Humour dans le carré par DONEC
Bonjour la compagnie,
Parmi les épreuves que notre pays a traversées, il en est une dont nous ne nous sommes par remis : la guerre d’Algérie. Commencée sur le mode maintien de l’ordre, elle s’est terminée par une incompréhension totale, des drames et des légendes noires qui ont la vie dure.
Ces épreuves d’il y a 65 ans aucun des protagonistes ne les a surmontées et les blessures restent vives.
Je viens de lire un ouvrage de Georges-Marc Benamou qui tente de mettre un peu d’ordre dans cet imbroglio de haines et de mensonges car il y en a de très nombreux..
En 4ème de couverture il nous met en haleine et nous plonge dans le bain.
Ces épreuves d’il y a 65 ans aucun des protagonistes ne les a surmontées et les blessures restent vives.
Je viens de lire un ouvrage de Georges-Marc Benamou qui tente de mettre un peu d’ordre dans cet imbroglio de haines et de mensonges car il y en a de très nombreux..
En 4ème de couverture il nous met en haleine et nous plonge dans le bain.
« Au terme d’une longue enquête, au cours de laquelle il a rencontré des témoins nombreux et de tous bords, il dénonce les silences, les mensonges et les crimes d’Etat qui entourent encore ce conflit. Mensonge des Socialistes qui débutèrent la guerre et couvrirent la torture pratiquée par l’armée française.
Mensonge de la droite qui n’hésita pas à trahir les Français d’Algérie et l’armée pour prendre le pouvoir.
Mensonge des dirigeants pieds-noirs qui créèrent leur propre malheur en bloquant toute réforme durant un siècle.
Mensonges du FLN qui spolia le peuple algérien de son indépendance. » .
Voilà, le décor est planté il ne reste plus qu’à faire entrer les acteurs et suivre le drame qui sera consommé avec l’attitude méprisante vis-à-vis des pieds noirs du général De Gaulle. Il n’a pas oublié leur préférence pour le général Giraud en 1943. Ne parlons même pas des harkis qu’il a rayés du monde des vivants avec la complicité de ministres courtisans.
A bientôt pour de nouvelles aventures.
Donec
Sur la peau de bouc : « Ivresse complète rue Saint-Yves et s’être mis à genoux sur le passage d’un enterrement »
Le vieux Konrad Adenauer s’est retiré tôt dans ses appartements. Enfoncé dans un canapé, le général et Couve de Murville commentent la visite du chancelier.
- Au fond dit Couve, Adenauer a peu de cartes dans son jeu. Certes il est à la tête d’un grand et prospère pays… Mais l’Allemagne n’a plus d’unité. Elle n’a même plus de frontières. Et puis Berlin…Elle n’a plus de capitale. Alors que lui reste t-il ?
- Paris ! dit le général
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