19 avril 2009

GEAOM Jeanne d'Arc Jordanie Aqaba

La Jeanne à Aqaba 

Al-Mamlaka al-Urduniya al-Hashimiya
Royaume hachémite de Jordanie









GEAOM Jeanne d'Arc Jordanie Aqaba


Après quelques jours d'absence, c'est la reprise et quelques plis de bateaux dans la boîte aux lettres
D'abord ceux de la Jeanne d'Arc en escale en Jordanie.








La Jordanie est un pays du Moyen-Orient, entouré par la Syrie au nord, l'Irak au nord-est, l'Arabie saoudite à l'est et au sud, et enfin Israël et la Cisjordanie à l'ouest. Toutes ces frontières représentent 1619 km.

Le golfe d'Aqaba et la mer Morte délimitent aussi le pays. La Jordanie possède également 26 km de littoral. Les principales villes du pays sont Amman (1 181 000 habitants en 2001 ), Irbid et Zarqa, toutes trois situées dans le nord-ouest du pays.
La Jordanie est composée principalement d’un plateau désertique aride à l'est, et d’une région montagneuse à l'ouest. La Vallée du grand rift et le Jourdain séparent la Jordanie d'Israël. Le point culminant du pays est le « Jabal Ramm » à 1 754 mètres, à l’inverse la Mer Morte est le moins élevé.


Le climat est sec et chaud, conséquence du désert. Cependant, le pays a une saison pluvieuse à l'ouest de novembre à avril.
Avec 14 autres pays, on considère la Jordanie comme étant le « berceau de l'humanité ».



Aqaba ou Akaba est une ville côtière de 88 780 habitants à l'extrémité sud de la Jordanie. Aqaba occupe une position stratégique pour la Jordanie car c'est le seul port du pays. La ville est mitoyenne d'Eilat, en Israël et un poste-frontière permettant de se rendre en Israël. Aqaba et Eilat sont à la pointe nord du Golfe d'Aqaba.






Aqaba est le site d'un peuplement habité depuis 4000 av. J.-C., notamment en raison de sa position stratégique au carrefour des routes commerciales entre l'Asie, l'Afrique et l'Europe. Le peuplement originel est connu sous le nom de Elath (אֵילַת ʼÊlaṯ) en hébreu (et sans doute en édomite). C'était un centre Édomite puis arabe nabatéen.
La Bible mentionne le lieu : "Le Roi Salomon construisit également des bateaux à Ezion-Geber, près de Elath en pays édomite, au bord de la mer Rouge" [3]. Ce verset fait probablement référence à un port de l'Âge du Fer construit sur la position actuelle de Aqaba.
Sous la dynastie des Ptolémée, les Grecs appelèrent la ville Berenice, puis les Romains Aila et Aelena. Durant l'occupation romaine, la Via Nova Traiana qui allait de Damas à Amman se terminait à Aqaba, où elle rejoignait la route qui allait de la Palestine à l'Égypte.
Peu après la mort de Mahomet, Aqaba devint membre du califat, et passa successivement entre les mains des Omeyyades, Abbassides, Fatimides et Mamelouks. Le début de l'ère musulmane vit la construction de la ville de Ayla, décrite par le géographe Shams Eddin Muqaddasi comme étant juste à côté de l'implantation originelle, alors en ruines. Les ruines de Ayla ( révélées dans les années 1980 par une équipe archéologique américano-jordanienne ) sont situées à faible distance du front de mer.





Au XIIe siècle, les Croisés occupèrent la ville et construisirent la forteresse de Helim, qui reste relativement bien préservée aujourd'hui. En plus de bâtir un fort dans Aqaba, les Croisés fortifièrent la petite île nommée Île de Graye (maintenant connue sous le nom d’Île du Pharaon, à 7 kilomètres de la côte). L'île se trouve désormais en territoire égyptien. Dès 1170, Aqaba et l'Île de Graye avaient été reconquises par Saladin. Les Mamelouks prirent la ville en 1250 et reconstruisirent le fort au XIVe siècle au cours du règne d'un des derniers sultans Mamelouks, Qansah al-Ghouri.
Au début du XVIe siècle, la dynastie Mamelouk et la région se trouvèrent sous influence ottomane. Sous les Ottomans, l'influence de la ville déclina pour ne devenir bientôt qu'un simple village de pêcheurs sans importance.
Durant la Première Guerre mondiale, les forces ottomanes furent forcées de se retirer de la ville en 1917 après un raid mené par Lawrence d'Arabie et les forces arabes de Hussein ibn Ali.

dia.org/wiki/Lawrence_d%27Arabie_(film)


La région fut alors annexée par le royaume du Hijaz. La prise d'Aqaba aida l'approvisionnement à partir de l'Égypte, des forces arabes et britanniques combattant plus au nord, en Transjordanie et en Palestine. Aqaba fut cédé au protectorat britannique de Transjordanie en 1925.source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aqaba

photos : Yann Le Ny Marine Nationale


12 avril 2009

joyeuses Pâques














GEAOM Jeanne d'Arc Aqaba Jordanie Marine Nationale

Jordanie Aqaba Escale du PH Jeanne d'Arc




Tintin et Haddock, escortés par des partisans de l'Emir Ben Kalish Ezab, rejoignent le repaire où il s'est mis à l'abri des troupes du Cheikh Bab El Ehr

Relisez Coke en Stock, vous attraperez le mal de mer... Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراء Al-Butrāʾ en arabe), de son nom sémitique Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »), est une ancienne cité troglodytique située dans l'actuelle Jordanie, au cœur d'un bassin bordé par les montagnes qui forment le flanc oriental de l'Arabah (Wadi Araba), grande vallée prolongeant le grand rift vers le nord et qui s'étend de la mer Morte au golfe d'Aqaba. Créée dans l'Antiquité vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C. par les Édomites, elle est ensuite occupée vers le VIe siècle av. J.-C. par les Nabatéens qui la font prospérer grâce à sa position sur la route des caravanes transportant l'encens, les épices et d'autres produits de luxe entre l'Égypte, la Syrie, l'Arabie du Sud et la Méditerranée.

Vers le VIIIe siècle, la modification des routes commerciales et les séismes entraînent l'abandon progressif de la ville par ses habitants. Tombé dans l'oubli à l'époque moderne, le site est redécouvert par le monde occidental grâce à l'explorateur suisse Jean Louis Burckhardt en 1812. Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales sont directement taillées dans la roche, en font un ensemble monumental unique qui, depuis le 6 décembre 1985, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La zone autour du site est également, depuis 1993, un parc national archéologique.

http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9tra merci à Pierre pour son envoi

10 avril 2009

Escales Foudroyantes TCD Foudre Bande dessinée

Au courrier aujourd'hui






A l'initiative de son commandant,

le TCD Foudre organise une séance de dédicaces et une grande exposition BD à son bord.


en attendant que le musée de la Marine ouvre ses portes à la BD...




à bord du TCD FOUDRE à Toulon les 15, 16 et 17 mai


si pas de changement, voyage en CTM vers le bord, accès par le radier pour gagner le hangar hélico







Sont invités à dédicacer:





Patrice Pellerin (L'Epervier) http://www.dupuis.com/epervier/




Patrick Jusseaume (Tramp) http://www.jusseaume.fr/ ,


http://www.dargaud.com/front/auteurs/auteur.aspx?id=1043

Christian Gine (Sabre) http://membres.lycos.fr/gine/



Erick Juszezak (Narvalo, Dantes) http://www.dargaud.com/front/auteurs/auteur.aspx?id=122870


Christian Cailleaux (R97) http://www.dargaud.com/front/auteurs/auteur.aspx?id=994

http://christian.cailleaux.free.fr/


photos JMB

09 avril 2009

Au courrier aujourd'hui


des cartes postales de la Jeanne via Paris Tri Interarmées


et un mail...


dont voici le contenu


"Un grand merci à Monsieur Laudrin pour ses 8 enveloppes du dernier jour de l'agence postale Landivisiau Marine.



en pièce jointe une photo de la boite aux lettres où je poste chaque jour mon courrier.



Après la disparition des flammes postales,
la disparition du nom des communes et département sur les oblitérations,
même le nom du bureau de poste le plus proche devient incompréhensible pour les usagers ...



C'est beau la modernisation ....


Amicalement

Marc P...."

08 avril 2009

Togo BPC Tonnerre Corymbe 96 Afrique de l'ouestAllemagne colonie France

Le Togo : Tonnerre en Corymbe

Le Togo subit le commerce négrier du XVIe au XIXe siècle. En 1884, le roi Mlapa III de Togoville, signe un traité de protectorat avec l’Allemagne (représentée par Gustav Nachtigal)





En 1883, le chancelier allemand Bismarck décida d'imposer un protectorat sur le Togo. L'année suivante, l'explorateur allemand Gustav Nachtigal signa un «traité de protectorat» le 5 juillet 1884 sur la plage de Baguida, avec le chef du lac Togo, Mlapa III deTogoville, représentant l’autorité religieuse du Togo, qui donna son nom au pays. C'est en 1885, lors de la conférence de Berlin qui délimita les zones d'influence économiques européennes en Afrique, que la côte togolaise fut officiellement attribuée à l'Allemagne.





Comme les autres puissances coloniales de l'époque, l'Allemagne s'empressa de faire valoir ses droits sur l'arrière-pays, ainsi elle annexa rapidement, en à peine quelques années 85 000 km² de territoires.



Les Allemands fondèrent le port de Lomé et mirent en place une économie de plantations, en particulier dans la région de Kpalimé, propice à la culture du cacao et du café.

Kpalimé région des Plateaux 

Mais, l'arrivée des Allemands se heurta à une forte résistance de la part des Africains. Des accords furent signés avec certains royaumes, mais la révolte des Kabyé (1890) et celle des Konkomba (1897-1898) furent matées violemment. Toutefois, les révoltes ne cessèrent d'augmenter en intensité surtout lorsque les occupants allemands s'enfoncèrent à l'intérieur des territoires du Togo conquis.




L'Allemagne encouragea ses citoyens à s'installer dans la colonie togolaise appelée le Togoland, en leur offrant des concessions à des conditions très avantageuses. Elle fit également construire les infrastructures nécessaires à l'exploitation du Togo, comme des lignes de chemin de fer, en recourant massivement aux travaux forcés.





Les troupes françaises et anglaises occupent le TOGO dès le début de 1914
La colonie est ensuite divisée entre le Royaume-Uni et la France, parfois au prix de la division de certaines ethnies.La partie sous contrôle français passe sous tutelle de l’ONU en 1946.
Le Royaume-Uni rattache la partie Sud de la région qu’il contrôle au Ghana en 1956.





L'histoire de l'industrie maritime et portuaire du Togo remonte au début du siècle, avec l'édification du premier wharf par les Allemands en 1900. Construit en bois sur des pieux métalliques, cette première jetée sera entièrement dévastée par un incendie puis remplacée en 1904 par un second wharf dont la structure sera cette fois-ci métallique.


Cette première aventure maritime posa les jalons d'une vraie ouverture sur les échanges par voie de mer pour Lomé, qui devient dès lors, grâce à un monopole des échanges maritimes, la porte d'entrée du Togo. Endommagé par un raz-de-marée en 1911, un troisième wharf à passerelle coudée sera remonté l'année suivante. Encore une fois, le manque de solidité des structures ne supportera pas une grande tempête en 1924.






Le niveau du trafic restant faible et le marché local encore restreint, l'édification d'un quatrième wharf par les Français en 1928 ne marqua pas pour autant une vraie naissance pour le Port de Lomé. Au cours des années trente, l'idée d'un port commun au Togo et au Dahomey (Bénin) édifié sur le territoire togolais fit son chemin. Malheureusement, la France ne concrétisa jamais et préféra entamer la construction du port de Cotonou (Bénin) en 1955.




Face à l'accroissement du trafic à la fin des années 50, et devant l'inadéquation du wharf existant, les dirigeants togolais ne tardèrent pas à décider de doter le pays d'un port en eau profonde. C'est ainsi que par un accord économique et technique signé le 20 juillet 1960 entre la RFA et la République Togolaise, le Bureau Lackner fut chargé des études de faisabilité qui conclurent à un plan de déploiement par tranches successives en fonction de l'évolution du trafic. La première pierre sera posée le 23 novembre 1962. Les travaux confiés en 1964 à un groupement d'entreprises allemandes seront totalement achevés en 1968.
Le Port Autonome de Lomé sera inauguré solennellement par le Général Gnassingbé Eyadema, Président de la République Togolaise, le 26 avril 1968. Son exploitation officielle démarrée le 1er mai 1968 mettra définitivement fin aux activités du dernier wharf.Le 21 janvier 1967, date marquante dans l'histoire du Port, vit pour la première fois arriver la Birte Hugo Stinnes, son premier bateau à quai.







Le Port de Lomé est un élément fondamental du développement économique du Togo. La phase de développement a été entièrement dévolue à faire du Port un outil efficace au service de l'économie nationale et sous régionale. L'extension des installations à partir de 1974, face à l'essor des activités portuaires et des trafics annuels a été réalisée au travers d'une seconde tranche de travaux qui s'étaleront sur trois années (1974-1977). Un co-financement du projet entre le Togo et l'Europe (RFA et Fonds Européen du Développement) permit le déploiement des structures adéquates




Ces nouvelles installations destinées essentiellement au trafic spécialisé (clinker-hydrocarbures) comportaient :- une contre jetée constituée par une brise-lames de 945 m de long et un enrochement de gneiss formant la limite Est du port- un quai minéralier avec un mur de quai en planches d'acier de 210 m- un appontement pétrolier en béton armé construit en ducs d'albe élastiques d'un tirant d'eau de 14 m- une amorce de port de pêche offrant une longueur de quai utile de 70 m- des bâtiments annexes






La montée en puissance des navires de grande taille et des porte-conteneurs a conduit les Autorités à engager un nouveau projet de construction de 1982 à 1984 en collaboration avec les pays du Sahel (Burkina Fasso, Mali, Niger).
A l'approche de l'an 2000, le PAL a finalisé son plan de développement.En renforçant ses structures (môle 1 et Terminal du Sahel), en modernisant ses équipements (engins de manutention et engins flottants), mais aussi en poursuivant son adaptation aux réalités du shipping moderne (terminal à conteneur ultra-moderne, informatisation des opérations portuaires) le Port Autonome de Lomé est aujourd'hui un des plus opérationnels de sa région sub-continentale. Le symbole de cette réussite est à l'évidence le nouveau bâtiment de la Direction Générale du Port, situé dans la zone franche.




PHA Mistral à New-York du 7 au 12 mai 2025

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