Mission Jeanne d'Arc escales américaines Colombie Carthagène Brésil Fortaleza

Mission Jean d'Arc PHA MISTRAL FLF Surcouf 

Brésil Fortaleza Colombie Carthagène

Après sa traversée de l’Atlantique, le groupe Jeanne d’Arc est arrivé à Fortaleza au Brésil. Partenaires de longue date, les armées françaises mènent avec le Brésil une centaine d'opérations conjointes par an en particulier dans le cadre de la lutte contre l’orpaillage illégal et de la pêche illégale et non réglementée.

Du 21 au 25 mars, le groupe amphibie Jeanne d’Arc a fait escale à Fortaleza au Brésil. Lors de cette escale, le groupement tactique embarqué (GTE) a réalisé un exercice d’infanterie et d’aguerrissement dans le domaine du combat amphibie sur la plage de Mansa avec les Marines brésiliens.

Du 21 au 25 mars, les équipages et détachements du PHA Mistral et la FLF Surcouf du groupe amphibie Jeanne d’Arc ont conduit de nombreuses activités en commun avec la marine et les Fuzileiros naval (Marines) brésiliens.

Du 8 au 13 avril, le groupe amphibie Jeanne d’Arc a fait escale à Carthagène des Indes en Colombie. L’occasion de conduire plusieurs entrainements à terre comme en mer, ainsi qu’une patrouille commune de lutte contre le narcotrafic peu après l’appareillage.

 Chateau de San Felipe de Bararas © JM Bergougniou

Le groupe amphibie Jeanne d’Arc constitué du porte-hélicoptères amphibie (PHA) Mistjal et la frégate de type LA FAYETTE Surcouf étaient en Colombie du 8 au 13 avril, poursuivant ainsi leur mission opérationnelle autour de l’Atlantique. Au cours de leur escale à Carthagène des Indes, les équipages et détachements ont conduit de nombreuses interactions avec leurs homologues colombiens. Dès le premier jour, avant l’accostage, un hélicoptère Dauphin de la marine colombienne a réalisé des appontages à bord du Mistral. Durant la journée, le PHA a accueilli M. Sylvain Itté, Ambassadeur de France en Colombie et le vice-amiral Nicolas Lambropoulos, commandant supérieur des forces armées aux Antilles, ainsi que de nombreuses autorités, dont le contre-amiral Cordoba, commandant particulier de San Andrés et Providencia. 

Eglise saint-Pierre Claver © JM Bergougniou

Au cours de cette escale, trois jours durant, le sous-groupement tactique embarqué a pu s’entraîner à Coveñas, camp d’entraînement des Marines colombiens. Plusieurs midships de la mission Jeanne d’Arc ont également bénéficié de ce stage proposé par les Colombiens sur les thèmes du combat urbain et du combat fluvial. A l’issue les participants ont reçu le diplôme du stage témoignant de leur réussite.

Porte et tour de l'horloge © JM Bergougniou

Par la suite, après leur appareillage le 13 avril, le Mistral et le Surcouf ont rejoint la frégate colombienne Almirante Padilla afin de conduire avec elle un exercice de visite. C’est avec cette frégate que le groupe amphibie a ensuite mené une patrouille commune de lutte contre le narcotrafic en mer des Caraïbes.

https://www.defense.gouv.fr/marine/actualites/jeanne-darc-25-manoeuvres-amphibies-fortaleza

https://www.defense.gouv.fr/operations/actualites/mission-jeanne-darc-groupe-amphibie-colombie

Mission Jeanne d'Arc 2025 à Québec Canada PHA Mistral FLF Surcouf

Mission Jeanne d'Arc 2025 à Québec Canada

Québec © JM Bergougniou

le fleuve St Laurent © JM Bergougniou

Le 19 mai, la Mission Jeanne d’Arc est arrivée à Québec. Mme Olga Farman, PDG du Port de Québec, Mme Elisa Valentin, Sous-ministre adjointe pour les Relations Europe, Indo-Pacifique et affaires institutionnelles, M. Eric Lamouroux, Consul Général de France à Québec, M. Bruno Heluin, Attaché de défense à la Ambassade de France au Canada et leurs équipes ont été accueillis à bord par le capitaine de vaisseau Quentin Vieux-Rochas et le capitaine de frégate Xavier Brignoli.

Lors d’une conférence, le Consul Général s’est adressé aux 150 officiers-élèves pour leur présenter les missions du consulat général à Québec et la relation directe et privilégiée qu’entretiennent la France et le Québec.

Château Frontenac Québec © JM Bergougniou

Un cocktail en présence d’officiels québécois, de représentants de la communauté française et des entreprises dans le domaine de la défense a eu lieu le 20 mai.

Le 22 mai, un colloque sur le thème de la cyber sécurité et l’intelligence artificielle introduit par l’Amiral Laurent Hemmer, M. Alain Sans Cartier, Sous-Ministre du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec (MRIF) et le co-directeur de l’Institut France-Québec maritime (IFQM) M. Dominique Robert, a réuni des acteurs scientifiques, économiques et institutionnels autour des défis et perspectives de ces nouvelles technologies.

Les filles du Roy Québec © JM Bergougniou

Toute la semaine, des élèves du Collège Stanislas de Québec, des jeunes de l’ Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) et de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), des parlementaires et des partenaires québécois ont eu l’opportunité de découvrir le vaisseau et ses missions.

Québec © JM Bergougniou

Québec © JM Bergougniou

https://quebec.consulfrance.org/Escale-de-la-Mission-Jeanne-d-Arc-a-Quebec#:~:text=La%20mission%20JEANNE%20D'ARC%202025%20est%20un%20déploiement%20opérationnel,qualité%20aux%20officiers%2Délèves%20embarqués

Mission Jeanne d'Arc PHA MISTRAL FLF SURCOUF Abidjan Côte d'Ivoire 9 mars 2025 maquis

Mission Jeanne d'Arc PHA MISTRAL FLF SURCOUF escale à Abidjan

Du 9 au 12 mars 2025, les deux bâtiments de la mission Jeanne d’Arc, ainsi que leurs détachements, ont fait escale à Abidjan, seule étape africaine de leur déploiement de cinq mois autour de l’Atlantique.

C’est une escale marquée par de très nombreux et fructueux échanges qu’ont vécue les équipages et détachements du porte-hélicoptères amphibie Mistral et de la frégate de type La Fayette Surcouf. Les activités ont débuté avant même l’accostage : les Cougar du 5e régiment d’hélicoptères de combat ont en effet « desserré » dès le 8 mars avec les troupes du groupement tactique embarqué (GTE) pour rejoindre à terre les unités du détachement de liaison interarmées en Côte d’Ivoire afin d’y conduire un exercice avec les forces armées ivoiriennes. 

Une fois accosté, le Mistral a accueilli le 10 mars une délégation de stagiaires du CESD, équivalent de l’École de guerre pour la Côte d’Ivoire, guidés par un instructeur de l’École embarquée. 

Dans le même temps, le vice-amiral d’escadre Jean-François Quérat, préfet maritime et commandant la zone et l’arrondissement maritimes Atlantique, ainsi que le capitaine de vaisseau Quentin Vieux-Rochas, commandant le PHA Mistral et la mission Jeanne d’Arc, ont pu rencontrer le vice-amiral N’Guessan Kouame, chef d’état-major de la marine ivoirienne (CEMMAR).

https://ci.ambafrance.org/Communique-Escale-a-Abidjan-du

https://www.defense.gouv.fr/sites/default/files/operations/Dossier%20de%20presse%20JEANNE%20D%27ARC.pdf

En Afrique, les maquis sont, avant tout, des lieux de restauration très populaires. Ce sont aussi des lieux de rencontre, d’échange et de défoulement. Il s'agit de lieux relativement discrets, non déclarés, ne possédant pas de façade sur rue et n'ayant rien qui permette d'identifier leur fonction. Il s'agissait d'espaces aménagés à l’intérieur des domiciles privés où les « clients » pouvaient se restaurer, boire un verre en regardant la télévision et/ou en écoutant de la musique. Véritables restaurants « africanisés », les maquis proposent des plats et des boissons à des prix très abordables.

L'aspect discret, voire caché ou connu via le bouche-à-oreille, fait similitude avec le maquis végétal et les maquisards. Les maquis clandos (clandestins) d'Afrique permettaient et permettent encore de consommer les viandes de brousse — comprendre provenant traditionnellement de la chasse, même élevée en ville : chimpanzés, chauves-souris, agoutis, etc. — parfois interdites de commercialisation ou de consommation, du fait des conventions internationales sur le braconnage ou encore pour des raisons sanitaires.

TOULON 40ème congrès de la Marcophilie navale hommage fusilier marin commando

TOULON 40ème congrès de la Marcophilie navale hommage aux fusiliers & commandos

au programme 

L'amiral Arata en compagnie de Mme Josée Massi Maire de Toulon

Vendredi 6 juin 2025

accueil des congressistes - montage des collections

12h Repas

18h Inauguration officielle

Cockail dinatoire

Samedi 7 juin 2025

9h Exposition ouverte - bureau temporaire

10h Réunion du conseil d'administration

12h Repas

15h Assemblée générale

20h Repas du Congrès

Dimanche 8 juin 2025

Matinée libre

12h Repas 

14h Bourse d'échanges

17h Démontage des collections fin du congrès

Les exposants

• Claude Arata              Fusiliers marins et commandos marine
• André Van Dooren    Les fusiliers marins de l'amiral Ronac'h
• Joël Moreau               Sites sensibles protégés par les fusiliers marins
• Claude Bélec              Dernière campagne de la Jeanne d'Arc
• Denis Duet                   Escales à Nantes
• Roseline Giletto         La Marine américaine
• Patrick Le Pestipon    Brest et le Charles de Gaulle
• René Pauliat                Les Eparses
• René Pauliat                 Les TAAF
• Paul Roy                        La Marine dans le Pacifique
• Michel Zimmer             Trois légendes sous un point commun
• Jean-Pierre de Saint Aubert La frégate De Grasse
• Jean-Paul Lecouvey  Victor Schoelcher

A terre, le fusilier marin participe à la protection-défense des sites de la marine : les bases navales et aéronavales, les sites et activités liées à la dissuasion, les bâtiments et éléments déployés en mission, et les navires civils sensibles en transit dans les zones à risque.

A bord, sur un porte-avions ou une frégate, il est responsable de l’organisation interne et de la discipline du bord. A ce titre, il est l’un des principaux adjoints du commandement. Le fusilier marin participe également à l’entraînement et à l’aguerrissement de l’équipage.

Pendant sa carrière, le fusilier marin peut progresser en responsabilité (opérateur, chef d’équipe, chef d’escouade, etc.) et se spécialiser dans les filières « commando » et/ou « cynotechnicien ».

https://www.lamarinerecrute.fr/metiers-et-formations/tous-les-metiers/fusilier-marin

Le premier commando marine est créé le 12 novembre 1942 grâce au capitaine de corvette Philippe Kieffer, qui soutient l’intérêt d’être doté d’une unité capable de mener des actions amphibies et d’assaut en mer. Les premiers marins sont formés outre-manche, les Britanniques détenant déjà ces compétences. La 1ère compagnie de fusiliers marins commandos voit ainsi le jour en 1942, et combat avec les militaires anglo-saxon pendant la Seconde Guerre mondiale. L’unité se distingue particulièrement le 6 juin 1944 à Ouistreham, lorsque 177 commandos, sous les ordres du capitaine de corvette Kieffer, écrasent les défenses allemandes. Leurs pertes furent nombreuses, mais jamais ils ne renoncèrent. En 1945, l’unité se renomme en 1er bataillon de fusiliers marins commandos. 

Un an plus tard, l’école de fusiliers marins commandos est créée à Sirocco, en Algérie, afin de dispenser le certificat commando et le certificat amphibie. Entre 1945 et 1948, six groupes commandos marine sont constitués et prennent le nom d’officiers morts au champ d’honneur : Trepel, Jaubert, de Montfort, de Penfentenyo et Hubert.

https://www.defense.gouv.fr/marine/mieux-nous-connaitre/ecoles-formations/lecole-fusiliers-marins

Merci à Paul Roy

Congrès Marcophilie navale Fusiliers Marins et commandos Jean-Louis le Fusilier Marin Cahors Saïgon Falguière

Jean-Louis le Fusilier Marin

ou l'histoire d'une statue qui a beaucoup voyagé.

Copie réduite du modèle original d'Alexandre Falguières à Cahors, la statue avait été inaugurée la première fois à Saïgon en mai 1889 en hommage au célèbre homme politique français. Jusqu'en 1914, le monument Gambetta était resté à l'intersection du boulevard Norodom et de la rue Pellerin. Mais cette même année, les nouvelles Halles centrales ont été créées et le vieux marché de la ville, boulevard Charner, a été démoli. 

À la place de l'ancien marché, une grande place ouverte baptisée " place Gambetta " a été aménagée et le monument a été déplacé avec précaution et installé en son centre. Dans un souci d'élan patriotique lié à la Grande Guerre qui sévissait en Europe, cet événement politique avait été célébré de façon pompeuse et accompagné par une grandiose campagne de souscription nationale.

Jean-Louis est le nom donné à l’un des personnages du monument à la gloire de Léon Gambetta (1838-1882) que le sculpteur Jean Falguière a réalisé en deux exemplaires : l’un exposé à Cahors (Lot), ville natale de Léon Gambetta, l’autre à Saïgon. Des statues éléments du monument de Cahors seront fondues par les Allemands en 1944.

À Saïgon, avec l'arrivée des Japonais Jean-Louis est caché dans l’arsenal. Au départ des Japonais, Jean-Louis retrouve son socle mais après la défaite de Diên Biên Phu Jean-Louis embarque pour l'Algérie et l’École des fusiliers marins au centre Siroco d’Alger.

À l’indépendance de l’Algérie en 1962, Jean-Louis est rapatrié à l’École des fusiliers marins à Lorient où il pose toujours fièrement face à la place d’armes! 

Falguière, sculpteur de la République

L'oeuvre de Jean, Alexandre, Joseph Falguière, impressionnante par sa quantité, se retrouve dans de nombreuses villes de France. Son Pasteur campe place de Breteuil à Paris, son Alphonse Daudet à Nîmes, comme il se doit. Le musée des Augustins à Toulouse abrite le cardinal de Lavigerie et Henri de Larochejaquelein. L'amiral Courbet tient Abbeville. Il faudrait encore évoquer Lamartine, Lafayette, Bizet, Courbet, Saint-Vincent de Paul, Pierre Corneille mais aussi de nombreuses allégories ou évocations: la République, la Liberté, les Lutteurs, sans oublier toutes les Diane ou Danseuses faites au moule. Et son Triomphe de la République qui couronna l'arc de triomphe de l'Etoile, de 1881 à 1886.

Jean Falguière, né à Toulouse en 1831 et dont l'inhumation en 1900 à Paris eut l'ampleur d'obsèques nationales, n'avait pas besoin d'usurper l'oeuvre d'autrui pour se faire un renom. Prix de Rome, il exerça pendant dix ans à la villa Médicis avant de devenir en quelque sorte le sculpteur officiel de la IIIe République. Membre de l'académie des Beaux-Arts en 1884, il exerça une influence considérable dans le monde des arts. Il fut l'un des premiers à utiliser, pour les créations en bronze, une machine à réduire en proportions le moule servant au fondeur.

La Plage : feuille trouvillaise  20-04-1884

Le Gambetta de Saïgon aurait été, selon la documentation recueillie par l'arrière petite-fille de l'artiste, Marie- Hélène Falguière, plus petit que celui de Cahors: 3,826 tonnes contre 5,302. 

Le monument est érigé très peu après la mort accidentelle de Gambetta, le 31 décembre 1882, en faisant appel à une souscription nationale. Les statues d'Alexandre Falguière (1831-1900), fondues en bronze grâce à une subvention de l'Etat, sont placées sur un piédestal de l'architecte Paul Pujol. L'inauguration a lieu le 14 avril 1884. Le trophée et les deux statues du fusilier marin et du fantassin ont été envoyées à la fonte en 1943. 

Des statues réalisées par Alexandre Falguière, il ne reste aujourd'hui que celle du tribun exhortant les Français à la lutte pendant la guerre de 1870-1871.

L'ASTROLABE Mission TAAF 2025 Patrouille ZEE Equipage B V 11260 Kerguelen ïles australes Râmine de brest

L'ASTROLABE  Mission TAAF 2025 Patrouille ZEE Equipage B V 11260 

Je pille allègrement les pages facebook de Râmine, qu'il en soit remercié. N'hésitez pas allez lui rendre visite.

Du 5 au 8 mai 2025, le patrouilleur polaire « L’Astrolabe » fera escale dans le port de Maputo dans le cadre de sa mission de surveillance des zones économiques exclusives françaises dans le canal du Mozambique.

"Sur demande de l'équipage et avant mon embarquement j'ai travaillé sur un projet d'illustration pour le traditionnel teeshirt de la mission TAAF 2025. J'ai fait les dessins et quelques prototypes imprimés à Brest. Une fois à bord et avec l'équipage, nous avons validé le projet et commandé la fabrication des teeshirts à la Réunion.

Selon votre engouement, je vais peut-être faire un tirage de teeshirts supplémentaires au profit de l'ADOSM: Entraide Marine-Adosm. dites moi si ça vous intéresse?

C'est mon deuxième teeshirt de mission après celui de la Mission-Passion 2017 à Tahiti." Râmine

Arrivé à La Réunion mercredi dernier, l’Astrolabe devrait repartir vers les îles Kerguelen en juillet prochain. Le navire brise-glace, construit en partenariat avec l’Institut Polaire Français, poursuivra ses missions de patrouilleur et de ravitailleur pour les Terres Australes et Antarctiques Françaises.  

Au Port Jeanne d'Arc, nous avons laissé nos camarades hivernants à bord de leur chaland Aventure III et nous avons appareillé vers l'Ouest et le Nord de l'archipel. 

Dans la baie des Baleines nous avons réalisé un exercice "Homme à la Mer" où Oscar le mannequin dévoué s'est jeté à l'eau. 

Tout autour de nous, on observe des jets de respirations des troupeaux de baleines qui replongent rapidement. 

Le paysage est majestueux et dans un de ces fjords devant nous se trouve le Port Couvreux une autre ancienne base des activités des frères Bossière. Du haut des falaises, les petites cascades tentent de se jeter à la mer mais c'est sans compter sur l'esprit facétieux du vent qui les poussent vers le ciel.

Des damiers du Cap, des pétrels et des Albatros nous survolent. Nous apercevons maintenant la pointe de l’Arche. C'est un endroit mythique depuis la découverte de l'Archipel en 1772. Yves de Kerguelen l'avait appelé la Pointe de la Table et c'est James Cook qui a appelé cet endroit la Pointe de l'Arche. Les piliers de l’arche sont des formations basaltiques, lessivées par les éléments hautes de 103m et très connue dans l’imaginaire des passionnés des terres Australes. Parait-il que la plateforme reliant les deux piliers se soit effondrée entre 1908 et 1913. 

De l’autre côté de cette baie de l'Oiseau il y a le Cap d'Estaing. 

Désormais nous prenons la direction de la Réunion et la grenouille, la spécialiste météo de la mission nous promet quelques jours de gros temps avec des vagues atteignant 9m. 

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