31 janvier 2019

FASM PRIMAUGUET en mer de Norvège janvier 2019

FASM PRIMAUGUET en mer de Norvège janvier 2019


un nouveau pli de la FASM Primauguet qui accomplit sa dernière mission dans les arctiques. Ce pli a transité par le SPID Roissy.



L'enveloppe porte l'empreinte du TRODAT de la frégate en date du 21 janvier 2019. Le pli a été traité au SPID Roissy le 29 janvier 2019.

https://www.lepoint.fr/video/les-exercices-militaires-a-bord-d-une-fregate-de-la-marine-nationale-10-07-2017-2142082_738.php


Marine nationale L'Astrolabe R1 départ de Dumont d'Urville 16-12-2018 Terre Adélie TAAF

L'Astrolabe Rotation R1 escale à Dumont d'Urville 9 au 16-12-2018

Arrivée à DDU le 9-12-2018

Départ de DDU le 16-12-2018


L'Astrolabe table à cartes et pavillonnerie photo JM Bergougniou


L'Astrolabe" a quitté Hobart le 03 décembre pour faire la rotation R1. 

Il est arrivé le 9 décembre à DDU et il en est parti le 12 décembre. Retour à Hobart prévu pour le 21 décembre.

L'Astrolabe photo JM Bergougniou En soute 

L'Astrolabe photo JM Bergougniou En soute 

28 janvier 2019

Transrade ARIEL Brest transport de personnel Marine nationale

Transrades Brest transport de personnel Marine nationale

Brest transport de rade Alphée 

Le 3 janvier 2002, le Télégramme écrivait : 
"En matière de transport de personnel, la Marine nationale doit faire face au vieillissement de ses transports de rade, huit bâtiments âgés de 30 ans en moyenne. Elle ne souhaite pas remplacer ses bateaux, mais sous-traiter le transport de ses personnels à une compagnie civile."


Les transrades sont peut-être les bateaux le plus éprouvés de la base navale car ils transportent quotidiennement, depuis plusieurs décennies, des milliers de personnes, d'une rive à l'autre de la rade. Actuellement, 2.300 personnes empruntent ce moyen de transport quotidiennement, au départ de Brest le matin, au retour de la presqu'île le soir. 


Transport de rade ARIEL 
Ils sont 1. 500 à travailler sur l'Ile Longue et 800 au Poulmic (base aéronavale et groupe des écoles).

Comme à Toulon

Accusant le poids des ans, ces navires sont aujourd'hui en fin de vie. «Nous disposons de huit bateaux, mais six seulement sont en ligne. On a de plus en plus de difficultés à trouver des pièces de rechange pour les entretenir», indique le CV La Marle, officier à l'Amirauté, l'un des bras droits du CA Forissier, l'adjoint territorial du VAE Gheerbrant. 


Faute de crédits, la Marine ne souhaite pas remplacer ses transrades et a donc choisi de lancer prochainement un appel d'offres en direction des compagnies civiles, qu'elles soient privées ou publiques, afin qu'elles proposent des prestations de transport (comme cela se pratique au port de Toulon). 


Les équipages des transrades militaires, une quarantaine d'hommes environ, seront réaffectés dans les unités. Les principales contraintes imposées par la Marine aux soumissionnaires sont les suivantes : être capable de transporter 2.300 à 2.400 personnes par jour ouvrable; faire plusieurs rotations matin et soir, mais aussi en milieu de journée; assurer un transport minimum pendant les jours non-ouvrables. 



«Cette activité n'aura rien d'anecdotique pour la compagnie de transport maritime retenue, reprend l'officier. Comme nous voulons un service de transport minimum les jours non-ouvrables, ce sera au contraire une activité à temps plein».

Transport de civils ?


L'idée, c'est aussi de profiter de ce nouveau système de transport pour proposer au conseil général du Finistère de participer à son financement avec, en contrepartie, la possibilité pour les civils, notamment les habitants de la presqu'île de Crozon, de profiter des liaisons vers Brest par voie maritime. 


Au nom du désenclavement de la presqu'île, le département se serait dit en effet intéressé par la proposition de la Marine. Toutefois, les modalités de son engagement financier restent à définir. Il faudra aussi négocier avec la Ville de Brest et la CCI pour l'aménagement d'aires de stationnement, au port de commerce, pour les véhicules des passagers civils qui emprunteront ces bateaux. Dans un premier temps, la Marine va de toute façon lancer l'appel d'offres sous la forme qui la concerne, espérant pouvoir retirer ses vieux bateaux à l'horizon 2003. En attendant, «Elfe», «Korrigan», «Alphée», «Faune», «Dryade», «Néréide », «Ondine» et «Naïade» devront poursuivre leurs allers-retours.




Les nouveaux transrades réalisés par les chantiers GAMELIN à La Pallice



Merci à Daniel Allançon pour les plis

FS FLOREAL à Kerguelen 6-12-2018

FS FLOREAL à Kerguelen 6-12-2018





"Et oui la FS Floréal a bien fait escale à Kerguelen le 6 décembre 2018. Escale rapide car elle appareillait dès le lendemain de Port-aux-Français."

Port aux Français Kerguelen photo Jean-Louis

"Ce qui ne m'empêche pas d'avoir reçu un pli de la frégate oblitéré à la date du 15 décembre, tout à fait fantaisiste... "

Kerguelen manchot papou photo Jean-Louis

Merci à Roger Venturini et Jef Baron.

27 janvier 2019

CORYMBE 144 Cdt Blaison Cotonou Bénin

CORYMBE 144 Cdt Blaison Cotonou Bénin

Depuis 1990, la France déploie un à deux bâtiments en mission Corymbe de façon quasi permanente dans le golfe de Guinée. La mission a deux objectifs majeurs, participer à la protection des intérêts français dans la zone ainsi qu’à la diminution de l’insécurité maritime, en aidant notamment au renforcement des capacités des marines riveraines du golfe dans le domaine de la sécurité maritime. Le déploiement de bâtiment français en mission Corymbe complète le dispositif français pré-positionné en Afrique occidentale (Gabon, Côte d’Ivoire, Sénégal) et participe au volet maritime des coopérations opérationnelles mises en œuvre par ces forces de présence régionalement.

Cotonou Bénin 21-1-2019

Déployé depuis le début du mois de décembre dans le cadre de la mission Corymbe 144, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison assure la permanence de la présence française, dans le golfe de Guinée, contribuant ainsi à la protection des intérêts français dans la zone.

Après une première escale à San Pedro en Côte-d’Ivoire, à bord, les marins du Commandant Blaison alternent activités de coopération opérationnelle avec les marines riveraines du golfe de Guinée, entraînements et entretien du bâtiment. Le rythme des opérations reste soutenu. L’esprit d’équipage en est renforcé, ce qui permet de compenser les contraintes de l’éloignement en cette période de fin d’année.

Cette période de fêtes marque aussi bientôt la mi-mission, la « bascule » comme l’appellent les marins. Le Commandant Blaison poursuivra ses activités de coopération, notamment la conduite de l’exercice « African NEMO » à la mi-janvier. En somme, la mission s’effectue aussi bien à quai lors de périodes d’instruction opérationnelle qu’en mer par des patrouilles communes avec les marines riveraines. L’objectif est d’œuvrer ensemble au renforcement de la sécurité maritime dans la zone aussi bien dans le domaine de la piraterie qu’en matière de lutte contre les trafics illicites.





Co-présidée par le capitaine de vaisseau Albert Ezin Badou, chef d’état-major des forces navales et par le lieutenant-colonel Emmanuel de Condé, attaché de défense, cette cérémonie a acté la remise du matériel suivant :

  • Une paire de jumelles à très fort grossissement ainsi qu’un système de goniométrie destinés à renforcer l’efficacité de la surveillance des approches maritimes du port de Cotonou, financés par le ministère français des armées.
  • Une usine photovoltaïque de production d’électricité, destinée à la base navale de Sèmè et à son futur sémaphore, financée par la Direction de la coopération de sécurité et de défense du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères.



Cette action concrète, venue répondre à une expression de besoin identifiée de longue date avec notre partenaire, s’inscrit dans la continuité des nombreuses actions conduites par la coopération française depuis plus de vingt ans dans le cadre de son projet d’appui à l’action de l’État en mer. Elle vise notamment à exercer un contrôle toujours plus précis et étendu des espaces maritimes de la République du Bénin, face à des menaces encore présentes - piraterie, pêche illégale et pollution - mais toujours mieux jugulées.

Sources : 

Cols bleus

Ambassade de France au Bénin

26 janvier 2019

Le troisième monde France Ô Jeudi 21 février 2019 20h55 TAAF Oubliés de Saint-Paul Langouste Usine Concarneau

Le troisième monde France Ô
Jeudi 21 février 2019  20h55


Cette semaine, retrouvez dans Histoire d'Outre-mer le documentaire « Le Troisième Monde », un film dans lequel est abordé le drame des oubliés de Saint-Paul. Une affaire datant de 1930, dont les protagonistes étaient originaires de Concarneau, Trégunc, Riec-sur-Belon et Madagascar. Sept personnes, et un nourrisson, avaient été abandonnées, pendant dix mois, sur cette île qui servait alors de base à une pêcherie de langoustes. Totalement isolés et sans ravitaillement, quatre d'entre eux étaient morts, essentiellement de privations et de maladies.
En partant de La Réunion, et en naviguant une bonne semaine vers le sud de l’océan Indien se découvre l’archipel des Kerguelen. À ce territoire inhospitalier sont rattachées administrativement d’autres îles : Crozet, Amsterdam et Saint-Paul. 

Île Saint-Paul photo © JM Bergougniou

Toutes appartiennent aux TAAF, les Terres australes et antarctiques françaises. L’histoire de ces territoires aux portes de l’Antarctique est aussi celle d’une colonisation à la française, avec son esprit d’aventure, mais avec aussi ses épisodes moins glorieux. Dans les années 1930, sept Bretons pêcheurs de langoustes sont « oubliés » sur l’île Saint-Paul par leurs employeurs, des Normands du Havre héritiers des derniers baleiniers français. L'année suivante une quarantaine de Malgaches mourront du béribéri.
S’appuyant sur cette tragédie, le documentaire nous révèle l’histoire et la réalité du « Troisième Monde », tel que l’avait nommé son découvreur Yves de Kerguelen.

Île Saint-Paul photo © JM Bergougniou
Île Saint-Paul photo © JM Bergougniou

L'usine langoustiere © Association les Oubliés de Saint-Paul

Ouvriers malgaches à la cuisson des langoustes © Association les Oubliés de Saint-Paul








Sources : France Ô

L'ASTROLABE relève d'équipage à HOBART

L'ASTROLABE relève d'équipage à HOBART



Après quatre mois de déploiement, l'équipage B du patrouilleur polaire L’Astrolabe a rejoint Hobart le 16 janvier 2019. Parti de La Réunion le 26 septembre 2018, l’équipage a réalisé trois rotations logistiques, au profit des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) et de l'Institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV), entre la Tasmanie et la terre Adélie.



A la faveur de conditions de glace particulièrement favorables, les objectifs fixés par l’IPEV ont été atteint voire dépassés. 652 tonnes de fret solide, 1235 m3 de gazole et 174 passagers ont été transportés. Les marins de L’Astrolabe ont également participé au support d'opérations scientifiques en Antarctique au profit d'équipes d'ornithologues et de géologues.


Céline Tuccelli et Emmanuel Lepage photo (c) JM Bergougniou

Le dimanche 20 janvier à Hobart, le capitaine de frégate François Trystram a passé le flambeau au capitaine de frégate Céline Tuccelli, commandant l'équipage A, qui conduira deux nouvelles rotations vers la base Dumont d'Urville, dont la première avec à son bord la préfète, administratrice supérieure des TAAF, Evelyne Decorps et le directeur de l'IPEV, Jérôme Chappellaz, avant de retourner mi-mars à La Réunion pour retrouver Port des Galets, son port base.


Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...