Escale de Saint-Malo Annulée
article publié le 30 Mai 2008 Le Télégramme
G.-Leygues : Retour à Brest
La conserve de la Jeanne-d'Arc est arrivée à bon port, hier. Le Georges-Leygues avait subi une panne de deux turbos.La frégate anti-sous-marine Georges-Leygues est arrivée, hier matin, à son poste dans la base navale. Un retour en présence des familles pour la « conserve » de la Jeanne-d'Arc, habituée à vivre un peu dans l'ombre du porte-hélicoptères.Partie de Brest le 15 décembre, la frégate rejoint avec quelques jours d'avance son port-base.
La raison, la panne de deux turbos sur les moteurs de propulsion. Ainsi que l'explique le commandant de la frégate, le capitaine de frégate Guillaume Chové, la priorité a été donnée aux missions prévues pour la suite, entre autres, la présence à Rouen lors des fêtes de juillet, en compagnie du Latouche-Tréville, avec pour conséquence une campagne d'application légèrement écourtée et l'annulation de l'escale prévue à Saint-Malo.
Trente ans en 2009
Le Georges-Leygues, qui a été construit par l'arsenal de Brest, a été mis en service en 1979. Il fêtera donc l'année prochaine ses 30 ans, ce qui pourrait peut-être expliquer les problèmes mécaniques rencontrés.Après avoir été affecté pendant une vingtaine d'années à Toulon, il a ensuite rejoint Brest et effectue depuis, en compagnie de la Jeanne, la campagne d'application. Il accueille également à son bord 30 élèves officiers. Ceux-ci ont été confrontés à des situations réelles, puisque la frégate a été appelée à intervenir lors de la prise du Ponant par les pirates.Une coopération avec le Yémen qui a montré l'aptitude du navire à changer de mission et de configuration dans un délai très court. Les élèves ont également pris conscience de la rapidité avec laquelle une situation apparemment calme peut basculer.
Expertises et réparations
Les deux turbos défaillants vont maintenant faire l'objet d'expertises pour décider de leur réparation ou de leur remplacement. Première frégate de la série, le Georges-Leygues devrait être désarmé en 2012.
Le Télégramme
article publié le 30 Mai 2008 Le Télégramme
G.-Leygues : Retour à Brest
La conserve de la Jeanne-d'Arc est arrivée à bon port, hier. Le Georges-Leygues avait subi une panne de deux turbos.La frégate anti-sous-marine Georges-Leygues est arrivée, hier matin, à son poste dans la base navale. Un retour en présence des familles pour la « conserve » de la Jeanne-d'Arc, habituée à vivre un peu dans l'ombre du porte-hélicoptères.Partie de Brest le 15 décembre, la frégate rejoint avec quelques jours d'avance son port-base.
La raison, la panne de deux turbos sur les moteurs de propulsion. Ainsi que l'explique le commandant de la frégate, le capitaine de frégate Guillaume Chové, la priorité a été donnée aux missions prévues pour la suite, entre autres, la présence à Rouen lors des fêtes de juillet, en compagnie du Latouche-Tréville, avec pour conséquence une campagne d'application légèrement écourtée et l'annulation de l'escale prévue à Saint-Malo.
Trente ans en 2009
Le Georges-Leygues, qui a été construit par l'arsenal de Brest, a été mis en service en 1979. Il fêtera donc l'année prochaine ses 30 ans, ce qui pourrait peut-être expliquer les problèmes mécaniques rencontrés.Après avoir été affecté pendant une vingtaine d'années à Toulon, il a ensuite rejoint Brest et effectue depuis, en compagnie de la Jeanne, la campagne d'application. Il accueille également à son bord 30 élèves officiers. Ceux-ci ont été confrontés à des situations réelles, puisque la frégate a été appelée à intervenir lors de la prise du Ponant par les pirates.Une coopération avec le Yémen qui a montré l'aptitude du navire à changer de mission et de configuration dans un délai très court. Les élèves ont également pris conscience de la rapidité avec laquelle une situation apparemment calme peut basculer.
Expertises et réparations
Les deux turbos défaillants vont maintenant faire l'objet d'expertises pour décider de leur réparation ou de leur remplacement. Première frégate de la série, le Georges-Leygues devrait être désarmé en 2012.
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