Le Conquet
28 mai 2008
Le Conquet 3eme salon La Mer en Livres
Le Conquet
Grand prix de l'Ecole Navale 10 mai 2008
Pli reçu à l'occasion du Grand Prix de l'Ecole Navale
TADmauel de l'agence postale de Lanvéc-Poulmic Marine en date du 10 mai 2008
Nouvelles du Liban Des marins en béret bleu
Pour en savoir plus sur le Liban

Arrivée du Courbet à Beyrouth

Carte postale de Beyrouth, la rue Foch

Des marins au béret bleu, c'est le pompon..

Poste Interarmées Carte souvenir 30 ans au Liban FINUL
La Poste aux armées a confié 200 cartes à Joël Moreau pour les membres de la Marcophilie Navale.

cette carte est en vente à 1 euro timbre compris.

timbre à date manuel du BPI 125
Les personnes intéressées doivent en faire la demande auprès de Joël en donnant nom adresse et 1 euro

Les cartes seront redonnées à la Poste aux Armées qui les acheminera pour être oblitérées soit de la flamme du "BPI 125"

Flamme du BPI 125
ou du cachet "ONU LIBANON" et seront renvoyées directement aux intéressés.

Cachets des Nations Unies


Lettre avec timbres du contingent indien
Contact :
Marcophilie Navale IDF
Joël Moreau
20 rue de Belfort 75 011 Paris
Tel 01-43-79-37-13 ou
joel.moreau24@wanadoo.fr
30 années de présence française au Liban FINUL agence postale
NAQOURA FINUL

La Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) a été mise en place par les résolutions 425 (1978) et 426 des Nations unies en mars 1978 à l'initiative du général français Jean Cuq, suite à l'escalade de la violence le long de la frontière israélo-libanaise qui avait culminé avec l'invasion du Liban par Israël. Elle fut déployée à l'origine avec 4 000 hommes sur 650 km².
Elle a été commandée par le général de division (FRA) Alain Pellegrini, qui a succédé au général Lalit Mohan Tewari dont le mandat s’était achevé le 17 février 2004.

La prorogation la plus récente de ce mandat a été effectuée par la résolution 1697 du Conseil de sécurité des Nations unies du 31 juillet 2006, qui renouvelle son mandat jusqu'au 31 août 2006.
Avec la résolution n° 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, il a été décidé de renforcer jusqu'à 15 000 militaires le contingent de la FINUL dans le Liban du Sud, dont la moitié seront des Européens.

Sa mission sera d'appuyer les 15 000 soldats de l'armée libanaise, pour former une zone tampon entre le Liban et Israël. On peut remarquer que cette force n'a pas d'appui aérien à niveau dissuasif en cas de conflit.
Pour en savoir plus, consultez le blog d'Isabelle BAL il est plein d'infos
http://18alexterieurliban.blogspot.com/2008/05/la-contribution-franaise-la-finul-en.html
Quelques extraits

Ce camp est complètement fermé sur les trois autres côtés et les issues ont gardées par des soldats. Une route défoncée venant de la frontière Israëlienne et se dirigeant vers le nord du Liban longe le camp parallèlement à la mer.
Sur l’autre côté de la route ont été installées de façon hâtive des constructions disparates le plus souvent réalisées avec des matériaux rudimentaires (planches et matériel de récupération car les libanais sont des gens particulièrement ingénieux et doués pour le commerce). Toutes ces bâtisses servent d’abris à tous les commerces possibles légaux ou non. Les habitants locaux ont vite compris qu’il y avait là un moyen de se faire beaucoup d’argent et dès la construction du camp militaire ils ont eux aussi construit leurs commerces de proximité.
Les militaires du camp peuvent se rendre dans ces baraquements lors des quartiers libres mais n'onnt pas le droit de s’en éloigner durant ces moments de détente.
pli affranchi en timbres libanais à TYR

On trouve des restaurants rudimentaires en planches et tôle ondulée qui font une cuisine excellente. Il ne faut cependant pas être trop exigeant sur l’hygiène.
On peut également acheter tout ce que l’on veut (bijoux or et argent – articles de sport – appareils hi-fi les plus récents et les plus performants).
Tous les libanais qui se trouvent là font la trêve des armes (catholiques ou musulmans) pour profiter de la manne qui se trouve à leur portée.
La frontière israëlienne est située sur la même route à environ deux kilomètres au sud et implantée à Ros Haniqra sur un piton rocheux qui domine la mer sur une hauteur de plus de cent mètres. La structure est sans faille.
Le passage de la frontière en véhicule ou à pied se fait au sommet du piton dans une dépression de la roche . Vous vous trouvez donc avec d’un côté la mer à l’aplomb et de l’autre la muraille. Ce passage est fermé la nuit de façon particulièrement efficace puisqu’il y a une grille en fer forgé fermée à clé. Ce passage à la frontière est contrôlé avec une extrême rigueur tant au niveau des hommes que des véhicules.
Retour anticipé du Georges Leygues à BREST
27 mai 2008
La Jeanne d'Arc a quitté Casablanca
La section de Paris Ile de France a réalisé le cachet illustré pour cette dernière escale
Pour toute information contacter Joël Moreau.
Dans la presse ce matin, plusieurs articles concernant le PH Jeanne d'Arc
Ouest-France
La machine a tenu bon, le commandant est satisfait.
http://www.brest.maville.com/Mission-bien-remplie-pour-la-Jeanne-d-Arc-/re/actudet/actu_loc-636606------_actu.html
Le principal fait d'arme de cette campagne 2007-2008 restera l'opération « Thalatine ». Autrement dit, la libération de l'équipage du navire de croisière Le Ponant, capturé par des pirates au large de la Somalie. « En 24 heures, nous avons basculé dans une opération de haute intensité. C'est cela notre métier, être prêt à tout moment à passer à l'action. Un marin a nécessairement le goût de l'incertitude. »
Mercredi 21 mai. Sous un soleil typiquement marocain, la Jeanne d'Arc fait son entrée dans le port de Casablanca, au Maroc.
Le capitaine de vaisseau Hervé Bléjean, le « pacha » du navire école, a le sourire. « La mission 2007-2008 est une grande réussite. Nous avons parfaitement atteint nos objectifs de formation. »
Juste avant l'escale de Casablanca, l'exercice baptisé « European cadet training » a constitué le point d'orgue de la formation à la mer des officiers élèves. Pendant une semaine, au large de l'Espagne, la Jeanne d'Arc a servi de navire amiral à une flotte d'une douzaine de bâtiments européens.
Les hélicoptères qui ont appréhendé les pirates ont décollé de la Jeanne. C'est aussi à bord du navire école qu'a été accueilli l'équipage du Ponant après sa libération, le 11 avril.
« Pour nos officiers élèves, ce fut très formateur, souligne Hervé Bléjean. Ça donne tout son sens à notre métier de participer à une mission de ce type. Ce ne peut qu'être une source de motivation. »
Pointe de vitesse
A cette occasion, il a fallu faire quelques prouesses, dont celle de pousser les machines à une allure qu'elles n'avaient plus connues depuis belle lurette.
« Depuis 2003, nous avons une politique de préservation du patrimoine, indique le lieutenant de vaisseau Philippe Guerry, chef du service machines. Il s'agit de conserver le matériel en bon état au moindre coût. On évite les variations de régime. »
En temps ordinaire, la Jeanne d'Arc ne dépasse plus les 15,5 noeuds. Au large de la Somalie, elle s'est offert une pointe de vitesse à 19,2 noeuds. Les machines ont tenu bon.
En fait, pour les mécaniciens, les premiers jours de la mission ont été les plus difficiles. Les deux turbo-alternateurs chargés d'alimenter le bord en électricité ont été victimes d'avaries peu après le départ. Le recours à l'alimentation de secours s'est révélé nécessaire. Pour réparer l'un des turbo-alternateurs, il a fallu acheminer une transmission depuis la France. Elle a été montée au cours de l'escale de Rio, deux mois après le départ de Brest.
Les chaudières ont aussi donné quelques soucis à Philippe Guerry.
Lors de l'escale de Luanda, en Angola, des soudeurs qualifiés de la société Ponticelli sont intervenus sur un surchauffeur défaillant. « La réparation n'a pas permis d'étancher complètement la fuite. Mais nous avons effectué des essais assez satisfaisants. Il n'y a pas de consommation d'eau supplémentaire. »
Début juin, le navire école retrouvera Brest après presque six mois d'absence. Philippe Guerry est optimiste pour la fin de la mission. « Les machines se portent mieux qu'au départ. »
Olivier MÉLENNEC.
Ouest-France
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