Jeanne d'Arc GEAOM 2005 2006
Jusqu'à New-York
les bords sont vides
Le chef d'Etat-major des armées lors du départ
les quais malgré la diminution des unités semblent pleins.
je ne résiste donc pas à vous raconter la campagne 2005 2006 de la Jeanne en enveloppes et en photos.
carte de la mission avec timbre personnalisé les Durand (Tramp P Jusseaume J Ch Kraehn)
j'en profiterai de l'occasion pour rendre un hommage appuyé au MP Roland Briantais et au SM Christian Valverde pour leurs photos
Qu'ils postulent comme Peintre de la Marine, ils en ont le talent
et puis un coucou à Christian Cailleaux qui a vécu sur le bord lors de cette mission pour prendre quelques notes avant l'écriture de R97
Les enveloppes accompagneront leurs photos et dessins
Bonne découverte
22S dans l'hélico
"Jeanne d'Arc toute feu toute flamme" je sais le jeu de mots est facile mais j'ai dû bûcher pour le trouver!
1er jour de la mise en service de la flamme à l'agence postale
soleil couchant
La Jeanne à poste à New-York
Rassurez-vous, il n'est pas question de tester le décollage du Concorde depuis la plate forme avia de la "Jeanne"
Échelles de coupée? échappées? l'architecture des immeubles new-yorkais... certainement inspirée des architectes de marine
et Rosie the riveter
Rosie the Riveter ou Rosie la Riveteuse est une image célèbre et une icône populaire de la culture américaine, symbolisant les six millions de femmes américaines qui travaillèrent dans l'industrie et qui produisirent le matériel de guerre durant la Seconde Guerre mondiale, alors que les hommes étaient partis au front. Le personnage de l'affiche est devenu par la suite à la fois une icône féministe aux États-Unis, et un symbole du poids économique naissant de la femme
Lors de la Seconde Guerre mondiale, une campagne de presse fut lancée pour convaincre la population que les femmes pouvaient riveter, souder ou construire des bâtiments militaires au lieu de rester travailler chez elles ou dans les secteurs habituels tels que l'industrie textile. L'affiche la plus célèbre fut « Rosie the Riveter », de 1943, de J. Howard Miller, en français « Rosie la Riveteuse », symbole de force et de féminité, à tel point qu'on appela « les Rosies » celles qui allèrent travailler dans les usines. Mais, si 80 % des Rosies voulaient continuer à exercer ces métiers, elles furent encouragées, au retour des hommes, à laisser leur place aux soldats démobilisés ou furent orientées vers des travaux non spécialisés
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Renouvellement de matériel pour les guetteurs de la passerelle
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