04 janvier 2021

LA POSTE Les Tarifs changent 1er janvier 2021

 LA POSTE   Les Tarifs  changent 

1er     janvier     2021 

vous trouverez ci-dessous l'article de Wiki timbres sur les nouveaux tarifs

Wikitimbres

Quels sont les changements ?

Les valeurs modifiées au 1er janvier 2021 des TVP gris vert rouge sont connues depuis septembre (resp. 1,06€ ; 1,08€ ; 1,28€) et depuis novembre pour le TVP violet International passant de 1,40€ à 1,50€.

Pourtant, les nouveaux tarifs postaux du 1er janvier 2021 ne sont encore que partiellement publiés sur le site de La Poste qu'on y relève déjà quelques singularités.

Si dans les nouveaux tarifs pour les lettres de moins de 100g il faut toujours 2 timbres et 8 timbres pour celles de 501g à 3kg, les tarifs des lettres de 101g à 1kg ne sont plus des multiples exacts de TVP et pour l'international le tarif de la dernière tranche 501g-2kg qui valait 19,60€ (= 14 timbres à 1,40€) en 2020 reste inchangé et vaudra désormais 13 timbres (à 1,50€) +10c.

5 ans après jour pour jour, l'argumentaire du 1er janvier 2016 est grandement vidé de son sens, qui vantait la simplification pour l'usager afin de légitimer la suppression de la tranche de poids 21g à 50g (intégrée dans la tranche de poids unique 21g à 100g). Les coûts d'affranchissement de plis de 20g à 50g passaient alors de 1,25€ à 1,60€ en Lettre Prio et de 1,15€ à 1,40€ pour la Lettre Verte.

 

Timbres retirés de la vente à cette occasion le 31 déc. 2015.

Voir pour mémoire la page 9 du Phil'info de Janvier 2016 : voir ici

 

 

 

Quelles implications pour le programme philatélique 2021 ?

A priori peu, le service philatélique n'émettant le plus souvent que des timbres dont la faciale correspond à 1 ou 2 timbres des tarifs LV ou LP (France ou International) et aucun timbre au tarif écopli, au contraire d'autres administrations comme Monaco par exemple.  

 

 

 

Timbre monégasque de collection au tarif écopli.

 

 

 

Complété d'un TVP rouge le timbre de poste aérienne à 4,64€ paru au mois de novembre permet d'affranchir à 5,92€ mais impossible de faire exactement les nouveaux tarifs sans un timbre à 1 ou 5c.

La précédente grille tarifaire devenant caduque, les produits et notamment les carnets la comportant, ne devraient plus être vendus.

 

Pour les carnets de "beaux timbres" d'une part, cela concerne tous les modèles parus jusqu'en avril 2020. En effet, la grille figurant ou décrite sur tous les carnets commémos n'a été remplacée qu'à partir de juin 2020.  

A partir du carnet "Fleurs Cosmos" et les suivants, remplacement  par la mention "utilisable au-delà de 20g par multiple ... ",  sans autre précision. Comme quoi, le sujet a bien été anticipé !

 

Pour les carnets Marianne d'autre part, une seule grille y figure encore, sur les carnets de 6 timbres "international" parus en janvier 2019 à l'occasion de la fusion des zones Europe et Monde.

Or, justement, un nouveau carnet International est annoncé à paraître le 2 janvier, sans doute objet du retirage de septembre annoncé en bas de la page 40 dans le Phil'info de novembre-décembre pour 16.500 carnets (chiffre manifestement erroné !). Voir ici

 

Reste à savoir si les précédents modèles comportant le tarif erroné de "14 timbres pour les envois de plus de 500g" seront retirés aussitôt ou maintenus en vente jusqu'à leur épuisement.

 

F. KELEDJIAN

https://www.laposte.fr/tarifs-postaux-courrier-lettres-timbres

Les tirailleurs sénégalais et les campagnes du Maroc 1907 - 1908 femmes intendance casablanca

 Les   tirailleurs      sénégalais                      et   les  campagnes  au    Maroc 

1907 - 1908

On a parlé du débarquement au Maroc en 1907, du naufrage de la Nive, il faut parler aujourd'hui du débarquement des tirailleurs et de leurs femmes en 1908. Donnons la parole au lieutenant-colonel Mangin sur les conditions d'hébergement des tirailleurs. C'est édifiant!


"De plus, le stationnement hors des villes les fera échapper au contact prolongé avec la population arabe, au café maure, et enlèvera toute chance à la propagande islamique.
Il faut éviter également de les mettre dans les garnisons normales des tirailleurs algériens, qui, noua le rapport du campement, du couchage, de l'ordinaire, sont traites exactement comme les troupes européennes, et qui ont gardé les brillants uniformes du second Empire. 
Nos Sénégalais réclameraient les mêmes avantages, fort coûteux, qui auraient l'inconvénient de leur faire perdre leur rusticité. 

Un tirailleur sénégalais (Fez, 1913),
cliché du fonds photographique 
Albert Kahn.



Établissons-les dans des rez-de-chaussée sommaires et construits en brique, avec des lits de camp, et laissons leur en temps normal leur ration de riz, quitte à leur donner du pain ou du biscuit en colonne il n'y a aucun avantage à les entraîner à cette nourriture, qui exige l'entretien d'hommes du contingent français employés à faire du pain pour nos troupes indigènes. De même les tirailleurs algériens envieraient la libre vie du Sénéga!ais, qui contraste avec leur existence de caserne, et les négresses."  Charles Mangin

Si le tirailleur sénégalais est une figure bien connue des armées coloniales françaises, le rôle de sa femme est restée méconnu. Ce n’est pas une femme ordinaire, elle occupe une place à part au sein de la société coloniale. Les femmes ont joué des rôles divers tout au long de l’histoire des tirailleurs sénégalais.

Entre 1908 et 1914, les tirailleurs sénégalais sont engagés dans la Campagne du Maroc et au Maghreb, conformément au projet de Charles Mangin qui est, selon la « manœuvre du perroquet », de soulager le 19e corps d'armée qui peut dès lors être envoyé au front de l'Ouest.



Malgré la fécondité exceptionnelle de son sol, qui avait attiré beaucoup d'Européens avant la fin du XIXe siècle, malgré la bonté de son climat et la facilité relative de ses rivages, la Chaouïa n'était guère plus connue que le reste du Maroc, avant la publication des études approfondies du docteur Weissgerber et le relevé d'itinéraires du commandant Larras dans ces dernières années.

A ces deux explorateurs sont dues les cartes utilisées au corps de débarquement pour la direction des opérations militaires.


Nouveau et dernier renforcement.


Afin d'assurer la relève des unités fatiguées, la continuité des efforts, l'établissement des garnisons nouvelles, le corps de débarquement était grossi en fin mars de 4.000 hommes et 640 animaux, ce qui allait porter l'effectif total à 14.000 soldats, 4.650 chevaux ou mulets, 16 canons de 75, 6 pièces de 80 de montagne et 20 mitrailleuses. Les renforts comprenaient : Infanterie : 5 bataillons empruntés au 4e zouaves, aux 3e et 4e tirailleurs et 2 bataillons de tirailleurs sénégalais.



Cavalerie ; 1 escadron du 6e chasseurs d'Afrique, et 4 sections de mitrailleuses de cavalerie, qualifiées de « mitrailleuses galopantes ».
Artillerie : 1 batterie d'artillerie de 75mm.
Des renforts successifs ont porté à 3 le nombre des compagnies du génie, à 3 celui des compagnies du train des équipages.



Le service de santé a installé, à Médiouna et à Ber Rechid, des infirmeries-ambulances, et a reçu des voitures légères pour blessés, qui remplaceront désormais les arabas pour les transports d'évacuation, sur des pistes maintenant aplanies.

Deux colonnes d'opérations subsistent : celle du Littoral, sous les ordres du colonel Moinier ; celle du Tyrs, sous le commandement du colonel Boutegourd.

Le régiment sénégalais gardera tout d'abord les gîtes d'étapes.

9 avril 1908





Plusieurs officiers ont suggéré dès le 19e siècle que les femmes de soldats indigènes puissent être admises à accompagner leur mari. Le décret de 1857 fut modifié en 1873 pour autoriser les femmes de tirailleurs à accompagner leur mari dans le lieu de garnison, ainsi que lors des campagnes militaires, médicales ou d'exploration, en dépit des difficultés organisationnelles que cela représentait. 


« La présence des femmes, entre lesquelles s’établit une hiérarchie d'après le grade du mari, est la cause de querelles et de jalousie, mais de nombreux avantages viennent compenser ces inconvénients que les coupables rachètent par les services qu'elles rendent. 



Les femmes chargées de tous les ustensiles du ménage suivent les colonnes sans les ralentir ; à l'étape elles se chargent du soin de préparer la nourriture de leurs maris et aussi celle des tirailleurs célibataires ; enfin, par leur présence, elles donnent au camp l'aspect du village natal(...) Cette vie en ménage influe aussi heureusement sur la santé physique que sur la santé morale des noirs (...) 



« Madame tirailleur » ou « Madame Sénégal » est le nom donné à l'épouse d'un tirailleur d'Afrique noire ou d'Afrique du Nord, autorisée à suivre son mari au cantonnement et parfois en campagne, à la fin du  siècle et au début du  siècle.

Le rôle de ces épouses, accompagnées de leurs enfants, permettait aux tirailleurs de n'être pas dépaysés et de bénéficier de l'environnement familial. Elles participaient aussi à la logistique et montaient parfois au front approvisionner les combattants en munitions et rechargeaient leurs armes. Elles étaient parfois tuées au combat ; plusieurs d'entre elles ont été citées à l'ordre du régiment ou même à l'ordre de l'Afrique occidentale.



Pour le capitaine Marceau, les femmes ne rechignent pas au transport des charges et sont des ménagères économes, sachant préparer les repas, assurer le blanchiment, avec efficacité et en soulageant les hommes des tâches matérielles. Selon lui, ce système est plus rentable que les fourgons et l'intendance classiques4. Elles ne se plaignent pas et sont aussi courageuses que leurs maris4. Elle n'occasionnent pas de surcoût, vivant sur la ration de leur mari5.



À chaque cantonnement, c'est tout un village africain traditionnel traditionnel qui se reconstitue, à côté du camp règlementaire des hommes. Dans ce camp construit par les femmes, les tirailleurs s'y retrouvent chez eux. Le système est bénéfique à leur moral et sur le plan matériel.




Le général Mangin raconte l'action des femmes lors de ce combat de Talmeust le 14 juin 1908 : ce jour-là, après la défection des conducteurs du convoi qui refusent d'approvisionner les combattants en munitions, les femmes s'en chargent malgré les dangers. Une femme est tuée, deux autres blessées ; toutes les trois sont citées à l’ordre des troupes de l'Afrique occidentale



Les femmes accompagnatrices sont autorisées jusqu'en 1913. Lorsque les troupes coloniales débarquent à Marseille pour participer au défilé du 14 juillet de cette année-là, les tirailleurs sénégalais sont parfois encore accompagnés de « Madame tirailleur » et de leurs enfants


« En garnison, ce lui sera une ménagère économe, propre et attentionnée, une mère parfaite pour ses enfants. Avec la maigre solde du mari (en 1911 : tirailleur de 2e classe, 60 centimes ; de 1re classe, 70 centimes ; caporal, 98 centimes ; sergent, 1 F 45 ; adjudant, 3 F 15 ; les hommes de troupe ont en outre le système de la masse individuelle avec une première mise de 75 francs) et la ration journalière (riz, 500 grammes ; viande, 400 grammes ; sucre, 21 grammes ; café, 16 grammes ; sel, 20 grammes ; huile, 20 grammes ; bois à brûler, 1 kg 250), elle saura faire vivre le ménage en mettant même de l’argent de côté. La prime journalière de 15 centimes de la masse individuelle constituera, en outre, pour la communauté, une réserve trouvée à la libération, tout en entretenant en parfait état la garde-robe maritale.

De la cuisine sénégalaise

En colonne, "Madame Tirailleur" sera l’aide constante du mari. A condition que le nombre de ces dames soit assez restreint pour ne pas être encombrant, elles remplacent avantageusement, si l’on peut dire, les fourgons de toute nature, de toute destination, fût-ce même ce qui resta notre cauchemar en colonne : la voiture Lefèbvre. Sous le faix de calebasses pleines, devant lesquelles reculeraient des coltineurs de profession et où elles empilent hardes, provisions, etc. (c’est le soldat-tender), elles marchent au pas des colonnes ultra légères, sans se plaindre, braves comme leurs maris, malgré fatigue, privations et dangers. Ne les a-t-on pas vues, aux combats de l’Adrar, alors que les porteurs de munitions avaient fui, faire l’office de pourvoyeurs et ravitailler en cartouches les lignes décimées des maris qui faisaient le coup de feu ?


A peine au bivouac, les voici qui s’empressent à la distribution, allument les feux, préparent et portent le repas à leurs hommes partis en avant-garde ; car, l’étape finie, les hommes, grâce à elles, n’ont point à s’occuper de ces mille nécessités fatigantes où s’absorbe le soldat européen. Ils continuent à être disponibles et le rendement en temps utile du tirailleur est, de ce fait, supérieur à celui de l’Européen. »
Général Mangin, La Force Noire, Paris, Librairie Hachette et Cie, 1910


A propos de la cuisine sénégalaise


Le Gil Blas 19 mai 1911

Nos bons anthropophages.

Extrait d'un article du docteur Epaulard, médecin-chef de l'ambulance de Casablanca :

« Les Arabes ont une peur affreuse des anthropophages, et nos bataillons sénégalais en recèlent forcément. Je n'ai pas besoin de dire que le cannibalisme est inconnu au bataillon sénégalais. Cependant, lors de l'arrivée des premiers Sénégalais, en 1908, quelques tirailleurs demandèrent à un capitaine s'ils seraient autorisés à manger les Marocains qu'ils tueraient au combat.

« Cette anecdote, du reste authentique, colportée chez les Marocains, sema une épouvante qui n'est pas encore tout à fait apaisée parmi les musulmans, lesquels ont une horreur particulière d'être décapités, et, à plus forte raison, croqués après leur mort.

« Récemment, un brave garçon de noir, toujours souriant, et qui amusait volontiers de ses pitreries mes malades de l'ambulance, m'avouait que manger l'homme « y en a bon".

Il faut toute la patience et tous les efforts des missionnaires pour arriver à supprimer l'anthropophagie dans les endroits où elle est de tradition, mais ils sont à peu près les seuls qui soient arrivés dans ce sens à des résultats.

Espérons que « nos anthropophages ne seront pas plus autorisés à manger les Marocains qu'ils ne le sont à se manger entre eux.

Cet article sera repris  dans le Jounal La Croix




sources

https://www.rfi.fr/fr/tirailleurs/20140518-premiere-guerre-mondiale-madame-tirailleur

Une journée en Terre-Adélie Dumont d'urville Jeux Australiques 18-7-2020

 Une journée en Terre-Adélie Dumont d'urville    Jeux Australiques 1    8-7-2020


Jeux australiques : DDU vainqueur !

Ce mois-ci, plus précisément les 18 et 19 juillet, avait lieu la 4ème session des Jeux Australiques de l'ère moderne. Après Ker en 2017, Cro en 2018, et Ams en 2019 ... c'est DDU qui a remporté la session 2020 !!



Le district organisateur était Ams, puisque la coutume est que le dernier vainqueur en date organise l'année suivante les Jeux. Au programme : épreuves de rameur, tapis de course, gainage, cross fit, vélo, mais aussi pour les plus sportifs billards et fléchettes. Et nouveauté cette année : une épreuve intitulée "Danse avec les TAAF", qui consistait à réaliser un clip libre de cinq minutes environ.



Festival du film Antarctique : DDU distinguée deux fois !

Chaque année se tient au mois d'août le festival du film Antarctique, intitulé WIFFA (acronyme de Winter International Film Festival of Antarctica). De quoi s'agit-il ?
Le principe est que chaque base participante, incluant les îles subantarctiques anglaises et françaises (Cro, Ker et Ams), réalise un ou plusieurs films d'une durée de cinq minutes environ. Deux catégories existent :
L'Open : il s'agit de la catégorie libre, dans laquelle chacun peut donner libre cours à son imagination
Le 48h : dans cette catégorie, il faut réaliser un film le temps d'un seul week-end. Doivent obligatoirement apparaître 5 items / actions, dont la liste est diffusée lors du coup d'envoi de ce marathon.

Cette année, DDU a participé dans les deux catégories, avec deux réalisations :
A strange addiction pour le 48h
You shall not doubt pour l'Open

Et les résultats des votes sont tombés dimanche soir, lors de la première retransmission live organisée depuis Concordia, qui prenait cette année en charge l'organisation du Festival.




Eh oui, vous avez bien lu : les réalisations de DDU sont nominées 4 fois (sur 9 catégories) et remportent pas moins de deux premières places !! Bravo également à Amsterdam et Crozet pour leurs résultats (retrouvez ici l'article de Crozet sur leur tournage)
Nouveauté cette année : Concordia a vu les choses en grand, en créant un site proposant à la diffusion les réalisations. Vous pouvez donc y retrouver nos productions. :

https://www.wiffa.aq/en

Merci à eux et à leur exceptionnel investissement. De l'avis de nombreuses bases, la soirée en live, bien que limitée par le débit actuel de notre connexion, nous a permis de ressentir pleinement l'impression d'être embarqué dans une sorte de communauté Antarctique. L'un des principes fondateurs du Traité de Washington, à savoir faire du continent un espace partagé transcendant les différences nationales, était particulièrement vivant ce soir là.

Une journée en Terre-Adélie Dumont d'Urville TAAF - Equipe Météo-France 31-8-2020

Une  journée  en  Terre-Adélie Dumont d'Urville  TAAF - 

Equipe  Météo-France  31-8-2020



Chaque année, une équipe de 3 agents de Météo-France effectue un hivernage complet sur l'île des Pétrels. Ils assurent la maintenance du matériel d'observation et, bien sûr, établissent les prévisions météorologique indispensables pour garantir la sécurité de la vingtaine de scientifiques qui les accompagnent dans ce "confinement volontaire" de 8 mois sur le continent blanc.


Pour en apprendre plus sur cette expérience hors du commun, un entretien complet avec les chefs météo de la mission en cours et de la mission précédente est à retrouver sur http://www.meteofrance.fr/.../81378233-entretien-un-an...
Et pour aller plus loin, le lien vers le blog du chef météo actuellement en poste en Terre Adélie est à retrouver à la fin de l'article.

03 janvier 2021

Une journée en Terre-Adélie TAAF Dumont d'Urville 10-2--2020 - hélicoptère canadien L'Astrolabe

 Une   journée  en   Terre-Adélie   TAAF   Dumont  d'Urville      Hélicoptères  canadiens   

 10-2-2020




L’histoire du Programme des opérations antarctiques d’Hélicoptères Canadiens remonte à 1979, lorsque Hélicoptères Nouvelle-Zélande (connue plus tard sous le nom de HNZ) a lancé sa première entreprise en Antarctique. En 1985, la compagnie fournissait des hélicoptères et des équipages spécialisés pour diverses expéditions en Antarctique de façon continue / annuelle. En 2011, Hélicoptères Canadiens a acheté les activités Antarctiques de HNZ.

Le programme Antarctique est un excellent complément aux opérations existantes de Hélicoptères Canadiens dans l’Arctique canadien, où Hélicoptères Canadiens exerce ses activités depuis le début des années 1960 et fournit un service de soutien arctique jour / nuit toute l’année. L’expérience combinée des deux opérations a donné naissance à une organisation cumulant 95 années d’expérience dans les régions polaires. Aucun autre opérateur n’a une expérience d’exploitation comparable par temps froid.

le 2 mars, 2020 – 
Hélicoptères Canadiens revient de l’Antarctique après avoir conclu le premier contrat pluriannuel avec le programme Antarctique Français. Photo prise à Hobart, Australie.Depuis plus de 30 saisons estivales en Antarctiques, nous avons participé avec fierté et avons eu le plaisir de travailler avec de nombreuses expéditions gouvernementales et privées.
Les clients passés et présents incluent:
• Le programme Italien ENEA
• Le programme Coréen KOPRI
• Le programme Allemand GANOVEX
• Le programme Français IPEV
• Programme Antarctica New Zealand
• Programme Australien ANARE
• Le programme Indien NCAOR
• Le programme Japonais NIPR

Une journée en Terre-Adélie Dumont d'Urville TAAF 70e mission hivernage 24-2)2020

 Une journée en Terre-Adélie Dumont d'Urville   TAAF 

70e   mission   hivernage

24-2-2020

Dernière rotation de l'#Astrolabe en terre Adélie pour cette campagne d'été. Après une journée d'opérations logistiques bien déroulée, les 24 hivernants la mission TA70 ont salué une dernière fois le navire avant son appareillage.
@_IPEV
@MarineNationale
#antarctique



En Antarctique, à Dumont d’Urville

Hivernage en terre éponyme, le blog de Adélie Krellenstein , vétérinaire pour le projet ECOPHY – ANTAVIA, à Dumont d’Urville : https://hivernageenterreeponyme.wordpress.com/
2019-2020
Dans les îles Subantarctiques

Crozet au gré des vents, le blog de Cécile Vansteenberghe , écologue pour le projet ORNITHOECO, à Crozet : https://cecilevansteen.wixsite.com/monsite

Fluffy en terres autrales, le blog de Julie Tucoulet, biologiste-écologue pour le projet OISEAUX PLONGEURS à Crozet : https://fluffyenterresaustrales.blogspot.com/

Un hivernage aux Kerguelen – mission 70, le blog de Kévin Le Falher, biologiste-écologue pour le projet SUBANTECO, à Kerguelen : https://kevinker70.blogspot.com/

Aventures en terres australes : Iles Amsterdam et St-Paul, le blog de Anthony Le Nozahic, biologiste-écologue pour le projet ORNITHOECO, à Amsterdam : https://ornithotaristeams71.wixsite.com/aventureaustrales

Dame Dragon d’Amsterdam, le blog de Cécile Baron, électronicienne et coordinatrice logistique à Amsterdam : https://damedragonvole.tumblr.com/
En Antarctique, à Concordia,


Polar mood, le blog de Sylvain Guesnier, chef centrale à Concordia : https://www.polarmood.com/

Concordia’s Table, le blog de Élisa Calmon, cuisinière à Concordia : https://concordiatable.blogspot.com/

La page Instagram dédiée de Wenceslas Marie Sainte, électronicien sciences en hivernage à Concordia : https://www.instagram.com/ceelaas/
En Antarctique, à Dumont d’Urville,

Charlie en Antarctique, le blog de Charlène Garau, chimiste pour le projet CESOA à Dumont d’Urville : https://charlieaddu.wordpress.com/

Menuisier manchot ! , le blog de Bastien Dubet , menuisier à Dumont d’Urville : https://menuisier-manchot.blogspot.com/

Le manchot électronique, le blog de Valentin Depoisier, électronicien à Dumont d’Urville : https://le-manchot-electronique.blogspot.com/



02 janvier 2021

Ramine de Brest 2021 Exposition Notre-Dame d'Etel cotre goelette france libre FNFL Beyrouth alexandrie exposition Brest

Ramine   de   Brest    2021



Brest le 01.01.2021 Le livre et l’exposition :« L’odyssée de Notre-Dame d’Etel, une goélette France-Libre »

 Madame, Monsieur, Après 8 années de recherches dans les archives publiques et privées, je vous présente l’ouvrage : L’odyssée de Notre-Dame d’Etel, une goélette France-Libre 



Ce livre composé de nombreux documents inédits et d’illustrations, retrace la vie tumultueuse d’un ancien voilier de la Marine Nationale effacée des mémoires contemporaines. Cette ancienne goélette-pilote belge construite à Ostende a successivement été bateau de pêche en Bretagne, yacht en Méditerranée et le voilier le plus armé de la deuxième guerre mondiale au service des Forces-Navales-FrançaiseLibres au Liban. 

Après la guerre, la vaillante goélette deviendra Navire-Ecole en rade de Brest en compagnie de ses consœurs Belle Poule et Etoile et contribuera à la renaissance de la nouvelle Marine française. Avec la participation d’artistes et d’historiens de la mer, nous souhaitons donner à ce navire sa place légitime au sein de la grande Histoire. 


https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-qui-connait-le-destin-de-la-goelette-notre-dame-d-ethel-6863195

Une odyssée entre le Ponant et le Levant, entre la mer du Nord et la Méditerranée. Ce livre et l’exposition qui accompagne sa parution ont été soutenus par le Yacht Club de France, l’Association des Amis du Musée de la Marine, l’Entraide Marine et le Chantier du Guip. Si vous pensez qu’il soit possible de proposer un article pour votre revue, ou parler de la parution du livre ou de l’exposition vous pouvez me le faire savoir pour que je vous adresse de meilleurs fichiers. Vous souhaitant une très bonne année 2021, cordialement, 

Ramine



Le livre de 112 pages, dos carré-collé, couverture souple à rabat, en couleur, format 21x30 cm.
Prix de vente publique : 25€.
Dépôt légal janvier 2021.

Lien pour feuilleter quelques pages du livre: 

Lien pour passer une commande de livre :

Lien pour commander un lot de livre + la réédition de l’insigne FNFL du bateau: à 35€ 


 Lien pour la visite virtuelle de l’exposition préliminaire: http://visites-en-360.fr/visites-virtuelles/ramine-expo-notre-dame-etel/index.htm




 Ce voilier a successivement été : -Le P14, bateau-pilote de l’Escaut, en Belgique, de 1919 à 1922. 

-Notre-Dame- d’Etel, L-2245, goélette de pêche en Bretagne, de 1922 à 1926. 

-Dukinva, yacht breveté n° 53.462, inscrit à Lorient et basé à Antibes, Inscrit au Yacht Club de France de 1926 à 1933. -

Aésios-II, yacht basé à Cannes, inscrit au Yacht Club de France de 1936 à 1939. 

P101, patrouilleur de la Marine au Levant de 1939 à 1941. 

-Q-Ship et patrouilleur des F.N.F.L entre Beyrouth Alexandrie et Famagusta de 1942 à 1945.

 -Navire-école de l’Ecole des Mousses au Dourdy - Loctudy. de 1946 à 1947. 


-Navire-école de l’Ecole des manœuvriers en rade de Brest. de 1947 à 1955



. Les artistes collaborateurs sont : 
Mickaël EYMANN, Brest, modélisme naval et tracé des plans. 
Natasha HANSON, Seattle, USA, vitraux. 
Eric PELLEAU, Brest, reconstitution de la frise avant du navire. 
Henry RANNOU, Baye, bateau en bouteille. 

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...