vous retrouverez ces odeurs de sel, d’iode et d’embruns et gare au recteur du pays bigouden. 





Mais, revenons à notre cuisine.
Bien souvent, le navire hôpital se trouvait à des milles du lieu de l’accident, la carte couvrant les zones de pêche étant aussi étendue que celle de l’Europe. Aussi, bien des capitaines se trouvaient dans l’obligation de pratiquer des actes médicaux et chirurgicaux parfois graves de conséquences, parfois salvateurs, hérités de la médecine de guerre navale.
Certaines anecdotes sont passées dans la légende maritime, comme cette amputation d’une jambe suite à un coup de fouet dû à une draille de foc cassée par un vi- rement de bord intempestif. Le capitaine Guilloux de la goélette Vaillant s’était fait sectionner une jambe jusqu’à l’os. Le capitaine décida sur le champ de l’amputation, effectuée avec les moyens du bord, la caisse à pharmacie servant le plus souvent de niche au chien. Le charpentier scia l’os, confectionna un moignon





puis, quelques jours plus tard, fabriqua une jambe de bois. Mais le capitaine Guilloux ne voulut en aucun cas que sa jambe fût jetée à la mer et il la fit mettre dans le sel à fond de cale. La goélette ayant rejoint Saint-
Pierre, la jambe fut confiée aux soeurs du dispensaire «les Oeuvres de la Mer» (2) qui la placèrent dans le cercueil d’un marin décédé ce jour-là.

C‘est pourquoi la légende veut qu’il y ait un marin à trois jambes enterré à Saint-Pierre.

La tombe existe encore de nos jours, c’est la seconde en entrant dans le cimetière. Les capitaines envoyaient leurs mousses y prier comme punition pour de petites fautes.

Que le ciel vous tienne en joie!

Bonne rigolade et évitez de vous mettre à genoux pour vos dévotions.

(1) En recopiant le lien ci-dessous, vous pourrez revoir le film « Le Crabe Tam- bour ».


pour voir le Crabe Tambour



(2) La société des Oeuvres de la Mer, fondée en 1894, avait pour mission l’aide matérielle et morale aux marins sur les bancs de Terre-Neuve. Elle fut reconnue d’utilité publique en 1898 et siégeait au 18 rue de la Trémoille à Paris puis au 5 rue Quentin Bauchart Paris 8ème à proximité du siège actuel de la Croix- Rouge française.

14 juillet 2015

14 juillet 2015

14 juillet 2015

Les forces spéciales du ministère de l'intérieur ouvriront le défilé

Ce défilé sera marqué par l'actualité, notamment le terrorisme qui a frappé l'année 2014 avec les attentats de janvier en France notamment. Pour souligner cela, des forces qui n'avaient pas l'habitude de défiler seront présentes mardi.





"Le monde a changé pour les armées, mais aussi pour les forces de sécurité et de défense, affirme le général. Une nouvelle ère a commencé et il n'était pas envisageable de ne pas l'exprimer dans cette journée de fête nationale. Ce sont bien entendu les militaires, mais devant eux les forces spéciales du ministère de l'intérieur ouvriront le défilé d'une manière originale qui marquera bien cette nouvelle donne de l'actualité nationale et internationale."


Le RAID, le GIGN et la BRI vont ainsi défiler pour la première fois ce 14 juillet. "C'est tout à fait exceptionnel, ça ne s'était jamais vu, explique le général Charpentier. Ils sont mis à l'honneur en ouverture de cette cérémonie militaire, à leur juste place dans la considération que la nation doit à ses hommes."
Des forces qui ont participé à la lutte contre Ebola seront célébrées

Ce rendez vous qui s’annonce "prometteur" rendra hommage aux soldats qui ont lutté contre la prolifération du virus Ebola en Afrique dans des missions dangereuses. "Ça s'inscrit dans la reconnaissance de la nation à ces soldats, médecins, pompiers qui sont sur un front humanitaire, témoigne Hervé Charpentier. C'est une originalité de cette année. Cette opération qui est un véritable succès devait être mise à l'honneur."


Après avoir accueilli le président de la République en haut de l'Arc de Triomphe mardi matin, il descendra les Champs-Élysées en sa compagnie avant de diriger la cérémonie depuis son véhicule de commandement en bas de la tribune.

Goélette Belle-Poule Tall ships race 2015 Belfast

Goélette Belle-Poule et la Tall-ship race Belfast


A l’aube de la Tall Ships Race, la goélette Belle Poule s’apprête à quitter Belfast avec les 40 autres concurrents de la course.
La Tall Ships Race rassemble chaque année des voiliers du monde entier pour une course en plusieurs étapes. Cette manifestation met à l’honneur la jeunesse puisque la moitié des équipages sont constitués de jeunes de moins de 25 ans désireux de vivre cette expérience unique qui mêle l’apprentissage de la voile, l’esprit d’équipage, l’amitié et la solidarité internationale.




Avant de rejoindre la ligne de départ, l’équipage de la goélette a déjà été mis à l’honneur à deux reprises. Tout d’abord, l’organisation a confié à son commandant le privilège de prononcer le discours d’ouverture de la Tall Ships Race. Puis, le lendemain, les marins ont reçu des mains du maire de la ville le prix de la plus belle tenue à l’occasion de la parade des équipages.


Annulation d'un timbre anglais par la griffe 29N-Brest Recouvrance Courrier certainement posté à Belfast

la Grande-Bretagne comporte plusieurs nations qui battent monnaie et éditent des timbres.
Chacune est représentée par un symbole qui lui est propre comme au rugby, la Rose pour l'Angleterre, le chardon pour l'Ecosse, le poireau ou le dragon pour le Pays de Galle, l'Irlande est divisée en deux, l'Irlande du nord est sous tutelle britannique et la République d'Irlande est indépendante. Le symbole de la première est la Chaussée des géants, de la seconde le trèfle.

Je pense que l'usage d'un timbre d'une nation dans une autre n'est pas autorisé et que cet affranchissement est considéré comme nul et le timbre non oblitéré. Cette lette aurait du être taxée.




A quelques heures de s’élancer pour les 700nautiques de course entre l’Irlande et la Norvège, l’équipage de la Belle Poule est bien décidé à faire valoir le savoir faire de la Marine française et faire briller le nom de la goélette de 83 ans




sources : Cols bleus  Goélette Belle-Poule

13 juillet 2015

CMT LYRE TOULON

CMT LYRE TOULON

Amis Toulonnais, à quelle occasion ce tampon a-t-il été réalisé?




Les chasseurs de mines du type "tripartite" ont été construits en coopération entre la France, la Belgique et les Pays-Bas pour.

Le Lyre a été construit par la Direction des Constructions Navales (DCN) à Lorient :
Mis sur cale le 15 octobre 1983
Lancé le 15 novembre 1986
il est entré en service le16 décembre 1987

Le Lyre est basé à Toulon.

Mandelieu-la-Napoule parraine le chasseur de mines Lyre depuis le 20 mai 1988


Pologne marine et numismatique ORP BLYSKAWICA

Pologne marine et numismatique  ORP BLYSKAWICA


La Pologne émet chaque année des pièces commémoratives. 
Ces pièces sont émises par la Banque nationale polonaise.
Lors de mon récent séjour  en Pologne j'en ai trouvé deux.

La première célèbre le destroyer BLYSKAWICA (Eclair en Polonais) Elle est émise en 2012. Des opérateurs privés la présente sous blyster. Ces pièces sont proposées autrement à la poste principale de Varsovie lorsqu'ils rendent la monnaie.

1939-1940

Comme le prévoyait les accords de Pékin, pour éviter un conflit avec l'Allemagne, les destroyers  Grom BurZa et Blyskawica sont retirés de la mer Baltique et prennent la direction de la Grande-Bretagne.

Les navires allemands notamment le croiseur Koenigsberg les aperçoivent les 30 et 31 août mais ils n'interviennent pas. Les navires polonais atteignent sans encombre Leith en Ecosse le 1er septembre 1939 à 17h30.Ils coopèrent dès lors avec la Home Fleet. Dès le 7 septembre 1939, le Blyskawica engage un sous-marin allemand.

En mai 1940, le Blyskawica prend part à la campagne de Norvège et abat deux avions allemands. Son sister-ship est bombardé et coulé.

Le Blyskawica va ensuite participer à l'opération Dynamo et à l'évacuation de Dunkerque.

On va le retrouver dans l'Atlantique et en Méditerranée assurant la protection des convois ou la chasse aux U-boats.  




Il participe à la défense de l'ile de Whight et de Cowes bombardées par l'aviation allemande. 

En 1943 il est à Bône en Algérie puis le 8 juin 1944, il participe à la bataille d'Ouessant  contre la Kriegsmarine.

Il est devenu navire musée dans le port de Gdynia.

12 juillet 2015

Le Chasseloup-Laubat

Le croiseur Chasseloup-Laubat


Si le croiseur est connu pour avoir transporté le Ministre des Colonies Raphaël Milliès-Lacroix lors de son voyage aux Colonies, l'homme qui a donné son nom au croiseur est beaucoup moins connu




À 16 ans, le 7 août 1770, il entra comme aspirant au corps royal de l'artillerie. Se sentant une vocation plus particulière pour le génie, il fut reçu en 1774 à l'École royale du génie de Mézières, où il devint sous-lieutenant le 1er juin 1778. Sa carrière se déroula alors dans cette arme :
Lieutenant en second du génie le 1er juin 1780,
Lieutenant en premier du génie le 16 février 1784,
capitaine le 1er avril 1791.







Lorsque la Révolution éclata, il en adopta les principes et refusa d'émigrer malgré les sollicitations qui lui en furent faites. De 1792 à 1793, il servit dans l'armée du Centre : il se battit devant Givet, dirigea les travaux de défense de Montmédy contre les Prussiens en septembre 1792, puis mit Longwy en état de défense après sa reprise le 18 octobre. Il prit part à la campagne de 1793 avec la même armée rebaptisée depuis le mois d'octobre 1792 armée de la Moselle. Sa conduite brillante pendant la prise d'Arlon le 9 juin 1793 lui valut d'être nommé chef de bataillon le 15 du même mois. Il participa encore à de nouveaux combats à Arlon le 18 avril 1794.






Il se maria en 1794 à une cousine née Fresneau de la Gautaudière qui lui apportait le château de la Gataudièreà Marennes. Il fut versé dans l'armée de Sambre-et-Meuse le 28 juin, et servit au siège de Maastricht. Il parvint à placer sur la rive droite de la Meuse une batterie qui labourait dans toute son étendue le front contre lequel il dirigea son attaque. Les assiégés, se voyant ainsi pris par leur flanc, demandèrent à capituler. Il fut récompensé de la part qu'il avait prise à cette conquête par le grade de chef de brigade du génie, l'équivalent de colonel, le 8 novembre 1794. Appelé devant la forteresse de Mayence en 1795, il fut d'abord chargé de l'attaque du centre, et ensuite du commandement de tous les travaux du blocus de Mayence.


 Tous les vieux Algérois connaissent la rampe Chasseloup-Laubat.  Le boulevard Sidi Carnot parcourant le front de mer domine le port d'Alger


Deux rampes, la rampe Magenta et la rampe Chasse-Loup Laubat permettent de rejoindre la gare et le port.





Sa carrière militaire se poursuivit brillamment :
Inspecteur général des fortifications le 26 janvier 1800 ;
Membre du comité des fortifications mandé auprès du Premier Consul le 29 mai ;

  • Commandant en chef le génie de l'armée de Réserve à la place du général Marescot le 7 juin ;
  • Commandant en chef le génie de l'armée d'Italie le 24 juin ;
  • Responsable du siège de Peschiera après la bataille de Marengo le 1er janvier 1801 ;
  • Chargé de recevoir sa capitulation le 19 janvier ;
  • Chargé de la démolition des places de Coni, Ceva, Tortona, du fort de Suze, de la citadelle de Milan en 1801 ;
  • Chargé, après la paix de Lunéville, de fortifier Pizzighettone, Peschiera, Mantoue, Legnago, la Rocca d'Anfo (it), puis Tarente et enfin Alexandrie, afin de mettre en place un système complet de défense et d'occupation permettant d'assurer la conquête de l'Italie.
  • Il appliqua à ces fortifications un système nouveau dont il était l'auteur, en particulier à Alexandrie, où il mit en œuvre les idées qu'il eut tout au long des travaux sur les autres sites, et qu'il résuma ainsi : Éloigner les feux de l'ennemi par des ouvrages avancés, capables de résister et d'être repris par la garnison ; se ménager dans tout le pourtour de la place de grands moyens de sortie ; réduire à un très petit nombre, par de vastes inondations, les fronts attaquables ; multiplier les obstacles sur les directions que l'ennemi est forcé de prendre, et l'obliger à faire trois sièges successifs dans la même place. L'importance de cette réalisation n'échappa pas aux Autrichiens, et leur premier soin, après les traités de 1814, fut de raser les fortifications d'Alexandrie, dont ils n'ont laissé que la citadelle.




De nouveau commandant le génie de l'Armée d'Italie sous Masséna en 1805, il fut nommé commandant en chef le génie de la Grande Armée le 22 septembre 1806. Il servit à Golymin le 26 décembre, à Eylau le 8 février 1807, éleva des têtes de pont revêtues de bois, pouvant servir de camps retranchés à Praga, Serock et Modlin. Les glaces enlevant sans cesse les ponts de bateaux, il fit construire trois ponts sur pilotis sur des rivières plus larges que le Rhin. Pendant le repos de l'armée, il se rendit au siège de Kołobrzeg, puis alla prendre le commandement de celui de Dantzig, mémorable par les difficultés rencontrées par les assiégeants et par le peu de moyens mis à leur disposition. Ce ne fut qu'après 51 jours de tranchée ouverte que la place capitula. Il termina cette campagne en juillet 1807 par le siège de Stralsund, que les Suédois finirent par évacuer. Avant de rentrer en France, il fit fortifier Thorn, Marienbourg et Magdebourg.

En début 1808, il partit avec Napoléon Ier pour une tournée d'inspection des travaux qu'il avait entrepris en Italie, principalement à Mantoue et à Alexandrie. Il reçut du maître les plus brillants éloges, et fut fait comte de l'Empire le 7 juin 1808. En récompense de ses services, il fut fait par l'Empereur conseiller d'État le 29 août 1811, et après la retraite de Russie, membre du Sénat conservateur le 5 avril 1813.

Il prit peu après sa retraite le 13 juin à près de 60 ans.



Le croiseur protégé est un type de croiseur de la marine de la fin du xixe siècle. Les parties vitales sont recouvertes d'un blindage en dos d'âne de 30 à 80 mm d'épaisseur et sa vitesse varie entre 16 à 18 nœuds en fonction de son poids de déplacement (entre 4 000 à 8 000 tonnes).



Il n'offre qu'une protection sur les organes vitaux du navire, essentiellement la salle des machines et soutes à munitions. Il est considéré comme le précurseur du futur croiseur léger et croiseur lourd.
Très vite obsolète, le cuirassé protégé est remplacé par le croiseur cuirassé, précurseur du croiseur de bataille (pré-Dreadnought puis Dreadnought).


Le ministre voyage à ses frais

Milliès-Lacroix est élu conseiller général des Landes après avoir été conseiller municipal de Dax.

En 1906, dans son premier cabinet, Clemenceau en fait son ministre des Colonies. Il occupera ce poste jusqu'en 1909. À ce titre il visite - à ses frais- l'Afrique occidentale
Clemenceau l'avait surnommé « Le Nègre »


PHA Mistral à New-York du 7 au 12 mai 2025

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