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04 juin 2025

Hyères 2025 Base d"Aéronautique Navale 100 Ans 1925 Marcophilie navale souvenirs Var Marine nationale

Hyères 2025 Base d'Aéronautique Navale 100 Ans 1925 


La Marcophilie navale representée par Paul et Jean-Marc était présente dans un hangar de la BAN de Hyères au milieu des flottilles. La presse parle de 40000 visiteurs... Un énorme succès.

Le 1er février 1925, la base militaire est officiellement créée et s'appelle Centre d'Aviation Maritime du Palyvestre. Durant cette année, sont stationnés les Gourdou-Leseurres et Dewoitine 300 qui constituent le groupe aérien du Béarn. Ces appareils ont effectué les premiers appontages simulés sur piste (ASSP) de l'histoire de l'aéronautique navale. 



Pour le centenaire de la création de la base l’événement se tenait sur le vaste site de 270 hectares . L'occasion d'une immersion spectaculaire dans l’univers de l’aéronautique militaire et civile.

Dès l’ouverture des portes, les visiteurs ont profité d'une exposition statique d’aéronefs, des stands du village exposants, et de l’ambiance musicale assurée notamment par la Musique de la Marine nationale. 




« Au fil des décennies, la base d’aéronautique navale d’Hyères a vu grandir des générations de pilotes, de personnels navigants et de techniciens dévoués, contribuant ainsi au succès en opérations et à la renommée de l’aéronautique navale. Son Centenaire souligne non seulement les réalisations passées, mais également son engagement vers l’avenir, alors qu’elle continue de relever les défis du monde actuel. Cet événement est l’occasion de célébrer Hyères, ainsi que les hommes et les femmes qui ont servi avec honneur et dévouement tout au long de son histoire centenaire.

Comme vous le constaterez au cours de cette exceptionnelle journée : nous qualifions, entraînons, préparons et soutenons ici, les détachements d’hélicoptères qui interviennent depuis les bâtiments de combat de la Marine, sur toutes les mers du Monde  », explique le commandant.

Il ajoute : « Nous tenons également des alertes pour le secours maritime 24 heures sur 24, qui représentent, chaque année près de 500 sorties sur alerte et 300 vies sauvées. Nous accueillons les aéronefs de patrouille et surveillance maritime, qui assurent notre défense en surface comme en profondeur et nous nous tenons prêts à agir, face à une menace terroriste en mer. La base d’aéronautique navale est aussi le terrain de dégagement des aéronefs du groupe aérien embarqué.


Vous découvrirez lors de cette journée la richesse et la diversité d’emploi de nos aéronefs et pourrez observer la présentation de nombreux appareils d’autres armées et administrations, ainsi que de plusieurs nations alliées ».

« L’activité aéronautique civile est également un élément important de notre mission, puisque nous sommes en charge de la partie aéronautique de l’exploitation des aérodromes civils de Toulon-Hyères et de Cuers-Pierrefeu. 

Nous avons ainsi la capacité de recruter localement et nous constituons un pôle économique majeur, bien ancré dans la région, le département, et les communes.

capitaine de vaisseau Paul Zanassi.

Au programme

Toujours très populaire, la Patrouille de France a été chaleureusement applaudie par les dizaines de milliers de personnes massées sur le site de la base aéronautique navale (BAN). Les huit Alpha jets ont assuré une vingtaine de minutes de spectacle de haut vol, présentant à Hyères, pour la première fois, leur tout nouveau meeting tricolore, répété tout l’hiver. De quoi faire briller les yeux des dizaines de milliers de personnes rassemblées sur la base, comme ceux de la population massée sur divers sites d’observation, depuis la ville ou la plage. Une chaude journée, qui restera ancrée dans la mémoire locale.


  •  Exposition statique d’aéronefs (Marine nationale, armée de l’Air et de l’Espace, armée de Terre, sécurité civile…)
  •  Présence du Bagad de Lann-Bihoué et de la Musique de la Marine nationale
  •  Tirages au sort pour des sessions de simulateur de vol en hélicoptère
  •  Gagnez la montre commémorative des 100 ans de la BAN de Hyères
  •  Foodtrucks & village exposants

 Démonstrations aériennes commentées dès 13h30 avec




  • La Patrouille de France 

  • Le Rafale Marine, E-2C Hawkeye, Atlantique 2, 


  • Tigre + Caïman Terre et bien d’autres
  • Warbirds mythiques : Corsair, Spitfire, Dakota, Skyraider…
  • Présentations historiques avec Zephyr, Alizé, Noratlas…



























Merci à Paul et Jean-Marc

Sources 
Marine nationale
Var-Matin
ICI


22 mai 2025

Meeting aérien - 100 ans de la BAN de Hyères VAR aéronautique navale aéro BAN 1er juin 2025

Meeting aérien - 100 ans de la BAN de Hyères



Implantée au cœur de la région varoise, la base d’aéronautique navale (BAN) d’Hyères est la seule base de l'Aéronautique navale située dans le sud de la France.
Pilier fondamental de notre dispositif de défense, elle accueille 3 flottilles d'hélicoptères : la 31F (Caïman Marine), la 35F (Dauphin) et la 36F (Panther), un détachement de la Flottille 32F (H160), le Centre d’Expertise Hélicoptères (CENTEX HELICO), l’École du personnel de pont d’envol (EPPE) ainsi
que le Centre d'Expérimentations Pratiques et de réception de l'Aéronautique navale (CEPA/10S).


Active 24h/365j, elle est le pivot des opérations aéromaritimes de la région et point d'appui pour les dispositifs interarmées.
S'étendant sur 270 hectares, la base abrite une communauté dynamique de plus de 1600 personnes dont 300 civils, ce qui en fait donc un acteur majeur de l'économie et de l'activité locale.
1er aéroport mixte de France avec plus 24 000 mouvements en moyenne par an, reflétant l'importance stratégique de cet emplacement, elle assure aussi le soutien de la plateforme militaire de Cuers-Pierrefeu, et du Centre de coordination et de contrôle marine de la Méditerrannée (CCMAR MED).
De plus, elle accueille un nombre significatif de voyageurs, avec pas moins de 350 000 passagers transitant par ses installations, renforçant ainsi son rôle central dans les déplacements aériens de la région.

Au programme


  •  Exposition statique d’aéronefs (Marine nationale, armée de l’Air et de l’Espace, armée de Terre, sécurité civile…)
  •  Présence du Bagad de Lann-Bihoué et de la Musique de la Marine nationale
  •  Tirages au sort pour des sessions de simulateur de vol en hélicoptère
  •  Gagnez la montre commémorative des 100 ans de la BAN de Hyères
  •  Foodtrucks & village exposants

 Démonstrations aériennes commentées dès 13h30 avec

  • B.A.N. HYERES 1985

    La Patrouille de France 
  • Le Rafale Marine, E-2C Hawkeye, Atlantique 2, Tigre + Caïman Terre et bien d’autres
  • Warbirds mythiques : Corsair, Spitfire, Dakota, Skyraider…
  • Présentations historiques avec Zephyr, Alizé, Noratlas…

 Infos pratiques

 Ouverture des portes : 10h | Début des présentations : 13h30 | Fin du meeting : 18h30

 Parking et navettes gratuits - Restauration sur place – repas tiré du panier autorisé

 Tous les bénéfices seront reversés à des œuvres caritatives pour les familles de militaires

 Partagez et invitez vos amis pour une journée de spectacle aérien unique

Le meeting aérien de la base d'aéronautique navale de Hyères vous donne rendez-vous pour une journée inoubliable entre histoire et modernité.


https://www.hyeres2025.fr/index.php/plateau-aerien/




Stands d’associations et de partenaires de l’Aéronautique navale

Bureau temporaire de poste avec une oblitération officielle, dédiée à la manifestation

Aéromodélisme et expositions photographiques

Vente de souvenirs exclusifs de la manifestation

Foodtrucks & rafraichissements disponibles sur site - Repas tiré du panier autorisé


MESURES DE SÉCURITÉ:

Afin d’éviter tout désagrément, nous avons établi une liste des objets qu’il est recommandé de ne pas apporter avec vous. Si les règles ci-dessous ne sont pas respectées, nous serons contraints de refuser votre accès à l’événement. Tout objet interdit dissimulé et découvert lors du contrôle de sécurité entraînera une exclusion définitive du meeting aérien sans remboursement possible de votre billet d’entrée.



18 décembre 2024

Michel Barré TAAF et Marine nationale en Antarctique Barré Imbert Douguet Port-Martin

TAAF et Marine nationale Michel Barré et les autres

Les expéditions polaires doivent beaucoup à la Marine nationale. 


Charcot aurait souhaité faire l'Ecole navale mais son père lui impose d'être médecin... C'est grâce à la fortune familiale qu'il va pouvoir naviguer en s'achetant des voiliers.

À l’origine, Charcot projette de poursuivre sa découverte de l’océan Glacial Arctique. Mais depuis un congrès de géographie tenu en 1899 à Berlin, plusieurs pays coordonnent leurs moyens pour explorer l’Antarctique. Comme les autorités françaises ne se manifestent pas, Charcot propose de faire flotter le pavillon tricolore dans l’hémisphère austral. 
En 1902, il est réserviste de la Marine nationale, il a fait son service militaire dans les chasseurs alpins.



Mais un problème apparaît : la construction du Pourquoi-Pas ? a épuisé la fortune personnelle de son propriétaire qui ne dispose plus des moyens financiers suffisants pour monter une expédition scientifique. Le journal Le Matin lance alors une souscription qui déclenche une multitude de petits dons. Ajoutées à un apport du journal, une subvention de la Chambre, l’assistance de la Marine... ces modestes contributions équilibrent le budget. En remerciement, Charcot rebaptise son navire le Français.

De 1914 à 1918, durant la guerre, Charcot est d'abord mobilisé dans la Marine, avec le grade de médecin de la Marine de première classe, et affecté à l'hôpital maritime de Cherbourg. En juillet 1915, il obtient de l'Amirauté britannique le commandement d'un navire spécialement étudié et construit par les Britanniques pour la chasse aux sous-marins. En 1916, il réussit à convaincre la marine militaire française de construire à Nantes trois bateaux pièges pour la lutte anti-sous-marine, armés par des équipages vêtus comme des marins civils de la marine marchande. Commandant du premier des trois bâtiments sortis du chantier baptisé Meg, il bourlingue pendant deux ans au large des côtes bretonnes et normandes sans hélas rencontrer de sous-marin allemand. Charcot termine la guerre avec les croix de guerre britannique puis française et une citation à l'ordre de l'Armée pour ses services de guerre.
À partir de 1925, atteint par la limite d'âge, il ne peut plus commander le Pourquoi Pas ? — qui est commandé par l'officier de première classe des équipages Le Conniat.

Le Commandant Charcot

Michel Barré est né le 8 mai 1919 à PARIS XVIe  -  Il décédera le 21 octobre 2005 à Neuilly sur Seine

Il entre à l'école navale Entré en 1938

Il est enseigne de vaisseau de 2ème classe, le 15 janvier 1940 et enseigne de vaisseau de 1ère classe, le 15 juin 1941

Lieutenant de vaisseau, le 4 octobre 1946


Il y a près de 50 ans déjà! Novembre 1948, le navire polaire Commandant Charcot, armé par la Marine Nationale sous les ordres du capitaine de frégate Douguet appareillait pour le premier retour de la France en Terre Adélie. Il avait à son bord une expédition dirigée par AndréFrank Liotard qui allait passer un an pour la première fois sur cette terre glacée dont on ignorait alors totalement les conditions hivernales. Ces deux noms, à peine connus aujourd'hui sont pourtant ceux des deux véritables pionniers français de l'Antarctique après l'explorateur Charcot.

 


J'ai eu la chance d'être un des officiers de marine de l'état-major du commandant Douguet pendant deux ans, puis d'être le successeur de Liotard en 1951 et je voudrais, à l'occasion de la réédition de ce livre, rappeler brièvement la genèse de cette aventure. L'idée d'origine appartenait à trois jeunes camarades: Vallette, Pommier et Martin qui, rentrant en 1946 d'une exploration dans les montagnes du Spitzberg, eurent l'idée de monter une expédition en Terre Adélie, découverte par Dumont d'Urville cent ans plus tôt et abandonnée depuis. Manquant des moyens et relations nécessaires, ils firent appel à l'aide de Paul-Emile Victor, dont la notoriété était déjà grande en raison de son passé polaire au Groenland.

C'est grâce à son intervention, qui conduisit à la création des « Expéditions Polaires Françaises-Missions Paul-Émile Victor », que put être montée la série de trois expéditions qui s'étendit de 1948 à 1952, et auxquelles il ne participa pas. 

C'est seulement en été 1955-1956 qu'il vint en Terre Adélie pour la première fois, avec Bertrand Imbert (Ingénieur hydrographe il suit les cours de l'Ecole navale sur l'Amiens) , responsable des expéditions de l'Année géophysique. Victor ne devait d'ailleurs jamais hiverner dans l'Antarctique, mais y venir chaque été, et son action devait permettre d'assurer année après année la présence française en Terre Adélie jusqu'à nos jours. Dans son livre Ceux de Port Martin, Yves Vallette, qui fut le second de Liotard, disparu aujourd'hui, a raconté plus en détail l'origine de cette histoire et a fait le récit de l'hivernage 1950, qui fut le premier. 



Le présent livre raconte l'hivernage suivant, celui de mon équipe en 1951. Ces deux expéditions et la dernière de la série, celle de 1952, dirigée par Mario Marret, connurent des conditions d'existence qui n'ont plus grand-chose à voir avec celles d'aujourd'hui. Comme me le disait un de nos lointains successeurs: « Vos expéditions étaient beaucoup plus proches de celles de Scott, Amundsen ou Byrd que des nôtres ». - Pas de communications avec l'extérieur autrement que par radio, sur ondes courtes avec les fréquentes coupures provoquées par les orages magnétiques et pratiquement toujours en morse au manipulateur. - Aucune possibilité d'assistance extérieure pendant neuf mois; pas de brise-glaces, de porte-hélicoptères à portée; pas de terrain d'atterrissage. - Aucune localisation possible des raids d'exploration, avec chiens ou véhicules à chenilles, pendant des absences de plusieurs semaines. Pas d'appui aérien, pas de parachutages, pas de secours possibles.



— Baraquements en bois sommairement chauffés par un unique poêle à charbon; lavabos, W.-C... n'en parlons pas! Évidemment la vie était plutôt rude et nous avons connu des aventures dont certaines ont peu de chances de se reproduire : Raids des weasels perdus sur glace de mer pourrie, fouillant l'obscurité de l'hiver du pinceau de leurs phares; raids des chiens et des traîneaux sur les sastrugis du plateau et les ponts de neige des crevasses; opérations chirurgicales graves sur la table de baraque... sans parler des camarades égarés dans le blizzard, ou tombés de la falaise, des gelures, des intoxications à l'oxyde de carbone, etc. 


Ces aventures sont restées pour mes seize camarades et moi un souvenirtoujours présent dans nos mémoires. Elles ont soudé une équipe qui s'est ponctuellement retrouvée chaque année depuis notre retour avec la même joie. Cinq nous ont déjà quittés, tous les autres seront là, en septembre prochain, pour la quarante-deuxième fois. Depuislors, les expéditions, montées par les Expéditions Polaires, puis par l'Institut Polaire se sont succédé ponc- tuellement, sous l'égide des T.A.A.F. (Territoires Australs et Antarctiques Français). Développant les moyens scientifiques et les installations matérielles, nos successeurs connaissent un confort et une efficacité dans leurs études dont nous ne pouvions bénéficier. Cela ne doit pas finalement faire disparaître le sentiment proche de la fascination que l'Antarctique exerce sur tous ceux qui ont le bonheur de l'approcher.



Blizzard : Terre Adélie 1951 / Michel Barré

BnF Gallica

Ecole navale 

TAAF


01 octobre 2024

L'Astrolabe Crozet TAAF 10 mai 2024 Marine nationale

L'Astrolabe Crozet 


Dans le cadre de ses missions de souveraineté et de surveillance des pêches dans les eaux des TAAF, le patrouilleur polaire P 800 « Astrolabe », patrouille sous les latitudes australes.

Le 10 mai dernier, sortant de la brume, il nous a fait l’honneur d’un arrêt sur l’archipel de Crozet, bien que trop court en raison des conditions climatiques défavorables de la matinée.


Les TAAF ont lancé en 2023 une série de blocs destinée à faire découvrir les fonds marins à des profondeurs différentes. Dans la continuité du bloc émis en 2023, ce bloc concerne un fond observé à environ 200 mètre en terre Adélie. Les premiers organismes marins qui recolonisent les fonds marins vaseux labourés par les icebergs qui se détachent du continent antarctique sont souvent des ascidies pédonculées. Ces organismes filtreurs ont l’aspect de hautes flutes de cristal et forment des paysages sous-marins spectaculaires et exceptionnels sur le plan esthétique. Elles peuvent servir de perchoir à d’autres organismes plus petits. Une autre espèce abondante et fréquemment observée à cette profondeur est le poisson Trematomus eulepidotus.

19 juillet 2024

BSAM GARONNE fêtes maritimes 2024 Brest Marine nationale action état en mer CMT ANDROMEDE

BSAM GARONNE fêtes maritimes 2024 Brest Marine nationale 


Après huit ans d'absence, les Fêtes maritimes de Brest sont de retour du 12 au 17 juillet 2024. Près d'un millier de bateaux seront présents dans le port de la Cité du Ponant.


Le BSAM Garonne

Long de 70 mètres, le BSAM Garonne a été construit en 2017-2018. Il s'agit d'un bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain principalement dédié aux opérations de secours maritimes et de préservation de l’environnement marin.



CMT ANDROMEDE
Au programme :

✅ Visites de bâtiments : le bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain (BSAM) Garonne, le chasseur de mines tripartite (CMT) Andromède, les goélettes Belle Poule et Étoile, ainsi que les voiliers Mutin, Grande Hermine et Feu Follet. La frégate multi-missions (FREMM) Normandie sera visible depuis les quais, mais non visitable.


✅ Village dédié à l’Action de l’État en Mer, avec la participation de la Préfecture maritime de l’Atlantique, du Centre d’expertises pratiques de lutte antipollution (CEPPOL), de la Formation opérationnelle de surveillance et d’information territoriale (FOSIT), des Flottilles 24F et 32F, du service national d’hydrographique et d’océanographique et de la Gendarmerie maritime.



17 juillet 2024

BREST 2024 Fêtes Maritimes Goélette Etoile - Côtre Mutin Goélette Etoile Marine nationale Marcophilie navale double oblitération

BREST 2024 Fêtes Maritimes Côtre Mutin Goélette Etoile

Commençons par ce qui fâche ...

Encore des doubles oblitérations 


Cette année à Brest :

  • Pas de bureau de poste dans l'enceinte des fêtes maritimes,
  • Pas de timbre à date,
  • Pas d'étiquette LISA,
  • Des prix de stands prohibitifs pour les associations telles que la Marcophilie navale,
  • Des prix d'entrée élevés....
  • Rentabilité et commerce...



Avant d’être organisées à Brest, les premières fêtes trouvent leurs origines dans le fond de la rade. Tout commence en 1980, à Pors Beac’h, une anse paisible sur la rivière de Daoulas. Quelques amoureux des vieux gréements donnent un nouveau souffle à une petite flotte de voiliers traditionnels et se retrouvent l’été pour fêter joyeusement ces témoins de la culture maritime.

1982, puis 1984 : le rassemblement devient un rendez-vous incontournable avec plus de 10 000 visiteurs et attire toujours plus de bateaux. Deux ans plus tard, 400 voiliers se donnent rendez-vous et mettent le cap sur Douarnenez qui organisera en 1986 puis en 1988, une grande fête maritime et culturelle, la première de cette ampleur en France.



C’est alors que la revue Chasse-Marée lance le concours des « Bateaux des côtes de France ». Nous sommes à l’aube d’un événement exceptionnel, d’un phénomène unique. Plus de 100 unités du patrimoine maritime sont reconstruites ou restaurées par des chantiers navals.



Lors des fêtes, le ministère des Armées mobilisera plus de 1000 représentants pour informer le public sur leurs métiers et missions à travers quatre sites. Trois de ces sites mettront en avant l'engagement militaire de la Marine nationale, le soutien opérationnel de ses services, et les capacités en développement. Un village sera spécifiquement dédié à l’action de l’État en Mer, avec la participation de la préfecture maritime de l'Atlantique, du CEPPOL, de la FOSIT, des Flottilles 24F et 32F, du SHOM et de la Gendarmerie maritime.


Des navires comme le BSAM Garonne, le CMT Andromède, les goélettes Belle Poule et Étoile, ainsi que les voiliers Mutin, Grande Hermine et Feu Follet seront ouverts aux visites. La FREMM Normandie sera visible depuis les quais mais non visitable. Des démonstrations aériennes auront lieu du 14 au 17 juillet avec le soutien des hélicoptères de la base de Lanvéoc. Les mouvements de l’Abeille Bourbon et de la Normandie sont également inclus dans la programmation.


L'événement mettra un accent particulier sur les échanges avec le public, avec deux scènes dédiées aux témoignages et animations musicales. La première, située près du poste 5 en rive gauche de la Penfeld, offrira des témoignages sur divers sujets maritimes et des prestations musicales du bagad de Lann Bihoué et de la musique de la Marine. La seconde scène, au village « Sauvetage et actions de l’État en mer » sur la rive droite, proposera également des témoignages et animations musicales.




Le 14 juillet sera le point culminant des festivités avec des défilés sur le cour Dajot et dans l’espace des fêtes maritimes, des démonstrations aériennes avec le retour des aéronefs du défilé parisien, et une parade nautique avec les goélettes et voiliers de la Marine nationale.

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