L'estaminet de "La femme serpent"
Bonjour à tous,
Vendredi dernier j’évoquais la « femme serpent ». Un correspondant me rappela aimablement que ce personnage mythique était sans doute inconnu de la génération post-soixante huitarde.
Dont acte.
Dans le Recouvrance balafré des années cinquante se côtoyait au cœur d’estaminets sombres toute une population d’étudiants, de marins, de lamaneurs, d’ouvriers du port et de bourgeois s’encanaillant. Celui de la
« Femme Serpent » ne manquait pas d’attraits. C’était une sorte de caverne enfumée qui donnait sur la rue Borda.
Les meubles brulés par la patronne avaient été remplacé par un mobilier original : Une planche sur deux tonneaux tenait lieu de comptoir et des caisses de bière fournissaient le reste du mobilier. La seule boisson autorisée était la canette. La Femme Serpent, interpelait, invectivait, insultait. C’était bondé mais la clientèle filait droit. Ce nom, dit la légende, venait de ce qu’elle avait tatoué ce reptile sur le ventre.
Et comme nous nous nous sommes perdus à Recouvrance n’oublions pas de mettre sur le pick-up « Fanny de Laninon » immortel chef d’œuvre de Pierre Mac Orlan.
Et pour le coup « kenavo » et à la semaine prochaine
Donec
Et comme nous nous nous sommes perdus à Recouvrance n’oublions pas de mettre sur le pick-up « Fanny de Laninon » immortel chef d’œuvre de Pierre Mac Orlan.
Et pour le coup « kenavo » et à la semaine prochaine
Donec