03 septembre 2013

C'est la rentrée Ecole Marine nationale CIN Brest Lanvéoc Hourtin Toulon Ecole navale GEAOM Santé Bordeaux Rochefort Querqueville

Ecole navale C'est la Rentrée.. la cloche a sonné


C'est l'occasion de voir quelques cachets d'école et de centre de formation de la marine




D'abord l'Ecole navale à Lanvéoc Poulmic



L’école navale et le groupe des écoles du Poulmic, commandés par le contre amiral Philippe Hello depuis le 1er août 2012, sont implantés à Lanvéoc, sur la presqu’île de Crozon, en bordure de la rade de Brest.

L’École navale assure la formation initiale des officiers de marine, corps de conception et de direction de la Marine nationale.

Les officiers de Marine ne sont pas les seuls à disposer d’un enseignement rigoureux au sein de l’école navale.

Chaque année :

les officiers spécialisés de la marine de carrière (OSM) ;



les officiers sous contrat long (généralistes ou des spécialités techniques) ;

les officiers sous contrat court des spécialités d’état-major et les volontaires officiers aspirants y reçoivent leur formation initiale.




Le Centre d'Instruction Naval de Brest se situe sur la rade de Brest et occupe les bâtiments de l'ancienne École navale reconstruits après guerre.
Centre de formation initiale de la Marine, il regroupe trois écoles et deux centres de formation continue.









École au service des forces et de la Marine, le Centre d’Instruction Naval (CIN) de Saint-Mandrier forme les marins tout au long de leur carrière : formation initiale, formations élémentaires aux métiers, brevets d’aptitude technique, brevets supérieurs, cours supérieurs, cours de spécialité des officiers.



Le CIN s’étend sur 110 hectares et deux sites : l’un au nord, berceau des générations de mécaniciens depuis 1936, auxquels se sont ajoutés les électriciens en 1991 et les marins pompiers en 2002 ; l’autre au sud qui forme les marins dans les spécialités des armes et équipements (radar, guerre électronique, sonar, transmissions et informatique) et des opérations



Le groupe Jeanne d’Arc a accueilli, du 18 au 22 mai 2013, le contre-amiral Philippe Hello, commandant l’École navale et le groupe des écoles du Poulmic. Embarqué à bord du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre et de la frégate anti-sous-marine (FASM) Georges Leygues, il a rencontré les officiers-élèves qui poursuivent leur stage d’application à la mer.




Partis le 6 mars dernier, les 133 officier-élèves arrivent à mi-parcours de la mission Jeanne d’Arc 2013. Le déploiement opérationnel du groupe amphibie, composé du BPC Tonnerre et de la frégate anti-sous-marine (FASM) Georges Leygues, représente leur première mission de longue durée. La promotion, composée d’officiers-élèves de la promotion École navale 2010, de médecins-stagiaires, de commissaires-élèves, d’administrateurs-élèves et d’officiers-élèves étrangers, a pour objectif de profiter des activités opérationnelles du groupe et d’acquérir une expérience de chef militaire, en pratiquant in situ leur futur métier.




L'École du service de santé des armées de Bordeaux, appelée Santé Navale et autrefois École principale du service de santé de la Marine, formait jusqu'en 2011, comme son homologue à Bron, l'École du service de santé des armées de Lyon-Bron, des médecins destinés à servir au sein du Ministère de la Défense. Les « navalais » sont amenés à exercer dans les établissements propres du Service, notamment les Hôpitaux d'Instruction des Armées, les centres de recherches et les Écoles du Service de Santé des Armées mais aussi et bien sûr au sein des formations de l'Armée de Terre, Armée de l'Air, Marine Nationale et Gendarmerie Nationale.

L'École a fermé le 1er juillet 2011. Au total, 9 150 élèves y ont été formés depuis 1890, dont 600 pharmaciens de 1890 à 1984 et 3 dentistes de 2002 à 2009.

Sa mission a été reprise par l'École de santé des armées.



Le 30 juin 2000, le CFM Hourtin voyait sa dernière cérémonie des couleurs. La fin du service militaire, décidé en février 1996 par le Président Jacques Chirac venait de sonner le glas du plus important centre de formation maritime qui, depuis 1950, avait vu défiler plusieurs générations d'appelés sous la frondaison verte de la forêt landaise qui l'abritait.









Créée en 1912 à Rochefort par la réunion des écoles de comptabilité de la Marine en une école unique, l'école des fourriers a par deux fois été implantée à Cherbourg, avant et après-guerre. 
Le 1er septembre 1964, elle retrouve la Charente-maritime, dans la zone sud de l'ancien arsenal de Rochefort. Elle y prend alors un caractère interarmées. À la formation des fourriers de la Marine sont venues s'ajouter celles des secrétaires militaires, des gestionnaires de ressources humaines, des commis aux vivres, des cuisiniers et des maîtres d'hôtel. Progressivement, des aviateurs sont venus apprendre à cuisiner, puis en 1996, l'école a reçu pour mission de former les sous-officiers administratifs de l'armée de Terre.


L'idée d'organiser la formation des pilotes de la Marine prend corps dès la montée en puissance de l'aviation militaire, à l'issue de la Première Guerre mondiale. Dès 1922, les pilotes de la Marine sont formés à Rochefort, puis en 1929 à Versailles en interarmées dans les "écoles de l'armée", puis au sein de l'armée de l'Air, toujours à Versailles.
Avec la construction de l'école de l'Air, une structure marine au sein de cette école devient incontournable. Cette structure s'implante sur la base école de Salon-de-Provence en 1941. Elle s'appelle successivement, "détachement marine du centre-école de l'armée de l'Air", "section marine école", ou encore, "école des officiers brevetés d'aéronautique". Depuis 1994, elle se nomme école de l'aéronautique navale, ou EAN. En 2009, l'EAN est transféré sur la base aérienne 709 de Cognac.




L'école des fourriers est implantée sur un site historiquement riche: son passé remonte à la construction du fort de Querqueville, décidée par Louis XVI en 1776, sur l'emplacement d'un fortin élevé pendant la guerre de Sept ans. Associée à ce fort, une digue prolongeant la pointe de Querqueville a été construite entre 1889 et 1896 pour renforcer la protection de la rade de Cherbourg.
De nombreux établissements militaires se succèdent autour du fort tout au long des XIXe et XXe siècles, dont notamment:
un polygone d'entraînement au tir d'artillerie entre 1854 et 1857;
une caserne construite en 1895 pour recevoir les troupes coloniales et qui, jouxtant le terrain d'hydraviation installé par les armées alliées, sert d'hôpital complémentaire de 1914 à 1918. Rebaptisée caserne Dixmude, elle est cédée à la Marine afin d'incorporer et former des recrues;
une base de l'aéronautique navale, opérationnelle à partir de 1925, qui soutient deux escadrilles de chasse et deux de bombardement. Au cours de la Seconde guerre mondiale, elle sert aux Allemands, puis aux Américains. La Marine nationale l'utilise de nouveau de 1963 à 1966;
l'école des marins électriciens qui occupe en 1945 la caserne Dixmude et à laquelle se joint, en 1951, l'école de sécurité.



À partir de 1975 et jusqu'en 2002, le centre d'instruction naval (C.I.N.) de Querqueville incorpore et forme une grande partie des apprentis marins engagés initiaux de longue durée (EILD) et jusqu'en mars 2001, une partie des appelés. Au sein de son groupement d'instruction "Sécurité", il prépare et entraîne les équipages de la Marine nationale à la lutte contre les incendies, voies d'eau et agressifs nucléaires, biologiques et chimiques en utilisant la frégate Lucifer comme terrain d'entraînement très réaliste. Enfin, il forme les directeurs et les assistants de foyer de la Marine nationale



Le Centre d'Instruction Naval de Brest se situe sur la rade de Brest et occupe les bâtiments de l'ancienne École navale reconstruits après guerre.
Centre de formation initiale de la Marine, il regroupe trois écoles et deux centres de formation continue.

Sa mission est d'incorporer et d'assurer annuellement la formation initiale de 800 élèves maistranciers et 150 mousses, d'instruire les 340 élèves du Lycée naval, d'organiser des stages et des concours et de renforcer le niveau en langue anglaise (langue professionnelle) au profit du personnel des forces dans le cadre de la formation continue.

Ce centre est également pilote dans le domaine de la formation initiale du personnel non officier pour l'ensemble des écoles de la Marine.





Il existe bien d'autres centre de formation par exemple Lorient et ses fusiliers 

Affutez vos crayons et bonne rentrée scolaire


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