Genevieve ASSE
Quand j'ai reçu ce timbre je me suis demandé où il fallait le classer. Mon premier réflexe a été de m'orienter vers le foot. Vers le club de Saint-Etienne ASSE.Quand j'étais jeune le nom de Rachid Mekloufi m'avait toujours plu puis ce fut ceux de Dominique Bathenay, des frères Revelli. En un mot "Allez les verts".
A ma connaissance il n'y avait jamais eut de Geneviève à Saint-Etienne...
Et sa couleur est le bleu.
L'île aux Moines cale du Grand-Pont photo JM Bergougniou |
Il faudra un timbre pour me faire découvrir cette Bretonne. Mais s'en revendique-t-elle? Il le semblerait car son atelier est à l'île aux Moines.
Geneviève Bodin dite Geneviève Asse, née à Vannes le 24 janvier 1923, est une artiste peintre et graveur française.
Elle est élevée par sa grand-mère cultivée dans le manoir de Bonnervo (golfe du Morbihan). En 1931, elle visite l'Exposition coloniale qui la fascine. Dès 1932, elle s'installe à Paris où sa mère, qui travaille aux éditions Delalain, épouse le docteur Étienne Le Sourd (Etait-il ORL?)
Geneviève découvre Delaunay à l'exposition au Pavillon français en 1937. Elle visite alors nombre de musées en France, en Belgique et en Hollande. Elle aime les natures mortes de Chardin.
En 1940, elle entre à l'École nationale des arts décoratifs. Elle travaille dans les ateliers de Montparnasse et expose au Salon des moins de trente ans et au Salon d'automne. Elle s'engage dans les FFI (avec son frère) et est conductrice ambulancière dans la 1reDB, volontaire pour l'évacuation des déportés du camp de Terezin.
Elle est décorée de la Croix de guerre. Après la guerre, elle revient à Paris et dessine pour les maisons de tissus Bianchini-Ferrier, Flachard, Paquin. En 1948, elle invite un jeune peintre américain : Hugh Weiss, à participer au Salon des Moins de Trente Ans.
Grande dame de la peinture française, dont elle est une représentante éminente, Geneviève Asse est d’abord identifiée aujourd’hui par une couleur incomparable, le « bleu Asse » dont elle décline les innombrables modulations depuis le début des années 1950. Après une enfance passée dans le Morbihan, Geneviève Asse suit les cours de l’École nationale des arts décoratifs à Paris pendant l’Occupation. Influencée par Chardin, Cézanne et Braque, elle se consacre d’abord à des représentations d’objets du quotidien, natures mortes intimes peintes en camaïeu.
Bon finalement je classe en Bretagne!
Elle est élevée par sa grand-mère cultivée dans le manoir de Bonnervo (golfe du Morbihan). En 1931, elle visite l'Exposition coloniale qui la fascine. Dès 1932, elle s'installe à Paris où sa mère, qui travaille aux éditions Delalain, épouse le docteur Étienne Le Sourd (Etait-il ORL?)
Geneviève découvre Delaunay à l'exposition au Pavillon français en 1937. Elle visite alors nombre de musées en France, en Belgique et en Hollande. Elle aime les natures mortes de Chardin.
En 1940, elle entre à l'École nationale des arts décoratifs. Elle travaille dans les ateliers de Montparnasse et expose au Salon des moins de trente ans et au Salon d'automne. Elle s'engage dans les FFI (avec son frère) et est conductrice ambulancière dans la 1reDB, volontaire pour l'évacuation des déportés du camp de Terezin.
Elle est décorée de la Croix de guerre. Après la guerre, elle revient à Paris et dessine pour les maisons de tissus Bianchini-Ferrier, Flachard, Paquin. En 1948, elle invite un jeune peintre américain : Hugh Weiss, à participer au Salon des Moins de Trente Ans.
Grande dame de la peinture française, dont elle est une représentante éminente, Geneviève Asse est d’abord identifiée aujourd’hui par une couleur incomparable, le « bleu Asse » dont elle décline les innombrables modulations depuis le début des années 1950. Après une enfance passée dans le Morbihan, Geneviève Asse suit les cours de l’École nationale des arts décoratifs à Paris pendant l’Occupation. Influencée par Chardin, Cézanne et Braque, elle se consacre d’abord à des représentations d’objets du quotidien, natures mortes intimes peintes en camaïeu.
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