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01 mars 2014

FREMM MOHAMMED VI

FREMM MOHAMMED VI

Merci à Bernard Hily qui profite des éclaircies dans les grains pour réaliser quelques photos. Aujourd'hui la frégate Mohammed VI





Le constructeur naval DCNS a livré jeudi au Maroc un bâtiment de guerre de son programme de Frégates européennes multimissions (Fremm), en présence du prince Moulay Rachid, frère cadet du roi Mohammed VI. La propriété de la frégate "Mohammed VI" a été officiellement transférée à la Marine nationale marocaine lors d'une cérémonie à la préfecture maritime de l'Atlantique, en présence également du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et du PDG de DCNS Patrick Boissier.




La frégate Mohammed VI est la deuxième à être sortie des chantiers du constructeur naval, après la frégate Aquitaine, livrée en novembre 2012 à la Marine française, qui en a commandé onze au total. La troisième, la Normandie, effectue actuellement ses essais en mer. Elle doit être livrée à la Marine française au deuxième semestre de 2014.




Comme d’autres unités brestoises de la Force d’action navale, le BCR Somme est en mer depuis quelques jours au profit de la frégateASM Latouche-Tréville qui est actuellement en stage de mise en condition opérationnelle (MECO) en mer d’Iroise.

Le 26 février 2014, l’équipage du BCR Somme a réalisé des manœuvres d’aviation et des manœuvres de présentation au ravitaillement à la mer (PRERAM) avec la Frégate marocaine Mohammed VI , récemment prise en charge par la Marine royale marocaine, mais toujours en phase d’entraînement à Brest.


photos Bernard Hily




La FREMM Mohammed VI est toutefois doté d’un système hybride, dit CODLOG (COmbined Diesel eLectric Or Gas), c'est-à-dire un moteur électrique et une turbine à gaz. Les diesels alternateurs « MTU » et les moteurs électriques de propulsion « Jeumont », les deux moteurs à aimants permanents dont la frégate est donc également équipée, lui permettent d’évoluer silencieusement à basse vitesse, au maximum jusqu’à 16 nœuds. La furtivité est l’une des caractéristiques essentielles de la FREMM, dont l’une de ses missions principales serait la chasse aux sous-marins intrus dans les eaux territoriales nationales. Chose qui ne peut se faire qu’en suscitant le moins d’écho sur le sonar d’un submersible éventuellement infiltré dans les profondeurs marines.
Exemple de ces intrus des profondeurs marines, ceux, de fabrication russe, de la classe « Kilo », qui équipent la marine d’un pays voisin. Les submersibles dudit pays, signalés de temps à autre du détroit de Gibraltar, le long des côtes espagnoles, jusqu’en Méditerranée orientale, du côtés des eaux syriennes, se montrent tellement agressifs et maladroits que l’un d’entre eux aurait tiré par erreur sur un sous-marin britannique, en novembre dernier. L’information est rapportée par le journal émirati « Imarat Al-Youm », daté du 05 novembre 2013, reprenant une dépêche de la très sérieuse et bien informée agence Reuters. Les quatre sous-marins de classe Kilo du pays en question ne sont pas, en effet, dénudés de moyens pour se montrer nocifs. Ils sont dotés de missiles anti-navires Klub-S, très difficiles à détecter, d’une portée de plus de 320 kilomètres. Outre l’installation récemment achevée sur ces submersibles de missiles Surface-Air de type S-300. Afin de tenir à l’écart ce genre de visiteurs indésirables des profondeurs, la FREMM a été dotée, en termes de matériel de détection électronique, de véritables bijoux de la technologie militaire.
sources :
http://rpdefense.over-blog.com/tag/FREMM/

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