16 septembre 2008

La Marine nationale devrait désarmer prématurément plusieurs navires

La Marcophilie Navale

La Marine nationale devrait désarmer prématurément plusieurs navires




sont concernés


le Jules Verne

















La Loire







le Batral Francis Garnier








http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=108285&u=6833

14 septembre 2008

Aéroforum Saint-Jacques de la lande Patrouille de France Rafale 12F Marcophilie Navale



La 12F à l'aéroforum de Rennes Saint-Jacques


12F







La 12F est venue avec un rafale


La 12F est la descendante de la première flottille de l'aviation embarquée. Créée en 1938, elle participe à la campagne de France puis aux opérations d'Indochine.
Le 15 décembre 1999, la flottille 12F a été mise en sommeil. Elle s'est effacée avec le retrait définitif du Crusader F8-P qui a vaillamment rempli ses missions d'interceptions depuis 1964.Ces derniers des monoréacteurs monoplaces de chasse embarquée auront effectué presque 148 000 heures de vol.







Cette flottille est aujourd'hui stationnée à Landivisiau et armée d'avions de combat polyvalents Rafale. La 12F, qui a recu son 5ème Rafale au mois de mai 2001, a été réactivée le 18 mai 2001, jour de l'admission au service actif du porte-avions Charles de Gaulle.
Le 10ème Rafale a été livré le 16 octobre 2002. Le 1er décembre 2002, les Rafale de la 12F ont embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle pour l'opération Héraclès de lutte contre les réseaux terroristes d'Al Quaida.


Vu sous cet angle...

Les demandes de reseignements sont nombreuses et les réponses nettes et précises


L'envie est grande pour certains de monter dans l'habitacle...




















http://www.netmarine.net/aero/unites/12f/index.htm





http://www.netmarine.net/aero/aeronefs/rafale/index.htm





La masse et le volume ont été réduits au minimum pour tenir les coûts de développement; la voilure médiane, en delta, de faible épaisseur, est associée à des plans canards mobiles; les entrée d’air fixes et séparées des réacteurs placées sous le cockpit sont dépourvues de cônes soniques mobiles. La cellule, conçue pour une certaine " furtivité ", utilise largement les composites (fibres de carbone) et métaux légers (titane et aluminium).




Atterrisseur



Le train est du type tricycle escamotable à commande hydraulique. Construit par Messier Bugatti, il est composé d’un train principal à une seule roue et d’un train avant, à commande de direction hydraulique, à roues jumelées. Toutes les roues se rétractent vers l’avant. L’atterrisseur est conçu pour résister à des vitesses verticales de 3 m/s pour la version terrestre et de 6 m/s pour la version navale. Les pneus sont des Michelin à carcasse radiale (pneus de train principal de 810x275-15, pression de gonflage 16 bars, pneus de train avant 550x200-10). Les freins, à disques carbone, sont actionnés sur toutes les roues par le système électrique de commandes de vol.
L’appareil possède également un parachute-frein, pour les situations d’urgence, placé dans un logement situé à la base de la gouverne de direction. Le Rafale Marine est équipé d’un train avant dit " sauteur ", c’est à dire que l’énergie stockée dans l’amortisseur est libérée en fin de catapultage, afin de modifier l’angle d’attaque de l’avion et donc de monter rapidement sans l’aide de rampe inclinée.


Motorisation
Le Rafale est propulsé par deux turboréacteurs à double flux Snecma M88-2 dévelopant chacun 48,7 kN de poussée à sec et 72,9 kN avec postcombustion. Le M88-3 qui équipera les avions de série délivrera une poussée maximum de 87 kN. Les réservoirs internes contiennent plus de 5325 litres de carburant. Le circuit d’alimentation en carburant est fourni par Lucas Air Equipement et Zenith Aviation, l’équipement par Intertechnique. Un réservoir largable de 1700 litres peut être installé sous le fuselage, un réservoir largable de 2000 litres au pylône interne sous voilure. Capacité maximale de carburant 6600 litres. Remplissage sous pression en sept minutes, ou quatre minutes pour les réservoirs extérieurs seulement. Une perche amovible de ravitaillement en vol est disponible sur toutes les versions.



Aménagement



http://www.dassault-aviation.com/fr/defense/rafale/cellule-optimisee.html?L=





Le pilote est installé sur un siège éjectable Hispano-Suiza construit sous licence Martin-Baker Mk15 zéro/zéro, incliné à 29°. Verrière et pare-brise forme une seule pièce, fourni par Sully Produits Spéciaux, s’ouvrant latéralement vers la droite. La verrière est revêtue d’un film doré pour réduire la signature radar.


Avionique


Véritable " projecteur de forces ", le Rafale est en particulier équipé du radar RBE2 (Thomson-CSF/Dassault Electronique) à capacité lookdown/shootdown. Ce radar à balayage électronique peut orienter son faisceau selon deux plans (vertical et horizontal) pour accroître l’agilité de détection. En mode air-air, il peut détecter et traiter plusieurs dizaines de cibles, dont huit en poursuite renforcée. En mode air-sol, il assure l’évitement du relief, élabore une carte détaillée du terrain à une dizaine de kilomètres en avant de l’avion et recale la navigation par affinage Doppler (centrale inertielle de navigation SAGEM Uliss 52X avec interface porte-avions sur la version Marine).


L’affichage numérique sur une visualisation tête moyenne donne les informations concernant le carburant, les moteurs, l’hydraulique, le système électrique. Les autres systèmes embarqués sont projetés sur deux visualisations multifonctions latérales, en couleur, à commande sensitive de Thomson-CSF/SFENA. Le quatrième écran de cockpit est une visualisation tête basse qui affiche les informations radar et navigation.


Yolène de la Bigne, chroniqueuse à France Info et " voix " de nombreux documentaires a prété sa voix au système de commandes de vol et d’alerte à commande vocale Sextant Avionique qui sera intégré dans une future version ainsi que le viseur de casque.


Le Rafale sera aussi doté d’une " Optronique Secteur Frontal " (OSF). Développé par Thomson-CSF et Sagem, ce système de détection et de désignation d’objectif assure à la fois la localisation et l’imagerie infrarouge (à 3-5 et 8-12 µm), l’identification (par caméra TV haute définition) et la télémétrie (par faisceau laser).



Son viseur infrarouge peut détecter un avion de combat à plus de 100 km et en donner l’azimut très précis; il a aussi un mode air-sol d’imagerie (à grand-champ) pour l’aide au pilotage (jusqu’à 6km). La caméra TV permet d’identifier une cible à 40 km. L’OSF est un système passif et discret qui, couplé au radar, renforce la poursuite d’une cible.


La détection et l’évaluation des menaces sont gérées par un équipement d’alerte radar et de contre-mesures électroniques Spectra (Système de Protection et d’Evitement des Conduites de Tir du RAfale) co-dévoloppé par Thomson-CSF, Dassault Electronique et Matra;
La navigation est assurée par la centrale gyrolaser Sagem Uliss 52X et un équipement de navigation par satellite Sextant Avionique Navstar (GPS);
Thomson CSF développe aussi pour le Rafale un nouveau pod de désignation d’objectif par laser et imagerie infrarouge. Il pourra guider simultanément deux missiles air-sol et permettra le tir précis de munitions non-guidées. La reconnaissance et l’imagerie en combat aérien seront également possibles grâce au capteur infrarouge.

Autres spécifications
Visualisation tête haute, holographique à grand angle Sextant Avionique CTH3022. Equipement de communications TRT. Equipement VOR/ILS de type SOCRAT. équipement de radiocommunication V/UHF EAS et UHF TRT Saturn; radio-altimètre Thomson-CSF/CNI et enregistreur de paramètres de vol SFIM/Dassault Electronique. Communications via SINTAC/JTIDS. Equipement d’identification IFF ami-ennemi Thomson-CSF/CNI et JTIDS.

Armement

http://www.dassault-aviation.com/fr/defense/rafale/armements-avances.html?L=

Le Rafale est armé d'un canon de 30 mm Giat DEFA 791B sur le côté de l’entrée d’air du réacteur droit. Il existe d’autre part quartorze points d’emport externes : deux au centre du fuselage, deux sous les entrées d’air, deux sur les côtés à l’arrière du fuselage, six sous voilure et deux aux extrémités de voilure. La position centrale avant a été supprimée sur le Rafale Marine. La masse de charges extérieures est normalement de 6000 kg, mais peut être portée à 8000 kg dans la configuration d’attaque au sol, le Rafale étant armé d’un missile nucléaire, à tir à distance Aérospatiale ASMP. En configuration interception, il est armé de plus de huit missiles air-air Matra Mica (avec autodirecteur infrarouge ou actif) et de deux réservoirs supplémentaires sous voilure; ou six missiles Mica et 5700 litres de carburant en externe. En configuration d’attaque au sol, il emporte seize bombes de 227 kg, deux missiles air-air Mica et deux réservoirs de 1300 litres; ou deux missiles Appache, deux Mica et 5700 litres de carburant en bidons externes; ou un pod à capteur infrarouge FLIR, un pod ATLIS de désignation laser, deux bombes de 1000 kg à guidage laser, deux missiles air-sol AS30L laser, quatre Mica et un seul bidon de 1700 litres. En configuration anti-navires, il est armé de deux missiles anti-navires Exocet ou d’un ANS, quatre Mica et 4300 litres de carburant en externe








L'Avion, comment ça vole?

http://www.dassault-aviation.com/fr/passion/actu/a-la-une/lavion-comment-vole-t-il.html?cHash=7d5391cba9



Il s’agit d’une animation, proposée à tous les internautes, qui a pour but de sensibiliser aux principes de vol d’un avion. Le héros est le Rafale qui, tour à tour, illustre des contenus éducatifs ou devient l’acteur d’un véritable jeu en ligne. N’attendez plus, pilotez le Rafale dans un univers en 3D !



J'y vais!
Site de l'armée de l'air







Aéroforum 34F Saint-Jacques de la lande Patrouille de France

Aéroforum Saint-Jacques de la Lande Aéronavale

Patrouille de France




Flotille 34F



Construit par la firme britannique Westland, et principalement utilisé dans la marine francaise en lutte anti-sous-marine, l'hélicoptère Lynx peut également être déployé lors de missions de lutte anti-surface. Il possède des bonnes capacités de détection propres avec des instruments précis de navigation, un radar pour la lutte au dessus de la surface, un sonar pouvant être immergé jusqu'à près de 150 mètres ou un dispositif de lancement de bouées acoustiques en détection passive et enfin des moyens d'interception radio et radar.




C'est aussi un porteur d'armes avec une capacité d'emport de deux torpilles anti-sous-marine MK46. Son autonomie est d'environ deux heures de vol et se réduit en fonction de l'armement embarqué, de la nécessité de faire du vol stationnaire pour la mise en oeuvre du sonar, et des conditions météorologiques, température et humidité principalement.



La flottille 34F voit le jour le 9 septembre 1974 à Saint Raphaël. Constituée d'hélicoptère Alouette en version anti-sous-marine, la 34F arme, dès le mois d'octobre, les bâtiments porte-hélicoptères Duperré et Tourville.
Le 14 janvier 1975, la flottille s'installe définitivement sur la base aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic et constitue alors cinq détachements permanents sur les frégates Duguay-Trouin, De Grasse, Primauguet, La Motte-Picquet et Cassard.


L'année 1979 marque un tournant dans la vie de la 34F puisque cette dernière recoit ses hélicoptères Lynx, dont la particularité est d'être, pour la première fois, un appareil intégralement conçu pour l'embarquement sur des bâtiments de combat. La flottille devient aini une véritable unité de lutte anti-sous-marine et développe rapidement ses capacités d'action par tous les temps, de jour comme de nuit.

Le binôme BPH/Lynx est alors un redoutable outil de combat qui permet à la 34F de prendre part à de nombreuses opérations telles la guerre du Golfe, la crise yougoslave, et la lutte contre les réseaux terroristes d'Al Quaida en Afghanistan, pour ne citer que les plus récentes.


La réduction du format des armées frappe les flottilles 31F et 34F. Au 1er janvier 2000, elle passent de 12 à 8 aéronefs et de 24 à 18 pilotes. Malgré cela, la flottille 34F continue d'armer les frégates Tourville, De Grasse, Primauguet et Latouche-Tréville,

et d'assurer également les missions de lutte au-dessus de la surface, de soutien et d'action de l'Etat en mer sous toutes ses formes (service public, lutte contre la pollution, etc...).

Au 1er mai 2002, la flottille était Elle est composée de 125 personnes dont 19 pilotes, qui arment 7 Lynx (un huitième est attendu).





Sources :


http://netmarine.net/


http://www.defense.gouv.fr/marine/content/download/44333/442495/file/flottille_34_f_flottille_34f.pdf




photos : JM Bergougniou

Timbre patrouille de France aéroforum aéronavale Marcophilie Navale septembre 2008



L'aéronavale à l'aéroforum de Rennes Saint-Jacques

Flotille 11F







La Marine était bien présente à l'aéroforum de Rennes Saint-Jacques organisé à l'occasion de la sortie du timbre Patrouille de France



La Flotille 11F présentait un SEM Super Etendard modernisé


photo (c) JM Bergougniou
photo (c) JM Bergougniou

La Flottille 11F est la plus ancienne des formations de chasse de l'Aviation Navale. Son passé est des plus prestigieux.

photo (c) JM Bergougniou


Héritière de la 1ère flottille de chasse, la flottille 11F est engagée, dès sa naissance en juillet 1953, dans les opérations en Indochine, où elle effectue près de 5000 heures de vol jusqu'en avril 1954, et se distingue par une croix de Guerre des TOE avec palmes.



L'arrivée des premiers Aquilon en mai 1955 marque un tournant dans la vie de la flottille. En juillet 1955, a lieu le premier appontage d'un Aquilon sur le HMS Bullwark. Cet appareil sera utilisé pendant la guerre d'Algérie dès septembre 1958. En juillet 1959, la flottille retrouve la base de Bizerte. Le premier appontage d'Aquilon sur le Clemenceau aura été réalisé en mars 1960. La flottille sera cependant dissoute en avril 1962, avec la fin du potentiel de l'Aquilon.
La 11F est reconstituée en avril 1963 sur Etendard IVM et fête ses 1000 heures de vol en août. En septembre 1963, un premier embarquement sur le Foch est interrompu par un accident mortel (17 septembre).


photo (c) JM Bergougniou
Les appontages reprendront en mai 1964. La flottille est basé à Hyères de 1965 à 1967, puis à Landivisiau à partir de mai 1967. Les premières qualifications à l'appontage de nuit sur porte-avions ont lieu à partir de mai 1969. En août 1977, la 11F fête à Djibouti, son passage des 50000 heures de vol sur Etendard IVM, peu de temps avant l'arrivée du premier Super-Etendard, en août 1978 et le dernier vol d'Etendard IVM le 31 août 1978.

photo (c) JM Bergougniou

La 11F sera engagée dans les missions Olifant et Mirmillon au large du Liban (1983-1984), puis l'opération Prométhée en Mer d'Oman (1987). A partir de 1989, elle obtiendra une capacité nucléaire renforcée avec le missile ASMP. La flottille participe à la mission Balbuzard en mer Adriatique de 1993 à 1994, date à laquelle elle passe les 50 000 heures de vol sur Super Etendard. L'année suivante verra la transformation de la 11F sur SEM (Super Etendard Modernisé) et la fin des vols Super Etendard avec un total de 62 263 heures de vol.

photo (c) JM Bergougniou

A partir de 1998, les SEM seront dotés d'une capacité de tir d'armement guidé laser. La 11F participe en 1999 aux aux frappes de l'OTAN sur la Serbie (opération Trident) et sera décorée de la croix de guerre des TOE à l'issue.Cette flottille est stationnée à Landivisiau. En 2006, elle était armée de 19 Super-Etendard modernisés.

photo (c) JM Bergougniou

A titre anecdotique, la toute jeune Aviation d'Escadre, alors placée sous les ordres du LV Teste, est initialement divisée en deux unités. Division officieuse par ailleurs, les pilotes n'étant pas spécialement affectés à l'un ou l'autre des deux groupes, baptisés AC1 (AC pour avions de chasse) et AR 2 (AR pour avions de reconnaissance).

photo (c) JM Bergougniou
Ce n'est que deux ans plus tard que le Service Central de l'aéronautique admet l'existence de deux escadrilles bien distinctes. Le LV Cavelier de Cuverville est nommé chef de l'AC1 en octobre 1921. Il faut attendre 1922 pour voir les escadrilles devenir des unités militaires à part entière et leurs commandants désignés officiellement par lettres signées du ministre de la guerre. La Flottille 11F descend donc officiellement de l'AC1 de 1922 et s'est vue confier les traditions des escadrilles précédentes. Le 1er août 1922, l'AC1 devient la C10 avec pour commandant le LV Amanrich.

photo (c) JM Bergougniou
http://www.netmarine.net/aero/aeronefs/setendard/index.htm


photo (c) JM Bergougniou

Le Super-Etendard est un avion doté de nombreuses possibilités, reflétées par la diversité de ses missions : assaut contre la terre, assaut à la mer, appui feu de troupes au sol et interception aérienne.
A partir de 1978, le Super-Etendard a remplacé l'Etendard IVM au sein du groupe aérien embarqué des porte-avions Clemenceau et Foch. Le Super-Etendard arme ou a armé les flottilles 11F, 14F et 17F.

photo (c) JM Bergougniou
Le Super-Etendard est l'avion d'assaut et de reconnaissance du groupe aérien embarqué sur le porte-avions Charles de Gaulle jusqu'à son remplacement par le Rafale vers 2010. Les Super-Etendard, actuellement en ligne sur la base aéronavale de Landivisiau et sur le Charles de Gaulle, constituent la force de frappe de la chasse embarquée.

photo (c) JM Bergougniou

Bien qu'il soit en apparence similaire à son ainé le GAMD Etendard IV, le Super-Etendard en diffère par trois points essentiels qui sont la motorisation, l'avionique et l'hyper-sustentation de la voilure. C'est le SNECMA Atar 8K50 à simple flux et monocorps qui est retenu pour équiper l'avion: il s'agit là d'une version dérivée de l'Atar 9K50 des Mirage F-1 mais dépourvue de post-combustion et dotée d'une tuyère fixe sans paupière et d'un système de régulation hydromécanique. Ce moteur délivre une poussée statique nette de 4950 kgp (au niveau du sol et sous une température ambiante de 15°C) Il comporte un compresseur axial à neuf étages et une turbine à deux étages.

photo (c) JM Bergougniou
La 17F devrait être la dernière formation opérationnelle de la Marine à voler sur le « Super », puisque la 11F devrait toucher des Rafale à partir de 2010. Bon nombre d'avions ont dépassé les 5000 heures de vol, mais l'exceptionnelle robustesse de la cellule et des systèmes du Super-Etendard, associée à des innovations technologiques du plus haut niveau contribueront à conserver à cette flottille une redoutable efficacité jusqu'au terme de l'utilisation de ce monoréacteur, en passe de devenir une nouvelle légende de l'Aviation Embarquée.

Photos (c) JM Bergougniou

sources :

http://www.rennes.maville.com/actu/actudet_-aeroforum-de-rennes-saint-jacques%C2%A0-les-visiteurs-en-redemandent-_7-703972_actu.Htm


http://www.netmarine.net/aero/unites/11f/index.htm


http://www.flottille11f.org/

Passage de Toulon à Alger 1839 sur un navire de la Marine Royale Cerbere

 Passage maritime de Toulon à Alger 1839 Cerbere  La conquête de l'Algérie débute par le débarquement de l'armée d'Afrique à Sid...