ATALANTA escale à Djibouti pour la FS FLOREAL
Le Floréal a fait relâche il y a quelques jours à Djibouti. Cette halte à la corne de l’Afrique a été pour chacun l’occasion de se reposer, tant les trois premières semaines de navigation ont été intenses. L’adaptation à la chaleur parfois étouffante, les alertes fréquentes de jour comme de nuit pour investiguer des embarcations ou boutres suspects et les entraînements de tout genre n’ont pas laissé le temps de souffler. La découverte d’un skiff, suspecté d’avoir été abandonné par des pirates après une attaque d’un bâtiment de commerce et trouvé inoccupé à la dérive, a ainsi mobilisé le bord pendant plus d’un après-midi. Il a en effet fallu s’assurer qu’il était sécurisé, le ramener le long du bord, puis effectuer une fouille minutieuse avant de le faire sombrer. Les éléments trouvés à bord serviront en cas d’enquête.
Heureusement entre les pleins de gazole et d’eau douce, l’embarquement de vivres et de matériels supplémentaires, le dessalage et les menues réparations qui sont le lot de toutes les escales, l’équipage a pu se détendre à terre. Soirée des OM – OMS au foyer de la base navale, savoureuse cuisine yéménite « Chez Yussuf » ou éthiopienne à « l’étoile de Kokeb », visite et emplettes au « Kes », le pittoresque marché du centre-ville ou encore plongée sous-marine à l’île de Moucha, chacun a pu profiter de ces 4 jours à sa manière.
http://jdb.marine.defense.gouv.fr/post/2010/10/10/Le-Flor%C3%A9al-en-mission-Atalanta,-newsletter-4
13 octobre 2010
12 octobre 2010
Parrainage Saint-Malo et Surcouf
10ème Anniversaire du parrainage de la Frégate SURCOUF par la ville de SAINT-MALO
L’agglomération malouine a pris naissance dès le 1ersiècle avant notre ère sur le site de la presqu’île d’Alet, dans le quartier qui porte toujours le nom de cité d’Alet. Cette ancienne cité gallo-romaine, entourée d’une enceinte à la fin du IIIe siècle, fut le siège d’une garnison militaire et comprenait la station portuaire abritée de Reginca dont le nom a donné celui de Rance au fleuve côtier dont elle défend l’estuaire.
Selon la tradition, un moine breton originaire de l’actuel pays de Galles, Maclow ou Malo, débarqua vers le milieu du VIe siècle dans le pays et devint évêque d’Alet, mais il fut inhumé à 1500 mètres au nord dans une presqu’île de 16 hectares qui prit pour cette raison le nom de Saint-Malo de l’Ile.
http://www.ville-saint-malo.fr/culture/histoire/les-grandes-dates/
Robert Charles Surcouf (12 décembre 1731 à Saint-Malo - † Saint-Servan 8 juillet 1827) est un corsaire français. Marin intrépide, il harcela les marines marchandes et militaires britanniques, non seulement dans les mers de l'Europe, mais aussi dans celles de l'Inde. Il acquit de ce fait une réputation, et fit fortune en faisant la course et des opérations de spéculations commerciales.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Surcouf
photos JM Bergougniou
Décidée en 1988, la construction de ce bâtiment a été réalisée à Lorient. Le Surcouf est le deuxième des bâtiments de la classe La Fayette, qui se sont vus concéder le titre de « frégates furtives » de part l'importance accordée à la réduction de leur signature radar et acoustique.

Conçu principalement pour préserver et faire respecter les intérêts de l'Etat sur les espaces maritimes outre-mer et pour participer au règlement de crises hors Europe, ce bâtiment de combat de premier rang est également susceptible d'être intégré à une force aéronavale.
Basé à Toulon, le Surcouf est intégré à la Force d'Action Navale.
L’agglomération malouine a pris naissance dès le 1ersiècle avant notre ère sur le site de la presqu’île d’Alet, dans le quartier qui porte toujours le nom de cité d’Alet. Cette ancienne cité gallo-romaine, entourée d’une enceinte à la fin du IIIe siècle, fut le siège d’une garnison militaire et comprenait la station portuaire abritée de Reginca dont le nom a donné celui de Rance au fleuve côtier dont elle défend l’estuaire.
Selon la tradition, un moine breton originaire de l’actuel pays de Galles, Maclow ou Malo, débarqua vers le milieu du VIe siècle dans le pays et devint évêque d’Alet, mais il fut inhumé à 1500 mètres au nord dans une presqu’île de 16 hectares qui prit pour cette raison le nom de Saint-Malo de l’Ile.
http://www.ville-saint-malo.fr/culture/histoire/les-grandes-dates/
Robert Charles Surcouf (12 décembre 1731 à Saint-Malo - † Saint-Servan 8 juillet 1827) est un corsaire français. Marin intrépide, il harcela les marines marchandes et militaires britanniques, non seulement dans les mers de l'Europe, mais aussi dans celles de l'Inde. Il acquit de ce fait une réputation, et fit fortune en faisant la course et des opérations de spéculations commerciales.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Surcouf
photos JM Bergougniou
Décidée en 1988, la construction de ce bâtiment a été réalisée à Lorient. Le Surcouf est le deuxième des bâtiments de la classe La Fayette, qui se sont vus concéder le titre de « frégates furtives » de part l'importance accordée à la réduction de leur signature radar et acoustique.
Conçu principalement pour préserver et faire respecter les intérêts de l'Etat sur les espaces maritimes outre-mer et pour participer au règlement de crises hors Europe, ce bâtiment de combat de premier rang est également susceptible d'être intégré à une force aéronavale.
Basé à Toulon, le Surcouf est intégré à la Force d'Action Navale.
Congrès des anciens Sous-mariniers
AGASM à Martigues
17 au 20 septembre 2010

« De retour de Martigues, ce premier bulletin peut informer tous nos adhérents du parfait déroulement de notre 59eme congrès national avec plus de 250 participants, représentant 18 de nos 21 sections.

En votre nom à tous, je remercie la section CASABIANCA et je félicite tout particulièrement son président Antoine CECCARELLI, pour l’organisation de ce congrès, qui s’est déroulé dans une ambiance chaleureuse, permettant aux sections présentes d’échanger de contacts très constructifs, but essentiel de nos congrès annuels.

Sur décision de notre conseil d’administration, auquel participaient tous les présidents de section, vous serez tous informés par voie postale du déroulement de ce congrès et des décisions prises lors de notre assemblée générale du 18 septembre2010.


Ce geste doit permettre à tous nos adhérents de conserver une trace écrite de ce congrès, soit comme un rappel pour les présents, soit avec un souci de participation pour les absents. J’espère vous retrouver aussi nombreux, voire plus, à MIRIBEL, près de LYON, du 9 au 11 septembre 2011. »
Jacques BLANC

11 octobre 2010
Au courrier aujourd'hui
Gendarmerie Maritime BREST
Machine à affranchir GUIPAVAS BREST Lettre Prioritaire
http://www.laposte.fr/Entreprise/Courrier-de-gestion/Les-solutions/Fabrication/Fabrication/Affranchir-vos-envois/La-Machine-a-Affranchir
Machine à affranchir GUIPAVAS BREST Lettre Prioritaire
http://www.laposte.fr/Entreprise/Courrier-de-gestion/Les-solutions/Fabrication/Fabrication/Affranchir-vos-envois/La-Machine-a-Affranchir
La Marcophilie Navale
BULLETIN N°96
Appel à Cotisation 2011
France DOM TOM et UE 20€
Hors UE 25€
Juniors moins de 18 ans 10€
à adresser à
André Combarieu
B.P. 138
84124 PERTUIS Cedex
Au sommaire
La vie des sections
Mettez du Sel dans vos collections
Aéronautique Navale 1910 - 2010
PA ALBATROS
Mémoires d'Extrême-Orient
Vente de souvenirs par les sections
Exposition et Vente de souvenirs Jeanne d'Arc par le Musée de la Marine à Brest jusqu'au 31 décembre 2010
07 octobre 2010
03 octobre 2010
ROCHEFORT 21èmes philatéliques de Mer
Rochefort un petit tour en ville
La ville de Rochefort est une ville nouvelle du XVIIème siècle, réalisée selon un plan en damier, qui confère à ses rues un aspect graphique, où se mèlent rues parallèles et angles droits..
L'aéronautique navale

1923 : le Centre école d'aérostation maritime devient le Centre école d'aviation maritime.
1933 : l'armée de l'air implante son école de mécaniciens. Elle quittera le site en 1981, pour s'implanter sur le site de St-Agnant.
2002 : juillet 2002, fermeture du C.E.A.N ( les formations sont assurées par l' armée de l' air : E.F.S.O.A.A).
http://www.ville-rochefort.fr/decouvrir/demoiselles
Rochefort est aussi une ville d'eau
Les eaux des thermes, salines et ferrugineuses aux propriétés bienfaisantes, jaillissent des profondeurs de la terre - 800 mètres (960 m3 d'eau par jour). Antalgiques, anti-inflammatoires et cicatrisantes, ces eaux donnent d’excellents résultats dans le traitement des rhumatismes et maladies des veines et de la peau.

En 1666, Louis XIV, désireux d'implanter un puissant arsenal sur façade Atlantique, choisit le site de Rochefort le long de la Charente. Pour servir cette grande industrie navale, une ville aux rues rectilignes se construit et s'embellit au gré du passage d'officiers et de voyageurs..
Rochefort Place Colbert |
Rochefort bénéficie d'un climat atlantique, très doux et d'un ensoleillement proche de celui de la Côte d'Azur. Sa localisation, au coeur d'une boucle du fleuve Charente, permet à la ville d'exercer une activité portuaire de plaisance et commerciale florissante.
Grâce à l’activité intense de l’arsenal, la population rochefortaise croît rapidement, faisant de Rochefort la ville la plus peuplée du département en 1860. Le faubourg se développe et l’arrivée du chemin de fer, puis la création de bassins à flot, génèrent un développement important du commerce. La difficulté d’approvisionnement en eau potable est une préoccupation majeure pour Rochefort.
L’arsenal montre ses limites : il ne peut accueillir les nouveaux cuirassés à cause du faible tirant d’eau et l’envasement constant de la Charente pose problème. L’activité de l’arsenal décroît après 1900 jusqu’à sa fermeture, effective en 1927. La ville reste cependant largement associée au domaine militaire. Dès 1916, un centre d'aérostation maritime est créé, suivi d’un centre-école d'aviation, et enfin d’une base aérienne.

Suite à la destruction des remparts qui s’achève en 1938, le centre-ville s'ouvre sur le faubourg. La 2nde Guerre Mondiale laisse cependant un arsenal dévasté. Le tissu urbain s’étend avec la construction de lotissements et d’établissements scolaires. La politique des villes moyennes menée par l’État dans donne à Rochefort un nouvel élan.
En 1974, le « Contrat Ville Moyenne » amorce une politique de réhabilitation de l’habitat et de développement de nouveaux équipements réutilisant de bâtiments délaissés par la Marine : la Corderie Royale en ruine est restaurée, la Poudrière est transformée en salle de Rock, deux des anciens bassins du port de commerce sont désenvasés, puis transformés en ports de plaisance ...
photos (c) JM Bergougniou
sources :
http://www.ville-rochefort.fr/decouvrir/histoire
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