Frégate La Motte-Picquet : 25 ans de parrainage
Depuis un quart de siècle, la Ville de Rennes parraine la frégate de la marine nationale La Motte-Picquet. Cet anniversaire vient d'être fêté à Saint-Malo, le temps d'une escale.
L'imposante silhouette grise de la frégate La Motte-Picquet, bâtiment de combat de la marine nationale, a fait escale à Saint-Malo, ce week-end, pour accueillir des Rennais, au premier rang desquels Nathalie Appéré, maire, accompagnée de Lénaïc Briéro, adjointe à l'éducation et aux politiques mémorielles.
Elle étaient venues célébrer, avec des élèves de l'école primaire Oscar-Leroux et leur enseignant, les vingt-cinq ans du parrainage qui unit la Ville et la frégate.
Dans son discours d'accueil, le capitaine de vaisseau Patrick Cazin, commandant du La Motte-Picquet a souligné « les liens étroits et indéfectibles noués année après année, malgré les changements de commandants et d'élus ». Et de souhaiter « un parrainage toujours plus actif et fort ».
Une plaque rue de la Motte-Picquet
Nathalie Appéré a refait un peu d'histoire. « Il y a trente ans, le 11 février 1985 exactement, le conseil municipal de Rennes adoptait, à l'unanimité, un voeu en faveur de ce parrainage. Cet engagement se concrétisa le 2 décembre 1989, il y a maintenant un peu plus de vingt-cinq ans, dans les salons de notre hôtel de ville. Edmond Hervé et le capitaine de vaisseau Cuny signaient officiellement la charte de parrainage. »
Ainsi se créait un « lien indéfectible » entre Rennes et une frégate qui porte le nom « de l'un des plus illustres marins que notre pays ait connu et d'un des plus célèbres enfants que notre ville ait vu naître en 1720 : Toussaint Picquet de la Mothe, comte de La Motte-Picquet. « Je ne veux travailler que pour la gloire et le bien de l'État », écrivait-il. Il s'y dévoua lors de 34 campagnes, qui lui valurent des blessures et le titre de lieutenant général des armées navales. Au terme de cette vie d'aventures, il mourut en 1791, dans cette Bretagne qui lui était chère. Non pas à Rennes mais à Brest, votre port d'attache. »
Nathalie Appéré a salué l'action de Jeanine Huon, avant d'annoncer la pose d'une plaque prochainement, rue de La Motte-Picquet, à Rennes, et de réaffirmer l'engagagement de la Ville :« Je tiens à ce que ce parrainage demeure un lien vivant, empreint de fierté et de reconnaissance, comme doivent toujours l'être les liens entre la Nation et ses forces armées. »
Les membres de l'équipage sont soucieux de témoigner de leur engagement au service de la défense de la nation et de faire connaître la spécificité d'un cadre de vie professionnel où, à la mer, 230 personnes vivent et travaillent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, dans un espace qui ne dépasse pas 139 m de long. Ils ont donc fait découvrir leur unité, tout au long de ces deux jours, aux Rennais de divers horizons qui avaient été conviés à bord.
Depuis un quart de siècle, la Ville de Rennes parraine la frégate de la marine nationale La Motte-Picquet. Cet anniversaire vient d'être fêté à Saint-Malo, le temps d'une escale.
L'imposante silhouette grise de la frégate La Motte-Picquet, bâtiment de combat de la marine nationale, a fait escale à Saint-Malo, ce week-end, pour accueillir des Rennais, au premier rang desquels Nathalie Appéré, maire, accompagnée de Lénaïc Briéro, adjointe à l'éducation et aux politiques mémorielles.
Elle étaient venues célébrer, avec des élèves de l'école primaire Oscar-Leroux et leur enseignant, les vingt-cinq ans du parrainage qui unit la Ville et la frégate.
Dans son discours d'accueil, le capitaine de vaisseau Patrick Cazin, commandant du La Motte-Picquet a souligné « les liens étroits et indéfectibles noués année après année, malgré les changements de commandants et d'élus ». Et de souhaiter « un parrainage toujours plus actif et fort ».
La Motte Piquet (c) Richard Johnson |
Une plaque rue de la Motte-Picquet
Nathalie Appéré a refait un peu d'histoire. « Il y a trente ans, le 11 février 1985 exactement, le conseil municipal de Rennes adoptait, à l'unanimité, un voeu en faveur de ce parrainage. Cet engagement se concrétisa le 2 décembre 1989, il y a maintenant un peu plus de vingt-cinq ans, dans les salons de notre hôtel de ville. Edmond Hervé et le capitaine de vaisseau Cuny signaient officiellement la charte de parrainage. »
Ainsi se créait un « lien indéfectible » entre Rennes et une frégate qui porte le nom « de l'un des plus illustres marins que notre pays ait connu et d'un des plus célèbres enfants que notre ville ait vu naître en 1720 : Toussaint Picquet de la Mothe, comte de La Motte-Picquet. « Je ne veux travailler que pour la gloire et le bien de l'État », écrivait-il. Il s'y dévoua lors de 34 campagnes, qui lui valurent des blessures et le titre de lieutenant général des armées navales. Au terme de cette vie d'aventures, il mourut en 1791, dans cette Bretagne qui lui était chère. Non pas à Rennes mais à Brest, votre port d'attache. »
Nathalie Appéré a salué l'action de Jeanine Huon, avant d'annoncer la pose d'une plaque prochainement, rue de La Motte-Picquet, à Rennes, et de réaffirmer l'engagagement de la Ville :« Je tiens à ce que ce parrainage demeure un lien vivant, empreint de fierté et de reconnaissance, comme doivent toujours l'être les liens entre la Nation et ses forces armées. »
Les membres de l'équipage sont soucieux de témoigner de leur engagement au service de la défense de la nation et de faire connaître la spécificité d'un cadre de vie professionnel où, à la mer, 230 personnes vivent et travaillent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, dans un espace qui ne dépasse pas 139 m de long. Ils ont donc fait découvrir leur unité, tout au long de ces deux jours, aux Rennais de divers horizons qui avaient été conviés à bord.
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