13 décembre 2008

Marcophilie Navale TAAF Traitement du courrier

Le courrier pour le TAAF

C'est le bureau de poste de Le PORT 974 qui reçoit le courrier et le livre en sac au Marion Dufresne port ouest quai 8






La dépêche est amenée sur le quai par la camionette de La Poste




les sacs sont posés sur un filet pour prendre la direction de la cale 3 où ils seront conservés sous clé jusqu'aux districts à desservir










ce jour là, il y avait 35 sacs...


Photos © JM Bergougniou

L'accès aux TAAF le Marion Dufresne

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L'Accès aux TAAF

Le Marion Dufresne est un navire polyvalent. Lancé en 1995, il assure deux fonctions principales :
La recherche océanographique : sur la majeure partie des océans, sous la responsabilité de l'IPEV.




La logistique des îles australes françaises : Crozet, Kerguelen, Amsterdam, sous la responsabilité des TAAF.






Caractéristiques :
Longueur hors tout : 120,50 m
Largeur : 20,60 m
Creux : 12,80 m
Tirant d'eau : 6,95 m
Déplacement : 10.380 t
Port en lourd : 4.900 t
Fret : 2.500 t
Propulsion : Diesel-électrique
Puissance de propulsion : 2 x 3.000 kW
1 propulseur avant de 750 kW
2 lignes d'arbres
2 gouvernails à aileron
Vitesse maximale : 16 nœuds
Passagers : 110
Equipage : 10 officiers + 20 marins + 20 journaliers
Constructeur : Ateliers et Chantiers du Havre (livré le 12 mai 1995)Armateur : CMA-CGM The French LineAffréteurs :
Institut polaire français Paul Emile Victor (Ipev) pour l'océanographie
Territoire des Terres Australes et Antarctiques Françaises (Taaf) pour la logistique




C'est à la fois :
un navire de recherche (R/V) équipé de 650 m² de laboratoires, qui possède un système de treuillage pour la manipulation d'engins et matériels lourds, un sondeur multifaisceaux Thalès et enfin un carottier géant calypso unique au monde.




un paquebot qui sert au transport du personnel des bases et des visiteurs vers les Terres Australes (110 passagers) ;
un cargo chargeant des containers et des colis lourds d'une capacité de 4.600 m³ et possédant deux grues jumelables de 25 tonnes et trois autres grues de service ;
un pétrolier transportant du fuel pour les stations ;

un porte-hélicoptères pouvant recevoir un hélicoptère de type Écureuil, Lama ou Dauphin

Claude Bachelard OPEA et Pascal Brun pilote de l'écureuil

Photos JM Bergougniou



Voyage aux terres australes






Le siège des Terres Australes et Antarctiques Françaises est à à Saint-Pierre La Réunion









Les Terres australes et antarctiques françaises sont, depuis la loi du 6 août 1955, un Territoire d’outre-mer doté de l’autonomie administrative et financière.
Cette collectivité d’outre-mer, possédant l’autonomie administrative et financière, a été créée par la loi du 6 août 1955 abrogeant le décret de 1924 qui rattachait alors ces terres au gouvernement général de Madagascar. Le décret n° 2008-919 du 11 septembre 2008 pris pour l’application du statut des Taaf est le principal texte de développement.




Les Terres australes et antarctiques françaises (Taaf) sont formées par l’archipel de Crozet, l’archipel des Kerguelen, les îles Saint-Paul et Amsterdam, la terre Adélie et les îles éparses (depuis la loi du 21 février 2007) : Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India dans le canal du Mozambique et Tromelin au nord de la Réunion.



L’ensemble de ces terres procure à la France une Zone Economique Exclusive (ZEE) de plus de 2 500 000 de km² riches en ressources marines.



La collectivité dispose d’un budget d’environ 26 millions d’euros, alimenté par des ressources propres (impôts, taxes de mouillage, droits de pêche, philatélie, tourisme…) et par une subvention du secrétariat d’État à l’outre-mer. Une grande partie de ce budget est consacrée aux charges d’affrètement des deux navires qui assurent la desserte maritime des districts. Comme les autres territoires d’outre-mer, elle est associée à l’Union européenne, en tant que PTOM (pays et territoires d’outre-mer) et bénéficie à ce titre d’un régime spécial, en particulier des financements du FED.


Le siège est installé depuis 2000 à Saint-Pierre de la Réunion où il regroupe près de 40 personnes. Il accueille le bureau du préfet, le cabinet du préfet, le secrétariat général et les différents services : technique (ST), administratif et financier (SAF), gestion des écosystèmes et des milieux naturels (GEMIN), postes, informatique et télécommunications (SPIC), défense et sécurité civile (SDSV), communication, tourisme et boutiques et cellule juridique. L’antenne parisienne des Taaf abrite le service médical et la philatélie.





uLes Terres australes ont leur siège dans un ancien entrepot le long d'un bras de mer


















http://www.taaf.fr/spip/






La Marcophilie Navale

Vanikoro et journée du sous-marin Cherbourg

La Marcophilie Navale Vanikoro et journée du sous-marin Cherbourg

De Joêl Moreau Section Ile de Fance

Ayant enfin reçus les plis Vanikoro du Dumont d'Urville, plis qui ont aussi énormément voyagés car partis de Paris avec comme adresse Nouméa (avec l'accord du Cdt) lieu de départ pour la mission, cette adresse a été rectifiée par ? pour Papeete port d'attache du Dumont.












Le Commandant, très sympa, demande à son épouse de renvoyer le colis à Nouméa. Chose faite, mais le vaguemestre ne s'aperçoit pas que les timbres sont de Nouvelle Calédonie et.....


Le colis repart pour Papeete.


M'inquiétant j'envoie un e-mail au bord....le Vaguemestre s'excuse, et renvoie le colis à Nouméa. Alors j'attends celui qui me dira que les plis n'ont pas voyagés.








Le 27 novembre, c'était la journée du sous-marin à Cherbourg, je me suis rendu pour tenir table.

L'accueil fut très chaleureux malgré le froid et un petit crachin quasiment permanent.
Pour les commandes : 01-43-79-37-13 ou joel.moreau24@wanadoo.fr

10 décembre 2008

Départ de la Jeanne d'Arc vu par Ouest-France décembre 2008

 Départ de la Jeanne


mercredi 10 décembre 2008
La Jeanne d'Arc en route vers des mers chaudes

Le navire-école a quitté Brest hier après-midi pour la Méditerranée, puis l'océan Indien.Une avant-dernière campagne qui promet d'être formatrice.

Le départ de la Jeanne en images

http://www.ouest-france.fr/detail_galerie_-La-Jeanne-d-Arc-a-quitte-Brest_1920-70364_GaleriePhoto.Htm
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Les marins et leurs familles se pressent dans les coursives de la Jeanne d'Arc. Le navire-école s'apprête à quitter le port militaire de Brest pour sa 44e et avant-dernière campagne. Comme d'habitude, il sera accompagné par sa « conserve », la frégate Georges Leygues.
A bord des deux bâtiments, plus de 800 marins dont 117 officiers élèves. Ces derniers parachèvent leur formation en partant en campagne sur la Jeanne d'Arc. Ce sont les futurs cadres de la Marine nationale.«
Le moral est bon », assure le « pacha » de la Jeanne et commandant du groupe école, le capitaine de vaisseau Hervé Bléjean. « Partir, durer, comprendre », tels sont les mots d'ordre de la mission. Cette année, le navire-école met le cap sur des zones « chaudes », la Méditerranée puis l'océan Indien.Les escales prévues s'appellent Abou Dhabi, Cochin, Singapour ou encore Djakarta. Tripoli, en Libye, figurait aussi au programme. Mais des considérations diplomatiques ont amené le report de cette escale chez le colonel Kadhafi.Atmosphère opérationnelleAu cours de sa carrière, la Jeanne d'Arc a connu des destinations plus « glamour ».


L'an passé, par exemple, son équipage avait passé le Nouvel An à New York.
Rien de tel cette année. Le réveillon de la Saint-Sylvestre, ce sera en mer. Avant d'arriver à Djibouti.
Bienvenue dans le métier de marin !
« Nous naviguerons dans une zone du monde consacrée comme stratégique par le Livre blanc sur la défense », souligne Hervé Bléjean.Bab el Mandeb, Ormuz, Malacca...
La Jeanne d'Arc passera par ces détroits qui sont autant de goulots d'étranglement du trafic maritime mondial. Des endroits dangereux, souvent infestés de pirates. « C'est là que les officiers élèves percevront le mieux l'atmosphère opérationnelle », se réjouit le commandant Bléjean.
Johann Pelé, 30 ans, fait partie de ces officiers élèves issus de l'École navale. Le jeune enseigne de vaisseau voit la Jeanne d'Arc comme « le marche-pied entre le domaine théorique et le milieu opérationnel ».
Plus tard, il envisage de devenir coordonnateur tactique à bord des avions radar Hawkeye embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle. Pour lui, devenir officier de Marine, c'est d'abord accéder à un « haut niveau de responsabilité ».
Les équipages ont travaillé dur pour mettre en condition les deux navires du groupe école, qui accusent le poids des années. Beaucoup d'entre eux sont de jeunes marins. Sur la Jeanne d'Arc, la moitié de l'équipage est composée de « pompons rouges ».16 h 30.
La Jeanne d'Arc largue les amarres. Voilà déjà trois quarts d'heure que le Georges-Leygues a appareillé.Les deux navires seront de retour le 5 mai 2009 à Brest. Nul doute que les marins embarqués à leur bord auront vécu, une nouvelle fois, une sacrée aventure.


Olivier MÉLENNEC.

Porte-hélicoptères Jeanne d'Arc l'avant dernière

Jeanne d'Arc : ça y est, elle est partie!
Le Télégramme


Pour la 44 e fois de sa longue carrière, le porte-hélicoptères Jeanne-d’Arc a pris la mer, hier après-midi, pour ce qui devrait être son avant-dernière campagne d’application.
Accompagné de la frégate anti-sous-marine Georges-Leygues, sa « conserve » depuis plusieurs années, sous les ordres du CF Thierry Catard, le navire école Jeanne-d’Arc, sous le commandement du capitaine de vaisseau Hervé Bléjean, ne rejoindra son port base que le 5 mai prochain. Un long périple qui conduira le groupe école en Méditerranée, avec une première escale à Tunis, qui remplace celle de Tripoli, reportée. Ensuite, traversée du canal de Suez. Après quatre jours passés en début d’année prochaine à Djibouti, ce sera Abu-Dhabi puis cap à l’est, vers l’Inde et Cochin où le groupe restera du 28 janvier au 2 février. Suivront ensuite Singapour puis Djakarta à la fin février, avant de commencer à prendre le chemin du retour par La Réunion, tandis que le Georges-Leygues effectuera un court crochet par l’Ile Maurice. Aqaba début avril et l’italienne Civitavecchia à la mi-avril marqueront les étapes du retour, le dernier arrêt avant Brest étant prévu à Lisbonne fin avril, début mai.
Points chauds
Au cours de ce déploiement, les 700 hommes et femmes composant les équipages des navires du groupe école d’application, ainsi que les 117 élèves officiers, sillonneront un certain nombre de points chauds du globe pour la navigation. Les détroits d’Ormuz et celui de Malacca, ainsi que l’océan Indien, à l’aller et au retour, figurent en effet au programme. La vigilance sera de mise et si cela s’avère nécessaire, les deux unités sauront se montrer opérationnelles comme par le passé, lors du tsunami par exemple, il y a quatre ans, lorsque la Jeanne-d’Arc, grâce à ses hélicoptères, avait participé activement aux opérations humanitaires. Ou plus récemment, lors de l’opération de libération du Ponant, détenu par des pirates. Selon une tradition désormais bien établie, une vingtaine d’élèves étrangers seront présents à bord, représentant quinze pays.
Réforme et projets L’amiral Forissier, chef d’état-major de la Marine, a profité de son passage à Brest pour mettre l’accent sur une évolution vers une formation « européenne ». D’où la campagne d’application en troisième année à partir de la promo 2007, impliquant deux campagnes en 2010, la promo 2006 terminant le cycle des « quatrième année ». Des campagnes se déroulant à bord d’un Bâtiment de projection et de commandement (BPC), le Mistral et le Tonnerre pouvant être très facilement adaptés à ce genre de mission. Des BPC qui pourraient être au nombre de trois, le plan de relance de l’économie récemment annoncé pouvant inclure ce genre de construction à moins qu’un troisième TCD (Transport de chalands de débarquement), type Foudre, ne lui soit préféré.
Le Télégramme

Cette année pas de flamme sur les enveloppes, le simple et triste timbre à date de Brest Armées...















Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...