21 mars 2010

Mission Mer Rouge BCR SOMME

Au courrier le 21 février 2010....


Le BCR Somme a pour mission principale le soutien logistique des bâtiments à la mer : le ravitaillement en combustibles (mazout, gazole, carburéacteur), eau distillée, vivres, munitions, médicaments et matériels de rechange. Cette manoeuvre conditionne l'autonomie des forces aéronavales quand elles sont déployées loin de leurs bases. Le BCR Somme peut ravitailler en liquides les bâtiments à la mer, soit à couple soit en flèche, grâce à des équipements modernes (système de tensionnement automatique de câbles supports, pompes à hauts débits ... ). Les charges lourdes (vivres, munitions, matériels) sont transférées à la mer par câble support ou par hélitreuillage.




Qui peut répondre?

Sur le tampon de la SOMME se trouve un nombre importants d'informations notamment les acronymes EMIA et ALINDIEN. 

Sur ce dernier aucun doute mais en ce qui concerne l'EMIA, j'ai un doute. 

Pour moi l"EMIA est l'école Militaire Interarmes de Saint-Cyr Coetquidan.

L"État Major Inter-Armées comme pourrait le laisser supposer l'illustration a-t-il le même acronyme?




Groupe Jeanne d'Arc Tonnerre et Georges Leygues

Au courrier du 3 mars... 
j'ai un peu de mal à rattraper le retard !



Le navire-école Jeanne d’Arc achevant sa dernière mission, les futurs cadres de la Marine nationale seront désormais instruits sur un autre navire : cette année, le BPC Tonnerre. Si l’objectif affiché est le même, former des cadres, l'ambiance diffère: ces « midships » seront confrontés aux opérations qui se déroulent actuellement en Océan Indien.






Brest, 4 mars 2010. Sur le pont d’envol du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre , les officiers élèves en ordre serré font face au «château», l’unique structure qui s’élève de cette véritable base flottante de 20.000 tonnes. D’aucuns espèrent qu’ils atteindront un jour l’enceinte vitrée de la passerelle de navigation, la plus haute.
La cérémonie d’aujourd’hui inaugure le départ en mer des nouveaux officiers élèves mais aussi d'une nouvelle école d’application à la mer. Après quarante cinq générations d’officiers formés sur le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc , ils sont 122 à bénéficier les premiers d’un embarquement de cinq mois sur l’un des navires les plus récents de la Marine. Pas de rupture cependant avec les années passées, assure-t-on dans les coursives du bâtiment. Une simple évolution. Évoluer dans le pur respect de la tradition
«Nous avons souhaité cette évolution dans le pur respect de la tradition» a confirmé l’amiral Jacques Launay, inspecteur général des armées Marine, lors de cette cérémonie qu’il préside. Dans le fond, l’objectif est inchangé:«confronter l’élève à la prise de responsabilités et lui permettre d’acquérir son statut de chef». Le nom de «Jeanne d’Arc», cher aux marins et célèbre dans tous les ports du monde, a d’ailleurs été conservé pour baptiser cette formation.
Dans la forme, c’est autre chose. Le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, a appareillé pour son ultime mission le 2 décembre dernier. Les futurs cadres de la Marine se formeront donc à l’avenir sur des bâtiments plus « jeunes » que leurs équipages.







« Pour comprendre notre décision, il faut être conscient que la Marine de demain est celle des BPC , des FREMM , et des Barracuda (ndlr les derniers «programmes» de la Marine nationale): des unités ultramodernes, armées par des équipages réduits » explique l’amiral Chomel de Jarnieu,major général de la Marine . «Ces bâtiments vont remettre en cause nos façons de travailler, nos politiques de maintenance et, très certainement, nos organisations». Les officiers en formation sur le Tonnerre seront donc confrontés à un navire fortement automatisé et capable de remplir un large spectre de missions interarmées et interalliées.
Autre changement, un bâtiment n’est plus exclusivement dévolu à l’instruction des officiers élèves, mais ce sont les officiers élèves qui seront désormais intégrés à la mission du bâtiment.





Le BPC  Tonnerre, fort de sa capacité d’accueil, 450 personnes, peut aisément recevoir une promotion d’enseigne de vaisseau. Les «midships» accompagneront donc leTonnerre dans son activité opérationnelle en océan Indien jusqu’à l’été prochain.
Enfin, dernière évolution, l’année 2010 marque un tournant dans le cursus des officiers élèves. Instruits sur un total de quatre ans à l’École navale de Lanvéoc Poulmic, ils partiront dorénavant en mer dès la troisième année et non plus en fin de scolarité. Ceci afin d’harmoniser la formation avec les autres écoles navales européennes et de consacrer la dernière année de leur scolarité, à la formation dans la spécialité de leur choix.


« Une qualité d’enseignement peu commune »
Comme pour leurs aînés avant eux, cet appareillage représente pour Edouard Tortat et Martin Peynaud, la consécration de plusieurs années d’études: 
«l’embarquement à bord du Tonnerreva nous donner une qualité d’enseignement peu commune. Et grâce à la mission opérationnelle du bateau nous serons d’entrée de jeu plongés au cœur de notre métier. On ne part plus en « campagne». On part en «mission»».
Même enthousiasme à peine feint pour Egon Machiels, un jeune officier belge. 
«Les places sont chères pour intégrer l’École navale française, même en simple échange. Et je ne suis pas déçu: le Tonnerre, ses infrastructures, son radier, sont déroutants. Tout est démesuré.»
Sur le quai les familles tentent un dernier signe à leur fils et filles restées à bord. En face, les héritiers des gabiers de la «Marine en bois», les manœuvriers, s’affairent sur les boutres… et libèrent le 
Tonnerre.



E.V Chaumeil


http://www.defense.gouv.fr/marine/base/breves/groupe_jeanne_d_arc_une_formation_du_tonnerre

18 mars 2010

CORYMBE 101 TCD FOUDRE

Mission Corymbe escale à Libreville GABON



TAD du BPI 635 en date du 2 mars 2010


En cas de conflit majeur dans le Golfe de Guinée, la Foudre est pré-positionnée pour apporter un soutien aux ressortissants français vivant en Afrique. Lors d'une crise de grande ampleur, les ressortissants rejoignent un point de rassemblement où ils sont accueillis par le Consul de France qui effectue un enregistrement administratif des personnes. Ils sont ensuite pris en charge par les marins de la Foudre sur une plage où un dispositif d'accueil a été préalablement déployé. Une palpation de sécurité est organisée afin de vérifier que personne ne soit en détention d'objets dangeureux, puis suit un second enregistrement administratif au profit du bord. Un poste médical ets mis en place afin de traiter les blessés où les personnes victimes de malaise. Un rafraichissement est proposé pour faire patienter les passagers avant de les faire embarquer dans les CTM. Une fois l'embarquement sur les CTM réalisé, le transfert vers la Foudre commence. A l'arrivée des ressortissants sur le bâtiment, une nouvelle fouille est organisée puis les femmes sont séparées des hommes et guidés vers leurs postes respectifs.



Le BPM 635 a été transformé, le 1er janvier 2003, en bureau postal interarmées (BPI). Cette modification fait suite à la création du Service de la poste interarmées en avril 2002. Le matériel oblitérant (timbre à date et oblitération mécanique), les griffes linéaires et les diverses marques accessoires du bureau ont donc été modifiés pour recevoir cette nouvelle dénomination.

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/fdr

http://www.phila-colmar.org/Le-BPM-635-Libreville-Gabon-BPI-635.html

TCD SIROCO

Mission Haïti : aide après le tremblement de terre


Depuis le 15 janvier 2010, le Siroco a fait cap vers une nouvelle aventure, humanitaire cette fois-ci.

Le tremblement de terre à Port-au-Prince en Haïti ayant mis la population dans une situation de détresse, le Siroco a été envoyé en urgence pour leur porter assistance. Cependant, avant de se rendre en Haïti, une escale à Fort de France en Martinique a été nécessaire pour embarquer le fret humanitaire.



En complément des nombreuses actions de soutien logistique aux unités de la sécurité civile, d'assistance médicale aux populations et de délivrance d'aide d'urgence, l'équipage du ‘SIROCO’ a également été engagé pour monter en collaboration avec les militaires du RSMA (régiment de service militaire adapté) des tentes destinées à accueillir des familles ayant perdu leur habitation. Ce chantier humanitaire se situe au ‘Champ de Mars’, ancien parc du centre ville de Port au Prince transformé en village de toile pour des milliers de sinistrés.

http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/src

Enduring Freedom Aviso Cdt Birot

Aviso Cdt Birot

Pas d'informations spécifiques sur la mission le cachet ne fait état que de février 2010 mais la date de la flamme est du 16 mars 2010.



Si vous avez des informations complémentaires

Patrouilleur Austral Albatros Mission 2/2009

En Police des pêches



Pli posté aux TAAF à Martin de Viviés Amsterdam le 12 décembre 2009



La base de Martin de Viviès vue des airs

La mosquée ou centre météo, sur la gauche, les réserves d'eau

à droite en jaune l'agence postale, en dessous l'hôpital Saint Yves, en rose au centre la vie commune
Le bâtiment à étage est le local des groupes électrogènes



action du vent sur les arbres


l'agence postale en novembre 2008

photos JMB

17 mars 2010

Mission Grand Nord Premier Maître L'Her

Du courrier en retard... avec quelques énigmes


 Parti en Mission Grand Nord en février et mars, l"Aviso premier Maître L'Her transmet des plis via Paris Tri Interarmées...

Absence de flamme ou de TAD mais trace de l'indexation sur l'enveloppe.
 Pli provenant de Royaume-Uni mais sans indication de mission... Serait-ce un pli du PM L'Her?





 A vos plumes!

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...