27 septembre 2019

La 11F a 100 ans flottille Landivisiau

La 11F a 100 ans


La 11F, doyenne des unités de chasse de l’aéronautique navale, célèbre cette année son 100e anniversaire. Héritière d’un passé prestigieux, la flottille s’est illustrée dans de nombreuses opérations extérieures. Passée sur Rafale Marine en septembre 2011, la flottille a notamment participé aux dernières opérations en Irak.
http://envelopmer.blogspot.com/2019/04/aeronautique-navale-lhippocampe-100-ans.html

Une cérémonie se déroulera ce vendredi 27 septembre sur le site de la base d’aéronautique navale de Landivisiau en présence, notamment, du contre-amiral Guillaume Goutay, commandant l’aéronautique navale, du capitaine de vaisseau Machard de Gramont, commandant de la Base aéronavale, du capitaine de frégate Yvan Launay, commandant de la 11F. À l’issue de la cérémonie, les aéronefs de la flottille vont procéder à une démonstration aérienne.

Cet anniversaire marquera également le début du meeting « Des Rafale et des ailes » de Morlaix, auquel participera l’aéronautique navale, demain samedi 28 et le dimanche 29 septembre.




sources :

https://www.ouest-france.fr/bretagne/landivisiau-29400/landivisiau-la-flottille-aeronautique-11f-fete-son-100e-anniversaire-6538772

L'ASTROLABE à CROZET TAAF 12 août 2019

L'ASTROLABE à CROZET TAAF 

12 août 2019




Le 12 août 2019 l'Astrolabe faisait escales à l'archipel de Crozet Ile de la Possession et mouillait en baie du Marin. Quelques enveloppes ont marqué ce passage et je commence par vous présenter ce pli avec le bloc Alfred Faure pionnier des TAAF et créateur de la base à qui il a donné son nom.



Pour moi ce bloc est l'un des plus beaux timbres des TAAF de ces dernières années. Un très très beau travail de Pierre André Cousin. Bravo Monsieur.


Crozet Base Alfred Faure photo (c) JM Bergougniou
Nous avions déjà eu l'occasion d'évoquer Alfred Faure et ce bloc dans un article précédent mais je ne résiste pas au plaisir d'en parler à nouveau 

http://envelopmer.blogspot.com/2019/02/alfred-faure-crozet-taaf-lhomme-et-la.html



C'est le mercredi 17 octobre 2018 que la mission 56 a rendu hommage à Alfred Faure, fondateur de la base de l’île de la Possession.Pour l’occasion, le district de Crozet a inauguré une plaque commémorative en son honneur, qui a été réalisée par les TAAF avec le concours de Mme Jacqueline Faure, Mr Claude Jovin et Mr Alain Barbet (UFPP-SATA). Dans le prolongement de cet hommage, un bloc de timbre dédié à Alfred Faure, dessiné par Pierre-André Cousin d’après une photo originale est sorti le même jour.
http://ilescrozet.blogspot.com/2018/10/hommage-en-lhonneur-de-mr-alfred-faure.html



A remarquer que le petit cachet rond du commandant a été gratté et le nom de l'ancien pacha effacé en attendant l'arrivée du nouveau cachet avec le nom qui va bien.


Un autre très beau timbre représentant la baie américaine. Que de souvenirs! 


Baie US photo (c) JM Bergougniou
Crozet baie du marin photo (c) JM Bergougniou

En 1960, onze ans après l'installation d'une base permanente à Amsterdam puis à Kerguelen, la France se décide, sous la pression de l'Organisation météorologique mondiale et de l'Organisation de l'aviation civile internationale, à installer un établissement radio météorologique permanent dans l'archipel de Crozet.

C'est le dernier maillon manquant d'une chaîne d'observations et de communications cohérente et efficace qui relie Amsterdam, Kerguelen, mais aussi les îles Marion, Prince- Edouard et Heard.

le pylône de l'ancien téléphérique photo (c) JM Bergougniou


Une première mission de reconnaissance de 13 hommes, sous la direction de l'ingénieur de la météorologie Alfred Faure débarque du Gallieni, le navire de relève et de ravitaillement des TAAF le 20 décembre 1961 en baie du Navire sur l'île de la Possession. Cette île était la mieux connue de l'archipel et réputée la moins difficile d'accès, suite à la mission de cartographie aérienne effectuée par le colonel Genty en novembre 1957.

Alfred Faure installe un camp provisoire dans la crique du Marin, au bord de la plage de débarquement au milieu d'une immense colonie de manchots royaux. Après plusieurs reconnaissances sur le terrain, la mission choisit le plateau qui domine la crique du Marin, à 131 m d'altitude comme emplacement de la future base. Elle quitte l'île le 3 février 1962, à bord du Gallieni.


Baie US le morne rouge photo (c) JM Bergougniou

L'année suivante, une seconde mission de 20 personnes conduite de nouveau par Alfred Faure et acheminée par le Gallieni débarque le 17 décembre 1962 et retrouve le camp provisoire installé l'année précédente et dénommé Port-Alfred. Mais cette mission n'est que temporaire car les crédits nécessaires à la construction d'une base permanente et à un hivernage n'ont pas encore été débloqués. La mission édifie les premières baraques sur le plateau et construit un va-et-vient permettant d'acheminer du matériel depuis le camp provisoire au bord de la plage. Une station météorologique automatique est mise en service le 2 février 1963, jour de leur départ.

Les crédits nécessaires ayant enfin été débloqués, une nouvelle mission de 20 personnes, toujours sous la direction d'Alfred Faure, débarque le 27 décembre 1963 avec pour objectif de construire la base définitive sur le plateau et d'y séjourner pendant un an jusqu'à la relève prévue en décembre 1964.


Le débarquement des 400 tonnes de matériels nécessaires à la construction de la base et aux besoins de la mission oblige le Gallieni à mouiller devant la crique du Marin jusqu'au 9 janvier 1964. Rapidement les hommes se mettent au travail et construisent un ingénieux téléphérique qui remplace le va-et-vient de l'année précédente et leur permet d'acheminer le matériel lourd sur le plateau.
Le montage des premières baraques " Fillod " est éprouvant en raison des conditions météorologiques très difficiles. Leur solitude n'est rompue qu'à deux reprises : les 18 et 19 février avec le passage de l'aviso escorteur Doudart de Lagrée et les 28 et 29 février 1964 par le Gallieni ayant à son bord Louis Jacquinot, ministre d'Etat chargé des départements et territoires d'Outre-mer qui effectue une tournée d'inspection dans les îles australes.

Ils restent ensuite 10 mois dans un isolement total jusqu'à l'arrivée de la relève avec le Gallieni le 12 décembre 1964. Elle est la première mission à séjourner un an sur l'île de la Possession, dans une base encore très sornmaire mais qui n'a plus cessé de fonctionner jusqu'à nos jours.



La base qui est achevée par la mission suivante se compose alors de sept bâtiments " Fillod " avec une centrale électrique, une station météo, un laboratoire de géophysique ainsi qu'une station d'étude du magnétisme terrestre financée par le comité de l'Année du soleil calme.


Le 17 octobre 1968, le fondateur de la base, Alfred Faure, décède à l'âge de 43 ans. Un arrêté en date du 22 mars 1969 de l'administrateur supérieur décide que " l'établissement administratif de Crozet implanté sur le plateau qui surplombe au sud la plage de Port-Alfred porterait désormais le nom de base Alfred Faure, nom de celui qui l'a créée. "




Sources :

TAAF
https://ilescrozet.blogspot.com/2008/09/prsentation-gnrale-des-les-de-crozet.html

L'ASTROLABE à Kerguelen 7 mai 2019 TAAF Marine nationale

L'ASTROLABE à Kerguelen 7 mai 2019 TAAF Marine nationale 

Quelques plis du patrouilleur polaire L'ASTROLABE à Port-aux-Français à Kerguelen le 7 mai 2019. 
Avec le TàD SPID V 11260 sur certains plis.

Les deux premiers plis porte un cachet représentant la carte du district de Kerguelen. 



Un autre cachet de mission générique représente un Albatros devant L'Astrolabe. C'est un cachet grand format Police des pêches. A noter le cachet L'ASTROLABE IMO  009797539 


Le système de numéros OMI d'identification des navires a été mis en place en 1987 par la résolution A.600, afin de renforcer "la sécurité maritime et la prévention de la pollution et de contribuer à prévenir la fraude maritime". Il consiste à attribuer à chaque navire un numéro d'identification permanent, qui est conservé en cas de changement de pavillon et figure sur tous les certificats délivrés au navire. Lorsque ce système a été rendu obligatoire, en vertu de la règle XI/3 de la Convention SOLAS (adoptée en 1994), certains critères ont été approuvés, selon lesquels le système serait imposé aux navires à passagers d'une jauge brute égale ou supérieure à 100 et à tous les navires de charge d'une jauge brute égale ou supérieure à 300.

Le système de numéros OMI d'identification des navires est devenu obligatoire à partir du 1er janvier 1996. En 2013, l'OMI a adopté la résolution A.1078(28) afin que ce système puisse être appliqué à titre volontaire aux navires de pêche d'une jauge brute égale ou supérieure à 100.



​La règle XI-1/3 de la Convention SOLAS exige que les numéros d'identification des navires soient marqués de façon permanente dans un endroit visible soit sur la coque, soit sur la superstructure du navire. Les navires à passagers devraient porter cette marque sur une surface horizontale visible depuis les airs. Le numéro d'identification devrait également être inscrit à l'intérieur du navire. ​

Le numéro IMO est inscrit sur le mât de L'Astrolabe photo (c) JM Bergougniou
Le numéro OMI d'identification du navire est composé des trois lettres "IMO", suivies du numéro à sept chiffres qui est attribué à chaque navire par IHS Maritime (anciennement dénommé Lloyd's Register-Fairplay) au moment de sa construction. Il s'agit d'un numéro unique à sept chiffres qui est attribué aux navires de commerce océaniques à propulsion d'une jauge brute égale ou supérieure à 100, au moment de la pose de la quille, sauf dans le cas des navires suivants :
  • Navires sans moyens de propulsion mécaniques
  • Yachts de plaisance
  • Navires affectés à un service spécial (par exemple, bateaux-feux et navires SAR)
  • Porteurs de déblais
  • Hydroptères, aéroglisseurs
  • Docks flottants et structures appartenant à la même catégorie
  • Bâtiments de guerre et navires pour le transport de troupes
  • Navires en bois
IMO de L'Astrolabe photo (c) JM Bergougniou
Ce numéro est attribué à l'ensemble de la partie de la coque qui abrite la chambre des machines et est le facteur déterminant, si des sections supplémentaires devaient être ajoutées.

Le numéro OMI n'est jamais réattribué à un autre navire et apparaît sur les certificats du navire.​


Le même cachet de mission Police des pêches en un format plus petit. 
Le 7 mai est la veille du 8 mai... 

L'Astrolabe à Kerguelen 


En cette belle journée du 8 mai 2019, à 11h00 locale, l’ensemble des militaires de la mission 69 était réuni devant le mât des couleurs de Port-Aux-Français à l'occasion du 75 ème anniversaire de l'année 1944.



Pour l’occasion, une délégation de l’équipage de l’Astrolabe en escale à Kerguelen, est venue se joindre à nous. Le chef de district, accompagné par leur commandant, a passé en revue les troupes avant de prendre place, avec la médecin-chef de la base et le représentant de l’IPEV, pour la levée des couleurs.





Sources :


Crédits Photo : Baptiste C. , Aude S., Dominique L., Laurent J.

Humour dans le carré par Donec un p'tit tour en Spit

un p'tit tour en Spit


Bonjour la compagnie,

Vous connaissez tous le respect que j’éprouve à l’égard des Britanniques pour l’aide qu’ils ont apportée à la résistance armée en France pendant la guerre, sans parler du soutien dont bénéficia le général de Gaulle. La conception du matériel utilisé confinait parfois au génie pour preuve cette extraordinaire machine volante le « Seafire », version marine de l’inoubliable « Spitfire ».



Je vous livre donc un essai de cette merveille par le pilote d’essai Corky Meyer paru dans le « Fana de l’aviation » il y a quelques années.

« Il n’est pas discutable que le « Spitfire/Seafire » soit l’une des plus belles silhouettes de chasseur sorties d’une planche à dessin. Son aile elliptique et son long fuselage étaient très beaux à regarder et les qualités de vol étaient en rapport avec cette élégance. Mais ces avions avaient deux défauts pour exaspérer le pilote de chasse. A cause du long nez et de l’attitude très cabrée au sol, la visibilité vers l’avant était nulle ; l’étroitesse du fuselage arrangeait un peu les choses, mais le roulage en zigzag était une obligation.



L’aménagement de l’habitacle était un désastre ! Comme si les ingénieurs avaient tout disposé à tâtons, les yeux bandés ; contacts, instruments ou leviers importants n’étaient pas indiqués, trop petits et cachés ; tout ce qui était sans importance n’était pas indiqué, mais gros et toujours dans vos doigts.

Le pilote qui m’avait précédé avait annoncé que les freins avaient lâché à l’atterrissage. Le compresseur qui alimentait leur circuit pneumatique était tombé en panne. Peter Twiss me dit avec confiance que la bouteille avait été gonflée et que j’aurai assez d’air pour freiner jusqu’au décollage mais qu’au retour je risquais d’en manquer à l’atterrissage. Il ajouta que si je me posais « gentiment » et roulais dans l’herbe à côté de la piste, l’avion serait récupérable. Ainsi rassuré j’acceptais l’avion.



Les 1340 ch du « Merlin », beaucoup de surface alaire et un gouvernail puissant, finirent par me faire oublier les freins. Dès que je pus me mettre en ligne de vol et voir l’aérodrome, je fus enchanté par l’accélération de cet intercepteur léger. Le « Seafire » quitta le sol après avoir roulé 150 mètres face à un vent de 20 nœuds et commença à monter comme un « Zéro » japonais. Tous les défauts de l’avion s’étaient évanouis. Les décrochages étaient bons enfants avec peu d’inclinaison à la vitesse inouïe de 110 km/h. (le « Hellcat » décrochaient à 136 km/h). Les vrilles étaient celles d’un avion-école, avec sorties immédiates dès que les commandes étaient lâchées. Je n’eus même pas besoin de compensateurs (que je ne trouvais d’ailleurs pas). La stabilité sur les trois axes était assez faible pour ravir un pilote de chasse et suffisamment élevée pour permettre de lâcher les commandes en air turbulent. Un parfait compromis. La voltige était un délice. L’avion répondait à la pensée du pilote, apparemment sans effort.



Les qualités de vols (en vol normal) étaient si merveilleuses que, sachant que le moteur était alimenté en vol dos, je décidais quelques huit inversés. Ce n’était pas plus compliqué que de manger du gâteau, même pendu dans le harnais britannique compliqué mais confortable.

Je me surpris à rigoler comme un gamin.

Je ne pris jamais autant de plaisir à bord d’un avion de chasse et me sentais parfaitement à l’aise dans n’importe quelle position. Pas difficile de comprendre comment les pilotes formés à la va-comme-je-te-pousse et épuisés, réussirent à contenir avec autant de succès les hordes de Hitler pendant la Bataille d’Angleterre. Je comprenais enfin exactement ce que signifiaient les mots de Winston Churchill, honorant les pilotes héroïques de la RAF : « jamais dans l’histoire des conflits armés, tant de gens ont autant dû à si peu de gens ».

Hélas la jauge de l’unique et trop petit circuit de carburant de mon « Seafire » me rappela à mon atterrissage « gentil » et sans frein, à terminer sans cheval de bois. Atterrir fut à peu près aussi difficile que descendre un Martini. Aussi facile donc que ce qui avait si délicieusement précédé dans l’heure.

A la semaine prochaine

Donec

26 septembre 2019

Patrouilleur Le Malin TAAF Glorieuses

Patrouilleur Le Malin TAAF Glorieuses  2019

Le 27 août 2019 le patrouilleur Le Malin quittait Port-des-Galets à la Réunion pour partir dans le sud de Madagascar.

Passé au sud de la Grande île, il va mouiller à Juan de Nova. Les conditions ne sont pas réunions pour une descente à terre et l'île ne sera qu'aperçu du bateau.


Puis passage à Mayotte où semble-t-il l'infirmerie était pleine. La Légion est la marraine du Malin. Le bateau allait les retrouver à Glorieuses le 13-9-2019.

TàD îles Glorieuses - îles Eparses T.A.A.F. 13-9-2019



Puis le bateau est parti vers Diego Suarez - Antsiranana, escale dont nous avons eu l'occasion de parler. Les aléas du transport aérien ont fait que les plus malgaches sont arrivés avant les plis des Glorieuses bien que postés ultérieurement.

Glorieuses news Place au soleil


PowiDian a été retenu par le Ministère des Armées pour équiper l’île de Glorieuse d’une centrale de production électrique solaire associée à un stockage hybride batterie et hydrogène. L’île de Glorieuse, située dans les îles éparses entre Mayotte et Madagascar dépend des Terres Australes et Antarctiques Françaises du ministère des Armées. Quinze soldats français surveillent et entretiennent cette île sous mandat des TAAF pour faire respecter les règles de protection de l’environnement.

Actuellement, l’autonomie énergétique de l’île est assurée par un groupe électrogène diesel, nécessitant une logistique complexe et coûteuse, pour son approvisionnement en gasoil, sans compter l’impact environnemental de son fonctionnement. La solution de PowiDian, retenue par le Services des Infrastructures de la Défense de St Denis et dont la réalisation est confiée à PowiDian se compose de :
Une centrale solaire de production électrique,
Un dispositif de stockage hybride batterie/hydrogène. Ce dernier produira de l’hydrogène localement qui sera stocké sous pression pour être utilisé au travers d’une pile à combustible lorsque l’énergie disponible dans les batteries sera insuffisante.

Ce dispositif SAGES ® (Smart Autonomous Green Energy Station) permettra à la base militaire installée sur place de devenir autonome en énergie, sans impact sur l’environnement protégé de l’île ainsi que de réduire les coûts de fonctionnement de la base en supprimant la logistique liée à l’approvisionnement en diesel.


https://www.defense.gouv.fr/salle-de-presse/communiques/communiques-de-genevieve-darrieussecq/communique_-place-au-soleil-le-ministere-des-armees-lance

La Marcophilie navale n° 131 Septembre 2019

La Marcophilie navale n° 131 Septembre 2019

Voilà notre bulletin de septembre 2019. Beaucoup s'étaient étonnés de ne rien recevoir en juillet. L'assemblée générale à Brest a effectivement décidé de ramener sa parution à 3 numéros annuels pour réduire la charge de travail du rédacteur.

C'est donc du perron du "foyer du marin" que les participants du congrès vous présentent ce numéro.




Vous trouverez ci-dessous les coordonnées des responsables de l'association et des sections locales ou thématiques ainsi que l'éditorial du Président.

 


et bien entendu en cette période de rentrée le mot du trésorier et l'appel à cotisation. Ne tardez pas et facilitez lui le travail en évitant les relances



Et bien entendu un clin d'oeil à notre ami Muneo Hagino de Yokosuka au pays du soleil levant qui abrite en ce moment la coupe du monde de rugby. Nous avons échangés sur les hortensias...

Et un grand merci à lui pour avoir, avec son frère, traduit les textes d'estampes japonaises anciennes.





A signaler aussi de très interessants articles sur les écoles de pilotage de la flotte, la philatélie des Kerguelen, et l'écho (sonar?) des sous-marins. La vie des sections est bien entendue très présente.



et la lettre des TAAF par Jean Aufauvre et René Pauliat 





Bonne journée à toutes et à tous

25 septembre 2019

UFPP-SATA Terres Polaires 196

UFPP-SATA Terres Polaires 196

Nos collègues de L'UFPP-SATA viennent de sortir le n° 196 de la revue Terres Polaires. 



avec un article sur le courrier des Marins 





http://www.ufpp-sata.com.fr

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...