20 décembre 2022

DEYR KITA Liban FINUL V SPID A 422 Nations-Unies

 DEYR KITA Liban FINUL

La mission de la FINUL : Contrôler la cessation des hostilités et assurer un accès humanitaire aux populations civiles




À l’origine, la FINUL a été établie en mars 1978 par le Conseil de sécurité pour confirmer le retrait des troupes israéliennes du sud du Liban, rétablir la paix et la sécurité internationales et aider le Gouvernement libanais à rétablir son autorité effective dans la région. Le mandat de la mission a été ajusté deux fois en raison des développements intervenus en 1982 et en 2000.
 

Après la crise de juillet/août 2006, le Conseil a décidé que la Force devra, en sus de l’exécution de son mandat d’origine, contrôler la cessation des hostilités, accompagner et appuyer les forces armées libanaises à mesure de leur déploiement dans tout le Sud et fournir son assistance pour aider à assurer un accès humanitaire aux populations civiles et le retour volontaire des personnes déplacées dans des conditions de sécurité.

ancien TàD AP SPID 422 SODEXO La Poste


A noter que le terme SODEXO a disparu du timbre à date ainsi que le AP de l'agence postale.


En revanche apparait le V du vaguemestre et le A de la 1ère agence au Liban


Nouveau TàD V SPID A422


Merci à Romu

19 décembre 2022

Sous-Marin Farfadet Bizerte Tunisie naufrage juillet 1905

Sous-Marin Farfadet Bizerte Tunisie naufrage

Quatre sous-marins sont construits, suivant des plans de Gabriel Maugas. Ils sont commandés en 1899, et leur construction s'achève pour les premiers en 1901.

La classe Farfadet posant de gros problèmes de sécurité lié au fait qu'il fallait laisser le capot ouvert tandis que les ballasts étaient remplis d'eau pour permettre à l'air de s'échapper, ils sont abandonnés en 1906 pour les premiers et en 1913 pour le Farfadet rebaptisé le Follet.



Dernière Edition

dans la rade de Bizerte

Le «Farfadet"— Une plongée funeste.— Deux officiers et treize marins en danger de mort. — Les opérations de sauvetage:— Le sous-marin serait renfloué.

Une grave nouvelle est parvenue, hier, à Paris. , ' ... Une dépêche du correspondant de l'Agence Havas à Ferryville (Tunisie), annonçait qu'un sous-marin français venait de couler à pic dans le lac de Bizerte, entraînant avec lui, au fond de la mer, treize hommes de son équipage.


du reste les télégrammes de l'Agence Havas :
Ferryville, 6. Juillet. Un sous-marin a coulé avec treize hommes. Ferryville, 6 Juillet. Le commandant et deux hommes du sous-marin coulé ont été, au moment de l'accident, projetés en l'air. Treize marins sont dans le sous-marin qui est ensablé au fond du lac de Bizerte. Les scaphandriers disent que du bateau coulé on répond à leurs appels.





 La classe Farfadet est une classe de sous-marins de la marine française lancée en 1901.

Les sous-marins de cette série, "Farfadet", "Korrigan", "Gnome" et "Lutin", possédaient une coque unique en acier. Long de 41,35m avec un tirant d’eau de 2,68m, leur déplacement était de 185 tonnes en surface et 202,5 tonnes en plongée.

Ils étaient les premiers à disposer de cloisons étanches et d'une hélice à pales orientables ne nécessitant pas d'inverser le sens de rotation du moteur électrique.



Leur conception, qui sera abandonné sur les séries suivantes, rendait très délicate la prise des dispositions pour plonger :

- les ballasts et leurs purges étaient à l'intérieur de la coque épaisse, ce qui imposait de ne fermer le panneau supérieur du kiosque ballasts pleins, donc bâtiment déjà presque entièrement immergé et en phase de descente,

- le panneau supérieur du kiosque n'était pas basculant mais coulissant, la moindre gêne à la fermeture lors de la prise de plongée augmentait le risque d’entrée d’eau.

Chaque prise de plongée était donc un moment de grande tension, sachant qu'il fallait attendre que le panneau central soit immergé pour fermer le panneau supérieur.

En 1905 le sous-marin "Farfadet" est basé à Bizerte en Tunisie. Il est commandé par le lieutenant de vaisseau Cyprien Ratier.


Le 6 juillet 1905. Le "Farfadet" appareille de la darse de Sidi-Abdallah pour effectuer, dans le lac de Bizerte, une sortie d'exercice. Lors de la prise plongée, brusquement l'avant s'enfonce. Le second maître Troadec et le quartier-maître Lejean se précipitent pour fermer le capot avant resté ouvert, puis rejoignent le Commandant dans le kiosque en essayant de refermer le capot supérieur de ce dernier derrière eux.


L'air, surgissant de l'intérieur du sous-marin, pousse les trois hommes et le capot qui n'avait pu être fermé à temps à l'extérieur du sous-marin. Ce dernier pique du nez dans la vase par dix mètres de fond et disparait de la surface de l’eau.


Treize hommes restent enfermés dans la partie arrière et répondent aux coups des scaphandriers qui, travaillent à dégager l'avant. Tous les moyens de secours, ont été envoyés sur les lieux.

Bizerte, 6. Juillet, 6 h. 45 soir. Le sauvetage continue sans avoir, encore donné de résultats


un premier monument en mémoire des victimes
est érigé dans le cimetière de Ferryville.
En parallèle, une souscription nationale est lancée
Début 1909, une sculpture de bronze de 5 m
de haut et de 9 tonnes est inaugurée
à proximité de l’arsenal.
Créée par Emile Gaudissard 
elle figure une allégorie de la Gloire
soutenant un soldat au-dessus
d’un sous-marin ceinturé des chaînes de sauvetages.


D'autre part, l'Agence Havas a reçu dans la soirée, le nouveau télégramme suivant :


Le Petit Parisien 23-07-1905


6 Juillet, 9 h. soir. . L'amiral Aubert, venu de Tunis par train spécial, et le chef d'état-major Vérot, dirigent le sauvetage. C'est au moment où le Farfadet effectuait ce matin, une plongée à 800 mètres de l'arsenal de Sidi-Abdallah, que le hublot supérieur, fermant automatiquement, ne fonctionna pas, et, l'eau entrant violemment, le commandant Ratier fut projeté dehors avec trois matelots. 

Le second est à l'intérieur avec le reste de l'équipage, et les scaphandriers qui essaient d'explorer le-sous-marin, continuent à entendre du bruit venant de l'intérieur; Deux grues à vapeur travaillent au renflouement.


L'Ouest-Eclair 09 juillet 1905


L'accident du « Farfadet » En route pour Bizerte

Marseille, 8 juillet. -M. Thomson, ministre de la marine, accompagné de son chef de cabinet, est arrivé ce matin à quatre heures et demie, par le rapide de Paris. Il a été reçu à la gare par les autorités maritimes. Il s'est rendu à la préfecture. Il s'est embarqué à dix heures et demie sur une chaloupe à vapeur qui l'a conduit au « Desaix mouillé à l'entrée du port. Le croiseur a appareillé à onze heures pour Bizerte. Il marchera à l'allure de 24 nœuds, de façon à arriver à Bizerte demain à midi.



Le renflouement du sous marin Bizerte, 8 juillet. Le vapeur sauveteur "Berger Wilhem" arrivé cette nuit de Bône a pu renflouer le « Farfadet qui a été remorqué dans l'arsenal par l'«Audas» et le «Cyclope». Malheureusement l'équipage englouti avec, le bâtiment a péri.


Voici les noms des victimes

Enseigne Robin,

les hommes d'équipage Molène, Reuffet, Simon, Boujard, Robin, Moulin, Cheval, Sausse et Rolland.

Plusieurs sont mariés et pères de famille. Le désespoir des femmes et des enfants fait peine à voir.

Les autorités refusent de donner aucun renseignement.

Les marins sauvés sont le commandant Ratier, le 2e maître patron Le Troadec et le quartier-maître Lejean.

Comment l'accident n'est produit


Bizerte, 8 juillet. 

Il faut attendre pour connaître exactement les causes de ce malheur, les conclusions de l'enquête officielle, mais il paraît que l'accident s'est produit dans les conditions suivantes: Le commandant du « Farfadet" aurait donné l'ordre de faire la plongée par l'arrière ce qui constitue une manœuvre délicate et périlleuse, du moins jugée telle par les sous-officiers et quartiers-maîtres, dont un aurait dit, il y a quelques jours, en parlant de cette manoeuvre: « Ca finira mal nous y laisserons notre peau. » 

Une cérémonie d’obsèques est organisée le 18 juillet à Bizerte. Dix jours plus tard, les cercueils sont rapatriés en France sur le paquebot « Ville-de-Naples ». A leur arrivée à Marseille, une nouvelle cérémonie est organisée. De là, les cercueils des quatorze marins partent en train vers leurs villes d’origine. 


Le sous-marin Farfadet opérait donc une plongée par la pointe arrière, lorsque, le couvercle du capot n'ayant pas fonctionné, l'eau se précipita dans le compartiment où se tiennent le commandant, le quartier-maître et le timonier de service, qui furent chassés avec violence par le déplacement d'air causé par la brusque arrivée de l'eau.

A ce moment, l'enseigne Robin était avec dix quartiers-maîtres et sous-officiers dans le compartiment arrière, où la place est excessivement restreinte. Ils sont donc obligés de rester assis, sans faire de mouvement brusque.


La pénétration de l'eau dans le compartiment central eut pour effet de faire basculer le bateau, dont l'arrière se redressa et dont la pointe avant piqua dans ta vase. C'est précisément cette disposition qui rendit difficiles et interminables les opérations du sauvetage, malgré tout le zèle déployé et l'ingéniosité montrée par les officiers qui dirigeaient les travaux, le sous-marin ayant l'avant dans la vase, une inclinaison de 450, dit-on. 

Dans ces conditions, les saisines c'est-à-dire les cordes de filin ou d'acier passées autour de la coque, n'avaient pas de prise, et glissaient sans se fixer. Et on l'a vu, le malheur a voulu que quand l'une d'elles a tenu, c'est la grue soulevant le « Farfadet qui s'est rompue

J.O. 3-XII-1905



 C'est le premier accident qui arrive aux sous-marins français, alors que les Anglais ont déjà trois sous-marins au fond de l'eau, bien que leurs expériences ne datent que de quelques années. Il est vrai que nés voisins d'outre-Manche ont persisté, malgré tous les conseils qu'on leur a donnés, à n'uti.^er que des moteurs à la gazoline, ce qui est très dangereux, car les explosions sont à craindre.








Sources

Gallica BnF

Le Petit Journal 
N°766  23-7-1905  et N° 767 30-7-1905

Le Petit Parisien n° 861

L'Ouest-Eclair

Aux Marins


18 décembre 2022

Le Béarn et le Dewoitine D1 FDC Paris 3-11-2022

Le Béarn et le Dewoitine D1  FDC Paris 3-11-2022

Pour ses adhérents, à l'occasion de la sortie du timbre Chasseur Dewoitine D1, la Marcophilie navale a édité une carte postale pour ses membres.  Dessinée par Paul Roy, mise en couleur par Jean-Marc Egret, elle porte le timbre à date illustré de Paris en date du 3 novembre 2022.







Mis sur cale en tant que futur cuirassé le 5 janvier 1914 aux Forges et Chantiers de la Méditerranée à la Seyne sur mer (Var), sa construction est arrêtée le 23 juillet et la coque reste sur cale durant toute la durée de la première guerre mondiale.


Si le groupe des escadrilles du BEARN est crée le 1er septembre 1926, ce n’est pas pour autant que ce denier est prêt à entamer sa carrière de porte-avions....

Pour pouvoir effectuer des essais d’accrochage d’avions terrestres, il est procédé le 15 avril 1920 au lancement de la coque.



Suite au succès du Lieutenant de Vaisseau TESTE et de son équipe, la décision est alors prise de transformer la coque en porte-avions. Cette décision est suivie d’effets à partir de 1923 et il faut attendre le 1er septembre 1926 pour voir le BEARN armé pour essais.



En mai 1925, l'Aviation d’escadre est transférée de Saint Raphaël au Palyvestre à l’exception de l’escadrille 7B1 qui ralliera Berre en janvier 1927. Les GL 22ET1, cédés par l’Aéronautique militaire, arrivent à l’escadrille 7C3 ; ils doivent permettre à l’escadrille d’attendre la prochaine dotation en Dewoitine D1C1. 


En août, le LV Lenoir, commandant la 7C3, effectue son premier vol sur le nouveau Dewoitine D1C1; tous les pilotes de l’escadrille sont lâchés sur ce type d’avion à la fin du mois. 


En avril 1926, la 7C1 -première escadrille de chasse de la Flottille du BEARN- sous les ordres de l’Enseigne de Vaisseau JOZAN perçoit des Levy-Biche LB2 devant théoriquement remplacer les Dewoitine D1C1.

Mais les LB2 sont rapidement retirés du service et dès octobre 1928 les bons vieux Dewoitine D1C1 reprennent du service.

Les avions Dewoitine ayant armé le porte-avions Béarn



Dewoitine D.373 : 20 exemplaires commandés par l’ Aéronautique navale. 
L’armement était identique à celui des appareils de l’Armée de l'air, mais la voilure était réduite de 30 cm pour passer dans le monte-charge du porte-avions et une crosse d'appontage et un système de flottaison étaient ajoutés dans le fuselage.

Dewoitine D.376 : 25 nouveaux appareils pour l’Aéronautique navale française, avec voilure repliable. Le système de pliage des ailes ne fut jamais au point : si le pliage proprement dit pouvait s’effectuer en quelques minutes, il fallait bien une heure pour remettre les ailes en position.

Quelques tranches de vie du Béarn
















L'ACCIDENT D'AVIATION DU « BÉARN » Le corps de l'enseigne de vaisseau Roux a été transporté à l'Hôpital Maritime et déposé dans une chapelle ardente 
LES OBSÈQUES, A BREST,AURONT LIEU CE MATIN

Le débarquement du corps

Brest, le 21 juillet (de notre rédaction). Nous avons relaté les circonstances dans lesquelles l'enseigne de c vaisseau Joseph Roux, âgé de 29 ans, et fils de M. Roux, directeur d'assurances, rue de Penhoët. à Rennes, avait été tué, mercredi matin, au cours d'un accident d'aviation survenu sur le porte-avions Béarn, en baie de Douarnenez. Nous avons pu obtenir aujourd'hui quelques précisions sur ce pénible accident qui vient, encore une fois, frapper cruellement l'Etat-Major et l'équipage du Béarn.

L'enseigne de vaisseau Roux pilotait un biplan de reconnaissance monomoteur P. L. 101, dans lequel se trouvait également, en qualité d'observateur, le maître mécanicien volant Rumeau. Il participait à l'exercice d'appontage. On sait que, pour retenir les avions dans leur course, à leur atterrissage sur le pont, le Béarn est doté d'un dispositif spécial. Celui-ci consiste en des filins d'acier tendus en travers du pont er fixés à chaque extrémité à des tam- bours munis de ressorts, permettant aux filins de se détendre. Lorsque l'appareil atterrit et que les roues ont déjà touché le pont, le pilote rabat la crosse de freinage (sorte de croc dont est doté l'avion et celle-ci vient s'accrocher dans un de ces filins d'acier, ce qui lui permet de s'immobiliser plus rapidement.

L'enseigne de vaisseau Roux, dont c'était le premier exercice d'appontage sur le Béarn, se présenta debout au vent par l'arrière du porte-avions, mais dans un mauvais axe. La crosse de freinage de l'appareil ayant été rabattue avant que les roues n'aient touché le pont. l'appareil dévia encore de la ligne d'appontage. Voyant qu'il se trouvait dans de mauvaises conditions pour se poser, le pilote accéléra pour reprendre son vol et renouveler sa manoeuvre. Malheureusement, les ailes droites de l'appareil heurtèrent avec violence la cheminée du Béarn et l'avion, poursuivant sa course, tomba à la mer sur l'avant du bâtiment. L'enseigne de vaisseau Roux avait eu le crâne fracturé ainsi qu'une jambe. Quant au mécanicien, il était indemne.

On sait que malgré tous les efforts déployés pour le sauver, il ne fallut pas moins de quarante minutes pour dégager l'enseigne de vaisseau du poste de pilotage, tout l'avant de l'appareil ayant été immergé.

Le torpilleur Siroco, qui se trouvait en baie de Douarnenez, participa aux opérations de sauvetage. Dans son heurt contre la cheminée, l'avion avait eu ses ailes droites brisées.

La dépouille mortelle de l'officier fut déposée dans la chambre du lieutenant de vaisseau Vidal, à bord du Béarn, et veillée toute la nuit par ses camarades et des factionnaires. 


LE DÉBARQUEMENT DU CORPS 
Ce matin, à 10 heures, le corps, que recouvrait le pavillon tricolore, a été débarqué du porte-avion et dépose dans une vedette pour être transporté à l'h6pital maritime.

L'état-major et l'équipage étaient alignés sur le pont et un détachement de matelots en armes rendait les derniers honneurs. Au moment où le corps quitta le bord, il fut salué par une salve de trois coups de canon. A l'issue de cette si triste cérémonie, le capitaine de vaisseau Lafargue, commandant le Béarn, et les officiers de son état-major prirent place dans deux vedettes qui suivirent celle qui transportait la dépouille de l'infortuné aviateur et le cortège se rendit au quai Tourville, dans l'arsenal. En présence du commandant et des officiers du Béarn, auxquels s'étaient joint le capitaine de frégate Ziègler. chef du service d'ordre de l'arsenal. et le sous-lieutenant Mesmacre. souschef du service d'ordre la dépouille mortelle portée par quatre quartiers-maitres du Béarn fut placer dans une voiture d'ambulance du service de santé oui la transporta à l'hôpital maritime.

En présence de la famille éplorée venue de Rennes. le corps fut déposé dans une chambre Mortuaire transformée peu après en chapelle ardente. Le vice-amiral de Laborde. commandant en chef l'escadre de l'Atlantique, accompagné d'un aide de camp du médecin en chef de première classe Firguet. médecin chef de l'hôpital maritime du médecin de première classe Laporte. médecin résidant et de M. l'officier principal des équipage, Lorient est venu à 14 heures saluer les restes de l'officier auprès duquel veillait une garde d'honneur, et présenter tes condoléances à le famille. La mile en bière eut lieu à 1» heures. Les obsèques auront lieu demain vendredi à 10 heures. Le corps sera conduit ensuite à la gare de l'Etat, l'inhumation devant se faire à Rennes. Le défunt était célibataire. Il sortait de l'école de chasse d'Hyières. C'était un officier plein d'allant et un excellent pilote estimé de ses supérieurs et de ses camarades. Il jouissait, en outre, de la respectueuse sympathie de tout le personnel volant du Béarn qui avait su discerner en lui l'âme d'un chef.


Nous présentons à nouveau à sa famille nos bien sincères condoléances. Notons, en terminant, que des exercices d'appontage avaient eu lieu de r.uit la veille. sur le Béarn, sans le moindre incident.

L'enseigne de vaisseau Roux est cité à l'ordre de l'armée de mer.

Est cité à l'ordre de l'armée de mer L'enseigne de vaisseau de 1™ cl. Roux, officier d'une valeur professionnelle supérieure, d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve; a trouvé ta mort le 20 juillet 1938 dans l'accomplissement de son devoir, au cours d'une mission aérienne; réunissait 550 heures de vol.








L'Ouest-Eclair 10-07-1940


L'Ouest-Eclair 14 juillet 1940




Sources

Gallica BnF
L'Ouest-Eclair

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...