Bonjour à tous,
Parmi les personnages politiques des années trente à soixante, adeptes des religions séculières, un personnage se détache : Maurice Thorez. Françoise Giroud disait de lui « Gabin plus la Dialectique ». Même si le personnage était plutôt sympathique on lui avait inoculé, dans sa jeunesse un virus dont il ne se défit jamais. Nous n’oublierons pas non plus que ses séides firent disparaître nos frères dans d’effroyables conditions lors des guerres d’Indochine ou d’ailleurs.
Bien entendu il ne manqua pas d’écrire ses mémoires qui suivant les éditions et les opportunités connurent de notables réécritures : « Fils du peuple ».
Naturellement Maurice n’a pas écrit l’ouvrage c’est Jean Fréville qui s’en chargeât et il le fit savoir avec humour. Ainsi lisez ce passage des mémoires « Ferrailles Rongées Et Verdies, Informes Lacis, Larges Entonnoirs Aux Escarpements Crayeux, Ravinés, Immenses TranchéesCreusées En Labyrinthes, Infranchissables Vallonnements Ravagés, Embroussaillés ». Et vous lisez donc : Fréville a écrit ce livre.
Bel exemple d’acrostiche !
Néanmoins Thorez n’en voulut pas au camarade Fréville et leur amitié se poursuivit.
A la semaine prochaine
Donec