La Marcophilie Navale
Code des postes et des communications électroniques
Version consolidée au 17 janvier 2009
Partie réglementaire - Décrets simples
LIVRE Ier : Le service postal
TITRE VII : Poste maritime.
Article D94-1 En savoir plus sur cet article...
Modifié par Loi n°2004-669 du 9 juillet 2004 - art. 1 (V) JORF 10 juillet 2004
Tout armateur d'un navire devant faire escale dans un port de la France métropolitaine est tenu de faire connaître au ministère des postes et communications électroniques ainsi qu'au représentant qualifié du service des postes du port d'escale, un mois au moins à l'avance, le jour présumé du départ du navire.
Il devra également indiquer quels sont les ports que ce navire touchera ultérieurement au cours de son voyage, en précisant pour chaque port les dates d'arrivée et de départ probables.
Article D94-2 En savoir plus sur cet article...
Créé par Décret 62-275 1962-03-12 JORF 14 mars 1962 rectificatif JORF 30 mars 1962 et JORF 8 avril 1962
Il est interdit à tout capitaine de navire d'appareiller d'aucun port de la métropole, pour quelque destination que ce soit, sans être muni d'un certificat du représentant qualifié du service des postes du lieu, constatant la remise des dépêches postales ou indiquant que le service postal n'en avait pas à lui remettre. Cette mesure ne s'applique pas aux services appareillant d'un port de la métropole à destination d'un autre port de la métropole.
Article D94-3 En savoir plus sur cet article...
Créé par Décret 62-275 1962-03-12 JORF 14 mars 1962 rectificatif JORF 30 mars 1962 et JORF 8 avril 1962
A son arrivée dans le port de sa destination, tout capitaine de navire remet son certificat et les dépêches au représentant qualifié du service des postes du lieu de débarquement ; il en tire un reçu qu'à son retour dans un port de la métropole il remet au représentant qualifié du service des postes du lieu qui lui en délivre une reconnaissance.
Article D94-4 En savoir plus sur cet article...
Tout armateur d'un navire devant faire escale dans un port des départements ou des territoires d'outre-mer doit faire connaître, un mois au moins à l'avance, au représentant qualifié du service des postes du lieu :
-la date présumée de départ du navire du port considéré ;
-la date d'arrivée du navire dans le port de destination de la France métropolitaine.
Tout capitaine de navire ne peut appareiller sans être muni d'un certificat du représentant qualifié du service des postes de la ville port d'escale mentionnant le nombre de dépêches postales qui lui ont été remises ou attestant que le service postal n'avait pas de dépêches à lui remettre.
Arrivé au port de destination, le capitaine doit remettre ce certificat au représentant qualifié du service des postes du lieu qui lui en délivre reçu.
Article D95-1 En savoir plus sur cet article...
Modifié par Loi n°2004-669 du 9 juillet 2004 - art. 1 (V) JORF 10 juillet 2004
L'échange des dépêches entre les agents de l'administration des postes et communications électroniques et des capitaines de bâtiments libres, c'est-à-dire non reconnus comme paquebots-poste et ne bénéficiant pas, d'autre part, des primes prévues par la loi sur la marine marchande, s'effectue sur le quai maritime à proximité des navires. Les frais de transport entre le bureau de poste et le point choisi pour les échanges sont à la charge de l'administration des postes et communications électroniques.
Article D95-2 En savoir plus sur cet article...
Modifié par Loi n°2004-669 du 9 juillet 2004 - art. 1 (V) JORF 10 juillet 2004
Les navires libres peuvent être tenus d'assurer le service des colis postaux.
Les conditions de rémunération de ce transport sont fixées par le ministre des postes et des communications électroniques, dans le cadre des dispositions de l'arrangement de l'Union postale universelle concernant les colis postaux.
Article D95-3 En savoir plus sur cet article...
Modifié par Loi n°2004-669 du 9 juillet 2004 - art. 1 (V) JORF 10 juillet 2004
La rétribution allouée par l'administration des postes et communications électroniques aux armateurs de bâtiments libres naviguant entre la France et les départements ou territoires d'outre-mer est fixée par décret pris par le ministre des postes et des communications électroniques, contresigné par le ministre des finances.
23 janvier 2009
BSM Loire
BSM LOIRE GAP 09
Mission GAP 09

Mais il part d'où ce bateau et où va-t-il?
on va mettre en oeuvre l'atelier détection
Et bien ceux qui pensaient que le port de départ était Brest (Le port d'attache de la Loire étant Brest même) ont tout faux...
Le code ROC 21048A est le code de "Toulonggggg" où le BSM LOIRE récupérait le Verseau… basé à Toulon
Mais cette enveloppe aurait très bien pu être mise à la boîte à Vesoul, le Creusot, Romorantin, Murat... ou Gap
http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/loire
Mission GAP 09

Mais il part d'où ce bateau et où va-t-il?
Qui sait qui est le bureau 21048A?
Atelier détection
Composé de deux brevetés supérieurs, il met en œuvre et assure le dépannage des moyens de détection du B.S.M. LOIRE ainsi que celui des différent Chasseur de Mines de la Force de guerre des mines. Cet atelier est également à la pointe dans le domaine du dépannage des transpondeurs I.F.F. Des stages ont été dispense à l’atelier détection au sein de DCN Brest , AVON COMMUNICATIONS Marseille et au C.I.N. ST MANDRIER . L’atelier détection renforce également la veille radar en passerelle dans le domaine lutte anti-navire menace terrorisme .Il procède également lors de manœuvres aviations au ralliement des aéronefs destinés au B.S.M.
Et bien ceux qui pensaient que le port de départ était Brest (Le port d'attache de la Loire étant Brest même) ont tout faux...
Le code ROC 21048A est le code de "Toulonggggg" où le BSM LOIRE récupérait le Verseau… basé à Toulon
Mais cette enveloppe aurait très bien pu être mise à la boîte à Vesoul, le Creusot, Romorantin, Murat... ou Gap
http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/loire
Le 13 janvier 2009, la Loire appareille de Brest pour sa toute dernière mission, en compagnie du CMT Croix du Sud. Le déploiement qui doit durer 130 jours, prévoit aussi deux exercices majeurs : un multinational (Aman 09) et un autre franco-kowétien : Pearl of the West (Seas ?) 2009. Le groupe a aussi pour mission de reconnaître les fonds marins de la zone, sensible en raison de l'importance du trafic maritime, mais aussi nécessaire pour sécuriser le transit d'un groupe aéronaval ou amphibie.
Après une escale à Toulon, où le Verseau les rejoint, un ravitaillement à la mer entre la Loire et le Verseau a lieu le 22 janvier. Les trois bâtiments franchissent le canal de Suez le 4 février 2009 pour gagner la mer Rouge puis l'océan Indien.
Le 21 février en mer Rouge, le Verseau aperçoit un nuage de fumée orange signifiant qu'un navire est en détresse. Le groupe se déroute et découvre un bateau de pêche omanais à la dérive qui, après investigation, est en avarie électrique totale et donc sans moyen de communication ni de propulsion. Une équipe du soutien de la Loire est envoyée à bord. Malgré l'acharnement dont font preuve les six marins envoyés à bord, seul l'alimentation électrique redémarre. Avant de poursuivre leur route, le groupe alerte les secours omanais.Le groupe Loire, Croix du Sud et Verseau, arrive pour sa première escale à Djibouti le 7 février, où il rencontre le Commandant Ducuing (8 au 11 février). Escales à Karachi(Pakistan - 4 au 14 mars), Abu Dhabi (18 au 28 mars).
FORBIN TOULON
La Marcophilie Navale
Marine : Première cérémonie des couleurs sur la frégate Forbin
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109308&u=6833
Marine : Première cérémonie des couleurs sur la frégate Forbin
http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109308&u=6833
21 janvier 2009
Corsair de la Marine
Corsair F4U7
merci à Etienne pour ces images et infos


Vénérable corsair F4NL (reconstruit F4U7 aux couleurs de la 14F à partir d'une épave argentine par une équipe de passionnés de nos anciens au Castellet), piloté ici par notre ami le CF(h) Ramon JOSA lors d'une "sortie des familles" du CdG en 2006, vient d'arrêter de voler en ce début de 2009. Selon des informations relayées par le bureau communication de CECMED, il serait même mis en vente...
http://www.youtube.com/watch?v=St5qdtTe1yg
Chasseur de mines tripartite CMT La guerre des Mines
Les Chasseurs de Mines Tripartites CMT

CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
D'un déplacement légèrement plus fort, il bénéficie de l'expérience acquise pour les équipements.
L'innovation la plus marquante est l'adoption, pour la première fois en France sur des bâtiments de ce tonnage, d'un matériau nouveau, le Composite Verre Résine (C.V.R.), en étude à la DCAN (Direction des Constructions et Armes Navales) de Cherbourg depuis les années 50.
Le chasseur de mine tripartite a été adopté également par l'Indonésie et le Pakistan.
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
La chasse aux mines s'effectue en plusieurs étapes : la détection d'objet suspect à plus de 1200 mètres de distance puis la classification de ces objets à plus de 600 mètres de distance. Dans le cas d'une " mine possible ", le commandant ordonne alors son identification visuelle puis sa destruction éventuelle par les plongeurs démineurs du bord ou les mini sous-marins type " PAP 104 ".
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
Les missions de service public, recherche d'épaves, traitement d'engins sous-marins suspects et assistance aux navires civils constituent des missions secondaires de la force de guerre des mines. Ces missions ont toutefois pris, depuis quelques années, une place plus importante, avec la montée en puissance de l'action de l'état en mer.
Les CMT ont un équipage de 48 personnes dont 4 officiers, 35 officiers mariniers et 9 quartiers maîtres et matelots.
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
Les CMT ont un équipage de 48 personnes dont 4 officiers, 35 officiers mariniers et 9 quartiers maîtres et matelots.
CMT Céphée Photos JM Bergougniou |
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20 janvier 2009
BSM Loire CMT Croix du Sud CMT Verseau
La Marcophilie Navale
Photo JMB
Photo jmb
photo jmb

photo jmb

CMT Pégase ravitaillé par la Loire
GAP 2009 BSM Loire Verseau Croix du Sud
Vendredi 16 janvier 2009, en mer…
07h00… Brest. La Croix du Sud a quitté son poste et nous, de notre côté, larguons nos dernières aussières. « A tous de passerelle nous appareillons ! »
07h00… Brest. La Croix du Sud a quitté son poste et nous, de notre côté, larguons nos dernières aussières. « A tous de passerelle nous appareillons ! »
Le ronronnement de la cheminée se fait plus distinct, le quai défile lentement sur tribord. Les remorqueurs largués, le pilote vient de quitter le bord.
Le cap est mis sur les passes. Début d’une grande aventure pour la Loire et la Croix du Sud qui, d’ici quelques jours, seront rejointes par le Verseau …


GEAOM Jeanne d'Arc en escale à Abou Dhabi
GEAOM Jeanne d'Arc en escale à Abou Dhabi



http://www.ambafrance-eau.org/

La ville d'Abou Dabi (Abu Dhabi) est fondée en 1791 par la tribu bédouine des Bani Yas avec à leur tête Chakhbut bin Dhiyab. Ils se replient dans la région, fuyant les Wahhabites du Nejd qui étendaient leur territoire.
Alors partie intégrante de l'émirat de Dubaï, Abou Dabi se constitue émirat à part entière en 1833 à l'instigation du clan al-Maktoum, une des branches des Bani Yas.
Durant le règne de Cheikh Zayed bin Khalifa al Nahyan (1855-1908), l'émirat prend de l'importance en préservant sa souveraineté face au Royaume-Uni et devient un des principaux centres exportateurs mondiaux de perles. À sa mort, une guerre de succession se déclenche et prend fin avec l'avènement de Cheikh Chakhbut bin Sultan al Nahyan en 1928. L'économie basée sur les perles s'effondre dans les années 1930 avec l'introduction sur le marché mondial des perles de culture japonaises. Le commerce des dattes, le dressage des chameaux, la pêche et la production de légumes dans les oasis d'Al Ain et de Liwa lui permettent de subsister. En 1939, l'émir accorde des concessions pour du pétrole qui sera découvert à partir de 1958.
Alors partie intégrante de l'émirat de Dubaï, Abou Dabi se constitue émirat à part entière en 1833 à l'instigation du clan al-Maktoum, une des branches des Bani Yas.

Durant le règne de Cheikh Zayed bin Khalifa al Nahyan (1855-1908), l'émirat prend de l'importance en préservant sa souveraineté face au Royaume-Uni et devient un des principaux centres exportateurs mondiaux de perles. À sa mort, une guerre de succession se déclenche et prend fin avec l'avènement de Cheikh Chakhbut bin Sultan al Nahyan en 1928. L'économie basée sur les perles s'effondre dans les années 1930 avec l'introduction sur le marché mondial des perles de culture japonaises. Le commerce des dattes, le dressage des chameaux, la pêche et la production de légumes dans les oasis d'Al Ain et de Liwa lui permettent de subsister. En 1939, l'émir accorde des concessions pour du pétrole qui sera découvert à partir de 1958.
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