Après Tibère, Vespasien envoie une colonie vers Icosium pour arrêter les révoltes[19]. Après la révolte de Tacfarinas, Firmus (général maure)(berbère), natif de l'actuelle Kabylie, détruit Icosium en mettant le feu avec l'aide de toutes les tribus berbères maures (non romanisés) qui vivent dans les montagnes des environs au IVesiècle[20]. C'est vers le Ve siècle que le christianisme s'introduit à Icosium. En429, la ville passe sous domination vandale, lors de leur conquête de l'Afrique du Nord. En 442, un traité entre Romains et Vandales permet aux Romains de récupérer Icosium et ce durant les cent ans de présence vandale en Algérie.
Après 533, la ville, à peine contrôlée par les Byzantins, est attaquée par des tribus Berbères.
Après 533, la ville, à peine contrôlée par les Byzantins, est attaquée par des tribus Berbères.
Après Tibère, Vespasien envoie une colonie vers Icosium pour arrêter les révoltes[19]. Après la révolte de Tacfarinas, Firmus (général maure)(berbère), natif de l'actuelle Kabylie, détruit Icosium en mettant le feu avec l'aide de toutes les tribus berbères maures (non romanisés) qui vivent dans les montagnes des environs au IVesiècle[20].
C'est vers le Ve siècle que le christianisme s'introduit à Icosium. En429, la ville passe sous domination vandale, lors de leur conquête de l'Afrique du Nord. En 442, un traité entre Romains et Vandales permet aux Romains de récupérer Icosium et ce durant les cent ans de présence vandale en Algérie.
Après 533, la ville, à peine contrôlée par les Byzantins, est attaquée par des tribus Berbères.
Après 533, la ville, à peine contrôlée par les Byzantins, est attaquée par des tribus Berbères.
En 1830, suite à l'affaire dite « de l'Éventail », Charles X envoie un corps expéditionnaire françaiscommandé par le le général de Bourmont, ministre de la guerre prendre possession de la ville qui tombe le 5 juillet 1830, trois semaines après avoir débarqué à Sidi Ferruch situé à 30km à l'ouest. Simple raid à l'origine, l'occupation française va se prolonger pendant plus de 130 ans, et marquer profondément la cité qui comptait à peine 30 000 habitants en 1830.
La ville, bâtie en amphithéâtre sur un rocher dont l'inclinaison est tournée vers l'Est, s'étendait alors, dans la partie comprise entre les actuels rue Benganif, boulevard Hahkad, la Casbah (la citadelle) et le port, soit 3 200 mètres de remparts avec cinq portes (Bab El-Oued, Bab Azzoun, Bab Dzira, Bab El Bhar et Bab Jedid) qui enfermaient environs 12 200 maisons de grandeurs diverses contenant toutes une cour d'une plus ou moins grande étendue.