25 septembre 2010

Patrouilleur Austral ALBATROS

Escale aux Kerguelen le 28 avril 2010


Mission n°2-2010



L'arche des Kerguelen

Kerguelen en sortant de la baie de la Table



Port aux Français et le Marion Dufresne

 Sur la Péninsule Rallier du Baty  Cap Rosily

Le doigt de Sainte-Anne au fond de la baie Larose

23 septembre 2010

BH LAPEROUSE

Escale à Saint-Malo du BH LAPEROUSE

A quai le Lapérouse et le Sorlandet

Lancé en 1986, La Pérouse effectue des travaux hydrographiques au profit du Service océanographique et hydrographique de la Marine (Shom), tout étant rattaché organiquement à la Force d’action navale. Basé à Brest, il a pour mission principale de sillonner les chenaux, afin d’obtenir une cartographie précise des fonds et des obstacles qui s’y cachent. Il participe ainsi à la surveillance des fonds marins.
Le navire est actuellement en escale à Saint-Malo. Il sera ouvert au public samedi, de 10 h à 12 h, et dimanche, de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h. Visites gratuites à bord.

Ouest-France





Quand Saint-Malo prend des airs de Provence

Navires à Quai
NavireDate EntréeFrêt DébarquéQuaiProvenanceAgent
Pavillon (IMO)Date Déhalage 1QuaiDate Déhalage 2
Type de NavireDate SortieFrêt EmbarquéQuaiDestinationAgent
Etoile du Roy22/09/2010 16:45EscaleD17MerXX
G-B (0000000)
EscaleEscaleD17
La Pérouse22/09/2010 18:45EscaleV1MerAFM
France ()
Navire de Guerre27/09/2010 09:25EscaleV1Mer
Sorlandet16/09/2010 15:50V2COU
Norvège (5334561)
Grand Voilier24/09/2010 08:02V2
Derin22/09/2010 20:00DAPV9MarocAMB
Turc (9001150)
Marchandises DiversesV9
Rara Avis22/09/2010 18:02EscaleV2/3MerXX
France ()
Marchandises DiversesEscaleV2/3
 Armorique22/09/2010 16:50EscaleB14MerXX
France (8988181)
Marchandises DiversesEscaleB14
Condor Rapide23/09/2010 11:43Pass+Vehic.F1JerseyMOR
Bahamas (9161560)
PassagerPass+Vehic.F1Jersey
Bretagne23/09/2010 07:45Pass+VéhiculesF2PortsmouthBAI
Français (8707329)
PassagerPass+VéhiculesF2Portsmouth

Jacques Cartier23/09/2010 11:39PassagersG3JerseyC.C
France (9447689)
PassagerPassagersG3Jersey



Le site internet du journal Ouest-France


Trois bâtiments du Service hydrographique et océanographique de la Marine (Shom) étudient les courants et les fonds, du Nord Bretagne au Pas-de-Calais.

Basés à Brest, où le Shom emploie l'essentiel de ses 525 personnels, leBorda, le Laplace et le La Pérouse sont en mission, depuis le 13 septembre, au large des côtes nord de la Bretagne. « Nous mouillions des courantomètres qui nous permettront de déterminer la force et la direction des courants », explique Laurent Louvart, directeur du GHA (groupe hydrographique de l'Atlantique). Des données qui intéressent d'abord la Marine, mais aussi tous les navigateurs.
À partir de lundi, le La Pérouse franchira le Cap de la Hague pour déposer d'autres courantomètres au large de la Normandie. « Le choix des sites a été établi par les scientifiques et n'a aucun lien avec les projets d'exploitation des énergies marines. » Les résultats seront toutefois accessibles, moyennant finances, aux opérateurs potentiels.
Des données précieuses pour les marins
Les trois bâtiments de la Marine effectuent aussi des relèvements sous-marins. Étonnamment, la côte nord de la Bretagne, dans sa partie centre et est, ne dispose pas de données récentes. Parfois, les cartes marines sont établies sur des renseignements qui remontent à 1870. « Le Shom a d'abord concentré ses efforts sur les grandes routes maritimes et les accès des grands ports », explique le directeur du GHA. Le terrain d'investigation est gigantesque et les moyens relativement modestes.
Équipé de matériels de détection très performants, le Shom redessine au plus près la réalité des fonds. « Les modifications sont ensuite portées sur nos cartes papiers et numériques », indique Laurent Louvart. Parfois, il faut signaler un obstacle dangereux. « Un avis urgent aux navigateurs et alors diffusé. » De quoi donner des frayeurs rétrospectives aux marins. « Les modifications peuvent être importantes. Ainsi, au large de Saint-Quay-Portrieux (22) et Saint-Vaast-la-Hougue (50), nous avons recensé trente hauts fonds jamais portés sur une carte. »
Dans le Pas-de-Calais, la surveillance est constante. « Les fonds n'y excèdent pas 40 mètres et les mouvements de dunes sous-marines importants. » Une montagne de sable peut ainsi migrer de plus de cent mètres en 24 heures. Vu le trafic maritime dans le détroit, la mission du Shom et essentielle. Belges et Anglais s'y collent aussi. Ils en discuteront, les 28 et 29 septembre, à Brest, lors de la réunion de la 29econférence de la commission hydrographique de la mer du Nord.
Jean-Pierre BUISSON.


BH LAPEROUSE


Dans le bassin quai Duguay-Trouin

21 septembre 2010

Journée du Patrimoine Toulon Fort Lamalgue

La Marcophilie Navale au Fort LAMALGUE








« Une pure merveille architecturale », selon Tony Marmottans, mais que beaucoup de Toulonnais ne connaissent pas. Erigé à partir de 1760 par l'architecte Millet de Monville, le fort Lamalgue possède une grande cour d'honneur entourée de quatre bastions et de leurs casemates. C'est dans cette cour que Louis XVII fut proclamé roi de France en 1793. Le fort, imprenable, véritable sentinelle pour Toulon, a servi par la suite de prison, notamment en 1851, lors de l'insurrection du Var. L'émir Abd el-Kader (1808-1883, qui s'opposa à la colonisation de l'Algérie) y a également été emprisonné quelques mois.



Fort Lamalgue
Samedi 18 et dimanche 19 de 9 h à 18 h
-Visite guidée du site
-Exposition de maquettes (avions et navires)
-Exposition des collections postales de la Marcophilie Navale
-Exposition de collections d'uniformes par le conservatoire de la tenue
-Conférences par M. Bernard Cros sur « le fort Lamalgue dans le système
défensif oriental de Toulon »
-Stands d'information de l'A.G.P.M. et de l'ACORAM
-Stand d'animations pour enfants, concours de peinture
-Concerts à 16 h


Merci à Claude et Bernard

Dernière cérémonie des couleurs à Toulon BAP Jules Verne 2010

17 septembre 2010 TOULON dernière cérémonie des couleurs du B.A.P. Jules Verne





























Inscrit au budget de 1961 comme transport de munitions, le Jules Verne a été mis sur cale en 1969 à Brest sous le nom d'Acheron et lancé le 30 mai 1970. Il est alors resté à l'état de coque jusqu'en 1973, date à laquelle sa transformation en Bâtiment Atelier Polyvalent (BAP) a été décidée. Le BAPJules Verne a été admis au service actif le 17 septembre 1976.




Il fut affecté pendant plus de 20 ans aux Forces Maritimes de l'Océan Indien. Il était un des symboles de Djibouti et sa silhouette figure d'ailleurs à l'effigie d'un billet de 10 000 FDJ, malheureusement aujourd'hui retiré de la circulation. Le Jules Verne a quitté la zone à trois reprises, en 1981, 1988 et 1994, pour bénéficier de grands carénages à Brest, avant de rejoindre en décembre 1997, la Force d'Action Navale.





C'était le plus important bâtiment de soutien de la Marine nationale. Il a pour mission principale le soutien d'une force navale engagée dans une opération de projection, ce qui fait de lui un élément essentiel de l'endurance d'une force navale sur un théâtre d'opérations. Il peut ainsi accompagner une force navale et en assurer à la mer ou dans un point d'appui à proximité du théâtre des opérations, le soutien technique(maintenance, assistance en cas d'avarie de combat) ainsi que le ravitaillement en pièces de rechange, en munitions et gazole.




Le Jules Verne a effectué sa dernière sortie à la mer le 19 février 2009, avant son désarmement. Il a été placé en position « en complément » le 23 février, et « en réserve » le 1er juillet 2009. Une partie de son équipage a été transféré vers l'atelier militaire de la flotte (AMF) de Toulon. Après sa condamnation, la coque est destinée à la déconstruction.




Le bâtiment avait pour ville marraine Nantes, depuis le 26 mai 1976. Son pavillon de tradition arborait, depuis l'an 2000, la devise « Soutenir pour vaincre ».






Article paru sur Mer et Marine


Les désarmements de navires se poursuivent à un rythme assez soutenu au sein de la Marine nationale. Vendredi, le bâtiment atelier polyvalent Jules Verne a connu sa dernière cérémonie des couleurs. En présence de son dernier commandant, le pavillon a été rentré une dernière fois. Le BAP, qui avait réalisé son ultime sortie en mer en février 2009, perd son nom et rejoint les vieilles coques bonnes pour le démantèlement.
D'abord mis sur cale en 1969, à Brest, en tant que transport de munitions, le Jules Verne, initialement baptisé Achéron, a finalement été achevé à partir de 1973 comme bâtiment atelier. Il devait alors pouvoir assurer le soutien d'une force navale de trois à six bâtiments opérant loin des bases métropolitaines et sans logistique terrestre.




C'est, ainsi, que le Jules Verne sera déployé de nombreuses années en océan Indien, où il effectuera des opérations de maintenance à partir du port de Djibouti. Basé les 10 dernières années de sa carrière à Toulon, il ne suivait plus les escadres, notamment en raison de sa vitesse réduite. En revanche, il était régulièrement envoyé en Afrique dans le cadre de Corymbe, mission de présence permanente dans le golfe de Guinée. Le Jules Verne était très apprécié des pays visités, ses ateliers servant notamment à l'entretien des bâtiments des marines alliées dans la région.



Long de 150 mètres, le Jules Verne comptait 11 ateliers. Cinq étaient dédiés au charpentage, au gréement, à la tôlerie, à la chaudronnerie, à l'électricité, à la mécanique générale et à la mécanique de précision. Six autres ateliers étaient spécialisés dans les équipements : armes, torpilles, transmissions, détection sous-marine, détection électromagnétique...
Faute de crédits, le navire n'a pas été remplacé.






Photos Alain Rabier et Claude Arata
Merci à eux

20 septembre 2010

The Tall Ships Race 2010

Courrier non expédié à la date faute de dépêche Marine


TAD Manuel Brest Recouvrance 17-9-2010

Un siècle de Marins du ciel Lann-Bihoué 18-09-2010

L'Alouette et le Lynx

Escadrille 22S

L’escadrille 22S est née en 1946 sur la base d'Agadir (Maroc).

Rapatriée à Saint-Raphaël, elle y sera dissoute avant de renaître de ses cendres à Lanvéoc-Poulmic, en 1964.

« Pedro » sur les porte-avions, missions locales de SAR (Search And Rescue), détachements sur des bâtiments de soutien (campagne des pêches, Henri Poincaré ou Monge, Outre-mer), les Alouette de la 22S volent sur tous les océans.





Depuis 1976, dotée d’Alouette VSV (Vol sans visibilité), l’escadrille forme les équipages aux particularités du vol au-dessus de l’eau, de jour comme de nuit. Elle assure également le soutien des bâtiments à la mer, et a survolé toutes les mers du globe.

photo JM Bergougniou

Deux types d'Alouette III sont ou ont été mises en oeuvre par les formations de l'Aéronautique navale : l'Alouette III SA316B dont une série, les SA316 B VSV (VSV= Vol Sans Visibilité), a été équipé pour l'entraînement au vol aux instruments, et l'Alouette III SA319B dont l'équipement permet le vol en IMC et qui fut le premier hélicoptère de lutte anti-sous-marine à embarquer sur les frégates ASM du type Tourville avant d'être remplacées dans ce rôle par le Lynx WG13.

photo JM Bergougniou
L'Alouette III dispose d'une capacité d'emport plus importante que l'Alouette II, elle est également équipé de turbines Astazou et permet le vol aux instruments. Elle possède également deux ballonets latéraux gonflables automatiquement dans l'eau de mer, ou manuellement en vol par l'équipage.

photo JM Bergougniou
photo JM Bergougniou
La marine nationale a commandé 37 SA-316B, SA-316B VSV et SA-319B (sauvetage en mer, liaison, formation des équipages embarqués). Les premiers SA-316B ont été affectées aux escadrilles 20S (Saint Raphaël 1962/1991), 23S (Saint-Mandrier août 1962/1999, qui a fourni les détachements « Pedro » aux porte-avions Foch et Clemenceau) et 22S (recréée à Lanvéoc-Poulmic le 1er aout 1964 en soutien de la 2e RM et pour assurer les détachements « Pedro » des porte-avions français, alors basés à Brest.


LYNX


photo JM Bergougniou

Construit par la firme britannique Westland, et principalement utilisé dans la marine francaise en lutte anti-sous-marine, l'hélicoptère Lynx peut également être déployé lors de missions de lutte anti-surface.

Il possède des bonnes capacités de détection propres avec des instruments précis de navigation, un radar pour la lutte au dessus de la surface, un sonar pouvant être immergé jusqu'à près de 150 mètres ou un dispositif de lancement de bouées acoustiques en détection passive et enfin des moyens d'interception radio et radar.

C'est aussi un porteur d'armes avec une capacité d'emport de deux torpilles anti-sous-marine MK46. Son autonomie est d'environ deux heures de vol et se réduit en fonction de l'armement embarqué, de la nécessité de faire du vol stationnaire pour la mise en oeuvre du sonar, et des conditions météorologiques, température et humidité principalement.

photo JM Bergougniou
http://www.agustawestland.com/

photos JM Bergougniou

Un siècle de Marins du ciel Lann-Bihoué 18-09-2010

Dassault FALCON 10 M


57S


Le Falcon 10 est un biréacteur d'affaires construit par Dassault Aviation.

Étudié en 1969, il succéda au Falcon 20 avec des dimensions réduites mais une distance franchissable accrue qui se voulait proche de 3000 km. Avant même le premier vol, Pan Am en commanda 40 et une filiale deLufthansa, 15.

Le 1er décembre 1970, le prototype effectua son premier vol, équipé de 2 réacteurs à simple flux General Electric CJ610, qui seront remplacés par 2 Garrett TFE731-2-1C, avant de reprendre les essais en vol le15 octobre 1971.

Les essais initiaux furent endeuillés par la perte de deux pilotes d'essai lors de la rupture en vol d'un prototype le31 octobre 1972 au-dessus de Romorantin. Ce fut le seul accident lors de la mise au point de toute la série des Falcon.

La certification a lieu en 1973 et le Falcon 10 est alors le plus rapide des avions d'affaires : il est surnommé le «Corporate bullet» par les pilotes.

Le Falcon 100 en est l'évolution de mêmes caractéristiques présentée en 1977.

La production débuta en 1971 et s'est terminée en 1991 par l'avion n°226.

Une version d'entraînement et de surveillance maritime, le Falcon 10 Mer, est actuellement en service dans l'Aéronautique Navale
.




L

e premier exemplaire est livré à l'aéronautique navale en avril 1975. Les 6 avions commandés sont répartis entre les escadrilles 57S et 3S stationnées respectivement à Landivisiau et Hyères-Le Palyvestre. Au sein de la 57S le Falcon est principalement utilisé pour l'entraînement des pilote de chasse au vol basse altitude, à l'utilisation du radar et aux procédures IFR (instruments flight rules ou règles de vol aux instruments) au côtés des MS760 Paris. Les appareils de la 3S sont surtout employés pour des missions de soutien tel que les liaisons rapides, les calibrations radar, la surveillance maritime.

Au retrait des Morane Paris en 1997, les 6 avions sont regroupés en Bretagne au sein de la 57S. Depuis son entrée au service, l'appareil arbore une élégante livrée bicolore : blanche partie inférieure et grise partie supérieure.


Fichier:Falcon10.jpg






source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Falcon_10

http://www.dassault-aviation.com/

PHA Mistral à New-York du 7 au 12 mai 2025

PHA Mistral à New-York 07 mai 2O25 Le 7 mai, une réception s’est tenue à bord du porte-hélicoptère amphibie de la Marine nationale, le « Mis...