16 octobre 2015

On danse aussi à Toulon fête du timbre 2015 le tango

On ne danse pas qu'à Buenos Aires
On danse aussi à Toulon

le dernier tango avant d'embarquer sur le porte-avions Charles de Gaulle
une réalisation de Paul Roy, membre du club philatélique toulonnais mais aussi de la marcophilie navale

Aujourd’hui déclaré patrimoine immatériel de l’humanité par l’Unesco, le tango argentin est né dans les quartiers populaires de Buenos Aires à la fin du 19e s, alors que la capitale argentine accueillait les immigrants en masse. D’abord dansé dans les bordels, il était mal vu de la classe ouvrière.





Il fallut attendre qu’il traverse l’Atlantique juste avant la Première Guerre mondiale pour que, une fois codifié, il devienne « dansable par tout le monde » en Europe, puis par effet de mode en Argentine (où il restera toutefois dans sa forme originale). Cette métamorphose du tango argentin donnera sur le vieux continent le tango de salon ou tango anglais, encore prisé aujourd’hui dans les bals de nos arrière-grands-mères et dans les concours.


Cependant, le tango argentin était toujours qualifié de « danse diabolique », tant et si bien que les pays protestants l’interdirent. En France, pendant la guerre 1914-1918, il était dansé dans les bals clandestins. Dans une tribune parue dans Le Figaro en date du 10 janvier 1914, l’évêque de Dijon s’élevait contre cette danse « au nom de la dignité humaine, de la morale et de la religion ».



Puis, le tango retourna en Argentine, où il connut un franc succès auprès des classes populaires, puis des bourgeois, notamment avec l’introduction de nouveaux instruments comme le piano ou le bandonéon. C’est l’époque des grands noms du tango : des compositeurs comme Francisco Canaro, des instrumentistes : Aníbal Troilo, Osvaldo Pugliese et des interprètes comme Carlos Gardel.

En savoir plus : 
http://www.routard.com/zoom/cid132734-ou-danser-le-tango-a-buenos-aires.html#ixzz3okGhJx3G

un facteur qui ne chôme pas retour des TAAF

Retour des TAAF octobre 2015

Saint-Paul Amsterdam

tout d'abord un pli en provenance du district de Saint-Paul Amsterdam en date di 1er janvier 2015 et portant le cachet du gérant postal Frédéric de la 66e mission.



FS Floréal


deux plis du Floréal en date du 18-2-2015 en provenance de Port-aux-français à Kerguelen et une enveloppe en provenance de Alfred-Faure Crozet en date du 24-2-2015




Patrouilleur Austral Osiris

deux plis aussi le premier en date du 19-3-2015 en provenance d'Alfred Faure Crozet



et le second en date du 7-8-2015 en provenance de Martin de Viviés St-Paul Amsterdam. Il porte le cachet rectangulaire Osiris Mission Isis PAAM (Patrouilleur austral Affaires Maritimes) TAAF Crozet Kerguelen Amsterdam




PA Albatros

passage à Alfred Faure Crozet en date du 28-1 2015 cachet dernière mission TAAF janvier mars 2015 cachet du commandant et du PM électricien correspondant TAAF



PA Albatros

passage à Martin-de-Viviès St Paul-Amsterdam en date du 22-2-2015  cachet dernière mission TAAF janvier mars 2015 cachet du commandant et du PM électricien correspondant TAAF



PA Albatros

Une carte postale représentant l'Albatros à Kerguelen, timbre TVP MD2, TAD de la base d'Alfred Faure-Crozet en date du 24-5-2015



PA ALBATROS

enfin de nombreux plis (on peut penser que le correspondant TAAF a vidé ses soutes à Crozet avec les plis accumulés à bord en timbres TAAF, ou n'ayant pu être déposé aux TAAF antérieurement pour diverses raisons)
Timbre à date de la base d'Alfred-Faure- Crozet en date du 24-5-2015







le cachet du bord Albatros Adieu les 40èmes cachet du commandant signature, cachet du PM électricien et signature

merci à eux


MD2

 troisplis de Crozet Alfred-Faure en provenance du MD2 en date du 11-9-2015
au recto cachet CMA-CGM AMAEPF voyage du représentant signature du commandant et position de la base courrier posté à bord





au verso 
OP 02 2015 cachets Helilagon, Anne Deniau OP2 2015 RESPAK et signature de l'aumonier Babin

sur la seconde au verso le cachet d'Etienne Bon Médecin Marion Dufresne

AMSTERDAM

enfin deux enveloppes commémorant la première date d'utilisation du timbre TAAF à 0,50€ district de Saint-Paul & Amsterdam en date du 7-8-2015 cachet du salon de printemps 2015 Marc Boukebza 60 ans des TAAF





Humour dans le carré par Donec

mauvaise pioche pour l'homme à la cravate blanche



Bonjour à tous,

Il y a 70 ans, le 15 octobre 1945 disparaissait dans des circonstances plutôt barbares le maître d’œuvre de la collaboration : Pierre Laval.

Fils de cabaretier auvergnat, autodidacte, avocat à la force du poignet, défenseur des veuves et des orphelins, des travailleurs et des miséreux. Il va devenir l’indéboulonnable maire d’Aubervilliers. Devenu immensément riche, il abandonne l’extrême socialisme de sa jeunesse pour des positions politiques qui après la défaite de 1940 tourneront au désastre.





Sa cravate blanche douteuse, son éternel mégot aux lèvres, son teint olivâtre en faisait un personnage de la classe politique plutôt fruste et peu aimé. Laval était pourtant un homme du verbe qui dialoguait avec le satrape soviétique comme avec le dictateur italien.

De Gaulle ne l’oublie pas dans ses mémoires.





Porté de nature, accoutumé par le régime, à aborder les affaires par le bas, Laval tenait que, quoi qu'il arrive, il importe d'être au pouvoir, qu'un certain degré d'astuce maîtrise toujours la conjoncture, qu'il n'est point d'événement qui ne se puisse tourner, d'hommes qui ne soient maniables. Il avait, dans le cataclysme, ressenti le malheur du pays mais aussi l'occasion de prendre les rênes et d'appliquer sur une vaste échelle la capacité qu'il avait de composer avec n'importe quoi […] Il jugea qu'il était possible de tirer parti du pire, d'utiliser jusqu'à la servitude, de s'associer même à l'envahisseur, de se faire un atout de la plus affreuse répression. Pour mener sa politique, il renonça à l'honneur du pays, à l'indépendance de l'État à la fierté nationale […] Laval avait joué. Il avait perdu. Il eut le courage d'admettre qu'il répondait des conséquences ».

Il apparait brièvement dans le chef d’œuvre de Céline, « d’un château l’autre » ou son intervention met fin à une bagarre dans la gare de Sigmaringen.

Bref son sort fut t-il vraiment immérité ?

A la semaine prochaine

Donec

PS : Pontaniou est la prison maritime de Brest



14 octobre 2015

Marion Dufresne OP 02 2015

Marion Dufresne OP 02 2015

Quelques plis venus des TAAF et du MD2 avec quelques nouveaux cachets à signaler la signature de l'aumonier qui dessert les districts.


photo (c) JM Bergougniou

Extrait du journal de bord des touristes embarqués
"Appareillage ! Nous sommes partis pour un mois, en essayant d’imaginer ce que va être ce voyage, et en réalisant déjà à quel point nous sommes privilégiés d’y participer. Nous quittons le port au coucher du soleil, et quelques minutes plus tard, l’hélicoptère du bateau nous rejoint : il sera notre chaloupe de débarquement, les îles n’ont pas de port, c’est avec lui que nous gagnerons et quitterons la terre ferme…"









CROZET





Vendredi 11 Septembre 2015
"Crozet, Ile de la Possession
D’abord une ombre. Puis une île qui se découpe, doucement, dans la lumière du matin. A mesure que le soleil se lève, l’archipel de Crozet se dévoile lentement. Certains ont fait sonner le réveil un peu plus tôt, pour ne rien rater de l’arrivée. Les plus courageux ont même enfilé un blouson, pour mieux admirer l’île de la Possession, depuis les ponts extérieurs. D’autres, moins téméraires (ou plus avisés) sont restés à l’abri, le nez collé contre les vitres de la passerelle. Tout est calme. Le bateau entre en Baie du Marin, l’équipage est concentré. Le commandant, aux aguets, fait tout de même un petit aparté : « Vous voyez les cascades, là-bas ? Et bien les jours de grand vent, elles remontent ! C’est le seul endroit au monde que je connaisse où les cascades coulent à l’envers ! ». Le tableau est posé. L’ancre jetée. Nous voici face à Crozet."
Crozet l'ile de l'est photo (c) JM Bergougniou




Jeudi 10 Septembre 2015
"Une affaire de timbré : la philatélie aux TAAFColler un timbre sur une enveloppe, un geste simple qui aujourd’hui, à l’ère du courrier dématérialisé et de l’internet, relève plus du paiement des factures ou autres tracasseries de la vie quotidienne, qu’il n’évoque le rêve ou le voyage. Pourtant, dans les Terres Australes, il prend une toute autre dimension, celle du partage et d
e l’évasion."

Kerguelen





la passerelle MD2 photo (c) JM Bergougniou






Au sud de Kerguelen, on passe les 50e photo (c) JM Bergougniou




ça va rouler... photo (c) JM Bergougniou





Saint-Paul Amsterdam




Amsterdam Martin de Viviés photo (c) JM Bergougniou



Otarie d'Amsterdam photo (c) JM Bergougniou





Ile Saint-Paul, le cratère, la quille MD2 photo (c) JM Bergougniou


sources :


http://www.taaf.fr/Journal-de-bord-du-Marion-Dufresne-OP2-2015


fête du timbre 2015 Le Tango

fête du timbre 2015 le Tango

Cette année, comme en 2014, et comme pour 2016 et 2017 le sujet de la Fête du Timbre est la danse

Rendez-vous les 10 et 11 octobre 2015 pour la deuxième Fête du Timbre consacrée à ce sujet.

Cette année les danses retenues sont le tango pour le timbre et la danse contemporaine pour le bloc. 


Le tango, je me demande pourquoi ça se danse debout ! 




Christophe Laborde-Balen, le créateur et graveur du timbre « Le Tango » a mis en scène cette danse de bal née à la fin du XIXe siècle, en Argentine.

Un sentiment de nostalgie, de douleur, de passion, de séduction et de sensualité se dégage du timbre, avec au premier plan, un couple dansant le tango. L’artiste a ensuite choisi deux musiciens, dont un joue du bandonéon, l’instrument phare de ce genre musical.


Le timbre est imprimé en taille-douce et en offset pour accentuer la sensation de rythme.


 Le tango, c’est l’expression verticale d’un désir horizontal







merci à Marcel, olivier, Annie, Gérard, Jean et les autres
Historique des fêtes du timbre

http://www.ffap.net/Evenements/FduT.php?ad=1938

12 octobre 2015

Djibouti-Naval usage tardif du TàD en 1950

Djibouti-Naval usage tardif du TàD en 1950 Aviso La Grandière 


A partir du 2 septembre 1939, plusieurs bureaux navals seront mis en service dans les colonies et protectorats.



Ils utiliseront d'abord des timbres-à-date portant le nom de la ville suivi de "NAVAL" puis, pour ceux d'Afrique du Nord, un cachet anonyme "POSTE NAVALE / BUREAU N° XX".
Début 1940, afin de préserver le secret militaire, des cachets "muets" "POSTE NAVALE" remplaceront les cachets précédents pour le courrier ordinaire. Seuls les documents devant pouvoir être retournés à l'envoyeur le cas échéant (recommandés, mandats...) continueront de recevoir un cachet à numéro.
Des agences postales seront créées au printemps 1940 à Fort-de-France, Dakar et Diego-Suarez.


DJIBOUTI-NAVAL (novembre 1939 - juin 1940)



Seul le timbre-à-date "DJIBOUTI- NAVAL" est connu (pas de cachet à numéro connu. Il aurait dû s'appeler AGENCE POSTALE No 35). Le cachet est apposé en rouge en 1939 et en noir en 1940. Ce n'est pas de la complaisance car tous les plis connus au millésime 1939 sont revêtus d'une empreinte rouge. A partir du 1er janvier 1940, l'empreinte est imprimée à l'encre noire.

Après la fermeture de la Poste Navale (fin juin 1940) et durant la durée de la guerre le timbre à date est conservée à Djibouti. Peut-être est-il réutilisé à partir de 1943?



Le La Grandière est en extrême-Orient

"le 2 janvier 1950 il appareille pour une mission au Japon. Dans le détroit de Formose, le bâtiment essuiera un typhon sans dommage notable. À Yokosuka, port de guerre de Yokohama, le La Grandière embarquera 33 tonnes d'or (qui seront emmagasinées dans l'ancienne soute à essence de l'hydravion...), récupération de celui emmené par l'ennemi lors du pillage de l'Indochine par les troupes japonaises en 1943.
La mission se double d'une mission de représentation, aucun navire de guerre français n'étant venu dans les eaux japonaises depuis 1945. Des réceptions seront données par les autorités d'occupation Alliées au Japon, par l'Ambassade de France à Tokyo et par l'Association "Alliance Française". Le La Grandière transportera cette précieuse cargaison à Johore, port militaire de Singapour avant de reprendre la SURMAR.
Le 6 mars 1950, le La Grandière était quelque part dans le golfe du Tonkin quand il capta un message radio du PBY Catalina 8F-8 "FXCHH" en difficulté. Cet amphibie dut en fait amerrir. Retrouvé par le La Grandière, il fut décidé que l'hydravion serait pris en remorque. La mer devenant houleuse, l'amarre cassa par deux fois. Finalement, le commandant jugea la poursuite du sauvetage impossible et l'appareil fut coulé au canon...
En mer au large de Tourane le 26 mars, le La Grandière reçut une nouvelle mission. Il fallait recharger l'or déposé précédemment à Johore pour l'emmener à... Oran. Ce qui fut fait sans escale (nous allons voir que des escales eurent lieu), arrivant sous Santa Cruz le 24 avril.

Appareillé d'Oran le 2 mai 1950, le La Grandière se retrouvait à Saïgon le 9 juin, après escales à Djibouti et à Colombo et reprend la SURMAR." Source Net-marine 
http://netmarine.net/bat/batral/lagrandi/ancien.htm



Le TàD est réutilisé à partir de 1945. Témoin ce pli de l'aviso colonial La Grandière de 1950. Dans l'enveloppe, un courrier sur papier à entête de l'aviso colonial en date du 9 avril 1950. Le scripteur écrit :"mon bâtiment n'est plus en patrouille sur les mers d'Indochine, nous avons quitté cet endroit malsain pour une petite durée de     . Nous faisons route exactement sur Oran, auquel la durée de notre mission ne se terminera pas plus loin."
Il précise ensuite "Nous avons escale à Singuapour (sic) où l'on est resté deux jours... et nous avons repris chemin faisant sur Djibouti d'où aujourd'hui la fête de Pâques où nous sommes à trois jours de mer de Djibouti..."




La lettre est remise  au vaguemestre de l'Unité Marine de Djibouti le 16 avril. Le vaguemestre y appose le TAD Djibouti-Naval comme preuve de la prise en charge de la lettre. Le pli porte bien la mention FM Manuscrite et le cachet Marine nationale Service à la mer. Il peut donc transité par la Poste Navale.

La lettre sera acheminé par avion vers Paris ou Marseille naval. Le TAD Poste navale en date du 17-4-1950 y est apposé. L'absence de cachet d'arrivée ne nous permet pas de connaître la date de distribution à Brest.

Il semblerait donc que les Unités Marine de Diego-Suarez et Djibouti aient utilisé de façon non postale les TàD des "Sections Marines des Bureaux Centraux Militaires Coloniaux locaux" laissés sur place durant la guerre. Les difficultés des liaisons avec la France du la guerre peuvent en être une raisons


- Diego-Suarez sans bloc dateur de 1943 ? au 17-07-1945

- Djibouti avec bloc dateur sans millésime 1943 ? à 1952 ?



le second pli officiel celui là a suivi le même trajet et le millésime est lui aussi absent sur le TàD Djibouti naval. 
Il est à noter qu'il était inutile que le vaguemestre de l'Unité Marine agisse ainsi puisque le vaguemestre du La Grandière avait apposé le cachet de franchise au type ancre "Service à la Mer".

L'avis d'un ancien vaguemestre est interessant : 

" Je pense que l'on a laissé les TàD BN aux Vaguemestres de Diego et Djibouti pour leur donner de l'importance, de l'autorité vis à vis des vaguemestres des différentes unités présente sur zone. En effet je pense qu'ils étaient chargés de récuperer les dépêches à l'arrivée et de répartir le courrier, ainsi que de récupérer le courrier départ des différentes unités présentes sur zone pour constituer dépêches ou sacs au départ. En quelque sorte un "super-vaguemestre" (vaguemestre-chef) ou un "mini-agent postal", sans opérations financières, avant l'heure.
De plus, il était ainsi sûr que le courrier au départ avait un cachet de franchise et d'origine pour éviter la taxation de la lettre en cas de défaut."



sources : Djibouti-Naval (Novembre 1939 - Juin 1940) La Marcophilie navale 
n°10

Merci à Henri pour ses conseils

11 octobre 2015

ASSEMBLEE NATIONALE

Assemblée Nationale




C’est une œuvre de JONONE, artiste américain, qui symbolise ici le Palais Bourbon et les valeurs de la République. 


Conservée dans le salon des Marianne à l’Assemblée nationale, cette œuvre de JONONE s’intitule "Liberté, Egalité, Fraternité". Elle s’inspire de l’œuvre du peintre Eugène Delacroix (1798-1863) "La liberté guidant le peuple". 









L’Assemblée nationale est née avec la révolution française de 1789. Elle siège au Palais Bourbon dans le 7éme arrondissement de Paris sur la rive gauche de la Seine. Son rôle principal est de débattre, d’amender et de voter les lois, avec 577 députés élus au suffrage universel direct pour une durée de cinq ans. Elle forme avec le Sénat, le Parlement français de la Vème République.



JONONE, américain d’origine dominicaine, est né à Harlem en 1963. Ce pionnier du street art a débuté dans le monde du graffiti adolescent, en taguant les murs et les métros de New York. Artiste autodidacte, il commence à peindre sur toile en 1985. En 1987 suite à l’invitation de Bando, il s’installe à Paris. L’année 1990 est décisive, il rencontre Me Pierre Cornette de Saint Cyr qui lui permet de s’installer à l’hôpital éphémère, squat établi dans l’hôpital Bretonneau, de 1991 à 1996. Il y côtoie Sharp, Ash, JayOne et Skki et A-One qui l’initient au monde de l’art parisien. Sa première exposition personnelle, intitulée "grafitism" a lieu en 1990 à Berlin. Suivront des expositions collectives et personnelles dans le monde entier. Ses toiles sont une explosion de couleurs et JONONE se décrit comme "un peintre graffiti expressionniste abstrait".

Source LA POSTE

PHM Commandant Blaison TANGER MED25 Maroc EUNAVFORMED IRINI

TANGER MED25 PHM Cdt Blaison  Le 23 avril 2025, le patrouilleur de haute mer (PHM) Commandant Blaison a appareillé de Brest dans le cadre de...