Brest sous les bombes septembre 1944
un beau documentaire de la ville de Brest en septembre 1944
La bataille de Brest fut l'une des plus féroces disputées dans le cadre de l'Opération Cobra, comme on désigne la percée alliée en Normandie qui commença le27 juillet 1944 durant la Bataille de Normandie.
Le plan de reconquête de l'Europe des Alliés consistait, en partie, à prendre possession de ports pour pourvoir aux besoins énormes des troupes en matière d'approvisionnement. En effet, on estimait que 37 divisions alliées se trouveraient sur le continent en septembre 1944 et qu'elles auraient besoin de 26 000 tonnes de provisions par jour. Le port principalement visé était celui de Brest.
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https://www.youtube.com/watch?v=p1UD_dk3k3s&feature=youtu.be
Dès son arrivée à Brest, le VIIIe corps d'armée des États-Unis, dirigé par le général Troy Middleton de la IIIe armée américaine du général George Patton encercle la ville et la prend d'assaut. Les combats s'avèrent extrêmement difficiles, car la garnison allemande est bien retranchée et est composée en partie deFallschirmjäger, des parachutistes militaires d'élite dirigés par le général Hermann-Bernhard Ramcke.
Une fois de plus, les parachutistes allemands se sont montrés à la hauteur de leur réputation tout comme lors des batailles précédentes, dont celle du mont Cassin. Tandis que certaines unités plus faibles se sont rendues assez vite, les Fallschirmjäger ont âprement défendu leur position malgré les bombardements, les raids aériens et les assauts terrestres soutenus des troupes américaines. Pour chaque petite avancée dans la ville, les Alliés perdaient beaucoup d'hommes.
Conformément à leur doctrine militaire, les Américains ont tenté de mettre à profit la supériorité de la puissance de feu de leur artillerie et de leur flotte aérienne pour écraser leur ennemi, plutôt que de l'affronter au corps à corps. Les Allemands, de leur côté, avaient stocké une quantité considérable de munitions pour la défense de la ville et disposaient d'armes de tous les calibres, des canons antiaériens légers aux canons navals, cachés dans les fortifications et dans les blockhaus.
La bataille fut intense ; les troupes alliées, qui se déplaçaient de maison en maison, eurent beaucoup de difficulté à détruire les fortifications (des constructions françaises et allemandes) en raison des fortes salves qui éclataient de toutes parts.
À la fin de la bataille, la ville de Brest était rasée ; seules quelques vieilles fortifications médiévales en pierre avaient tenu le coup.
https://www.youtube.com/watch?v=p1UD_dk3k3s&feature=youtu.be
Dès son arrivée à Brest, le VIIIe corps d'armée des États-Unis, dirigé par le général Troy Middleton de la IIIe armée américaine du général George Patton encercle la ville et la prend d'assaut. Les combats s'avèrent extrêmement difficiles, car la garnison allemande est bien retranchée et est composée en partie deFallschirmjäger, des parachutistes militaires d'élite dirigés par le général Hermann-Bernhard Ramcke.
Une fois de plus, les parachutistes allemands se sont montrés à la hauteur de leur réputation tout comme lors des batailles précédentes, dont celle du mont Cassin. Tandis que certaines unités plus faibles se sont rendues assez vite, les Fallschirmjäger ont âprement défendu leur position malgré les bombardements, les raids aériens et les assauts terrestres soutenus des troupes américaines. Pour chaque petite avancée dans la ville, les Alliés perdaient beaucoup d'hommes.
Conformément à leur doctrine militaire, les Américains ont tenté de mettre à profit la supériorité de la puissance de feu de leur artillerie et de leur flotte aérienne pour écraser leur ennemi, plutôt que de l'affronter au corps à corps. Les Allemands, de leur côté, avaient stocké une quantité considérable de munitions pour la défense de la ville et disposaient d'armes de tous les calibres, des canons antiaériens légers aux canons navals, cachés dans les fortifications et dans les blockhaus.
La bataille fut intense ; les troupes alliées, qui se déplaçaient de maison en maison, eurent beaucoup de difficulté à détruire les fortifications (des constructions françaises et allemandes) en raison des fortes salves qui éclataient de toutes parts.
À la fin de la bataille, la ville de Brest était rasée ; seules quelques vieilles fortifications médiévales en pierre avaient tenu le coup.
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