RPC Le Four
Y647 Le Four
Du nom d'un chenal sortant de Brest et se dirigeant vers le nord ou phare à l'ouest de Ploudalmézeau. Remorqueur construit aux chantiers SOCARENAM, mis en service le 13 mars 1998. Basé à Brest.
Le chenal du Four est le chenal maritime qui relie la mer d'Iroise à la Manche. Il passe entre la pointe Saint-Mathieu et l'île de Béniguet, et à proximité de la Pointe de Corsen et du phare du Four. Il est interdit aux navires hauturiers, qui doivent emprunter le rail d'Ouessant.
Enfin, depuis le 17 novembre 2011, afin de répondre à une demande des armateurs, les bateaux transportant des passagers et mesurant moins de 220m pourront désormais emprunter le chenal du Four, le Préfet Maritime de l’Atlantique vient de signer le décret autorisant cette pratique. Cela répond à un double objectif, le premier étant une réduction de la consommation du fait de la réduction de la vitesse (les durées de voyages restent les même mais la vitesse est réduite), la seconde raison est que ces bateaux concernent souvent une population âgée et que les évacuations sanitaires sont plus faciles si les bateaux sont plus près de la côte.
Une autorisation sera néanmoins nécessaire pour naviguer dans cette zone, les navires devant respecter certaines conditions (météo, capitaine à la passerelle, formation de ce dernier....)
Y647 Le Four
Du nom d'un chenal sortant de Brest et se dirigeant vers le nord ou phare à l'ouest de Ploudalmézeau. Remorqueur construit aux chantiers SOCARENAM, mis en service le 13 mars 1998. Basé à Brest.
Le chenal du Four est le chenal maritime qui relie la mer d'Iroise à la Manche. Il passe entre la pointe Saint-Mathieu et l'île de Béniguet, et à proximité de la Pointe de Corsen et du phare du Four. Il est interdit aux navires hauturiers, qui doivent emprunter le rail d'Ouessant.
Enfin, depuis le 17 novembre 2011, afin de répondre à une demande des armateurs, les bateaux transportant des passagers et mesurant moins de 220m pourront désormais emprunter le chenal du Four, le Préfet Maritime de l’Atlantique vient de signer le décret autorisant cette pratique. Cela répond à un double objectif, le premier étant une réduction de la consommation du fait de la réduction de la vitesse (les durées de voyages restent les même mais la vitesse est réduite), la seconde raison est que ces bateaux concernent souvent une population âgée et que les évacuations sanitaires sont plus faciles si les bateaux sont plus près de la côte.
Une autorisation sera néanmoins nécessaire pour naviguer dans cette zone, les navires devant respecter certaines conditions (météo, capitaine à la passerelle, formation de ce dernier....)