St Malo Georges Leygues Escale annulée

Marcophilie Navale, St Malo

Accompagnant le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc dans son demi-tour du monde avec les élèves officiers, la frégate Georges Leygues a été contrainte de rallier Brest plus tôt que prévu.

Victime d'une avarie sur ses moteurs diesels, le bâtiment a rejoint sa base finistérienne mercredi dernier. Faute de diesels, le Georges Leygues était en effet contraint de naviguer sur turbines à gaz, mode de propulsion destiné aux allures rapides et particulièrement gourmand en combustible.
« Compte tenu de son programme d'activité ultérieur, le commandement opérationnel a décidé son retour pour permettre une réparation dans les meilleurs délais », explique la Marine nationale.
Le retour de la frégate à Brest a entrainé l'annulation de l'escale prévue à Saint-Malo du 30 mai au 2 juin.

La Jeanne d'Arc, de son côté, a poursuivi son programme, faisant escale ce week-end à Rouen. Le porte-hélicoptères appareille aujourd'hui pour rentrer à Brest où il arrivera mercredi. La Jeanne et sa conserve avaient quitté Brest en décembre dernier.


source : mer et marine
http://www.meretmarine.com/

FREMM AQUITAINE

FREMM AQUITAINE


On peut supposer qu'il s'agit d'une phase des travaux et de la mise en place de l'étrave ?
A préciser... le 5 juin Lorient Armées






http://www.dcn.fr/offre/batiments_surface/fremm.html


Marine nationale. Le régime sec se confirme

La Marine nationale va devoir réduire très sérieusement la voilure : c'est ce qui ressort du Livre blanc présenté demain aux parlementaires. Dans ces conditions, pas de salut pour DCNS sans l'export. Le document de 180 pages est encore tenu secret mais le sort de la Marine semble être scellé dans ce Livre blanc : ce sera la rigueur, le régime sec. Certes, il manque encore les arbitrages financiers mais six Fremm devraient passer à la trappe, le programme des sous-marins nucléaires d'attaque Barracuda pourrait être étalé. Pas un mot dans le Livre blanc du second porte-avions. On parle simplement du « maintien d'un groupe aéronaval en mer, quand il est disponible ». Ce que l'on peut logiquement traduire par l'abandon du second porte-avions... Mais « c'est le Président qui décide ! », diront encore ceux qui veulent croire que ce n'est pas foutu...
11 Fremm au lieu de 17 Le Livre blanc se plonge dans la flotte de surface. Il estime à 18 le besoin et le nombre de frégates de premier rang, quand la cible initale était de 26... Le document ne précise pas le nombre de Fremm à construire. Mais, si l'on prend en compte les 5 frégates Lafayette et les deux Horizon, on en déduit qu'il devrait y avoir 11 Fremm, ce qui est peu pour remplacer une flotte vieillissante. Le programme initial était de 17 unités pour 7 milliards d'euros. Les huit premières ont été commandées pour un montant de 3,5 milliards d'euros. Il y aura un délai de 13 mois entre la réalisation de la première frégate, construite à Lorient, et la seconde, les autres devant suivre au rythme d'une livraison tous les sept mois. C'est cet effet de série qui a fait des Fremm, des frégates compétitives, environ 100 millions d'euros de moins que les concurrentes allemandes. C'est ce qu'a expliqué Jean-Marie Poimboeuf, auditionné récemment par les sénateurs. Si l'on ralentit la cadence de livraison, l'addition grimpe de 10 à 15 % !
La situation de DCNS reste fragile, avait déclaré le P-DG au Sénat.
Jusqu'à 3.000 postes supprimés ! Le chiffre d'affaires devrait passer de 2,8 milliards d'euros en moyenne ces cinq dernières années à 2,6 milliards d'euros pour 2008-2009. « Pour rétablir sa rentabilité, DCNS a décidé de réduire son effectif d'environ 800 personnes, sur un effectif actuel de 13.000 personnes ». Pas de plan social, ce sont des postes qui ne seront pas remplacés, sur les trois ans à venir. Le Livre blanc ne devrait pas arranger les affaires de DCNS. Moins de frégates, ralentissement des programmes Fremm et Barracuda : le P-DG n'a pas caché au Sénat que cela se traduirait par des réductions d'effectifs « qui iraient jusqu'à 3.000 personnes ». Les sous-traitants seraient les plus touchés, les sites comme Lorient, Cherbourg et Indret les premiers concernés.
Regard vers l'export Il est clair que, pour DCNS, il n'y aura pas de salut sans l'export. Si DCNS réussit à décrocher des contrats, la maison pourra faire face à cette passe délicate. La Fremm pour le Maroc est sur les rails. Il y a des touches très sérieuses avec la Grèce (pour 6 Fremm), l'Algérie et l'Arabie saoudite.
Le Télégramme

Les discutions entre la France et la Grèce à propos de la vente de frégates FREEM "avancent bien", a indiqué samedi un proche du président Nicolas Sarkozy.
Les discutions portent sur l’achat par la Grèce de 10 frégates, a précisé le responsable en marge d’une visite du président au Liban.
"C’est ce qui est sur la table," a déclaré le responsable qui a refusé d’être identifié, "Le dossier avance bien."


Référence : Reuters


http://www.netmarine.net/bat/fremm/aquitaine/index.htm

pour en savoir plus :
http://www.ixarm.com/-FREMM-

Dupleix Déploiement Extrême-Orient

Le Dupleix et l’Inde : une histoire de trois siècles





Par FASM Dupleix le mercredi, 28 mai 2008, 12:54 - Lien permanent


Tout juste sorti du détroit de Malacca, le Dupleix s’est engagé dans le golfe du Bengale.

Direction la côte est de l’Inde pour le dernier, mais pas le moindre, des exercices de notre déploiement : Varuna, qui tire son nom d’une divinité hindoue des océans, s’est déroulé au large des côtes indiennes entre les villes de Chennai et Vishakapatnam.

Il s’agissait en quelque sorte d’un retour aux sources pour notre bâtiment dont le nom, rappelons-le, est intimement lié à l’histoire du pays. En attestent les défenses d’éléphant décorant le carré des officiers subalternes, don du bâtiment d’expérimentations et d’essais Commandant Rivière lors de son retrait du service actif.

Petite anecdote à ce sujet, ces défenses furent offertes en 1967 au Lieutenant de Vaisseau Falcon de Longevialle, servant à l’époque sur le Commandant Rivière, par un chasseur gabonais lors d’une escale à Libreville. De quoi faire sourire n’importe quel zoologiste amateur. Autant dire en effet que cet ornement n’a pas grand chose à voir avec le pachyderme qui figure sur le blason du Dupleix et dont les défenses sont, comme chacun sait, plus courtes que celles de son cousin africain. Mais fermons là cette parenthèse : la relâche à Chennai était la bienvenue après cinq journées d’exercice particulièrement denses et riches en activités variées. Dépaysement garanti dans ce pays dont les us et coutumes diffèrent foncièrement des nôtres et occasion de découvrir une culture unique en son genre. Certains ont donc visité Pondichéry, une ville qui reste attachée au souvenir de Joseph François Dupleix, qui en fut le gouverneur et la défendit avec succès en 1747 contre les Anglais.
Jeudi dernier le Dupleix a de nouveau pris le large, laissant le port de Chennai dans son sillage.

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/dpx

Poste aux armée On ferme

Marcophilie Navale fermeture des agences postales, des activités courrier

L'agence postale du PH Jeanne d'arc ferme. Finis les flammes et les timbres à date...

Ce dernier a fait l'objet d'un cachet spécifique reprenant le TAD hexagonal et l'emblème du PH.


Le même sur enveloppe illustrée avec TAD manuel


et d'un cachet denier jour de la flamme



L'agence Lorient ferme aussi sur enveloppe DGA

Marcophilie Navale, Jeanne d'Arc le retour 2008 GEAOM Maroc Casablanca

Jeanne d'Arc en escale à Casablanca mai 2008

Le ministre marocain de la Communication, porte-parole du gouvernement, Nabil Benabdellah, a visité mercredi le porte-hélicoptères français Jeanne d’Arc qui fait escale, du 4 au 9 mai, au port de Casablanca avec à bord le "Groupe école d’application des officiers de marine".
L’objectif de cette visite est d’expliquer aux jeunes élèves officiers de la Marine française "un Maroc moderne, un Maroc qui avance à grands pas vers le progrès socio-économique et l’ouverture à grande échelle", a déclaré Benabdellah en marge de cette visite qui s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de France à Rabat, Philippe Faure.
L'économiste

Les marines française et allemande accostent à CasablancaVisites à bord, conférences, séminaires économiques : le partenariat maritime relancé.

Le groupe d'action navale franco-allemand composé du navire-école, le porte-hélicoptères « Jeanne-d'Arc » et des frégates « Hamburg » et « Köln « , a fait escale au port de Casablanca du 21 au 25 mai 2008.Lors d'une conférence de presse suivie d'une visite des deux navires, les commandants de bord français et allemand ont expliqué les missions de ce groupe et l'objectif de cette escale. Ils ont également souligné l'intégration croissante des armées européennes grâce, notamment, aux efforts conjugués de la France et de l'Allemagne qui, par ailleurs, entretiennent avec le Maroc une coopération militaire et maritime nourrie.

La présence de la Jeanne au port de Casablanca a été aussi l'occasion de mettre en valeur le partenariat maritime franco-marocain dans toutes ses dimensions. Les aspects militaires, notamment la formation et l'acquisition de matériel, permettent le développement de l'interopérabilité entre les deux armées.

La marine royale a récemment acheté une frégate FREMM et près d'une centaine d'officiers de la marine royale ont été élèves sur la Jeanne d'Arc depuis 1962. Par ailleurs à l'occasion de cette escale, c'est tout le bassin d'activités de la ville de Brest, port d'attache du navire-école « Jeanne d'Arc », qui a établi des relations avec les opérateurs de la ville de Casablanca. En effet, une délégation, conduite par le maire de la communauté urbaine de la ville de Brest et composée d'une centaine d'élus, hommes d'affaires et scientifiques, a séjourné à Casablanca du 18 au 23 mai 2008.Les membres de cette délégation ont eu des entretiens avec leurs homologues marocains, au cours, notamment, de séminaires thématiques sur la sécurité maritime et portuaire, la gestion intégrée des zones côtières ou encore la gestion d'entreprise. Dans le même esprit, l'entreprise Renault a dévoilé au grand public, sur le pont du porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, son nouveau véhicule 4X4.
Ambassade de France au Maroc

Escale à Casablanca

Marcophilie Navale Frégate Cassard Québec

Marcophilie Navale, Quebec Rendez-vous naval avec la frégate Cassard

exercice GAM O8

à l'occasion du 400 éme anniversaire de Québec, le CASSARD a participé à un rassemblement de navires à Québec

http://www.villequebec2008.com/ville-quebec-2008-400e-festivites/ville-quebec-2008-400-anniversaire.htm

Selon les organisateurs, 125.000 personnes ont assisté au plus important rassemblement de navires de guerre survenu à Québec depuis un siècle.

La ville canadienne a accueilli du 29 mai au 1er juin le Rendez-vous Naval en marge du 400ème anniversaire de la création de Québec, fondée en 1608 par le navigateur français Samuel de Champlain.

La Marine nationale était bien évidemment présente avec la frégate antiaérienne Cassard, déployée en Atlantique depuis le mois d'avril. La flotte canadienne était représentée par le pétrolier ravitailleur protecteur, une frégate du type City et un patrouilleur de la classe Kingston.

http://www.mnq-nmq.org/francais/programmation2008/histoire-naval.html

La Royal Navy avait, pour sa part, dépêché une frégate du type 23, les Etats-Unis un transport de chalands de débarquement du type San Antonio et l'Irlande un patrouilleur de la classe Roisin. Durant le week-end, 35.000 personnes ont visité ces navires militaires.

http://www.rendezvousnaval.com/fr

Après avoir participé à cet évènement, qui sera prolongé en juillet par d'autres festivités marquant les 400 ans de Québec, le Cassard poursuit sa mission.

Enveloppe de l'escale à St Pierre en date du 5 juin 206 Timbres locaux SPM

Après un passage à Saint-Pierre-et-Miquelon, ultime possession française en Atlantique Nord, la frégate rejoindra les eaux plus chaudes des Caraïbes, où elle est attendue à Fort de France (11 au 16 juin).

A l'issue d'exercice avec les forces françaises basées aux Antilles, une ultime escale est prévue à San Juan (Porto-Rico) du 1er au 5 juillet. Le Cassard remettra alors le cap sur la métropole, son retour à Toulon étant programmé le 18 juillet.

Marcophilie Navale courrier reçu durant mon séjour à Toulon

Fregate De Grasse 

Mission annulée GAM 08

Frégate anti-sous-marine De Grasse (D 612)


Présentation
Mise sur cale à Lorient le 25 juillet 1972
Lancée le 30 novembre 1974
Admise au service actif le 1er octobre 1977
Missions
La frégate De Grasse est conçue pour la lutte anti-sous-marine
Elle peut être mis en œuvre au sein d'une force navale dans les eaux où régne une menace aérienne


Gazole. Trois missions de la Marine annulées

Plutôt gloutonne quand il s’agit de gazole, la marine nationale a annulé trois missions prévues cet été pour minimiser les effets de la flambée des cours du pétrole.
Après avoir fait des ronds dans l ’ eau au large de la Birmanie, l ’ équipage du Mistral devait se réconforter du 11 au 16 juillet au Havre. Opération annulée. Idem pour une mission de « présence » en mer Noire de la frégate Montcalm, de retour de la « Finul navale » , le long des côtes libanaises. Mais l ’annulation la plus significative est celle d ’une mission de la frégate De Grasse aux côtés du porte-avions américain Theodore - Roosevelt qui doit embarquer prochainement plusieurs Rafale, l ’avion de chasse français.

« Pas des missions essentielles »

Selon Lepoint.fr, qui a révélé ces décisions, la participation du Montcalm à une opération internationale Narcops de lutte contre le trafic maritime de stupéfiants prévue dans la foulée est également annulée. La raison : avec la flambée du cours du pétrole, l’armée doit faire des économies. « On a sacrifié des missions importantes mais pas essentielles » , a concédé le capitaine de vaisseau Jérôme Erulin, chef du Sirpa Marine.



pas de cachet signalant que la mission est annulée... Le manque de pétrole n'est pas porteur dans la marine...

La consommation de pétrole des armées au regard de la consommation française reste modeste avec près de 1,5 % du total. Pour autant, la défense n ’ échappe pas aux effets sur ses finances de l ’ envolée des cours du brut qui ont quintuplé depuis 2003. « En 2005, les armées dépensaient 650 millions d ’ euros environ pour un pétrole à 55 dollars du baril en moyenne, aujourd’hui, avec un baril à 120 dollars, la facture s ’est alourdie de 300 millions » , selon un expert.

source : Le Télégramme de Brest et d'ailleurs