Salon philatélique d'Automne
La lettre verte a 3 ans
6 émissions Premier Jour, 2 vignettes LISA, des souvenirs originaux, des collectons des oblitérations Premier Jour et spéciale Salon.
Tous ces timbres et produits sont vendus en avant –première au Salon Philatélique d’automne.
- 12 millions de lettres de 20 grammes ou moins sont transportées chaque jour.
- 3,5 milliards de timbres sont vendus chaque année, dont 2,5 milliards de timbres Marianne
- L’objectif de La Poste est de réduire de 20% ses émissions de CO2 d’ici 2015 : celles-cis sont passées de 300 millions de tonnes en 2004 à 515 millions en 2010 (du fait de l’intégration de Geopost et d’autres prestataires de transport notamment)
- Selon un syndicat les kilomètres parcourus pour distribuer le courrier est passé de 912 millions de kilomètres en 2004 à 1.261 millions de km en 2009, mais serait stable selon la Direction.
Carnet en taille-douce à deux feuillets.
Cette LISA complète les émissions du carnet et du bloc « La lettre verte a 3 ans ». Les timbres choisis symbolisent l’agriculture, la terre et la sauvegarde de l’environnement.
Ce carnet reprend le 1er timbre Marianne Lettre verte d’Yves Beaujard, l’actuel timbre Marianne Lettre verte d’Olivier Ciappa & David Kawena, l’adaptation en taille-douce de la Cérès verte de 1850 de Jacques-Jean Barre et la semeuse de Lignée verte de 1803 d’Oscar Roty.
Ce carnet reprend le 1er timbre Marianne Lettre verte d’Yves Beaujard, l’actuel timbre Marianne Lettre verte d’Olivier Ciappa & David Kawena, l’adaptation en taille-douce de la Cérès verte de 1850 de Jacques-Jean Barre et la semeuse de Lignée verte de 1803 d’Oscar Roty.
Création : Stephanie Ghinéa
Cete LISA complète les émissions du carnet et du bloc « La lettre verte a 3 ans »
http://lci.tf1.fr/economie/consommation/la-poste-pousse-la-lettre-verte-au-detriment-du-timbre-prioritaire-7748856.html
Il existait déjà deux tarifs différents pour les lettres du régime intérieur : la « lettre prioritaire » et le « pli non urgent », déjà rebaptisé « ecopli » par le marketing sans-doute afin d'introduire une ambiguïté entre « écologique » et « économique ».
La « lettre verte » est « plus écologique », nous ont promis les managers de La Poste S.A., car « votre courrier ne prend pas l'avion ».
La réalité est hélas toute autre : si la « lettre verte » ne prend plus l'avion, c'est qu'elle prend le camion. Et s'il y a un report de trafic significatif des « lettres prioritaires » vers les « lettres vertes », La Poste S.A. devra faire circuler des camions supplémentaires pour les transporter pendant que tous les avions transportant les « lettres prioritaires » continueront évidemment de voler.
Il en résultera des émissions supplémentaires de CO2, de particules et d'imbrûlés des moteurs diesel des camions, une consommation accrue d'énergie fossile, plus de nuisances telles que le bruit, l'accroissement des circulations de poids-lourds présentant un danger significatif pour les autres usagers de la route, et la dégradation des chaussées.
Le réseau aéropostal représente, en termes d'emissions de CO2, de pollution et de consommation d'énergie fossile, une part marginale dans tous les transports postaux et une part infinitésimale dans tous les transports aériens. C'est certainement le dernier transport aérien qu'il faudrait supprimer si les gouvernements, subitement, décidaient contre toute attente de prendre très au sérieux l'écologie.
Supprimer la poste aérienne - ce serait la conséquence finale d'un hypothétique report massif du trafic de la « lettre prioritaire » vers la « lettre verte » - ne contriburait en rien à résoudre les problèmes environnementaux et énergétiques que nous subissons. Bien au contraire, la disparition d'un service postal rapide provoquerait la multiplication des trajets de véhicules routiers justifiés par les besoins en transports rapides de plis et autres envois, ce qui se traduirait par une explosion des émissions de CO2, de polluants, etc. et par une explosion des coûts des entreprises recourant à cette multitude de transports, coûts qui sont toujours in fine à la charge des clients finaux et des contribuables.
Les plus jeunes lecteurs de ce forum l'ignorent probablement car ils ne l'ont jamais vu et les autres peuvent l'avoir largement oublié : au siècle passé, les transports postaux en France utilisaient, à moyenne et grande distance, le chemin de fer, et l'avion à grande distance pour les lettres (réseau aéropostal, qui existe encore).
Les nouveaux centres de tri postaux ont tous été construits en rase campagne ou dans des zones dites « d'activité » et reliés aux autoroutes proches au moyen de routes et de ronds-points qui contribuent activement à la vitrification des sols et donc à l'intensification des ruissellements qui amplifient les inondations.
Le tranfert intentionnel des infrastructures postales hors des villes est bien-entendu destiné à empêcher physiquement, pour des décennies, tout retour du transport postal au chemin de fer et à péréniser le transport routier sur des distances de plus en plus longues.
À grands renforts de camions et de trajets supplémentaires, le parcours d'une lettre d'un point à un autre du territoire devient de plus en plus contraire à toute raison : la mise en service de machines de tri quelque-part et la perspective d'économiser quelques emplois est devenu un prétexte suffisant pour infliger plusieurs centaines de kilomètres de voyage supplémentaire aux lettres et colis.
Il n'y a aucune trace de préoccupations écologiques ou environnementales dans ces agissements de La Poste S.A., ni d'ailleurs de préoccupations d'amélioration de la qualité du service postal, mais bien une idéologie totalitaire du « tout camions » poussée à son paroxysme contre toute raison.
Le sommet de l'absurdité du « tout camions » est atteint lorsque l'Administration interdit tel ou tel jour la circulation des camions (y-compris postaux, car grâce à la si intelligente transformation de la poste en « machin » de droit privé et à la transmutation acharnée des administrations postales en simples « opérateurs postaux » tout privilège des circulations postales a disparu) et que les colis postaux, bloqués pendants plusieurs jours, parviennent avec des retards éhontés aux destinataires.
Si La Poste S.A. voulait réellement devenir « plus écologique », comme sa propagande pour la « lettre verte » le prétend, elle pourrait commencer par supprimer sa filiale « Chronopost » car celle-ci n'a aucune raison d'être si la poste fonctionnait correctement et assurait elle-même les transports rapides de plis et de colis au-lieu de les sous-traiter à sa filiale.
Cete LISA complète les émissions du carnet et du bloc « La lettre verte a 3 ans »
La Poste pousse la "lettre verte" au détriment du timbre prioritaire
Discussion :
Il y a maintenant trois tarifs différents grâce à l'adjonction d'un tarif « lettre verte » !
Peu avant, les mêmes hiérarques de La Poste S.A. avaient supprimé le tarif non-prioritaire pour les lettres du régime international, renchérissant ainsi massivement les envois non-urgents à destination de l'étranger. C'était pour simplifier, nous avaient-ils dit. Certainement la même simplification que l'adjonction d'un troisième tarif à l'intérieur de la France…
Peu avant, les mêmes hiérarques de La Poste S.A. avaient supprimé le tarif non-prioritaire pour les lettres du régime international, renchérissant ainsi massivement les envois non-urgents à destination de l'étranger. C'était pour simplifier, nous avaient-ils dit. Certainement la même simplification que l'adjonction d'un troisième tarif à l'intérieur de la France…
La « lettre verte » est « plus écologique », nous ont promis les managers de La Poste S.A., car « votre courrier ne prend pas l'avion ».
La réalité est hélas toute autre : si la « lettre verte » ne prend plus l'avion, c'est qu'elle prend le camion. Et s'il y a un report de trafic significatif des « lettres prioritaires » vers les « lettres vertes », La Poste S.A. devra faire circuler des camions supplémentaires pour les transporter pendant que tous les avions transportant les « lettres prioritaires » continueront évidemment de voler.
Il en résultera des émissions supplémentaires de CO2, de particules et d'imbrûlés des moteurs diesel des camions, une consommation accrue d'énergie fossile, plus de nuisances telles que le bruit, l'accroissement des circulations de poids-lourds présentant un danger significatif pour les autres usagers de la route, et la dégradation des chaussées.
Le réseau aéropostal représente, en termes d'emissions de CO2, de pollution et de consommation d'énergie fossile, une part marginale dans tous les transports postaux et une part infinitésimale dans tous les transports aériens. C'est certainement le dernier transport aérien qu'il faudrait supprimer si les gouvernements, subitement, décidaient contre toute attente de prendre très au sérieux l'écologie.
Supprimer la poste aérienne - ce serait la conséquence finale d'un hypothétique report massif du trafic de la « lettre prioritaire » vers la « lettre verte » - ne contriburait en rien à résoudre les problèmes environnementaux et énergétiques que nous subissons. Bien au contraire, la disparition d'un service postal rapide provoquerait la multiplication des trajets de véhicules routiers justifiés par les besoins en transports rapides de plis et autres envois, ce qui se traduirait par une explosion des émissions de CO2, de polluants, etc. et par une explosion des coûts des entreprises recourant à cette multitude de transports, coûts qui sont toujours in fine à la charge des clients finaux et des contribuables.
Les plus jeunes lecteurs de ce forum l'ignorent probablement car ils ne l'ont jamais vu et les autres peuvent l'avoir largement oublié : au siècle passé, les transports postaux en France utilisaient, à moyenne et grande distance, le chemin de fer, et l'avion à grande distance pour les lettres (réseau aéropostal, qui existe encore).
Il y avait des « trains-poste » nocturnes, exclusivement consacrés au transport postal, et des voitures postales qui étaient accrochées à des trains de voyageurs de grandes lignes. La plupart de ces services assuraient un tri manuel en cours de route.
La consommation d'énergie de ces transports était minimale, leurs émissions polluantes extrèmement faibles, et ils permettaient le transport des envois jusqu'au cœur des villes, réduisant ainsi au strict minimum la part des services troutiers assurant la desserte fine finale. D'autre part, les recettes des transports postaux permettaient à la SNCF de diminuer son déficit, ce qui soulageait le contribuable.
Le transport postal ferroviaire, qui était écologique avant l'heure, a été entièrement supprimé à l'exception de 3 TGV postaux (qui n'assurent aucun service de tri) entre Paris, Mâcon et Cavaillon (mais pour combien de temps encore ?).
Mieux encore, les emprises postales des gares (centres de tri postaux implantés en bordure des grandes gares de voyageurs et directement reliés aux quais) ont été liquidées.
La consommation d'énergie de ces transports était minimale, leurs émissions polluantes extrèmement faibles, et ils permettaient le transport des envois jusqu'au cœur des villes, réduisant ainsi au strict minimum la part des services troutiers assurant la desserte fine finale. D'autre part, les recettes des transports postaux permettaient à la SNCF de diminuer son déficit, ce qui soulageait le contribuable.
Le transport postal ferroviaire, qui était écologique avant l'heure, a été entièrement supprimé à l'exception de 3 TGV postaux (qui n'assurent aucun service de tri) entre Paris, Mâcon et Cavaillon (mais pour combien de temps encore ?).
Mieux encore, les emprises postales des gares (centres de tri postaux implantés en bordure des grandes gares de voyageurs et directement reliés aux quais) ont été liquidées.
Les nouveaux centres de tri postaux ont tous été construits en rase campagne ou dans des zones dites « d'activité » et reliés aux autoroutes proches au moyen de routes et de ronds-points qui contribuent activement à la vitrification des sols et donc à l'intensification des ruissellements qui amplifient les inondations.
Le tranfert intentionnel des infrastructures postales hors des villes est bien-entendu destiné à empêcher physiquement, pour des décennies, tout retour du transport postal au chemin de fer et à péréniser le transport routier sur des distances de plus en plus longues.
À grands renforts de camions et de trajets supplémentaires, le parcours d'une lettre d'un point à un autre du territoire devient de plus en plus contraire à toute raison : la mise en service de machines de tri quelque-part et la perspective d'économiser quelques emplois est devenu un prétexte suffisant pour infliger plusieurs centaines de kilomètres de voyage supplémentaire aux lettres et colis.
Il n'y a aucune trace de préoccupations écologiques ou environnementales dans ces agissements de La Poste S.A., ni d'ailleurs de préoccupations d'amélioration de la qualité du service postal, mais bien une idéologie totalitaire du « tout camions » poussée à son paroxysme contre toute raison.
Le sommet de l'absurdité du « tout camions » est atteint lorsque l'Administration interdit tel ou tel jour la circulation des camions (y-compris postaux, car grâce à la si intelligente transformation de la poste en « machin » de droit privé et à la transmutation acharnée des administrations postales en simples « opérateurs postaux » tout privilège des circulations postales a disparu) et que les colis postaux, bloqués pendants plusieurs jours, parviennent avec des retards éhontés aux destinataires.
Si La Poste S.A. voulait réellement devenir « plus écologique », comme sa propagande pour la « lettre verte » le prétend, elle pourrait commencer par supprimer sa filiale « Chronopost » car celle-ci n'a aucune raison d'être si la poste fonctionnait correctement et assurait elle-même les transports rapides de plis et de colis au-lieu de les sous-traiter à sa filiale.
L'infrastructure et les moyens de transport et de distribution de Chronopost occasionnent une consommation d'énergie (chauffage et éclairage des bâtiments, informatique, carburants de ses propres véhicules... et de ceux des innombrables sous-traitants chargés de la distribution des envois !) et des émissions de CO2 et de polluants qui seraient évités si La Poste S.A. utilisait rationnellement ses propres moyens pour faire à bas coût et empreinte écologique minimale ce que « Chronopost » fait à prix d'or en consommant les ressources sans compter.
Une conséquence indirecte serait une réduction des dépenses des entreprises qui recourent aux services de « Chronopost », dépenses qui sont évidemment toujours payées in fine par les clients finaux et les contribuables.
Après tous ces errements anti-écologiques, la « lettre verte » est un pas de plus vers le retour à la bougie !
http://www.arcep.fr
Lettre verte
L'Arcep voit rouge
Depuis le 1er octobre, un nouveau timbre « écolo » à 57 centimes permet d’expédier une lettre de 20 g acheminée en 2 jours. La Poste met-elle cette offre trop en avant dans ses bureaux, au détriment de la lettre prioritaire (acheminement en 24 heures) ? C’est ce que craint le régulateur des postes (Arcep), qui va enquêter sur ses modes de commercialisation.
Désormais, pour expédier une lettre (20 g maximum), le consommateur a le choix entre trois types d’envoi. La lettre prioritaire à 60 centimes est acheminée en 24 heures, la lettre économique à 55 centimes (« Écopli ») en plus de 2 jours. Entre les deux, la « lettre verte », lancée le 1er octobre 2011, coûte 57 centimes pour un envoi en 2 jours « sans prendre l’avion » (d’où sa connotation « écolo »).
Ce nouveau timbre, l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) s’en méfie. « La nouvelle offre n’est acceptable que si elle ne conduit pas à une dégradation de l’accessibilité et de la qualité de service de la lettre prioritaire », explique-t-elle dans un communiqué. Tout en rappelant que « le service universel postal comprend obligatoirement une offre d’envois distribués le lendemain ». Or, selon elle, la Poste a une fâcheuse tendance à orienter ses clients vers la lettre verte : les carnets de timbres prioritaires ne sont plus distribués dans les automates, et ne sont pas non plus disponibles au guichet des bureaux de poste, a relevé l’Arcep. Elle a donc décidé d’enquêter sur les modes de commercialisation mis en place par la Poste, et sur la qualité de l’information consommateurs en ce qui concerne les choix qui s’offrent à eux.
L’écolo a bon dos
Il faut dire que pour la Poste, l’enjeu est plus économique qu’écologique. Avec cette nouvelle offre « verte », le groupe espère avant tout automatiser un peu plus le tri du courrier en assouplissant les contraintes horaires strictes liées à l’acheminement des envois prioritaires.
Une conséquence indirecte serait une réduction des dépenses des entreprises qui recourent aux services de « Chronopost », dépenses qui sont évidemment toujours payées in fine par les clients finaux et les contribuables.
Après tous ces errements anti-écologiques, la « lettre verte » est un pas de plus vers le retour à la bougie !
http://www.arcep.fr
Lettre verte
L'Arcep voit rouge
Depuis le 1er octobre, un nouveau timbre « écolo » à 57 centimes permet d’expédier une lettre de 20 g acheminée en 2 jours. La Poste met-elle cette offre trop en avant dans ses bureaux, au détriment de la lettre prioritaire (acheminement en 24 heures) ? C’est ce que craint le régulateur des postes (Arcep), qui va enquêter sur ses modes de commercialisation.
Désormais, pour expédier une lettre (20 g maximum), le consommateur a le choix entre trois types d’envoi. La lettre prioritaire à 60 centimes est acheminée en 24 heures, la lettre économique à 55 centimes (« Écopli ») en plus de 2 jours. Entre les deux, la « lettre verte », lancée le 1er octobre 2011, coûte 57 centimes pour un envoi en 2 jours « sans prendre l’avion » (d’où sa connotation « écolo »).
Ce nouveau timbre, l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) s’en méfie. « La nouvelle offre n’est acceptable que si elle ne conduit pas à une dégradation de l’accessibilité et de la qualité de service de la lettre prioritaire », explique-t-elle dans un communiqué. Tout en rappelant que « le service universel postal comprend obligatoirement une offre d’envois distribués le lendemain ». Or, selon elle, la Poste a une fâcheuse tendance à orienter ses clients vers la lettre verte : les carnets de timbres prioritaires ne sont plus distribués dans les automates, et ne sont pas non plus disponibles au guichet des bureaux de poste, a relevé l’Arcep. Elle a donc décidé d’enquêter sur les modes de commercialisation mis en place par la Poste, et sur la qualité de l’information consommateurs en ce qui concerne les choix qui s’offrent à eux.
L’écolo a bon dos
Il faut dire que pour la Poste, l’enjeu est plus économique qu’écologique. Avec cette nouvelle offre « verte », le groupe espère avant tout automatiser un peu plus le tri du courrier en assouplissant les contraintes horaires strictes liées à l’acheminement des envois prioritaires.
À la clé, des millions d’euros d’économies.
Alors pour séduire les consommateurs, la Poste a sorti l’argument qui fait mouche, l’écologie. Le timbre à 57 centimes a d’abord volé sa couleur – le vert – à l’Écopli, devenu gris. Puis elle a mis en avant l’acheminement par voie terrestre. En ne prenant pas l’avion, la lettre verte« émet 15 % de CO2 de moins qu’une lettre prioritaire ». Mais rien ne dit que la bonne vieille lettre économique Écopli a, elle, déjà pris l’avion… Dès lors, on comprend mieux les soupçons de l’Arcep qui, promet-elle, n’hésitera pas à sanctionner la Poste en cas d’abus.
http://www.quechoisir.org/services-vie-sociale/service-au-particulier/services-marchands/actualite-lettre-verte-l-arcep-voit-rouge
Merci à Jean-Michel, Olivier et René
http://www.quechoisir.org/services-vie-sociale/service-au-particulier/services-marchands/actualite-lettre-verte-l-arcep-voit-rouge
Merci à Jean-Michel, Olivier et René